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Neuron

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Tout ce qui a été posté par Neuron

  1. Et y avait Maguie aussi.
  2. C'est tout de suite plus dur quand l'etuis est dans le dos.
  3. C'est simple. Il y a deux types d'agresseurs. Soit un inconscient (et il va mourir.), soit un champion du monde (et là, c'est toi qui meurt.). Oui. C'est ta seul chance de t'en sortir sans être lardé.L'attaque sera toujours rapide. L'agresseur prendra très vite la fuite. Donc, si tu es au sol et que tu le frappes aux rotules dès qu'il est à porté, il ne peut te frapper au couteau sans s'obstiner. Or, il n'est pas là pour s'obstiner. Pas compliqué.Tu t'alonges sur le dos et regroupes tes jambes sur les fessiers en les gardant légèrement écartées (comme pour des crunch). Et là, tu lève légèrement ton bassin (un coups de bite en somme.). Tu te retrouves en appui sur trois points : la ligne des épaules collées au sol avec les pieds. La simple levée du bassin te stabilise immédiatement. Cette stabilité permet ta gestuelle d'arme. De plus, si tu lèves assez haut ton bassin, alors tu alignes ton buste avec tes cuisses. Tu peux alors dégainer une arme en cuisse. De façon générale, il faut éviter d'avoir le bassin au contact du sol. On est instable et il est difficile de s'orienter pour toujours faire face à la menace. La solution est toujours d'avoir un pied au contact du sol pour lever légèrement le bassin. Le mollet protège le coccyx, les parties génitales. Le pied en appui permet de tourner. Et la jambe libre permet les frappes en coups de piston.
  4. Quand tu portes une arme longue dans un environnement risqué, ou elle est ranger et dissimulée, ou elle est dans tes mains en port ostensible.Dans le second cas, peu de personne vont se jeter sur toi de face. Sinon, si c'est le cas, il faut frapper l'agresseur avec l'extremité du canon. Une telle frappe et il recule même si tu t'es déjà pris un coup.
  5. C'est en effet la première réaction à avoir. On ne reste jamais face à un couteau. De même pour toute agression en general. Il y a deux types d'agresseurs : l'inconscient ou le champion du monde.Si tu ne peux fuir face à une lame, la règle numéro deux sera de te protéger des coups. Il y a deux choses à ce moment : 1- Prendre un vêtement, l'enrouler sur l'un de tes avant-bras pour en faire un bouclier contre les lacérations. 2- Tomber sur le sol. Il se produit deux choses. La première est que tu te désaxes de l'attaque. L'adversaire te voulait debout pour te planter en horizontal et il se retrouve avec un gars dans les jambes. Il peut être complètement déstabilisé. Une fois au sol, les semelles des chaussures protègent des coups et la longueur de jambe est supérieure à celle des bras. L'agresseur n'ira pas au sol car cela lui rendrait difficile la fuite. Si tu es armé, cela change à peine. Au sol, tu peux faire toutes les opérations d'armé et de visée avec un fusil. Tu regagnes 1 à 2 secondes car tu changes la donne tactique. La surprise que tu créés te donne du temps. Si tu dois dégainer, c'est encore mieux. L'agresseur peut être parti avant que tu ne dégaines (Devant un juge, tu as tout gagné.). Enfin, tu peux te stabiliser pour chausser l'arme où tu la portes. Pour cela, alors sur le dos, tu appuis avec les pieds à plat sur le sol pour lever ton bassin. Tu es très stable ainsi. Tu dégaines et quand tu tires tu peux même être en repos osseux.
  6. La situation que tu présentes est celle d'une attaque au couteau. Tu expliques qu'il n'est pas possible de réagir avec un fusil ou un pistolet. Or, tomber au sol face à un couteau est la seul solution. Et c'est vivement recommander. Réfléchi à la situation tactique et après, on en reparle. Ton prof de pêche Melba, disons que... il n'a pas d'arme de poing.
  7. Dans ce cas, il n'y a qu'une solution : tomber à terre.
  8. Il n'y a rien de logique ici. C'est ridicule.L'ouverture du feu n'autorise pas un sur-emploi de la force. Rien ne justifie un feu libre sur un individu qui ne représente pas de menace imminente et avérée. Même dans ces cas. Rien ne justifie que l'on vide un chargeur sur qui que ce soit. S'il y avait eu plusieurs tireur, cela peut se comprendre. Si le tireur est seul, c'est un emploi démesuré de la force.
  9. Cela rejoint ma question sur la formation desdits policiers.Il y a quelques jours j'ecrivais qu'ils n'avaient pas de policiers anti-émeute, on m'a répondu que c'est un problème juste d'etat d'esprit. Il me semble que ce n'est pas possible. Tu ne peux faire 6 buts sur une personne sans arguments solides. 2, je veux bien. Mais pas plus. Il y a un gros problème de formation. Faire but ne suffit pas. Il faut être formé pour savoir quand tirer et ne pas pas tirer. C'est très variable. Tout dépend de l'état de l'individu. Si tu es calme, tu vas voir si tu ne réagis pas.Il faut aussi voir la façon dont la policier a tiré. S'il tire au coup par coup rapide, c'est sûr que le suspect va s'en prendre. Je précise que je n'ai aucun élément sur l'affaire. J'en vois juste ses conséquences en terme de maintien de l'ordre qui me semble un fiasco.
  10. Oui. Quand c'est tous les soirs, ce n'est pas le matin ou l'apres midi. C'est ça?
  11. Je trouve pas ces derniers arguments très cohérents. Y a-t-il moins d'allergènes en friches qu'en forêt ? Pourquoi faudrait-il moins de bêtes sauvages ? Et as-tu un sondage pour connaître les préférences des français sous l'ancien régime ?
  12. Pourtant un contrat est composé de stipulations.
  13. Certes.J'observerais cependant que si Sarkozy n'avait pas fait ces dépenses, Hollande l'aurait fait. Donc, en somme, il n'a rien fait que d'accélérer l'inévitable. Rien de plus.
  14. Ce qui est marrant, c'est l'annonce faite sur les médias d'un krach temporaire de -37% aujourd'hui. La cause annoncée est e vente massive venue d'Asie.
  15. Non. Pas tout à fait. L'instruction a énormément progressé. Alors, bien sûr, tu peux tomber sur des guiches mais tout peut se préparer.Pour rester simple, je dirais que la formation au tir porte sur trois étapes successives : 1- Savoir vivre et tirer avec une arme en toute sécurité (pour soi et les autres.) ; 2- Savoir faire but dans toutes les conditions ; 3- Savoir quand tirer. Je rajouterai un point. Lors de certaines situations de violence, il arrive que l'agresseur soit mis en échec en cas de d'événement inattendu. Ainsi, quelqu'un qui débarque avec une arme, s'il se fait tirer dessus alors qu'il ne s'y attend pas va fuite très vite. Ici, passé deux à trois cartouches, c'est fini. C'est (entre autre) pour cette raison qu'un chargeur peut suffire pour mettre en déroute.
  16. L'argument n'est pas ici la vitesse de réaction. Il me semble t'avoir donné un temps de réaction que tu as vérifié toi même. Donc je sais qu'il y a une différence entre une arme à la sûreté et une arme désarmée.Le but de ces dispositions est la sécurité en général. Et hors zone de contact, au repos, il faut avoir les armes déchargées. Le second point de sécurité porte sur la stricte interdiction de consommer de l'alcool. Le simple cran de sûreté n'est pas assez sûr, sécurisant.
  17. Bah, c'est comme un bon élève qui saurait jamais dans quelle matière il est interrogé. Il a toujours la bonne réponse mais ne sait pas que ce n'est pas ce qu'on lui demande.
  18. Il a été prof d'économie. Ne l'oublions pas.
  19. Ça force aussi les racailles à changer de comportement.
  20. Ils sont plus contrôlés car la délinquance est plus le fait de noir que d'autres parties de la population. Au risque de choquer certains, c'est normal.
  21. Là n'est pas le sujet. Ce n'est même pas un argument.Seul compte la distribution de la délinquance et de la criminalité dans cette ville. Il faut donc connaître la distribution des délinquants, des bandes selon les groupes ethniques. Si tu as 3/4 des bandes composées de noirs, alors tu arrives très vite à "95% des détenus sont des noirs". CQFD. Affirmer qu'il n'y a pas de relation de causalité n'a pas de sens ici.
  22. Le libéralisme y est pourtant démontré assez souvent.
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