Neuron

Quand la musique adouci les mœurs: http://malignej.transilien.com/2012/05/31/de-la-musique-classique-pour-retablir-lordre/

Source: Le figaro

À force, il deviendra peut être pointu en économie.

Juste pour donner une idée aux néophytes, la formation au tir tactique peut se découper en trois étapes: 1) Être en sécurité C'est être capable de vivre avec une arme, manipuler sans être dangereux, connaître les manipulations et fondamentaux de base. 2) Toucher dans tous les cas Là, on approfondi pour faire maîtriser toutes les positions de tir et assurer le coup au but à toutes les distances d'engagement. Jusque là, on est dans une vision mécanique du tir. 3) Savoir quand tirer Là, on rajoute la vision tactique. Comprendre l'environnement, ses contraintes, ses possibilité. C'est un travail du "je tire, je tire pas". On traite les différents cas de figure jusqu'aux affrontements multiples.

On n'a pas fini d'en parler de cette histoire.

Puisqu'il s'y engage: Source: Le Figaro.

8000 parrainages de nécessaire. Pourquoi pas 30000 ou 100563? Après tout.

Je suis tout à fait d'accord avec toi. Surtout sur l'absence de la notion du temps long, de l'histoire.

Et si tu sortais des arguments de maternel. À te lire on croirait du Duflot.

En public tu n'as aucune inscription aussi élevée.

Les gendarmes et policiers reçoivent des ordres. De plus, leur action n'est pas autonome du ministère de la justice. Pas plus qu'annoncer la paix.

Je suis d'accord avec la première partie. En revanche, l'histoire du raisonnement m'est assez étranger. Juste un petit détail: d'une part, ce n'est pas moi qui ai lancé le thème de l'Islam sur ce sujet et, d'autre part, je ne suis absolument pas manichéen.

Mon idée est dans ma tête. En effet, cela se loge plus là que dans les pieds. J'aime bien lire tes interventions tellement elles sont racialistes. T'en as des obsession. Avec tes arguments macédoines où l'on trouve de tout sauf le sujet. Mais, c'est vrai, tu es anarcap. Mais le jour où tu auras lu mes sources on en reparlera.

Ça veux dire que la frontière entre paix et guerre n'est pas nette à tracer. Bien sûr, il y a une définition officielle, sauf qu'elle ne prend pas en compte de situation intermédiaire. C'est comme la définition de la récession. Nous sommes à 0% de croissance aussi nous ne sommes pas en récession. -0,1% et nous y étions. Or dans la réalité, quelle est la différence? De mon côté, c'est la dynamique qui m'importe. Aussi, je ne pense pas que nous sommes en guerre mais que nous sommes en marche à la guerre. C'est à dire que des briques se mettent en place. Une fois définitivement assemblées ce sera la guerre (ici civile) mais pas avant. Il est encore possible d'enrayer ce phénomène mais plus nous tardons, plus les efforts à faire consommeront des ressources.

Au fait, connais-tu la définition du français de souche? Tu pourrais commencer par là.

Une zone dite de non droit est une zone de non droit au même titre qu'un chat est un chat. Qu'il y ai deux ou cent mille chats, cela ne change en rien la définition de ce félin. Mais peut être as-tu une source qui démontre qu'une zone de non droit n'en vaut pas une autre.

Ne pas publier Bertrand.

Le problème est que le notion de temps de paix, temps de guerre est plus floue que ce que l'on met en avant actuellement.

Tu as une influence bien trop Westphalienne pour comprendre ce que Camu dit. Or, la lecture Westphalienne de la guerre est très limitée et ne permet pas de rendre compte de l'étendu de cette notion. Pour donner une idee: c'est comme dire "l'art n'est que peinture". Cela exclurait du champ artistique un très grand nombre de manifestations qui en font partie. Pour approfondire cette notion, je te recommande "Les guerres préhistoriques" de K. Lawrence au édition Du Rocher, Coll. L'art de la guerre. C'est marrant. Il y a 24 ou 48h tu posais une question qui recoupe le propos de Camus. Il parle des milliers de fils d'immigré qui se sont fait français et toi tu te demandais pourquoi une culture hybride est un problème (en sous entendant qu'être fils d'immigré était être culturellement hybride). Afrique du nord, Espagne jusqu'à la Reconquista, la France jusqu'à Poitier, le royaume de Jérusalem….

Merci pour ce lien. La beauté des photos sont un réjouissement pour l'esprit. Le marronnier est un thème saisonnier. Cela ne préjuge en rien de la pertinence ou non du sujet. Cela veut juste dire qu'il est là. Après, répéter qu'il y a danger tout en voyant qu'il n'y a pas de mesure concrète pour faire face audit danger, là cela peut semer au minimum le doute. Ça peut même faire "chier" d'entendre les même sérénades. Deuxième chose, la durée. Tu prends exemple sur un texte de 1999 pour insister sur le fait que cela fait longtemps que l'on en parle. De mon côté, nous avons sortie une de mes tantes de sa citée en 2010. Nous parlions d'Amiens et je lui demande combien de temps estime-t-elle qu'il a fallu pour transformer son quartier d'un coin super-sympa en zone. Elle me répond:10 ans. Donc, les mécanismes en marche sont bien lents (même si à l'échelle d'un pays, c'est rapide). Donc, si tu penses que cette idée est une farce sous le seul angle de la durée, de mon côté, je suis fondé de croire que ce n'est pas le cas. Enfin, les zones de non-droit augmentent. Le premier à-coup visible c'est 1979, Vaux en Velin (de mémoire). Années 90, on annonce 40 citées. Début 2000, on avait dépassé les 100 largement. En 2012, nous sommes à 736 (de mémoire), chiffres que l'on ne précise pas au JT. Donc question: sommes-nous face à un épiphénomène? Pour ma part, je ne le pense pas. Nous avons dépassé le simple stade "événementiel" selon Braudel.

Brisés, peut être pas. Je dirais que ce sont des faire valoir de démocratie. Si seulement deux candidats existent alors ils pourront se faire attaquer très facilement par le PS qui lui avait plusieurs candidats.

Non. J'aimerai que mon prochain lien soit un texte que l'on m'a envoyé il y a plus d'un an. Il décrit de façon admirable ce que sont les racailles (genèse, code vestimentaire, comportement, propension à la violence, méthodologie de sa prédation). Le problème est que je n'ai pas garder le lien et mes recherches ne donnent rien. Si je le retrouve, je le posterai. Un de ses intérêts porte notamment sur l'explication de la puissance des racailles face à toute réaction des victimes et de la société. Pour la description de monsieur Camus, je suis d'accord avec les reproches que vous formulez. En revanche, tout n'est pas à jeter chez lui. Pour ma part, il est un des rares qui défend l'importance de la culture par exemple. De plus, il cherche à comprendre l'importance du sens.

http://french.ruvr.ru/2012_08_20/france-en-guerre/

L'intérêt que je trouve dans Nemo est sa capacité à rendre intelligible la pensée politique pour le commun des mortels.

Un "étudiant en lettres" se dit ici "étudiant en runes".