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Si. J'ai dis.

Allons, il y a des indicateurs de bêtises bien plus évident. Quoiqu'il semblerais que certains arrivent à monter des trafics en tout genre au nez et à la barbe des autorités, ce qui demande un peu d'habilité.

Allons, preuve. Même la chine est ultralibérale.

Dans les deux cas c'est une tentative artistique qui est au final simplement vulgaire.

Bof, qu'elle mette une burqa. C'est pas illégal d'ailleurs la nudité en Allemagne ? C'était le côté femme-objet qui les dérangeaient. Là c'est juste une nana qui se prend pour une artiste.

La défense commune est une bonne chose si ça reste la défense commune. Et en soi, il n'y a pas de raison que ce soit le cas, comme il n'y a pas de raison du contraire. C'est la volonté des dirigeants qui provoquera le fédéralisme. Et le fédéralisme, on l'aura, défense commune ou pas.

Ce qui est amusant en France c'est que le mot "libéral" accolé à une religion cesse de devenir une insulte. Je pense sérieusement que les pire actes de ce gouvernement concernent l'éducation. La spoliation et la mise à mal de l'économie est une chose, on est un pays très riche, on peut presque se le permettre. Mais la corruption de la jeunesse, c'est vraiment inexcusable.

Hein...HEIN ? Je ne vois aucune espèce de logique ni aucun espèce de raisonnement là dedans.

Bien, retour aux fondamentaux.

Ça c'est la version scientiste économiciste et utilitaire du libéralisme, pas le libéralisme. Le libéralisme, historiquement, et dans son acceptation majoritaire repose sur un principe moral (chacun est libre de faire ce qui ne nuit pas à autrui) ; s'applique aussi bien aux moeurs qu'à l'économie ; et est souvent un jusnaturalisme.

C'est typique des idéologues de penser que leur idéologie est la seule à ne pas être une idéologie.

Le libre-échange n'est pas un fait ou un évènement, c'est un idéal.

Bien entendu que si, puisqu'il y a une morale.

Le libéralisme est bien une idéologie. C'est une morale, un idéal, et un biais cognitif, c'est une idéologie. La seule différence, c'est qu'elle est vraie. Et le capitalisme, ça ne veux juste rien dire.

La République est une, indivisible et traite tous ses enfants à la même enseigne môssieur ! C'est une grande famille unie, ce qui implique la fraternité, eh oui. Donc, on cesse le travail en même temps, et on ne travaille pas quand son frère travaille, c'est comme ça. Ou bien voulez vous retourner aux heures les plus sombres de la monarchie ? (je caricature à peine)

Mais....si les gens peuvent choisir leurs jours de congé, c'est la fin de la République !

- Si tu n'es pas d'accord avec moi et que tu es un socialiste: tu es un dominant qui protège ses privilèges. - Si tu n'es pas d'accord avec moi et que tu es un libéral: tu es un traître à la cause, et sans doute socialiste/étatiste/constructiviste. - Si tu es d'accord avec moi : tu as raison et tu es un allié.

Bah, le totalitarisme est présent dans la majorité des mouvements voulant apporter l'homme nouveau.

Les chiens errants savent former des meutes mixtes, principe de nécessité oblige.

L'indépendance des trois pouvoirs est par définition impossible, puisque deux des pouvoirs ne sont que les subordonnés du troisième.

Avec le peu de compétence que j'ai en la matière, pincettes on. Dans le langage courant une banque est un endroit où on dépose son argent. On dit "je met mon argent à la banque", "je retire mon argent de la banque", et en cas de banque-run c'est "où est passé mon argent ?" Ce n'est pas un abus de langage, les gens pensent vraiment que leur argent est à la banque. Et cette croyance erronée elle est validée par la banque : "je m'occupe de votre argent", "votre argent est en sécurité". Les "banques" ne sont en réalité que des assurances assurant non pas "X est détruit" mais "je veux accéder à X argent". Qu'elles changent leur nom en conséquence. Et qu'elles expliquent à leur client ce à quoi ils s'exposent.

Il n'y a pas d'insulte assez grossière pour décrire ce que je ressens.

T'en fait pas, ceux placés aux postes importants ne croient pas en leur bêtises (d'ailleurs c'est sans doute une pure coïncidence mais il n'y a aucune femme aux ministères clef, sauf Taubira)