Flashy

Non, c'est à Villeneuve-Saint-Georges.

C'est ce que je dis, il pourrait être intervenant sur Liborg 😁

Il dénonce les sociolo-etatistes, l'Etat Providence et l'interventionnisme et promeut la subsidiarité de la sphère publique. Je l'invite sur Liborg.

Lisnard il est globalement liborg compatible c'est fou. Il défend la propriété privée, et là ça fait 10 minutes qu'il défend le commerce et maudit la technophobie et le protectionnisme.

J'ai rencontré un boomer dans la rue et je l'ai guidé. Il avait un pied à terre à Cannes et vivait à Neuilly. Je me suis caché sur le côté au fond, ça me permettra de faire mon étude sociologique.

Mon dieu les caricatures de gens de droite. J'ai vu beaucoup de collier à perles, même du serre-tête. Des mocassins, aussi. Suis-je aussi une caricature? Je vis une crise existentielle.

Je me suis infiltré au meeting de Lisnard

Il y a une forme de sincérité chez Lombard aussi : le ministère qu'il dirige est le ministère de l'administration de l'économie. C'est ainsi qu'il est conçu, c'est ainsi qu'il le conçoit, et il le dit ouvertement. Comme ça, au moins, il n'y a aucun malentendu.

Techniquement t'as droit à 20 minutes toutes les 6 heures, de mémoire. La Nation est donc déjà sauvée.

Il y a quelques centaines de millions de personnes éligibles à l'asile en France. Peut-être même au-delà du milliard (si je compte les castes, etc). Va falloir libéraliser l'immobilier pour accueillir tout ce beau monde.

J'ai eu un petit boulot pour une prépa privée pour le CRFPA (l'examen permettant d'intégrer le cursus de formation des avocats). On est donc sur des gens en fin d'études. A priori des gens plutôt de Paris I ou Paris II. Le niveau global était adéquat, quelques excellents, mais il y avait une fraction notable (10 à 15% des copies) où l'orthographe était mauvaise, voire catastrophique. Cela m'a profondément choqué, du moins assez pour que je m'en souvienne encore 10 ans plus tard. Nous parlons d'étudiants en droit, qui finissent leurs études supérieures et qui se destinent à une profession où l'écrit a une place fondamentale (oui, même pour les pénalistes...).

Mettre en cause le principe d'intégrité territoriale aussi frontalement risque fort d'aiguiser les appétits des uns ou des autres. Menacer ses voisins et alliés publiquement n'est pas non plus, je pense, le move du siècle. Il eut peut-être mieux valu être plus rude avec un Bachar il y a quelques années (c'est-à-dire appliquer les menaces et les "lignes rouges" édictées par Obama...), et peut-être éviter de vouloir annexer le Canada ou le Groeland maintenant... OK, les relations internationales sont anarchiques et les principes les régissant ne font que déguiser la loi du plus fort, mais on ne m'enlèvera pas de l'idée que même si c'est la jungle la street cred a son importance. Et le respect de la parole donnée ou des alliances en fait partie.

Sur le taux de pauvreté en Argentine, qui baisse et qui sera ignoré par les gauchistes, deux réponses consécutives qui m'ont fait rire.

La place de Bruno Le Maire devrait être en prison.

N'exagérons rien. Ils se sont redressés en devenant les putes de LFI. Il y a dix ans ils avaient la majorité des régions, des grosses villes, de l'AN, du Sénat, et le Gouvernement. Maintenant ils tapinent pour survivre.

Le PS a présenté son poids lourd à la Présidentielle de 2022, c'est-à-dire Anne Hidalgo. Malheureusement, les autres poids lourds (Cambadélis, Olivier Faure) pesaient moins. Fin de la blague.

Bayrou pesait en 2007. Maintenant, il ne pèse plus rien. Il n'a aucun poids, aucun avenir, aucune idée. Il va faire du Barnier en pire, à supposer qu'il tienne aussi longtemps que ce dernier. Préparez-vous à un festival de taxes et aucune diminution des dépenses (sauf les dépenses fiscales, c'est-à-dire la baisse des exonérations...)

Avec un bloc de gros cons à 200 sièges, qui s'oppose à un bloc de gros cons bis à 200 sièges, et un bloc intermédiaire divisé se partageant le reste, même si tu as un Président du bloc gros con 1, gros con 2 ou issu bloc intermédiaire ("les petits cons"), je ne vois pas comment tu peux aboutir à quoique ce soit de stable sans compromis entre blocs. La "légitimité" du Président ne marche que si tu as une majorité absolue avec. Ce qui paraît loin d'être acquis tant que les rapports de force ne changent pas. Autrement dit, tant que LFI et le RN sont forts sans être majoritaires, nos institutions ne marcheront pas correctement.

Les conditions de l'article 16 ne sont pas remplies. Evidemment qu'il n'y aura pas recours. Et, évidemment, il ne va pas démissionner. Ce ne serait absolument pas une voie pour sortir de l'impasse, de toute façon. La troisième voie pourrait être la bonne, encore faut-il penser que notre classe politique est capable soit de sacrifier leur intérêt personnel pour l'intérêt du pays, soit à tout le moins de faire des compromis sans être dans la posture. Autrement dit : c'est mort, aucun secours ne viendra du Parlement (ou du moins de l'Assemblée Nationale). Le seul truc vraiment important, à mon sens, c'est l'incertitude. Le reste, c'est-à-dire savoir qui va devenir Premier Ministre : on s'en fout. C'est le bon moment, par contre, pour parler dépenses publiques, rôle de l'Etat et de la classe politique, et veiller à mettre le nez des uns et des autres dans leur caca en les mettant face à leurs responsabilités.

Il faudrait le coupler avec un libéral "à la Trump" ou "à la Milei". Ferghane ou Lisnard sont bien, mais faut un bourrin qui cause simple en plus, pour compléter. C'est un peu triste, mais je crains que ce ne soit obligatoire.

Héritage et effets de seuils. Pour les effets de seuils, même sans supprimer les obligations (qui mériteraient un toilettage amha), tu décales le seuil d'un cran (de 50 à 250 salariés) ça aiderait pas mal. T'as beaucoup plus de facilités à avoir de la fonction support pour se bouffer la merde administrative à 250 salariés qu'à 50 salariés.

J'ai repris un coup de copium 5000. Non, mais vraiment : on est dans une période de forte instabilité, avec un Macron désamorcé, une reconfiguration politique en cours, une Allemagne en pleines élections, le bordel un peu partout, Trump aux USA qui ne va pas aider à stabiliser les choses (je pense) : aucune percée libérale ne paraît possible? Un Kasbarian (puisque Lisnard vous fait rire) aurait-il pu exister il y a 10 ans? Ou sous Chirac? Les débats sur les retraites géantes des boomers ont percé sur les médias mainstream : c'est bien l'amorce d'une vague petite prise de conscience (trop peu, trop tard : c'est probable), non? Une Le Pen inéligible, avec un Bardella qui prendrait le relais (sur la même ligne?...), cela va aussi participer à bouger les lignes, non? Allez quoi, donnez moi un motif d'espoir 😅

Je n'attendais rien de Wauquiez, il a quand même réussi à me décevoir. Il pourrait être au moins discret sur son clientélisme. Même ça ne nous sera pas épargné.

Cela me paraît évident que l'Europe a intérêt à la guerre en Ukraine, et même à une défaite russe (je soupçonne que d'autres pays ont intérêt à ce qu'il y ait une guerre en Ukraine et à ce qu'elle continue, je partage les analyses au-dessus). Que ce soit la Moldavie, la Pologne, les pays baltes, la Finlande (pour en prendre quelques uns au pif) mais aussi le Royaume-Uni ou la France, je pense que nous avons un intérêt réel à ce que la Russie abandonne son impérialisme. Une fois engagé dans le processus de sanction, il aurait fallu escalader jusqu'à s'assurer d'une défaite russe. Tu ne peux pas laisser un ennemi se réorganiser, s'améliorer, apprendre de ses erreurs puis lui laisser le temps de recréer son armée avec l'expérience acquise : il n'en devient que plus dangereux. C'est l'erreur commise, et je comprends qu'on puisse juger cela immoral : affaiblir la Russie n'est pas un bon objectif. Il faut neutraliser la Russie. Faire durer la guerre pour la faire durer, donner de l'espoir sans donner les moyens d'atteindre un objectif réaliste de défense, c'est profondément immoral. Et cela a été la position des alliés de l'Ukraine (de mon point de vue). La grande question est : comment neutraliser la Russie? Filer juste ce qu'il faut d'aide pour faire durer le conflit, de tout évidence, n'est pas la réponse. Dépendre des US, qui n'ont pas le même intérêt que les européens, ne paraît pas non plus sage. Réagir dès 2022 pour commander massivement des munitions et assurer des liaisons logistiques? C'aurait pu être une piste... à condition de ne pas être surendetté, trop occupé à se débattre avec des problèmes internes lié à un Etat obèse infoutu de remplir ses missions régaliennes.