Flashy

J'aime bien lire aux toilettes

J'hésitais entre ça et les français en Belgique (qui sont un enrichissement pour les belges et la Belgique).

Faudra dire ça aux incas, aux aztèques ou aux iroquois

Jamais été nonossé. Pourtant, j'avais le profil. Je l'ai peut-être encore, qui sait?

Je sais pas trop où le mettre : http://www.lemonde.fr/politique/article/2016/04/27/les-sympathisants-socialistes-gagnes-par-la-defiance-a-l-egard-du-politique-selon-notre-enquete-annuelle-fractures-francaises_4909490_823448.html

Je me méfie des ultra-bordelais, pour ma part.

J'ai fini en ES alors que j'étais bon en maths, physique etc. Je pensais alors que c'était le choix le plus logique pour faire du droit ou une prépa éco.

Au moins, ça permet d'être lucide sur les intentions de certains : ils veulent créer une ZAD en plein Paris

ça vient de là : https://lundi.am/ (je mets en badurl? C'est un site de gauchiste)

Si être en libéral m'a appris une chose, c'est qu'il faut toujours privilégier le nombre de jours de repos sur les autres considérations Le repos, c'est la vie.

ce qu'il faut pas lire, sérieux.

Être pauvre ou avoir peu d'opportunités n'impose en rien de devenir un sale type. On peut être pauvre et honnête. Pauvre et respectueux de son prochain. Ceux qui deviennent des sales types ne sont pas que des victimes, ils font le choix chaque jour d'être ce qu'ils sont. Ceci étant posé, oui, les habitants subissent l'urbanisme, l'absence d'opportunités (la chasse au travail...), de perspectives et les sales types (ne pas faire de vagues...). Ayant eu l'immense joie de connaître la cité, j'avoue crisser des dents très fort quand je vois ma connaissance pétée de thunes se la jouer "révolutionnaire". Elle m'a déjà sorti qu'il fallait éclairer les ouvriers, qui n'avaient pas l'occasion d'acquérir une conscience politique puisqu'ils ne faisaient que regarder la télé en rentrant de l'usine. Si les autres "Nuit Debout" ont le même profil psychologique (ce qui semble le cas, à regarder ceux s'exprimant sur Facebook...), je peux comprendre l'accueil glacial des habitants des cités. Ces petits cons se croient supérieurs. Les gens des cités n'ont besoin ni de leur pitié, ni de leur bonté. Ni de leurs manipulations. Ils n'ont pas vocation à devenir la chair à canon de leurs luttes à la con.

OK, on ne parle pas de la même chose. J'en ai rien à foutre qu'il existe une équipe féminine de handball, de pom-pom girl, de bouliste, qu'un EJVF soit réservé aux filles, ou telle soirée, ou que sais-je. Je parle du principe de non-mixité à la sauce féministe (Osez le féminisme, pour être plus exact). Voilà ce qu'on peut trouver sur Osez le féminisme pour expliquer cette démarche. C'est assez clair, leur définition de la non-mixité? Parler du ressenti des pov' victimes, ça occupe 5% de l'article. Le reste, c'est : pouvoir, pouvoir, pouvoir.

1/ Si tu veux de l'intimité pour parler de tes blessures et de ton cas personnel, tu ne le fais pas sur une place pleine de monde. Gueuler qu'il y a des gens dans ce contexte, c'est du foutage de gueule. L'espace public ne leur appartient pas. La contradiction possible sur l'espace public, ça s'appelle la liberté d'expression. Si elles ne veulent pas qu'il y ait de curieux/de liberté d'expression, elles vont dans un lieu privé. 2/ il faut bien mal comprendre les féministes pour ne pas comprendre pourquoi c'est interdit aux hommes (ou pourquoi les "comités de décolonisés" sont interdits aux blancs). Ils mettront en avant le fait qu'il s'agit de "libérer la parole", c'est-à-dire expliquer, justifier et renforcer sa perception de victime. Le but réel, c'est d'expliquer que le mâle/du blanc est un oppresseur, un violeur, un raciste, que le système privilégie. C'est aussi pour ça qu'elles gangrènent les lieux où les victimes de viol peuvent parler*. *une victime de viol, c'est bankable, tu peux la mettre en avant, faire taire la contradiction, convaincre une proie fragilisée. C'est cool. EDIT : Voir le 1/ ci-dessus. Si demain Dieudonné veut virer d'une rue les juifs pour y faire son spectacle à l'arrache, les gens auront le droit de lui dire que c'est un gros con. Et d'aller et de venir à leur gré dans cet espace.

Incroyable de lire ça. Se réunir entre blancs, noirs, femmes ou hommes pour inciter à la haine d'autrui, c'est de la merde. La question n'est pas de savoir s'ils ont le droit ou pas, la question est de savoir si c'est intelligent ou non. Tes exemples, pour le reste, ne sont pas pertinents. Si demain on (les gens de Liborg) débarque sur telle ou telle place pour délimiter tel espace et interdire aux non-libéraux d'y venir, trouverais-tu cela intelligent? Diras-tu que "elle appartient à l'organisateur"? Qu'elles aillent faire leurs conneries dans un local leur appartenant, ou loué à cet effet, plutôt que de squatter la rue en chouinant sur les passants qui passent. EDIT : mon orthographe empire chaque jour.

La non-mixité lié aux caractéristiques inhérentes des gens a un peu plus de conséquences à terme qu'une baffe sur un gamin de quinze ans.

Le point essentiel c'est la nature de la réunion, publique ou privée. Une réunion publique, elle est ouverte au public. Une réunion privée, elle est ouverte uniquement à quelques-uns. Tu peux pas faire une réunion publique, dans un espace public, dans un mouvement se voulant universel, mais en excluant telle ou telle partie de la population.

Du coup, j'imagine que c'est choquant quand des non-FN débarquent à un meeting du FN pour le perturber? Non? Ah. OK.

Oui mais là c'est des blancs, donc c'est raciste. Un noir peut pas être raciste. Et toc.

Macron ou Fillon ont une "écurie" ou sont en capacité d'en créer une. Rama Yade a une ancienne gloire médiatique, elle est "bankable" médiatiquement, n'a pas d'écurie pour la soutenir et est d'un opportunisme rare. Voilà la différence.

Ma connaissance Osez le Féminisme sur FB : https://blogs.mediapart.fr/carolinedehaas/blog/210416/de-l-utilite-de-la-non-mixite-dans-le-militantisme