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Flashy

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Tout ce qui a été posté par Flashy

  1. Tiens, question bête : Quelles infractions pénales pourraient être concernées par le cannibalisme?
  2. Tout à fait. Et, pour les grandes âmes, il faut (à mon sens) un contenant adéquat.
  3. C'est l'âme qui compte.
  4. Yvan Colonna est un prisonnier politique?
  5. Cela doit déjà exister, hélas.
  6. Victoire des nationalistes : ça se corse.
  7. J'ai rajouté les 4/5 oublis. Cela ne change pas le constat. Je ne comprend pas trop pourquoi les gens de couleur, dans les autres partis, viennent à 90% d'outre-mer. Peut-être parce que c'est là que ces partis ont le mieux résisté? Ou c'est lié à la façon dont ces partis sont structurés?
  8. Je m'amuse à faire un truc raciste, c'est-à-dire classer les gens par couleur. Résultat : LREM - Madame Aude Amadou - Madame Laetitia Avia - M. Saïd Ahamada - M. Patrice Anato - M. Lénaïck Adam - Madame Ramalati Ali (celle qui est voilée) - M. Hervé Berville - Madame Aina Kuric - M. Rodrigue Kokouendo - Madame Sonia Krimi - M. Jean François Mbaye - Madame Naïma Moutchou - M. Pierre-Alain Raphan - Madame Sira Sylla - Madame Huguette Tiegna - M. Joachim Son-Forget - M. Olivier Serva - Madame Amal-Amélia Lakrafi - M. Belkhir Belhaddad - madame Stéphanie Do Modem - Madame Justine Benin - Madame Sarah El Haïry - M. Max Mathiasin - Madame Maud Petit - M. Thierry Robert Non-inscrit - M. M'jid El Guerrab LR - Madame Claire Guion-Firmin - M. Mansour Kamardine - Madame Nadia Ramassamy - Madame Nathalie Bassire Nouvelle Gauche - M. Serge Lethimy - Madame Josette Manin - Madame Hélène Vainqueur-Christophe - Madame Ericka Bareigts - Madame George Pau-Langevin LFI - Madame Danièle Obono - M. Jean-Hugues Ratenon UDI, Agir et Indépendants - M. Napole Polutele Gauche démocrate et républicaine - M. Gabriel Serville - M. Bruno Nestor Azerot - M. Jean-Philippe Nilor Alors oui, LREM est plus nombreux. Mais je relève surtout que, dans les autres groupes, tu as bien 90% des gens de couleur qui sont élus dans les DOM-TOM. Dans LREM, ils sont à 90% élus en métropole. C'est rigolo.
  9. C'est vrai qu'avec la conception faussée de la laïcité qui prolifère, cela devrait (à un moment ou un autre) faire polémique.
  10. T'as le droit d'être voilée à l'Assemblée Nationale, hein. Dans les années 1950/1960, tu avais même un député qui était abbé et qui venait parfois en soutane à l'AN.
  11. La génération 68 auraient créé des concepts toupourri ; la génération suivante les aurait mis en oeuvre ; et notre génération en ferait les frais? Impossible.
  12. Il le peut, mais le fait-il, dans la majorité des cas?
  13. Le but d'un jugement n'a jamais été de rendre une décision acceptable pour toutes les parties. Le but d'un jugement, c'est de rendre la justice. Quitte à ce qu'une partie se fasse condamner à mort (ce qui est rarement jugé acceptable par le principal intéressé). Et il y a deux parties, le plus souvent, en matière familiale. L'enfant n'est pas une partie. C'est un tiers, procéduralement, qui va souvent être l'objet du combat juridique des parents. A noter, d'ailleurs, qu'il arrive que l'intérêt de l'enfant soit radicalement de l'intérêt des parents (intérêt des parents = ce qu'ils demandent, hein). Par exemple, quand une mesure de placement de l'enfant est envisagée. Souvent, ce n'est pas vraiment la volonté des parents. Mais ça peut objectivement être le mieux pour l'enfant. Cela reste toutefois une mesure qu'il faut envisager avec précaution et humilité. Parce que les couples adoptants enduisent rarement de sécrétions vaginales leurs enfants, je suppose. Je plaisante. En vrai, ces histoires de microbiomes sont passionnantes mais secondaires quant à l'adoption, je trouve. Un couple homosexuel gay ne peut pas allaiter un enfant (ce qui est moins optimal niveau microbiome) ; cela n'en fait pas un critère d'exclusion. Le droit de la famille est un domaine horrible. C'est ingrat, ça baigne dans la rancoeur, les décisions que tu peux prendre sont très souvent insatisfaisantes...et tu dois essayer de deviner ce qui sera le mieux pour l'avenir...
  14. Non mais Sceaux, quoi... Regarde à Issy-les-Moulineaux (T2, ligne 12, RER C), à Boulogne-Billancourt (ligne 9 et 10), à Levallois (ligne 3), à Montreuil (ligne 3, ligne 9), à Vincennes (RER A, ligne 1), à Charenton-le-Pont (ligne 8), à Villejuif ou Ivry (ligne 7), à Malakoff (ligne 13), en veillant à être proche du métro.
  15. Après deux minutes de recherche : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4464665/ https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2212877816000387 https://www.scientificamerican.com/article/like-genes-our-microbes-pass-from-parent-to-child/ http://learn.genetics.utah.edu/content/microbiome/changing/ (c'est ce qu'on appelle le microbiome)
  16. L'intérêt de l'enfant, c'est quand tu dois choisir un nouveau foyer. Quand t'accouches, on s'en branle de l'intérêt de l'enfant, soyons clair : t'es la mère. Là, elle avait la possibilité de se rétracter, semble-t-il. Elle l'a utilisée. Personne n'a dit que l'intérêt de l'enfant est toujours de rester avec ses géniteurs. C'est ça. T'as plein de règles en droit de la famille, mais au final, l'idée c'est de dire au juge en charge du dossier "si tu dois te dépatouiller dans ce torrent de merde, pense à l'intérêt des mioches, pas à ce que veulent les adultes". C'est un truc logique si on se pose quatre secondes pour poser la situation, hein... Cas pratique : T'es le juge. En face de toi, t'as un père et une mère. Ils se détestent et s'accusent de tous les maux. Ils ont un mioche. Tu dois décider que faire du mioche. Il est trop jeune pour décider. Tu fais quoi? 1/ tu laisses le père décider (il connaît le mieux son intérêt). 2/ tu laisses la mère décider (il connaît le mieux son intérêt). 3/ tu fixes une règle générale comme quoi c'est toujours le père qui s'occupe du mioche. 4/ tu fixes une règle générale comme quoi c'est toujours la mère qui s'occupe du mioche. 5/ tu laisses l'enfant décider, qu'importe son âge. 6/ tu décides, en fonction de l'intérêt de l'enfant. 7/ tu retires nécessairement l'enfant aux parents. C'est à l'Etat de pourvoir à l'éducation des enfants. Autre cas pratique, en ajoutant de la merde. T'es le juge. En face de toi, t'as une mère qui a abandonné son enfant avant de se rétracter. T'as un couple qui a recueilli l'enfant pendant X mois, jusqu'à la rétractation. Tu fais quoi? 1/ Tu laisses la mère décider. 2/ Tu laisses le couple décider. 3/ Tu fixes une règle générale comme quoi c'est toujours la mère biologique qui s'occupe du mioche. 4/ Tu fixes une règle générale comme quoi les aspirants à l'adoption vont toujours avoir le mioche. 5/ Tu laisses l'enfant décider, qu'importe son âge (au pire, tu joueras ça aux dés). 6/ Tu décides, en fonction de l'intérêt de l'enfant. 7/ Tu envoies tout le monde balader. C'est à l'Etat de pourvoir à l'éducation des enfants. Bref, en droit de la famille, les parties litigieuses sont toujours les adultes. Tu ne peux pas dire "on décide en fonction de l'intérêt de la partie X", sous peine de créer une intolérable injustice. L'enfant, c'est par excellence le tiers qui va se retrouver à subir la situation créé par les adultes. Aux adultes de gérer leur merde ; au juge de s'assurer que ça pue le moins possible pour le mioche. C'est ingrat, difficile.
  17. Une fiction juridique, ça ne veut pas dire que ce sont de mauvais parents ou des parents inférieurs, hein. A mes yeux, c'est un terme plutôt neutre. Que l'adoption (plénière) soit une fiction juridique veut simplement dire qu'on fait comme si la mère adoptive (par exemple) était celle qui a accouché + on fait également comme si celle qui a accouché n'avait pas accouché. Bref, que la mère adoptive est la mère (biologique) (d'où la disparition du lien de filiation avec la mère biologique, puisqu'on ignore le fait qu'elle a accouché). Cela ne nous dit absolument rien sur la qualité des liens tissés entre les parents adoptifs et l'enfant. Si un pseudo-juriste veut t'embêter en utilisant le fait que l'adoption soit une fiction juridique, ce qui signifierait que, du coup, les adoptants sont inférieurs aux parents biologiques, tu lui demanderas si une personne morale est inférieure à une personne physique ou si le mari de la femme est un parent inférieur.
  18. Bah non. Ton beau-père n'est pas ton père. L'oncle de Peter Parker n'est pas son père. Le père alcoolo et violent est le père. Si ta mamie a pourvu à tes besoins et à ton éducation, en t'aimant etc, bah ça reste ta mamie, pas ta mère. Ce que tu décris-là, c'est l'idéal d'un bon parent. Mais un mauvais parent reste un parent. Quand le mioche a des parents quelque peu indisponibles (parce qu'ils sont morts, par exemple), bah voilà, t'as un système (un peu rigide, un peu moisi sur les bords, j'en conviens) qui permet de trouver des parents de substitution. Et là, quitte à choisir, autant faire que ça se passe pas trop mal. J'ai pas pour objectif de te choquer, j'essaie d'expliquer. Savoir si les parents adoptifs sont égoïstes ou pas, c'est complètement hors de propos. Le seul point intéressant c'est de savoir s'ils peuvent assumer la responsabilité d'un mioche (question qui ne se pose pas lorsqu'il y a accouchement : le mioche est là, ceux qui ont enfanté doivent en assumer la charge, c'est-à-dire le nourrir, le vêtir, l'éduquer).
  19. Bah non. Une fiction c'est tenir pour existant un fait qui n'existe pas (ou l'inverse). Dans la parenté, la mère qui accouche a accouché, on ne fait pas "comme si" elle avait accouché. Le droit attache à cet action des effets juridiques particuliers, mais ce n'est pas une fiction juridique. Tu noteras que "parenté" dérive du latin pour obéissance et pour enfanter. L'enfantement, c'est un fait ; ce fait créé le parent. Si tu veux une fiction juridique (outre l'adoption) en matière de parenté, ce sera du côté de la présomption de paternité pour le mari : ce dernier sera réputé être le père, peu important les faits (sauf exceptions...). La fiction juridique, c'est par exemple faire "comme si" l'enfant était déjà né lorsque le père décède pendant la grossesse de la mère (lui permettant "rétroactivement" d'être une personne, et donc de pouvoir hériter...). Toutes les personnes morales sont des fictions juridiques, aussi. On fait "comme si" c'était des personnes. Or, elles n'existent pas. Ta personnalité juridique à toi, par contre, n'est pas une fiction. Tu existes, tu es un individu. De ce seul fait, tu es une personne juridique.
  20. On s'en fout de savoir si les parents adoptifs sont égoïstes ou pas. Pareil pour les parents "bio". D'où ma question, à laquelle tu n'as pas répondu : c'est quoi, un parent? Si tu n'as pas l'esprit clair là-dessus, tout le reste sera de la bouillie. Le lien de filiation c'est, en principe, un effet juridique attaché à un fait. Savoir si t'es juste ou non, égoïste ou pas, on s'en branle à la puissance 1000. T'as fait un gosse, tu t'en occupes, peu important pourquoi : voilà l'idée. On est, globalement, dans le fait juridique : les faits importent plus que ta volonté ; tu peux te déclarer père d'un mioche, il suffira d'apporter que tu n'as pas participé à la procréation pour remettre en cause ta volonté. Le juridique découle du fait, donc. C'est un peu comme le décès. Que tu sois mort héroïquement, égoïstement, glorieusement ou comme une merde, que ce soit volontaire ou accidentel, on s'en branle,. Les effets juridiques attachés à la chose ne vont pas varier. L'adoption, c'est une fiction juridique qui consiste à faire comme si les parents adoptifs étaient de vrais parents. Elle ne vient pas attacher un effet juridique à un fait ; on est davantage dans l'acte juridique, où on va chercher la volonté des uns, la volonté des autres et, s'agissant de mineurs ne pouvant pas consentir par eux-mêmes (un nourrisson n'est pas en mesure de défendre seuls ses intérêts), un tiers intervient pour déterminer quel est l'intérêt de l'enfant (étant entendu que l'intérêt de l'enfant n'est pas déterminé en fonction de la volonté du mioche, ce dernier n'étant souvent pas assez vieux pour être en mesure d'en exprimer une, de volonté). Il n'y a donc aucune surprise à avoir du fait qu'un cas n'implique aucun "contrôle qualité", tandis que l'autre implique la mise en place d'une procédure impliquant une relation parfois triangulaire (les aspirants adoptants ; les parents ; le tiers qui va décider pour l'enfant -cette relation triangulaire peut être quelque peu simplifiée par la mort des parents, ce qui n'est pas le cas ici-).
  21. Ce n'est pas ce qu'il dit. Il appelle à la responsabilité des journalistes du Monde. Ou mets en cause leur éthique. Si un des patients meurent à la suite d'un refus de soin consécutif à un titre putaclic, je trouve ça intéressant de le porter à la connaissance du journaliste concerné. Que ce dernier puisse réfléchir sur la portée de son taff.
  22. Non. Trop exigu. Trop cher. Trop ignoble. Certains quartiers sont trop bourgeois. D'autres sont sales. D'autres sont trop cosmopolites. L'horreur.
  23. L'existence d'un délai me paraît sensé, oui. Dans le cas belge, j'ignore pourquoi un enfant peut être placé en vue d'une adoption tout en pouvant éventuellement être retiré ; c'est un yo-yo un peu surprenant, peu propice à la "paix des familles", si je puis dire. Je ne nie pas qu'il y a une mentalité de "droit à" en matière d'enfant.
  24. Elle veut simplement la vie parisienne. L'excuse du boulot ne fonctionnera pas avec moi. Ne te laisse pas abuser ! Quand tu veux la vie parisienne, bah ce sera au détriment de ton porte-monnaie, de la qualité de ton logement et de ta qualité de vie. C'est un choix, de vivre à Paris. Pas une obligation.
  25. Elle n'a pas des droits parentaux prioritaires. Elle est le parent, avec les responsabilités qui vont avec (t'as pas le "droit d'élever un enfant", c'est une obligation ; obligation qui peut être sanctionnée si tu es défaillant). Le point n'est pas de savoir qui est le meilleur parent. Le point c'est de savoir si le parent qui renonce à son statut de parent peut se rétracter, et le cas échéant, dans quel délai. La question étant mieux formulée, il n'y a rien d'anormal à ce qu'il n'y ait pas d'enquête sociale (c'est le parent, t'as pas besoin d'enquêter pour le déterminer) ; le seul point à valider c'est de savoir si le délai de rétractation est, ou non, respecté. Je suppose que l'enfant n'était pas encore adopté mais était placé en vue d'une adoption. Par conséquent, les "parents" de même sexe n'étaient parents que dans leur tête.
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