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Neomatix

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Tout ce qui a été posté par Neomatix

  1. Je suis grand et mince et perd deux litres de flotte par jour dès que la température dépasse 23°C. La meilleure température est comprise entre 5 et 10 degrés : assez froid pour pouvoir se couvrir sans paraitre ridicule mais pas assez pour avoir les orteils tout bleu au bout de 15 minutes.
  2. Moi c'est juste que j'ai super chaud. Il fait encore 27°C à Bordeaux demain Le trois quart en cachemire c'est pas pour tout de suite.
  3. Comme quoi on critique le gun control mais c'est super efficace en réalité.
  4. Neomatix

    Aujourd'hui, en France

    Ah ouais c'est la grosse, grosse dèche en fait. Ils les ont dépensé comment les 1 millions d'euros ? C'est pour les externalités positives ?
  5. Antonio Meucci !
  6. Neomatix

    Aujourd'hui, en France

    Rhoho ce pays du tiers monde. Et ils ont pris les téléphones en plus, ça veut dire que c'était des novices (prendre un machin traçable très facilement valant $900 quand tu as un butin faiblement traçable valant 4 ordres de grandeur de plus, sans dec', les nazes). Eh, v'nez en France, on a des moutons pour tondre le périph, du terrorisme et des braquages à ne plus savoir quoi en foutre !
  7. Ben non. L'Etat spolie les autres pour leur offrir des jolis phares et leur entretien à l’œil. Je comprends que ça ne se bouscule pas au portillon pour raquer à la place de l'Etat. Oui mais il y a M. l'Armateur avec qui le gouverneur déjeune quotidiennement qui aimerait bien des phares, il suffirait d'augmenter un tout petit peu les taxes. En plus c'est facile de faire passer ces taxes puisqu'une armada d'économistes se dévouent pour leur parler des externalités positives que ça leur apportera. Nope. Si un agent économique trouve un bénéfice (direct ou indirect) à l'implantation de phares il cherchera à faire en sorte que le projet soit mené à bien. Si un agent y tirant bénéfice a la connaissance d'un autre agent qui en tirerait aussi des bénéfices il le poussera à le suivre dans son projet. Ainsi ce groupement d'intérêt sera le plus large possible (pour diminuer le coût de revient par agent) et s'accordera pour construire un phare. Ce qui est garanti ici (en plus d'éviter de voler les gens qui s'en cognent du phare, ce qui est déjà pas mal) est que l'arbitrage de chaque agent participant s'est fait en connaissance de cause en faveur de la construction du phare. Ce qui écrase tout calcul économétrique imaginable. Evidemment en présence d'un Etat le groupement d'intérêt (ou lobby... see my point) dispose d'un outil relativement facile à manier qui lui permet d'étaler le coût de leur marotte de force sur l'ensemble de la communauté. Et c'est ainsi que grâce à des calculs plus ou moins foireux, un lobbying efficace et une grosse dose de théorie économique sur les externalités positives l'Etat se retrouve à tout subventionner à tort et à travers, chacun tirant l'interventionnisme vers le haut. Tu peux me répondre que l'économétrie permet de déterminer la vraie étendue des externalités positives et donc de limiter l'intervention de l'Etat aux opérations vraiment profitables socialement. Mais, si on met de côté l'aspect éthique de l'opération, aucun modèle n'arrivera jamais à la cheville de la somme des arbitrages individuels, car seuls les individus ont tous les éléments en main pour déterminer leur propre intérêt. En fait ta divergence d'opinion sur le plan économique (hors problématiques éthiques) vient de la différence d'axiome de base. Soutenu par des décennies de tentatives de modéliser l'économie et les préférences des individus à toutes les échelles tu considères qu'il est possible de connaître mieux que l'individu son propre intérêt. Ici, on considère que c'est faux. Maintenant qu'on est arrivé à cette divergence cruciale, tu veux qu'on discute dans le forum philosophie des fondements épistémologiques de chaque axiome ?
  8. Tramp, faut choyer les secrétaires et hôtesses d'accueil. C'est pourtant pas faute de l'avoir dit.
  9. Je vais être plus clair : En l'absence de financement privé tu n'as absolument aucun moyen d'observer l'utilité des biens publics. Aucun. Dans le cas énoncé on a une puissance publique locale tyrannique qui a extorqué du pognon de gens qui n'en avaient rien à secouer de la présence d'un phare pour offrir un service à des freeriders. C'est une subvention à un secteur particulier, ça n'a aucun sens. Evidemment que si l'Etat construit des phares le secteur privé ne va pas se faire chier à en construire aussi. Ce n'est pas que le secteur privé est défaillant, c'est qu'il a trouvé la bonne pomme pour raquer à sa place. Si tu veux considérer les externalités comme un "problème", soit. Le moyen de le résoudre est simple. Qui tire la quasi-totalité du bénéfice qu'apporte un phare ? Les compagnies maritimes navigant les eaux alentours. Si la présence d'un phare apporte à ces compagnies un bénéfice supérieur à son coût de fabrication et d'entretien elles trouveront un compromis pour le financer. Même s'il devait y avoir des compagnies freeriders tant pis, ça vaut toujours le coup. De la même manière que les banques en 1907 étaient conscientes de leur intérêt à abandonner provisoirement leur aversion au risque et à renflouer Wall Street, même s'il y a eu des bénéficiaires non-payeurs de cette opération. De toute façon aujourd'hui le problème ne se pose même plus avec les sonars et GPS. Tu peux même mettre des balisent qui émettent un signal décodable uniquement avec abonnement. Et pour les plaisanciers, la capitainerie et les loueurs de bateaux ont une sacré incentive à implanter des bouées et autres signalements.
  10. Olesya Kharitonova
  11. Elle était bonne la soupe au moins ?
  12. Une class action RCA c'est mondial et unique. Et pour porter plainte (contre X en l’occurrence, à supposer que le pool de responsables ait déjà été mis en place auparavant par un tribunal compétent, sinon tu joins la class action) il faut déjà que tu aies subi un préjudice. A Paris c'est compliqué, ce n'est pas Pékin. Un préjudice peut ne pas être déterminé de manière exacte. Il est déterminé au mieux par un expert compétent sur le sujet. Ce que je propose est une réparation des dommages constatés sur la base d'un lien prouvé de cause à effet et au prorata de la responsabilité individuelle. C'est beaucoup moins arbitraire qu'une "taxe carbone" qui ne sert que de prétexte à l'Etat pour ramasser du pognon en évitant la complainte populaire. Le problème principal du marché des "droits à polluer", au-delà de l'arbitraire de la taille desdits "droits" est la notion de "droit à". Ça suppose qu'un agent a le droit de causer un préjudice à d'autres agents du simple fait de son existence. C'est complètement con. Si le préjudice existe et quelqu'un en est responsable alors il le répare, point final. Ça me semble être un système bien plus sain, cohérent et rigoureux dans sa mise en place. Je t'expliquais que le prix de l'éducation tendait à se rapprocher de sa valeur ajoutée à la société. Et, par cet exemple, que les entreprises générant des externalités positives tendaient à profiter de la valeur des externalités qu'elles créent. Ce n'est pas optimal pour plusieurs raisons (concurrence entre écoles par exemple) mais toute tentative d'influer sur le marché de l'éducation pour la faire bénéficier des externalités positives qu'elle génère tendra à diminuer le risque porté par les élèves et donc à fausser l'arbitrage de ces derniers. Pour la recherche fondamentale j'ai du mal à voir en quoi le bénéfice pour la société est supérieur au bénéfice en termes d'image pour l'université ayant réalisé cette recherche. Je ne nie pas les externalités positives, je dis que ses producteurs savent en profiter quand elles existent. La décision de l'éducation dans le supérieur revient principalement aux "enfants", pas aux parents. De plus les enfants de pauvres recourent obligatoirement à l'emprunt. Le coût de l'emprunt étudiant est, en marché libre, déterminé par la nature des études (un étudiant en commerce ou ingénierie paiera 3% contre 18% pour un étudiant en women studies par exemple). On s'aperçoit donc que les enfants de familles défavorisées sont davantage redirigés vers des études, et donc des professions, lucratives. Ce qui tend à réduire les inégalités sur une échelle de plusieurs générations (shirt sleeves to shirt sleeves in three generations). Dans tous les cas le job de l'Etat n'est de réduire toutes les inégalités à la naissance. Certains enfants naissent riches d'autres pauvres, certains naissent malades d'autres sains, certains beaux d'autres moches, certains handicapés d'autres valides, certains avec des relations d'autres isolés... Ne vouloir résoudre que les inégalités de richesses paraît obsessionnel en plus d'injuste. Le doc du lien académique est mort. J'ai écouté le TED, c'est plus un post hoc ergo propter hoc qu'un vrai lien de cause à effet. Il cite bien le "social status-related stress" qui mènerait à davantage de risque cardiovasculaires etc mais c'est totalement insignifiant face à la causalité établie entre grade, revenu et stress. Entre un ouvrier aux 35 heures qui gagne 25 000€ bruts et un associate chez Goldman Sachs qui tape dans les 80-100h/semaines qui subit le plus de stress à ton avis ? Les bibliothèques publiques sont le symbole de l'inaptitude du gouvernement à comprendre ce qui se passe dans le monde. C'est le parangon de l'inutilité au XXIè siècle. L'éclairage de rue bénéficie principalement aux résidents alentours : réduction de la criminalité, des accidents routiers... Or dans une société libérale (minarchiste ou anarcap) la gestion de la voirie, éclairage inclus, est laissée à son propriétaire, bien souvent les propriétaires des bâtiments alentours. Ceux-ci ont tout intérêt, pour maximiser leur confort et la valeur de leur bien, à implanter de l'éclairage public, des bancs publics, poubelles publiques... Quitte à voir des freeriders en profiter puisqu'ultimement ils en bénéficient. Ergo la solution libérale aux biens publics (et à leurs freeriders) est simple : pas de biens publics. D'où ma réponse initiale : quels biens publics ? Je ne te suis pas. Entre une monnaie inflationniste comme les monnaies fiat et une monnaie intrinsèquement limitée en volume comme le bitcoin (qui a ses défauts, mais d'autres cryptocurrencies en ont moins, c'est une techno qui en est à ses balbutiements), si la libre-concurrence des monnaies était laissée quelle monnaie les investisseurs choisiraient à ton avis ? Exactement, celle où leur épargne n'est pas bouffée par les bons soins de l'action de la banque centrale. Une des plus mauvaises conceptions de l'économie scolaire est de penser que la déflation est mauvaise. Cette croyance se base sur la présomption que quelqu'un attendrait un an pour s'acheter une baguette de pain car son prix aura baissé de 5%. C'est à mourir de rire tellement c'est ridicule. Encore une fois l'Etat peut utiliser tous les ressorts scientifiques à sa disposition, l'individu reste ultime décisionnaire de la nature et des moyens d'atteindre son bonheur. Ça a pour conséquence que le marché est optimal car il exprime la volonté pure des agents point barre. Sinon on tombe dans les travers de la conception socialiste (socdem, socialiste conception "moderne") de l'économie où cette dernière a vocation à comprendre le marché pour intervenir et imposer une vision prédéterminée du bien sur les individus. La vision libérale de l'économie est de décrire la réalité du marché pour le comprendre, pas pour intervenir. Jamais. Loin de là. Le rôle de la Fed lors de la crise de 29 a été critique (dans le mauvais sens). Renseigne-toi. A tel point qu'on se souvient de la crise de 29, moins de celle de 1907. D'ailleurs la crise de 1907 a été évitée grâce à l'injection de liquidités principalement privées. L'absence d'informations sur la situation réelle a limité la provenance de ces liquidités. Aujourd'hui avec un marché financier mondialisé, des marchés aussi optimisés et une information quasi-parfaite, l'offre de liquidités s'ajusterait immédiatement à la demande. C'est même le gagne-pain de beaucoup de fonds comme Berkshire Hathaway de procurer des liquidités à des moments critiques. En fait lors d'une crise la problématique principale est de déterminer qui y survivra. La pression pour réaliser rapidement les audits de solidité les plus fiables possible est extrême. Les taux d'intérêt sont gargantuesques et n'importe quel détenteur de liquidités (du particulier à la grosse entreprise) du monde peut participer au renflouement des plus aptes. Les conséquences à court terme sont des faillites en chaînes des moins résistants financièrement, mais cette épuration est très bénéfique à long terme pour ceux ayant su garder une bonne solidité financière et ceux disposant de liquidités immédiatement disponibles. Un tel événement reste gravé dans les mémoires et incite tout le monde à adopter ces derniers comportements. A l'inverse, une banque centrale injectant massivement des liquidités encourage les comportements à risque et ne fait que repousser la crise en l'empirant. D'ailleurs, anecdote amusante sur la crise de '07 (puisque je fais des posts-fleuves) : la mairie de New York était en cessation de paiement pendant la crise, et n'a pu éviter la banqueroute que grâce à l'intervention de JP Morgan qui lui a prêté en urgence 10 millions de dollars. Un monopole ce n'est jamais arrivé sur aucun marché dans l'Histoire. Mais mettons qu'une banque y parvienne, elle devra être exemplaire au niveau de sa stabilité, extrêmement fiable et transparente, réduisant à néant le risque de bank run et donc d'illiquidité. C'est un scénario très improbable puisqu'aucune grande entreprise au monde accepterait d'avoir affaire à une unique banque.
  13. Ah oui c'est vrai que la délation fiscale est rémunérée depuis le début d'année. Donc c'est vrai aussi pour la contrefaçon ?
  14. Merci PAB de remonter mon estime pour ce fil. Parce qu'entre celle de ph11 et celle de Freezbee ça commençait à craindre.
  15. 30, mais de toute façon ce n'est pas appliqué.
  16. Neomatix

    Boites à livres

    Un militant coco qui connaît Bastiat et Heinlein ? Tu les surestimes...
  17. Neomatix

    Boites à livres

    Il y a les livres SFL/Atlas Network qui sont justement faits pour être échangés : http://studentsforliberty.org/academy/sfl-book-publications/ Faudrait voir le prix d'en faire fabriquer en gros. Il y en a qui ont été traduits en français il me semble.
  18. Pas la loi. Le droit. Pour le RC, si tu apportes la preuve d'un dommage avéré et quantifiable, d'un comportement fautif et d'un lien de cause à effet alors il y a réparation et ventilation de la réparation selon la part de responsabilité de chacun. Quel est le problème ? S'il y a un dommage avéré il n'y a pas de problèmes pour le modéliser. Mettons : un exploitant de centrales à charbon s'installe dans une zone touristique, il ruine la propriété des gens alentours avec les émissions de particules, il doit payer une astreinte équivalente au revenu touristique qu'il fait manquer. Sans exemple précis c'est flou et compliqué à cerner comme concept. 1) Soit les gens (le marché) estiment que le bénéfice retiré maintenant est supérieur aux dommages que ça cause/causera et le boycott (ou tout autre action publique) n'est pas mis en place, 2) Soit les gens estiment que le dommage présent (et sa valeur actualisée future, tout ça étant extrêmement subjectif, la préférence temporelle variant énormément entre les agents) est supérieur au bénéfice qu'ils peuvent en tirer et le boycott jouit d'une forte participation. L'arbitrage est individuel, pas collectif. Les partisans du boycott assurent la communication du dommage face à l'entreprise qui assure la communication du bénéfice. Ce n'est pas optimal mais c'est toujours mieux que l'Etat qui condamnera à des amendes arbitraires après, au mieux, un référendum mal mené qui n'admet aucune nuance. Bien sûr que si. L'éducation est l'un des services offrant les meilleurs ROI du monde. Les banques qui financent les prêts étudiants le savent, les étudiants le savent car les écoles communiquent dessus... Pour maximiser ce ROI (et donc leur remplissage donc leur CA) les écoles usent de tous les moyens pour maximiser la valeur perçue de ses alumni et donc le salaire moyen à la sortie. Ainsi, l'action des écoles fait tendre la valeur payée par la société (via les entreprises) vers le bénéfice total pour la société de la formation qu'elles dispensent. La recherche fondamentale a des bénéfices immédiats en termes d'image, qui sont en rapport avec les bénéfices potentiels de l'application de cette recherche. Les universités et écoles bénéficient énormément des retombées médiatiques de leur secteur recherche, et donc la finance. Imagine un peu le boost de notoriété dans leur champ d'expertise d'une association de départements de recherche d'écoles qui aurait montré l'existence du boson de Higgs. Lesquelles ? J'aimerais sincèrement qu'un jour on me montre quel est l'intérêt de la réduction des inégalités. A part électoral. C'est d'ailleurs pour ça que la charité est dans les choux dans des pays libres comme les Etats-Unis. Oh wait... Encore une fois : quels biens publics ? On n'ignore pas les défaillances du marché, on les cherche pour monter des business models. Bah les régulations bancaires, l'action des banques centrales et les contraintes étatiques ont mené à la crise de 2008 alors on cherche une autre option, ouais. On prône aussi le Bitcoin, la blockchain et la libre-concurrence des monnaies, mais bon, ça doit être au-delà de ta thèse "les libéraux sont arriérés" donc tu ne t'en préoccupes pas.
  19. J'ai perdu tout intérêt pour ce genre de conversations.
  20. Vendre sa voiture c'est une vache d'incitation. La vérité c'est que dans le monde réel une voiture sans historique, sans factures de réparation, sans garantie, sont invendables. Si tu vas sur lacentrale par exemple tu as des historiques de réparation, les factures, des garanties pouvant aller jusqu'à 12 mois pour de l'occasion... Tu parles du contrôle technique : tu crois vraiment que sans l'Etat il n'y a pas un seul garage (ou chaîne) qui aurait eu l'idée de délivrer un macaron certifiant le bon état de la voiture pour faciliter grandement sa revente ? Heureusement qu'il y a l'Etat en fait, car apparemment tous ceux qui travaillent dans le privé sont trop cons pour imaginer des solutions. Le problème est économique ET juridique et la solution est juridique. Si l'agent sait qu'il va être condamné à réparer son externalité positive il va l'intégrer a priori dans son coût de production. Même s'il ne commet aucune faute la pression publique lui fera revisiter ses prévisions de vente à la baisse et donc son prix à la hausse. Est-tu capable de donner un exemple d'externalité positive qui ne peut pas être prise en compte par le marché ? Ne t'inquiètes pas que si une boîte a un business qui profite à d'autres elle trouvera un moyen de les faire payer. Directement ou indirectement. Construis une présentation en reprenant tous ces arguments, invente-en de nouveaux qui sont percutants pour le consommateur et va proposer tes services de représentant en assurance pour informer les individus non-assurés des risques qu'ils encourent. Le problème que tu décris n'existe même pas, c'est le job des commerciaux des assurances de le résoudre de manière non-violente. Alors on ne vit pas dans une société de connards finis donc en général il existe des associations pour prendre en charge les nécessiteux. La charité privée est d'autant plus présente qu'on laisse aux individus le pognon pour l'assurer.
  21. Fillon se considère libéral. Jdcjdr.
  22. Et le meilleur moyen de donner à chaque individu les moyens de déterminer par lui-même son propre bonheur (ça ressemble davantage à de l'émancipationnisme qu'à du libéralisme mais bref) c'est pour l'Etat de s'endetter en son nom pour distribuer du cash et espérer "relancer" la "machine économique" selon une vision de l'économie qui n'a jamais fait ses preuves ? Une chose est sûre : le libéralisme n'est pas top-down. Contrairement au keynésianisme. Non. Mille fois non. Les seules règles dont le marché a besoin c'est la propriété, le respect des contrats et la non-agression. Un vendeur qui souhaite vendre son produit cherche des avantages concurrentiels. Une bonne information en est un. Il va donc tout faire pour diffuser des informations au maximum. L'acheteur cherche à s'assurer que ces informations sont correctes. Beaucoup de moyens permettent de le faire : labels, plateformes sur lesquels les vendeurs sont notés, audits, tests comparatifs... Internet résout aujourd'hui presque tous les problèmes de ce genre. Par exemple l'absence d'intervention du gouvernement sur le marché noir de la drogue en ligne a permis l'émergence d'une plateforme (Silk Road) qui a mené à réduire considérablement l'asymétrie d'information. Un système judiciaire efficace pour les externalités négatives. La pression publique pour les externalités négatives sans fautes ou les externalités positives. Quels biens publics ? Mind your own fucking business. Comme tu l'as si bien dit : "Le libéralisme c'est donner à chaque individu les moyens de déterminer par lui-même son propre bonheur.". Une assurance santé ça coûte très cher. Si des individus qui n'en ont rien à secouer de leur propre santé et préfèrent cramer dans le basejump le pognon qu'ils auraient mis dans une assurance santé ça les regarde. C'est leur bonheur, pas le tien. Les individus sont ultimement les uniques décisionnaires compétents pour déterminer leur propre bonheur. Toutes les études économiques du monde ne peuvent prétendre à les surpasser. Les marchés ont leurs problèmes, mais les "solutions" gouvernementales les empirent systématiquement. Le marché est imparfait, mais c'est la meilleure solution que nous ayons à l'allocation des ressources. On voit les deux. Le marché est imparfait évidemment. Mais l'Etat est incompétent pour corriger ses défauts. Tu crois qu'on fait quoi sur ce forum ? Tu veux que je créée un sujet pour qu'on puisse y débattre ? Vu que tu n'as pas encore 100 messages.
  23. Donc tu sais que le libéralisme refuse tout intervention de l'État dans l'économie.Et que les relances keynesiennes sont une intervention massive. Et que les oxymores font de très mauvais outils pour décrire des concepts. Par exemple ?Parce que des exemples d'économies planifiées et/ou socialistes qui se sont révélées fulgurantes au niveau du développement je n'en vois pas des masses. Pas plus avant ou après les années 60. Tiens, pour te faire réfléchir : http://www.contrepoints.org/2014/06/06/168109-lutopique-planification-optimale
  24. *l'Épice.Muskophobie rabique ça me fait penser à rat musqué qui a la rage.
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