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frigo

Yabon Nonosse
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Tout ce qui a été posté par frigo

  1. Faut avoir le sens du con promis.
  2. Voilà, pour l'amour on ne demande pas aux filles d'avoir inventé la poudre.
  3. Je ne me souviens plus du nom mais une boîte de livraison fonctionne avec des livreurs en micro entreprises je crois, ça a l'air de fonctionner, et pourquoi tout le personnel ne serait pas travailleur indépendant, secrétaire, comptable , livreur, mais aussi propriétaire du matos (le ou les patrons.). Quand j'étais jeune homme à Paris je travaillais beaucoup au " black", parfois on était une équipe de dix, et tout notre petit business n'était fait que de relations inter personnelles.
  4. Un petit extrait de la théorie de la propriété de Proudhon. Et voilà aussi pourquoi tout gouvernement, toute utopie et toute Église se méfient de la propriété. Sans parler de Lycurgue et Platon, qui la chassent, ainsi que la poésie, de leurs républiques, nous voyons les Césars, chefs de la plèbe, qui n'ont vaincu que pour obtenir la propriété, à peine en possession de la dictature, attaquer le droit quiritaire de toutes les manières. Ce droit quiritaire était l'apanage, pour ainsi dire, du peuple romain. Auguste l'étend à toute l'Italie, Caracalla à toutes les provinces. On combat la propriété par la propriété: c'est de la politique à bascule. Puis ou attaque la propriété par l'impôt; Auguste établit l'impôt sur les successions, 5 p.100; puis un autre impôt sur les adjudications, 1 p.100 ; plus tard on établit des impôts indirects. Le christianisme, à son tour, attaque la propriété par son dogme; les grands feudataires par le service de guerre: les choses en viennent au point que sous les empereurs, les citoyens renoncent à leur propriété et à leurs fonctions municipales; et que sous les Barbares, du sixième au dixième siècle, les petits propriétaires d'alleux regardent comme un bonheur pour eux de s'attacher à un suzerain. Autant, en un mot, la propriété, par sa nature propre, se montre redoutable au pouvoir, autant celui-ci s'efforce de conjurer le péril en se prémunissant contre la propriété. On la contient par la crainte de la plèbe, par les armées permanentes, par les divisions, les rivalités, la concurrence; par des lois restrictives de toutes sortes, par la corruption. On réduit ainsi peu à jeu la propriété à n'être plus qu'un privilège d'oisif: arrivée là, la propriété est domptée; le propriétaire, de guerrier ou baron, s'est fait péquin; il tremble, il n'est plus rien.
  5. Par exemple tu as une firme et un acteur extérieur a celle ci, disons le fournisseur d'électricité. La firme et le fournisseur d'énergie sont bien capable d'établir des contrats à longs termes qui évitent de renégocier le contrat à chaque utilisation d'électricité. Pourquoi serait ce impossible en interne ? En fait j'en ai parlé vite fait au téléphone avec ma fille qui étudie l'économie. Elle me dit que ce qui fait la différence entre l'économie externe d'une firme et son économie interne ce sont les contraintes administratives. Mais j'attend qu'elle vienne me rendre visite pour en parler plus posément.
  6. Voilà ce serait des statuts privés alors, ça évite les tonnes de règlements , codes, lois sur le sujet.Et puis comme ça chacun est responsable de ses actions, pleinement, sans se cacher derrière des societes anonyme à responsabilité limitée par exemple.
  7. Oui d'accord, mais il y a quand même un petit côté sérieux dans mon intervention. Enfin je crois. Ha tu as complété ta réponse, bien justement cette théorie des noeuds essaie de modéliser l'économie du travail .
  8. Tiens je suis en train de m'instruire avec ça. https://www.wikiberal.org/wiki/Théorie_du_nœud_de_contrats C'est de l'économie du travail je crois. Bon je commence à peine, mais une idée me tripatouille le cervelet. En gros dans mes balbutiements je comprend que n'importe quelle structure économique peut être comprise comme un ensemble, un noeud, de contrats inter individuels. Alors je me disais que au lieu d'avoir une forêt de statuts différents, salarié, artisan, tacheron, sociétés de toutes formes, patron, fonctionnaire ect ect, ne pourrait on pas considérer tout un chacun comme une entreprise individuelle , point barre. Je voue peut être un culte a la simplification après, mais d'après cette théorie des noeuds ça semble tenir le coup. En plus ça colle avec mon idée de capitation proportionnelle. Si chacun est une entreprise individuelle l'impôt pourrait se résumer à une flat tax sur les bénéfice, bon enfin ça c'est bonus.
  9. Va t'en cagar a la vinha
  10. Le chanvre est annuel, donc un an. En fait c'est la réduction de masse que je ne comprend pas. 3,63 g de CO2 = 1 g de carbonne Que deviennent les 2,63g qui manquent à l'appel?
  11. J'ai trouvé ça sachant que l’arbre doit absorber 3.67 g de CO2 pour produire 1 g de carbone Alors son affirmation paraît crédible.
  12. Et quand il dit que une tonne de chanvre absorbe 1,63 tonne de Co2, elle me semble bizarre cette équation.
  13. Je lis toujours les free marketers nord américain. J'ai trouvé cette traduction " amateur" d'un article de carson. Who Owns the Benefit? The Free Market as Full Communism Qui détient les bénéfices ? Le Libre Marché comme Communisme Intégral Il existe une phrase merveilleuse qui explique le fonctionnement du Capitalisme dans le monde réel (je ne suis pas sur qui est le premier à l'avoir employée, mais je l'associe à Noam Chomsky) : « La socialisation des risques et des coûts et la privatisation des profits » C'est une assez bonne description de l'action de l'état sous le régime capitaliste tel qu'il est appliqué, à l'opposé du libre marché. Pratiquement tout ce que nous identifions comme problématique à propos du capitalisme, l'exploitation du travail, la pollution,les déchets et l'obsolescence programmée, la destruction de l'environnement, le pillage des ressources, résulte de la socialisation des coûts et des risques et la privatisation des profits. Pourquoi la révolution cybernétique, les importantes augmentations de productivité dues au progrès technologique n'ont elles pas abouti à la semaine de travail de 15h, la quasi gratuité des produits de première nécessité ? La réponse est que le progrès économique est retenu comme source de revenu et de profit. L'effet naturel d'un marché libre et concurrentiel sans restriction est le socialisme. Pendant une courte période l'innovateur perçoit un bénéfice important, une sorte de récompense d'être le premier sur le marché. Au fur et à mesure que ses concurrents adoptent son innovation, la concurrence fait tendre les profits vers zéro et le prix gravite autour du coût de production rendu possible par cette innovation. (ce prix incluant bien sur, le coût de maintenance du producteur et l'amortissement de son capital de départ). Par conséquent, dans un Marché libre, les économies de coût de main d'oeuvre nécessaire à la fabrication de n'importe quel produit, seraient rapidement socialisées sous forme de réduction de coût de main d'oeuvre pour l'acquérir. Il n'y a que lorsque l'état impose des pénuries artificielles, des droits de propriétés artificiels et des barrières à la compétition qu'il est possible pour un capitaliste de s'approprier une partie des économies des coûts de production comme revenu permanent. Ces conditions permettent au capitaliste de se lancer dans une politique de prix monopolistique. C'est à dire qu'au lieu d'être obligé par la concurrence de chiffrer ses articles au coût réel de production (incluant ses propres moyens d'existence) il peut viser le prix que le consommateur peux payer. Cette forme d'enclosure -1-, à l'aide de la « propriété intellectuelle » est la raison pour laquelle Nike peut donner quelques dollars à un propriétaire de « sweatshop » -2- pour une paire de baskets et la revendre jusqu'à 200 dollars. La majeure partie du prix à payer n'est pas le coût réel du travail et des matériaux, mais la marque. La même chose est vraie pour la rareté artificielle de la terre et du capital. Comme David Ricardo et Henry Georges l'ont observé, il y a accumulation de rente sur la rareté de la terre à cause de la non-reproductibilité de ce bien. Il y a un profond désaccord parmi les Georgistes, défenseurs de l'occupation et utilisation -3- mutuelliste, et autres libertaires sur l'idée même et la façon de corriger ces profits basés sur la rareté naturelle. Mais la pénurie artificielle, basée sur l'enclosure privée et la rétention de terrains libres et inutilisés, ou l'extorsion de loyers aux propriétaires légitimes, {c'est à dire les} cultivateurs de terres arables, grâce à des droits quasi féodaux est une source énorme de revenu illégitime – probablement la majeure partie du revenu total de la terre. Et sans tenir compte des différentes mesures que nous pourrions défendre, tous les libertaires sont en faveur de l'abolition de cette pénurie artificielle et – au minimum – de laisser la concurrence des terres inoccupées faire baisser les prix des loyers jusqu'à leur valeur naturelle {due à leur disponibilité} Nous préconisons également, d'ouvrir la possibilité de crédit à la concurrence du marché libre, d'abolir les barrières à la création de coopératives de prêts, et d'abolir les lois de toutes sortes sur les monnaies, pour que la concurrence du marché élimine la majeure partie de l'intérêt sur les monnaies. Mais alors que les capitalistes voient d'un mauvais oeil la demande de socialisation des rentes et profits, la considérant comme « guerre de classes », ils sont totalement d'accord pour socialiser les coûts d'opération. La principale raison pour laquelle la production moderne est autant centralisée et les entreprises et les zones de marché aussi importantes, est que l'état a subventionné les infrastructures de transport au dépens du grand public et a rendu artificiellement bon marché le transport de marchandises sur de longues distances. Le résultat est que les gros producteurs gaspilleurs {de ressources}, sont artificiellement compétitifs par rapport aux petits producteurs sur les marchés locaux qu'ils envahissent avec l'aide de l'état. C'est pourquoi nous voyons des chaines géantes de magasins contraindre les petits détaillants locaux à la faillite, grace à l'utilisation de leur propres opérations « entrepôts roulants » de ventes en gros internalisées pour distribuer des produits manufacturés par des « sweatshops » en Chine. La perte de biodiversité, la déforestation et la pollution au CO2 des quarante dernières années a pu se produire car l'écosystème dans son ensemble est une décharge sans propriétaire au lieu d'être un bien commun régulé. Typiquement, l'état préempte la « possession » de forêts, dépôts minéraux, etc … - bien souvent au préjudice des peuples indigènes habitants au préalable ces zones – pour donner ensuite un accès privilégié aux industries extractrices capables de piller les dépouiller de leurs ressources sans internaliser les coûts réels induits. Aussi surprenant que cela puisse paraître, il y a un fort parallèle entre cette vision libre marché de l'abondance et la vision Marxiste du communisme intégral. Carl Menger a écrit sur les produits économiques (ie, produits sujets aux calculs économiques à cause de leur rareté) devenant des produits non-économiques (ie, leur abondance et leur coût de fabrication près de zéro, rendraient leur coût de comptabilité plus important que leur coût de production). Ceci est comparable à un effort de réflexion important pour les socialistes dans le milieu de la culture du libre, du mouvement open source/P2P. Ils voient dans le mode de production communiste pratiqué par les développeurs Linux et autre open-source programmes, le noyau d'une création sociale post-capitaliste, postpénurie. De la même façon que la production capitaliste a démarré dans des ilots isolés au sein d'un ensemble économique féodal pour devenir plus tard le noyau d'une société dominante nouvelle, la production commune, d'égal à égal est le noyau autour duquel l'économie post-capitaliste finira par cristalliser. Et nous, partisans du libre marché, sommes aussi des communistes de l'information. Nous voulons que les bénéfices du savoir et de la technique soient complètement socialisés. La part du profit la plus importante sous le régime actuel de capitalisme industriel est le profit intégré sur la pénurie artificielle de savoir et de technique. Dans une société où les déchets et l'obsolescence programmée ne seraient plus subventionnées, et où les barrières à la compétition socialisant complètement les bénéfices du progrès technologique seraient supprimées, nous pourrions probablement jouir de notre qualité de vie actuelle avec une semaine de travail de quinze heures. Et dans une société où le principal mode de production serait l'artisanat, avec des machine-outils numériques peu onéreuses (comme Kropotkine l'avait anticipé il y a plus d'un siècle dans "Champs, usines et ateliers"), la division du travail et la dichotomie entre travail intellectuel et travail physique serait beaucoup moins prononcée. Ces deux effets de la concurrence du libre marché combinées en socialisant le progrès, résulteraient en une société ne ressemblant pas à la vision anarcho-capitaliste d'un monde possédé par les frères Koch et Halliburton, beaucoup plus à la vision de Marx d'une société communiste d'abondance dans laquelle quelqu'un pourrait « faire une chose aujourd'hui et une autre demain, chasser le matin pécher l'après-midi, m'occuper des bêtes le soir, critiquer après diner, sans jamais devenir chasseur, pécheur, éleveur ou critique » notes : les expressions entre parenthèses (...) sont dans le texte original j'ai ajouté les expressions entre accolades {...} pour aider à la compréhension -1- enclosure : littéralement = clos, enclos, lieu limité par une clôture je pense qu'il y a une allusion au mouvement des enclosures qui a vu en Angleterre à partir du XIIème siècle, les nobles et les gros éleveurs, s'accaparer petit à petit les "common lands" terres communales, à la disposition de tous en libre-service. Le parlement validera bien plus tard cet état de fait par plusieurs Enclosure Acts -2- sweatshop : littéralement = fabrique de sueur, se dit des ateliers principalement situés en Asie dans le milieu de la confection, dans lesquels les travailleurs sont employés dans des conditions déplorables d'hygiène et de sécurité pour un salaire de misère -3- la terre appartient à celui qui la travaill
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  16. Je suis fan de deux spécialités italienne a base d'amandes, douces ou amères je ne sais pas mais vu les noms , amaretti et amaretto, c'est peut être les amères.
  17. Alfred de Musset. Un élève m’a raconté, que son professeur de seconde avait donné à sa classe, jour par jour, ces deux charognes à traduire en vers hébreux. Ces plaies de la nature animale et humaine le rendirent malade pendant un mois, qu’il passa à l’infirmerie. Comme nous nous connaissions, il me fit demander par sa mère. Il me raconta, quoique avec naïveté, que ses nuits étaient troublées par des rêves de persistance. Il croyait voir une armée de pélicans qui s’abattaient sur sa poitrine, et la lui déchiraient. Ils s’envolaient ensuite vers une chaumière en flammes. Ils mangeaient la femme du laboureur et ses enfants. Le corps noirci de brûlures, le laboureur sortait de la maison, engageait avec les pélicans un combat atroce. Le tout se précipitait dans la chaumière, qui retombait en éboulements. De la masse soulevée des décombres — cela ne ratait jamais — il voyait sortir son professeur de seconde, tenant d’une main son cœur, de l’autre une feuille de papier où l’on déchiffrait, en traits de soufre, la comparaison du pélican et celle du laboureur, telles que Musset lui-même les a composées. Il ne fut pas facile, au premier abord, de pronostiquer son genre de maladie. Je lui recommandai de se taire soigneusement, et de n’en parler à personne, surtout à son professeur de seconde. Je conseillai à sa mère de le prendre quelques jours chez elle, en assurant que cela se passerait. En effet, j’avais soin d’arriver chaque jour pendant quelques heures, et cela se passa.
  18. Je devais avoir dix sept ans et je faisais de la varape , chute, que j'estime entre huit et dix mètres, je me reçois sur les pieds mais avec la vitesse je me plie et reçois mes genoux violement dans la tête, pile sur les yeux, je m'en sort avec les plus beaux cocards de ma carrière, pour l'instant.
  19. Ah t'étais pas en tout terrain.
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