-
Compteur de contenus
1 844 -
Inscription
-
Dernière visite
Tout ce qui a été posté par Luis
-
Tu y tiens tant que ça ? Oui, parce que ce n'est pas comparable : un roman à l'eau de rose, un film d'action, un jeu vidéo ne sont pas par nature épanouissants.
-
Tu compares des pommes et des navets, là encore. Le jeu vidéo n'est pas une technologie, un outil comme l'est Internet. Même s'il est lui-même un outil critiquable par rapport à ce qu'il prétend apporter. Oui, je fais des jugements, et alors ? On passe son temps à juger de questions de société sur ce forum, non ? Ce n'est pas le problème (je ne vois pas le rapport avec ce que je dis). Le problème est de vouloir en conscience briller en société. C'est ce qu'on appelle de l'orgueil. Réponse où tu as utilisé des gros mots (concept, …), et que je n'ai pas comprise.
-
Fixed pour un truc que j'aurais pu dire, si j'avais lu des romans à l'eau de rose . Sinon, il y a des bonnes et des mauvaises lectures, oui.
-
Bof, "beaucoup souffert" est un bien grand mot, là aussi. On peut regretter quelque chose sans en faire une montagne non plus. Il faut prendre les choses à leur juste mesure, quand même : ce n'est pas la mort de jouer à un jeu vidéo. C'est certainement divertissant. Mais il ne faudra pas me faire croire que c'est épanouissant. Ca n'a rien d'épanouissant en soi. Sans doute qu'il existe des jeux un peu meilleurs que d'autres, plus interactifs, plus ceci, plus cela, mais cela reste fondamentalement virtuel. Enfin, vous parlez de rencontre avec d'autres personnes, d'apprendre des langues étrangères, etc. Tout ça est fort bon, mais ça ne constitue pas le coeur du jeu vidéo lambda, qui est de jouer contre une machine un scénario programmé dans un univers imaginaire. Pareillement, WoW permet de rencontrer des gens IRL, soit, mais 95% du temps, le joueur lambda y pexe et y fait du farm, etc.
-
Une erreur ? Comme tu y vas ! Décidément, Apollon n'exagérait pas tant que ça, ça vous met vraiment les nerfs à vif que l'on critique les jeux vidéos. Ben, comment peux-tu le savoir toi-même ? De fait, il y a un tas de gens calés dans tout ce que tu dis qui n'ont pas eu besoin de jouer à des jeux vidéos pour l'être. Quant au fait de vouloir "briller socialement", c'est honnête de le reconnaître, ça fait partie de la nature humaine, mais ça reste orgueilleux.
-
Et alors ? Au passage, je doute vraiment que cet apprentissage soit sérieux pour la majeure partie d'entre eux. Le Japon se kikoololise déjà suffisamment lui-même pour qu'il n'ait pas besoin de voir débarquer des hordes de touristes pétris de cette "culture".
-
Le problème est là. Qu'est-ce qui te fait croire qu'ils n'auraient pas pu faire mieux ailleurs ? Mais il n'y a pas besoin de jeu vidéo pour se sociabiliser, se renseigner sur la mythologie nordique, etc. Cette curiosité, cette envie de rencontrer des gens, ce n'est pas le jeu vidéo qui en est le moteur, il ne peut qu'en être le frein, même si, fort heureusement, il n'est que relativement rarement un frein efficace. Je pense que j'y ai beaucoup joué. Assez pour être bien imprégné de la "culture" geek. Mais je n'ai jamais cru que ça m'épanouirait d'aucune sorte. Si tu veux, j'ai toujours cru que j'avais mieux à faire.
-
Fort bien, la remarque vaut toujours : le piano, comme le clavier d'ordinateur, reste un outil, qui permet lui de s'exercer à faire de la musique, qu'on espère bonne. Que permet le jeu vidéo, en tant qu'outil ? Ah ça, je n'ai pas de problème pour le croire. Mais le fait est qu'en règle générale, on n'achète pas un jeu vidéo pour apprendre ce qu'est un accord majeur ou un accord mineur.
-
Ca vous arrive souvent de jouer à un clavier de 88 touches ? Plus sérieusement, vous n'allez pas me faire croire que vous prenez le jeu vidéo comme un moyen au même titre qu'un clavier. Vous utilisez le clavier pour jouer au jeu vidéo. A quelle fin "utilisez"-vous le jeu vidéo ?
-
Que tu aurais sans doute bien mieux pu faire ces choses sans jeu vidéo. La même remarque vaut pour la réponse de neuneu2k : tu me parles "d'épanouissement" et de "sens". Ben si tu me dis que le sens du jeu vidéo c'est de développer le sens musical, je dis qu'il y a tromperie sur la marchandise, et que aller à des concerts, ou jouer du piano sont ce qu'il y a d'adéquat pour cela. Quel épanouissement permet en tant que tel le jeu vidéo ? edit (pour prouver que je ne suis pas un mauvais bougre) : ding !
-
Il y aurait beaucoup à redire de certaines de ces choses, sûrement. Quant à de la "musique virtuelle", no comment . D'ailleurs, c'est bien la seule chose qu'il peut y avoir d'intéressant dans un jeu vidéo : ce qui vient avec, comme la musique, et non le jeu en lui-même. Si c'est aux jeux de rôle que tu penses quand tu parles de "concepts" (je n'ai pas compris grand chose à ta phrase précédente), c'est guère mieux ! Oui, et ? On ne voit pas en quoi on ne pourrait pas apprendre sans jeu vidéo ce qu'on apprend avec, si tant est qu'on apprenne quelque chose avec.
-
Tu cherches à comparer des pommes et des navets. Qu'il puisse être excessif est une chose, l'amour d'une mère est une chose épanouissante en soi. Jouer à un jeu vidéo, non. Le mot-clé est "virtuel" : devant un jeu vidéo qui ne représente rien de réel, on ne s'épanouit pas. La même remarque vaut pour un tas de choses, d'ailleurs. Certaines lectures philosophiques (typiquement, la littérature constructiviste) sont un autre genre de masturbation intellectuelle, et on prend bien soin de les dénoncer sur ce forum, à raison. Tiens, idée à creuser, ça, voir les jeux vidéos et leurs univers comme autant de constructivismes.
-
Tout de suite les grands mots. Jouer une heure à un jeu vidéo, virtuel par définition, ne vaut pas une heure de balade en forêt ou une heure passée à apprendre à jouer du piano. Voilà tout.
-
Oui. Et je suis sérieux, même quand je trolle ! Relativisme detected. Même si c'est une activité "modérée", jouer à un jeu vidéo n'est pas en soi épanouissant. L'amour d'une mère, l'instruction et jouer à la marelle le sont en revanche.
-
Les jeux vidéos sont dangereux pour l'épanouissement des enfants.
-
Remarque : un agrument vient ainsi agrémenter une argumentation.
-
Bienvenue Guerric !
-
Bonjour, Schtroumpf !
-
Certes. Mais je pensais à une loi manifestement inique aux yeux de la société dans son ensemble. Il en reste encore chez nous, heureusement. Par exemple, le vol à l'étalage est interdit (et encore, tu me diras, ce n'est plus si évident avec les "auto-réductions", et tu aurais raison). Je pense au contraire l'avoir bien compris parce qu'il était clair : que le meurtre soit interdit par la loi ou non, il peut se poser le choix de tuer des gens et ne pas le faire, ce qui est vrai. Maintenant, ce que je réponds, c'est que premièrement, dans la réalité, je le soupçonne justement de ne pas se poser ce choix sérieusement, et deuxièmement, qu'il y a des cas où ce ne sont pas les femmes qui se posent le choix de l'avortement elles-mêmes, mais leurs maris pour elles-mêmes. Or, si l'avortement était réprouvé socialement, ainsi que légalement, ce choix ne leur viendrait peut-être même pas à l'esprit, ou en tout cas ils n'oseraient pas le formuler librement. Une certaine conception libérale pose que ces femmes ont simplement le choix de refuser (ce qui est vrai, et c'est un minimum qu'elles l'aient ce choix, d'ailleurs), mais je réponds que ce n'est pas égal dès le départ de les mettre devant ce choix.
-
Peu importe que ce choix soit là, s'il est immoral (et qu'il viole le DN, en l'occurrence). Dans les faits, dans la réalité vraie de vraie, contrairement à ce que raconte neuneu2k, on ne passe pas son temps à arbitrer entre des choix immoraux. Il faudra bien vous rendre compte que ce n'est pas égal, ce n'est pas innocent de soulever de tels choix, sous prétexte que c'est effectivement possible. C'est pas moi qu'ai commencé ! D'ailleurs, je ne comprends pas trop non plus pourquoi neuneu2k est parti de ce côté-là. Je ne nie pas le libre arbitre, parce que je n'oppose pas la loi à celui-ci. Tu parles de la morale et du DN, et je dis qu'effectivement la législation faite par les hommes devrait respecter ce DN. Elle ne le fait pas toujours, mais elle le fait souvent, heureusement, et c'est ce que les hommes attendent d'elle. Qui voudrait d'une loi manifestement inique ? C'est dans ce sens-là que je dis que la loi prend part à la réprobation sociale. Et puis, le fait de pointer le problème du libre arbitre des femmes en donnant des exemples tirés de la réalité était plutôt pour démonter justement l'argument comme quoi elles se libéreraient de l'infamie patriarcale grâce à une législation pro-choice.
-
Certes. Mais ce n'est pas qu'une question de longueur d'onde, c'est aussi une question de distance à la source, l'énergie (électromagnétique) reçue par un corps étant inversement proportionnelle au carré de la distance…
-
Tu fais un raisonnement idiot, et cynique, de surcroît. Personne au boulot ne vient te mettre un couteau entre les mains et te demander sérieusement de tuer ton voisin. Ce n'est pas vraiment de vice dont il s'agit ici. Et il y a plusieurs sortes de péchés qui n'appellent pas le même type de réponse. Et puis, ça me paraît de toute façon manifestement faux : les gens tiennent compte de la loi, et comptent aussi sur elle (pas toujours de manière mesurée, certes) pour indiquer ce qui est mal.