Hank Rearden

Pour la couleur des yeux, ça doit pas être loin d'être le cas (encore faut-il que quelqu'un s'y intéresse). Les problèmes éthiques sont quand même un peu lourds parce qu'on est obligé d'avorter les embryons qui ne sont pas porteurs du ou des caractères recherchés. Pour prévenir une maladie génétique grave, ça peut se justifier. Pour un caractère négligeable comme la couleur des yeux, ça me parait difficile (d'autant plus que sont entrain d'apparaitre certaines techniques qui permettent de changer la couleur de l'iris d'une personne)

Pourtant on est déjà clairement dans l'eugénisme.

Oui dans les couples avec risque important de mucoviscidose par exemple, on peut sélectionner les embryons.

L'eugénisme positif, c'est aussi être en mesure de prévenir les tares génétiques, les facteurs de risques, les maladies incurables. Peut-être une autre vision que celle de Gattaca.

Oui, il faut différencer: - l'eugénisme positif qui vient comme décision individuelle d'un couple et qui précède la conception (génie génétique ou autre ) et qui cherche à sélectionner certains critères phénotypiques dans un être à venir. - et l'eugénisme négatif qui est un eugénisme politique, étatique qui concerne l'être vivant déjà existant et qui cherche à éliminer certaines populations présentant tel ou tel critère phénotypique.

Oui c'est exact.

un tétraplégique aveugle et sourd. Bon, il a vraiment pas de chance le gars...

Les cas de "pas de bras, pas de chocolat", c'est l'exception, pas le cas commun en matière d'euthanasie mais c'est bien souvent sur ces exceptions que reposent les arguments des pro-euthanasies

C'est bien pour ça qu'on doit être capable de le faire tout seul comme un grand.

Je trouve que c'est une réflexion assez révélatrice du problème et pertinente dans un certain sens. Souvent, chez les candidats à l'euthanasie, il semble y avoir une certaine tendance à l'exhibition, au spectacle, à la mise en scène de leur propre mort.

"Aider à mourir" ne veut pas dire "tuer". Qu'on lui en donne les moyens et qu'il se débrouille avec.

Avec un téléphone portable dans la poche, on est déjà totalement "tracé", non ?

Voilà, +1

D'où l'absence totale d’intérêt... Si tu n'as pas la force mentale de te suicider, pourquoi demander à un autre de l'avoir pour toi. C'est le signe manifeste que tu veux encore vivre.

Nouvelle seringue/matériel médical Sinon, pour être sérieux , les cas où le suicidant est dans l'incapacité de se suicider lui-même sont très rares (tétraplégie par exemple, encore que je suis sûr que les informaticiens/roboticiens seraient capables de faire des trucs). L'euthanasie est un faux problème. Je vois mal pourquoi il faudrait faire porter à un autre la responsabilité d'un acte qu'on est incapable psychologiquement (et non physiquement) de faire soi-même.

"erreur" et "grave" sont en rapport avec le féminisme

L'acouphène est un symptome, il faut consulter un ORL pour éliminer les causes emmerdantes mais rares ou les causes évidentes (HTA, intox médicamenteuse avec certains antibio en particulier). Si on ne trouve rien, on vit avec....

Pour être honnête les avis scientifiques sont partagés. A mon avis, on est dans l'idéologie complète. Le tofu, le soja, c'est forcement bon, vu que c'est un truc de gentil végétarien qui sauve les animaux. Ce politiquement correct transpire aussi dans les études scientifiques que j'ai lues

S'il y a bien un truc pro-inflammatoire tout pourri à éviter, c'est le tofu et le soja en général.

Que l'imbécile qui l'a prononcée commence à se mettre à la diète pour mettre en cohérence ses propos avec ses actes.

Pour une vraie critique de Rousseau (et de Hegel au passage) par un libéral, il faut lire Isaiah Berlin: La liberté et ses traitres

Ce que tout le monde avait prévu sauf nos imbéciles de socialistes arrive: duflot failure

Ce qui serait mieux, c'est que les suisses nous envahissent.

Les haribos devraient clairement être interdit, classés explosifs. Les politiques sont-ils au courant ? A quand un attentat aux haribos !! Vite une loi.

La fac, c'est bien quand on a une idée précise de ce qu'on y fait et de ce qu'on veut faire.