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Tout ce qui a été posté par Nicolas Azor
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Internet est-il une catallaxie?
Nicolas Azor a répondu à un sujet de z--- dans Science et technologie
Tout à fait mais amha il faut se garder d'en tirer des conclusions sur la viabilité des systèmes auto-organisés dans d'autres domaines, notamment la politique. Internet est un milieu beaucoup moins critique que le monde physique. Ce qui est en jeu c'est l'information, qui est quoi qu'on en dise tout de même moins vitale que les ressources matérielles et l'espace physique. Et sur internet, quand quelqu'un n'est pas content il ne peut pas prendre les armes pour faire la guerre. -
Tes fonds euros tu ferais mieux de les changer rapidement. Et pas en dollars, hein… Dans le même sujet, quand les politiques se disent prêts à "tout faire" pour sauver l'euro, on peut commencer à avoir peur: Berlin, Paris, Rome veulent "tout faire" pour garantir la pérennité de l'euro : La chancelière allemande Angela Merkel (g), le président français Nicolas Sarkozy © et le chef du gouvernement italien Mario Monti le 24 novembre 2011 à Strasbourg © AFP Eric Feferberg Les trois premières économies de la zone euro sont déterminées "à tout faire" pour garantir la pérennité de l'euro, a déclaré jeudi le président français Nicolas Sarkozy, à l'issue d'un mini-sommet entre l'Allemagne, la France et l'Italie à Strasbourg (est). Le président français a indiqué devant la presse que la chancelière allemande Angela Merkel, le chef du gouvernement italien Mario Monti et lui-même étaient déterminés à "tout faire pour soutenir et garantir la pérennité de l'euro". La France, l'Allemagne et l'Italie sont par ailleurs d'accord pour respecter l'indépendance de la Banque centrale européenne (BCE) et vont s'abstenir de demandes "positives ou négatives" à cette institution, a annoncé Nicolas Sarkozy. "Nous avons tous trois indiqué que, dans le respect de l'indépendance de cette institution, il fallait s'abstenir de demandes positives ou négatives" à la BCE, a dit le président français, tandis qu'Angela Merkel a affirmé que la modification prévue des traités européens ne concernerait pas la banque centrale. Le président français Nicolas Sarkozy a aussi affirmé que Paris et Berlin allaient faire "dans les jours qui viennent" des "propositions communes pour modifier les traités" européens afin d'améliorer la gouvernance de la zone euro. http://www.boursoram…7680631aa5d1d92
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Le capitalisme est-il l'incarnation du mal ?
Nicolas Azor a répondu à un sujet de Nicolas Azor dans La Taverne
Je n'ai pas lu "la France contre les robots" de Bernanos, mais le résumé sur la fiche wikipedia ainsi qu'une lecture d'un long extrait disponible sur dailymotion … http://www.dailymotion.com/video/xb25kp_georges-bernanos-la-france-contre-l_webcam … me donnent l'impression que le point de vue de Bernanos recoupe le mien développé dans ce fil. J'aime bien ce qu'il dit sur la technocratie contre la démocratie, sur la vie intérieure gênant le projet de développement des sociétés modernes, la dictature du nombre, etc… L'un des passages qui m'a marqué: « La civilisation des machines est la civilisation de la quantité, opposée à celle de la qualité. Les imbéciles y dominent donc par le nombre, et y sont le nombre. Un monde dominé par la force est abominable, mais le monde dominé par le nombre est ignoble. La force, fait tôt ou tard surgir des révoltés. Elle engendre l'esprit de révolte, elle fait des héros et des martyres. La tyrannie abjecte du nombre est une infection lente, qui n'a jamais provoqué de fièvre. Le nombre crée une société à son image, une société d'êtres non pas égaux, mais pareils, seulement reconnaissables à leurs empreintes digitales. Il est fou de confier au nombre la garde de la liberté. » -
Du sexe, des femmes et du libéralisme
Nicolas Azor a répondu à un sujet de ShoTo dans Lectures et culture
Pardon, je n'ai pas encore écouté le podcast en question mais je voudrais dire que perso, je n'aimerais pas être une femme en anarcapie. -
Libéral et exploration spatiale
Nicolas Azor a répondu à un sujet de sakabaro dans Science et technologie
Un projet d'avion-fusée plutôt classe: http://en.wikipedia….28spacecraft%29 C'est pas à proprement parler pour de l'exploration, mais au moins c'est privé (enfin presque). -
Les petites inventions qui font faire de grands bonds en avant
Nicolas Azor a répondu à un sujet de h16 dans Science et technologie
Pas compris. <–< -
Les petites inventions qui font faire de grands bonds en avant
Nicolas Azor a répondu à un sujet de h16 dans Science et technologie
Fantastique invention! Merci pour avoir relayé cette news. C'est agréable de voir un truc qui est réellement déjà fonctionnel et dans le commerce, pour une fois. -
Data mining, privacité et liberté
Nicolas Azor a répondu à un sujet de Boeldieu dans Science et technologie
Un premier pas est déjà de considérer que sur Internet, tout ce qu'on écrit est public, enregistré et archivé. Donc si on ne veut pas vivre comme dans un bocal d'aquarium, faut commencer par ne pas utiliser son vrai nom, masquer son adresse IP avec TOR et chiffrer ses mails avec GnuPG. PS. quoi que je me demande si avec un analyseur linguistique il n'est pas possible d'identifier quelqu'un uniquement avec sa manière d'écrire -
Libéral et exploration spatiale
Nicolas Azor a répondu à un sujet de sakabaro dans Science et technologie
Puisqu'on parle d'exploration spatiale, je viens de découvrir le logiciel : UUlLvGsRywU http://www.shatters.net/celestia/ Trop de la balle ce truc. En plus c'est gratuit et presque libre. Et ça fonctionne très bien sur un ordinateur modeste comme le mien (un EeePC), j'ai juste du désactiver la visualisation des couches atmosphériques. PS. la nuit dernière je me suis amusé à surveiller les géocroiseurs pendant un gros siècle. De mémoire celui qui s'est le plus approché l'a fait en juin 2030 et au plus près était à environ une distance Terre-Lune. Donc on est tranquille pour un moment -
Libéral et exploration spatiale
Nicolas Azor a répondu à un sujet de sakabaro dans Science et technologie
Vivre plusieurs mois dans un milieu hostile, c'est possible en effet. Mais ça reste une excentricité ou une nécessité pour une mission scientifique. Comme les mecs qui vivent en Antarctique. On peut y vivre et y travailler, mais personne ne rêve d'y passer ses vacances ou ne considère cet endroit comme un lieu pour un projet d'installation humaine à long terme. Les mecs qui rêvent d'aller vivre sur Mars me font marrer. Mars c'est une grande boule désertique. En comparaison le pôle sud et le Sahara sont des jardins d'Eden. Souvent dans le œuvres de SF il est décrit un clivage entre deux populations: les colons qui décident de quitter la Terre et ceux qui restent au bercail. Moi j'ai choisi mon camp. Ok mais de quel autre coté tu parles? Si encore on avait trouvé un monde habitable dans le système solaire, je voudrais bien. Mais non, jusqu'ici on a rien trouvé. On peut chercher avec les moyens d'observation et des sondes d'exploration (et ça je supporte à 100%), mais envoyer des hommes dès maintenant c'est pure bêtise. Et hors du système solaire, c'est juste trop loin. -
Libéral et exploration spatiale
Nicolas Azor a répondu à un sujet de sakabaro dans Science et technologie
Au risque de paraître rabats-joie, y'a des limites aux analogies. L'espace, c'est pas la Terre. On est fait pour vivre sur Terre, pas dans l'espace et pas sur une autre planète. En volant on a imité les oiseaux. En allant dans l'espace on imite quoi ? Rien. C'est pas parce qu'on a réussi quelques trucs qu'on est capable de faire tout ce qu'on peut imaginer. C'est bien d'être optimiste et rêveur, mais on a aussi le droit de penser qu'il y a des limites de facto. Y'a des gens qui rêvent de terraformer Mars. Qu'ils commencent déjà par verdir le Sahara ou s'installer au fond des océans, et après on en reparle. En fait l'idée que l'homme a pour destin de quitter son berceau pour explorer et coloniser l'univers est tellement banale que j'ai l'impression que l'idée contraire, selon laquelle il est condamné à rester sur Terre à cause de limites intrinsèques est intellectuellement plus audacieuse et originale. -
Je n'ai pas le moindre respect pour Thomas d'Aquin. C'est pas parce qu'il est célèbre qu'il est respectable. Tout comme Lady Gaga n'est pas la nouvelle Beethoven.
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Les médecins sont des libéraux ?? Leur activité est pourtant directement subventionnée par l'état, non?
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Tu marques un point.
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Le capitalisme est-il l'incarnation du mal ?
Nicolas Azor a répondu à un sujet de Nicolas Azor dans La Taverne
+1. J'aime beaucoup. -
Voilà, c'est aussi pour ça que j'ai jugé bon de faire la correction.
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Ben ça m'a fait tiquer quand même, vu que sur l'article Wikipedia au moins la théorie contraire, le positivisme juridique, est mentionné. Ah et sinon encore une fois sur le fait que mes connaissances sur le sujet sont effectivement limitées, pardon mais on ne peut pas tout savoir sur tout, mais ça ne doit pas nous empêcher d'avoir un avis. Quant à ma répugnance à en apprendre plus, navré mais y'a des trucs comme ça qui ne font pas envie. Y'a une trop grande distance cognitive, comme avec le révisionisme, le créationisme, l'astrologie etc…
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corrigé
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Le capitalisme est-il l'incarnation du mal ?
Nicolas Azor a répondu à un sujet de Nicolas Azor dans La Taverne
Comment qu'on fait pour télécharger tout un fil pour une lecture hors-ligne?? -
Libéral et exploration spatiale
Nicolas Azor a répondu à un sujet de sakabaro dans Science et technologie
Ben le plus proche candidat serait dans le système Alpha du Centaure, à 4 années-lumière. Par comparaison, Voyager 1, l'artefact humain le plus éloigné du Soleil, se trouve actuellement à environ 15 heures-lumière. C'est dire. PS. Je crois que si la distance entre la Terre et le Soleil était de un millimètre, proxima du Centaure serait à 252 mètres. Et c'est l'étoile la plus proche. Visualise un millimètre, puis figure toi 252 mètres… -
Libéral et exploration spatiale
Nicolas Azor a répondu à un sujet de sakabaro dans Science et technologie
C'est juste que l'espace, ça craint. C'est froid, y'a pas d'air pour respirer, le soleil y tape très fort, et en plus c'est vachement loin. Vouloir y aller par curiosité je veux bien, tout comme y'a des gens qui s'amusent à aller au pôle sud ou au sommet de l'Everest. Mais ces gars-là il n'ont jamais dans l'idée d'y construire un campement permanent. Ils se dépêchent de retourner dans un endroit plus hospitalier. Par comparaison, les Amériques étaient un continent au climat agréable, à la végétation luxuriante, et dont les indigènes accueillaient les européens avec des fleurs et des vahinés. C'est pas tout à fait pareil, hein… Il y a sûrement des mondes habitables dans l'univers, mais tout aussi sûrement aucun d'entre eux n'est à portée d'un vol habité. -
La question n'est pas que les hommes aient été capables de commettre ce genre de violence, la question est que le jugement qu'ils portaient sur ces actes était très différent de celui qu'on leur porte de nos jours. Par exemple les romains, selon l'adage, mouraient sans crainte, et tuaient sans remord. évidemment que la justice et le droit n'existent que si leur antithèse, le crime, existe aussi. Sinon le droit n'aurait aucune raison d'être. Mon propos consiste à nier que cette justice ait quoi que ce soit d'absolu, de naturel , rien « qui dérive de la nature même d'un être. Ainsi, les droits naturels de l'homme sont des droits qui viennent du fait qu'il est un humain, indépendamment de sa position sociale, de son ethnie ou de toute autre considération. » Ben non, même pas. Non. Le contraire c'est que la justice est un concept subjectif, culturel, que c'est hétérogène, que ça change, que ça n'a rien d'absolu ou de propre à l'espèce. J'ai hésité à mettre "atrocité" entre guillemets ou en italique, vu que je me doutais qu'on me corrigerais là dessus. Le mot "atrocité" est, il me semble, un jugement sur le caractère horrible, répugnant ou cruel d'un acte. écorcher un bébé phoque vivant c'est un boulot comme un autre pour certains, c'est une atrocité pour Brigitte Bardot. C'est relatif. C'est Lucilio qui a commencé à utilser un vocabulaire agressif. ça m'a énervé.
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Ces intéractions n'ont rien d'unique. Elles ne forment pas un corpus complet ou cohérent. Quand deux personnes se rencontrent, elles peuvent collaborer pacifiquement, s'ignorer, se taper sur la gueule, etc. Au risque de me répéter: c'est parfaitement contingent. Ce qui arrive souvent c'est que celui qui a un fusil tire sur celui qui n'en a pas, pour lui prendre son or, sa femme, ses terres ou ce que vous voulez. Et ça n'est pas considéré comme un crime, mais au contraire comme une bonne chose, pour des motifs divers: colonialisme, évangilisation, etc… Ce que vous appelez droit naturel ne peut se manifester qu'entre personnes ayant un minimum de bagage culturel commun. En ce sens il n'a rien de naturel, sauf à considérer la culture comme l'émanation de la nature (mais dans ce cas tout est nature et le mot perd toute utilité). Mais même dans ce cas une telle conception est contraire à votre définition telle qu'on la lit sur wikilibéral: « Un droit naturel est un droit qui dérive de la nature même d'un être. Ainsi, les droits naturels de l'homme sont des droits qui viennent du fait qu'il est un humain, indépendamment de sa position sociale, de son ethnie ou de toute autre considération. » Pour moi le droit est fondamentalement un phénomène culturel, et à ce titre il est incompatible avec une telle définition car la culture n'a rien d'unique et rien de commun à tous les hommes. Et même si un jour elle devait converger à l'échelle planétaire, elle le ferait dans l'espace mais pas dans le temps car elle continuerait à évoluer. Dès lors, parler d'un droit qui émanerait du statut d'être humain « indépendamment de sa position sociale, de son ethnie ou de toute autre considération », est absurde. A part peut-être le tabou de l'inceste fils-mère (qu'on partage avec les bonobos au passage), je ne connais aucune pratique que les hommes n'ont pas considéré, à un certain moment et dans une certaine civilisation, comme normal ou légitime. Le meutre ? Tuer quelqu'un a été d'une banalité affligeante pendant des millénaires. La guerre, les infanticides pratiqués pour réguler la population, les duels, etc, etc. Le vol ? Sparte déjà mentionné plus haut. Ou plus simplement les pillages pratiqués par des dizaines de civilisations pour lesquelles les territoires étrangers étaient un réservoir de richesses en libre service. La torture ? L'inquisition, la guerre encore, etc… Encore une fois c'était pas considéré comme un crime. C'était normal. Le viol ? Droit de cuissage, tribu du guerrier, etc. Le viol c'est une forme d’agressivité comme une autre. L’anthropophagie ? Pratiquée de façon rituelle par des tas de tribus paléolithiques. Dieu est mort, les gars. N'essayez pas de le remplacer par un juge ou par un avocat.
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Libéral et exploration spatiale
Nicolas Azor a répondu à un sujet de sakabaro dans Science et technologie
Ces ressources actuellement mobilisées par l'état ne disparaîtraient pas dans la nature si l'état ne se les accapareraient plus. Elles seraient déplacées vers le privé, mais existeraient toujours. IL Y A un intérêt économique direct: tu en es la preuve vivante. Il y a des tas de gens comme toi qui sont fascinés par la conquète spatiale, et qui représente donc dans les faits une demande susceptible de générer un chiffre d'affaire. La conquète spatiale est un secteur économique de même nature que le tourisme. C'est juste l'échelle de distance parcourue qui n'est pas la même. Personnellement je ne crois pas du tout en l'intérêt d'envoyer des hommes dans l'espace ou sur d'autres planètes, mais par contre j'aime beaucoup l'idée d'envoyer des sondes d'exploration un peu partout. PS. sinon la conquète spatiale privée avance. Lentement, mais elle avance. www.copenhagensuborbitals.com www.virgingalactic.com -
Cherchez l’intrus. Réponse: Dans 1984, l'oxymore qui mentionne la force c'est: L'IGNORANCE, C'EST LA FORCE http://wikilivres.info/wiki/1984 Le droit n'est mentionné dans aucun d'entre eux. Lucilio, honte à vous.