Aller au contenu

Apollon

Utilisateur
  • Compteur de contenus

    9 903
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Apollon

  1. Non mais critique d'un démocratisme naïf oui.
  2. La seconde est en effet contre tout pouvoir politique extensif, mais la première est une critique de la démocratie. A nous de voir si nous voulons des citations pro-libérales ou anti-démocratiques.
  3. Bravo pour la présentation, c'est vraiment agréable et pro. En revanche les deux citations sont faiblardes et en plus elles sous-tendent une critique de la démocratie ce qui est extrêmement réducteur de la ligne du canard.
  4. Apollon

    Blagues

    Qu'est-ce qu'on rigole
  5. Le web est décidément un espace de lynchage.
  6. J'en ai entendu du bien.
  7. C'est pour ça que j'ai entamé la discussion en indiquant que des conséquences absurdes discréditaient le système en amont.
  8. Parce que ça ne veut pas dire grand chose. Qui exercerait ces droits ? Les animaux ? Non. Donc l'Etat. Ce n'est pas une typologie liberhallal pour défendre les animaux. +1
  9. Bof. C'est aussi bien nier la souffrance animale qui justifiera l'action de l'Etat en réaction. C'est ce que j'expose précédemment. L'animal peut tenter d'échapper à un état néfaste sans pour autant connaitre la douleur. La douleur n'est pas la seule sensation qui commande des comportements et on peut concevoir d'autres mécanismes que les sensations qui guident utilement l'animal. L'homme par exemple dispose de la raison qui lui permet de rejeter une choses comme mauvaise sans qu'elle lui fasse nécessairement une sensation de douleur. Pour savoir si un animal ressent la douleur, il faudrait plutôt s'intéresser à l'état de son système nerveux lorsqu'un mal lui est infligé.
  10. ok ça ne marche de moins en moins à mesure qu'on s'éloigne de l'être humain et qu'on s'approche de formes de vie dépourvues d'émotion. Note que les pigeons ne peuvent se faire réduire par des moyens violents. A Paris on les nourrit avec du stérilisant. Un prétexte à quoi ?
  11. Désolé mais cette conception des choses fait le lit de l'étatisme. A partir du moment où on nie l'interdit moral ou bien on lui anéantit sa portée en en faisant une affaire strictement individuelle, on permet à l'Etat de venir imposer l'obligation par la loi et la menace de sa force. Certaines choses sont naturellement interdites : cet interdit se fonde généralement sur l'autorité, le préjugé, la morale. Détruire ces fondements ne fait que restaurer le fondement le plus primitif : celui de la force. Il faut donc admettre que faire souffrir inutilement les animaux est immoral et doit être réprouvé. A défaut le législateur prescrira la règle.
  12. C'est jurisprudentiel. Ce développement n'est pas logique ; le problème que tu soulèves n'est pas celui d'un problème de définition.
  13. Il faut en débattre pour le déterminer. L'état du droit là-dessus me convient : légal si découlant d'un tradition ininterrompue. Et donc légale dans le sud, illégale à Paris.
  14. Ce n'est pas gratuit puisqu'il s'agit d'appliquer un rite séculaire conformément à une prescription religieuse.
  15. En droit, l'animal est une chose mais c'est une fiction juridique. Au passage je ne pense pas que l'animal ait des droits, je pense en revanche que l'être humain doit s'abstenir de lui faire du mal gratuitement.
  16. Non Parce que la loi se substitue à la morale. Qui a dit que l'animal était une personne ? Et qui a dit qu'il fallait enfermer celui qui le faisait souffrir pour le plaisir ? Personne. En tirant toutes les conséquences des idées de départ, telles que "l'animal est une chose", tu en viens à justifier tout acte sadique envers les animaux. Or en même temps tu soutiens toi-même que tu ne commettrais de tels actes et que tu serais outré par ceux-ci. Tu tires donc les conséquences théoriques en t'abstenant bien de tirer les conséquences pratiques. De fait tu ne traiteras pas l'animal comme une chose quelconque. Dommage que tu ne vois pas que l'absurdité des solutions théoriques condamne la véracité du système.
  17. Si on ne peut pas déterminer ce qui est absurde de ce qui ne l'est pas alors toute discussion est vaine et être coco ou libéral n'est in fine qu'une question de hasard. Dire que l'animal domestique est une chose sur laquelle on peut se permettre des actes sadiques est une absurdité qui discrédite le système en amont. Je ne dis pas que ce système est le libertarianisme c'est le plus primitif et individualiste j'ai-droit.
  18. Bon rétablissement ! Heureusement que ce n'est pas arrivé à la main écrit mais à celle qui tient la bière.
  19. Bastiat : "l'inconséquence est la limite de l'absurdité. J'aurais pu ajouter : elle en est en même temps la preuve." Si notre système débouche sur des solutions absurdes c'est que le système est absurde, pas qu'il faut adopter l'absurdité.
  20. Tiens oui, je devrais reprendre tout ça
  21. Mortelle, c'est bien le mot.
  22. Sa mort avait déjà été annoncée prématurément. Peut-être pour forcer le démenti. On imagine LO cacher la date de sa mort par gout du mystère.
  23. Apollon

    Vidéos comiques

    Une preuve de plus que les politiques n'ont plus d'autorité. Et c'est regrettable. Il suffit de voir ses nouveaux détenteurs pour s'en convaincre.
  24. C'est ton châtiment pour avoir fait sa promo.
×
×
  • Créer...