Je crois que tu te trompes dans les grandes largeurs mais peut-être est-ce parce que tu vis au Canada. Mettre un streetwear c'est être un plouc urbain. Avoir les moyens et s'acheter du streetwear, c'est ajouter la vulgarité à la vulgarité.
Là où tu as raison c'est quand tu écris que le streetwear n'est pas réservé aux rappeurs et aux lycéens, c'est en effet davantage réservé aux ploucs qui poussent l'absence de goûts jusqu'à prendre pour modèle les rappeurs et les lycéens.
Mais pas non plus en sac.
Ah non elle est moche celle-là.
Une des rares fois où j'ai regardé, ce soir ou jamais, le rôle du peintre en bon sentiment était assuré par un comédien qui peinait à s'exprimer, et qui, vérification faite, avait vécu toute sa vie à Neuilly.
Compréhension et excuse du fort, haine du faible et idéologie inversant les rôles, voilà résumé le gauchisme, religion d'une partie des seules classes intellectuelles qui ce faisant font de leur faiblesse physique et morale une vertu.
Normal. Si les couples mariés normaux sont en pointe contre le mariage homosexuel alors ils ne voteront pas Hollande et donc c'est une catégorie qui se fera taper sur les autres sujets.
A la découverte de la politique !
Ceci dit, j'estime que c'est un bien.
Un peu tout vu que le lecteur n'est pas télépathe. Tu parles de décision sans dire son objet, d.optimal sans dire par rapport à quoi, de raison sans dire de qui. Etc.
Bref on ne voit même pasde quoi tu parles.
Voilà, un arabe qui participe à une manifestation festive au trocadero c'est un épiphénomène qui ne veut rien dire, mais un type qui lache son chien sur des arabes c'est la preuve du racisme en France. Aah le double standard. Systematique !
Comme dans tout système utopique, on omet de dire qui juge : qui décide de ce que quelqu'un arrête de travailler une terre et que sa terre peut être allouée ? Par qui ?
C'est bien joué, une tentative de divertir (eloigner) les centristes du mouvement en affectant la modération et en stigmatisant des extrêmes en réalité insignifiants.
C'est la finalité qui fait le terrorisme : toucher le tout à travers la partie, faire sentir à l'ensemble qu'il doit avoir peur et n'est pas à l'abri puisqu'un seul, au hasard peut à tout moment être atteint.