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Filthy John

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Tout ce qui a été posté par Filthy John

  1. Si. Il faut aller le féliciter. C'était mon instant Lucilio.
  2. Rincevent, quand tu as les pneus lisses, tu ne changes pas de voiture quand même ? Normalement, ton disque dur doit être facilement accessible, via une trappe vissée sous la machine, et tu peux le changer en quelques minutes avec un jeu de tournevis adéquat. Tu prends un boitier externe pour disque au format 2"1/2, tu mets ton ancien disque à l'intérieur, et tu pries pour qu'il tourne encore assez longtemps pour que tu puisses extraire les données.
  3. Filthy John

    Matos & autres

    Si tu es sous Seven, tu as les ISO de DigitalRiver, dont on trouve les URL rapidement avec Google (listées, entre autre, ici). Pour être tranquille, tu télécharges la version "Ultimate" puis utilise le "ei.cfg removal utility" disponible ici pour pouvoir avoir une version "All in one" et choisir le type de système à l'installation (Home, Pro, Intégrale…) suivant la clé en ta possession. De cette manière, tu n'auras pas besoin de graver d'autres disques si tu as des machines secondaires avec des versions différentes de l'OS (pratique désormais, car plus aucun constructeur ne livre de version OEM sous forme de galette). Sinon, me suis pris un petit laptop ASUS selon les conseils glanés ici : merci pour les tuyaux car le matériel de cette marque semble effectivement de très bonne facture. Maintenant, j'espère qu'OSX tournera proprement là-dessus…
  4. Tu peux m'expliquer comment le Malawi ou le Burkina Faso fait pour taxer le coton américain subventionné vendu aux Chinois ? Si ces pays taxent, ils taxent sur leur territoire, et pas ailleurs, ce qui ne les rends pas plus compétitif au niveau international. Parce que tu peux libéraliser ce que tu veux, si ton principal concurrent fausse le marché, tu perds de l'argent sur ce secteur. La seule alternative, c'est de se loger sur un marché qui ne soit pas distordu.
  5. Le droit patrimonial s'applique-t-il lorsqu'il n'y a pas d'exploitation marchande de l’œuvre ? Dans le cadre du P2P, j'ai tendance à considérer que celui-ci n'est pas violé, puisqu'il n'y a pas de rémunération. MegaUpload, par contre, violait ce droit en faisant payer ses services.
  6. Tu sais que le taux de chômage allemand était encore supérieur à 10% il y a seulement 5 ans ? Sur le long terme, une telle déréglementation du marché du travail paye et il faut lui laisser le temps de se rééquilibrer. A l'heure actuelle, ils sont sur la bonne pente : dans certains Länder, la main d’œuvre qualifiée commence à se faire rare, les syndicats renégocie les salaires avec des hausses supérieures à l'inflation dans la plupart des branches professionnelles, ils ont de la croissance et créent de plus en plus d'emplois. Dans les faits, sur les 4.9 millions de Minijobbern que tu cites, certains des employés occupent plusieurs postes, et d'autres ont un temps plein à côté, ce qui fait qu'il ne reste au final que 2.4 millions de personnes n'ayant qu'un seul Minijob pour vivre. Et dans le tas, beaucoup de femmes au foyer et d'étudiants qui ne désirent pas de toute manière accéder à un emploi à temps plein. Après, si tu écoutes les Berlinois ou les médias français, qui baignent très fortement dans le gros marxisme qui tâche et n'aiment pas trop regarder les chiffres de trop près, le tableau dressé sera sombre. Ils vont mélanger les chiffres des emplois dits "précaires" (tout ce qui n'est pas un CDI, en somme) qui s'élèvent à 7.8M avec le nombre de Minijobbern, pleurer sur la baisse des salaires (qui n'est que de 4% en 10 ans pour le salarié moyen) et t'expliquer qu'il faudrait un bon gros SMIC à la française pour remettre de l'ordre dans tout ça. Ouais, ouais, ouais. Ca, c'est l'apanage des ploucs qui préfèrent voir un inactif pauvre gavé de subventions sociales et exclus du travail qu'un salarié pauvre qui garde un pied dans le monde professionnel, accumule de l'expérience, et conserve quelques chances de transformer son Minijob en emploi stable. Le seul truc qui tient la route dans tout ce discours, c'est l'impossibilité de faire tenir le système dans le temps avec le marasme dans lequel le reste de l'Europe se trouve. Avec une récession dans notre zone, les Allemands vont prendre cher vu qu'ils ont une politique de l'offre alors que notre politique de la demande est en train d'arriver en bout de course. Et comme d'habitude, on incriminera les vertueux : on pointera du doigt les Allemands, leur politique ultranéolibérale qui a ruiné l'Europe, on expliquera que leur modèle kapitaliste basé sur l'injustice était voué à tomber, et on reviendra à nos vieilles lunes socialistes. D'ailleurs, l'OIT a récemment balancé une première charge en ce sens. Personnellement, et pour revenir un peu dans le sujet, je vois bien la récession qui arrive pousser l'Allemagne dans les bras d'une coalition de gauche "hard", coûtant à Merkel sa place de chancelière et aboutissant à la nomination lors des élections de 2013 d'un chancelier couleur pastèque : vert pâle à l'extérieur, avec de belles teintes de rose dès que l'on creuse un peu et un cœur rouge à souhait. Ce serait la fin du modèle Hartz / Schröder et surtout la fin du peu qu'il restait d'orthodoxie dans ce merdier socialisant qu'est devenu l'Union Européenne. Dites bonjour aux Eurobonds et à l'inflation à deux chiffres. A moins que les Allemands ne sortent de l'Europe et nous laissent nous démerder. Il faudra alors dire bonjour aux PIGSbonds et à l'inflation à trois chiffres.
  7. Il n'y a pas d'hostilité dans mon premier message mais des objections. Les hostilités, tu les as toi-même démarrées par tes raisonnements fallacieux et tes invectives hors de propos, en assimilant les défenseurs du salariat à des fonctionnaires militants pour l'édiction d'un salaire maximum. Raison pour laquelle je t'ai renvoyé tes sophismes au visage. Quant aux questions, elles sont sous-jacentes, même si elles ne sont pas posées. On pourrait effectivement le faire, mais cela demeure totalement inutile, tant les réponses sont d'ores et déjà limpides. Juste pour l'illustration, on va en poser deux, inspirées de mon premier message : Si tous les employés de ta société sont uniquement rémunérés par l'intéressement aux bénéfices, comment gères-tu un affaiblissement ponctuel de tes taux de marges ou un investissement ? Si les rémunérations sont fixées arithmétiquement en fonction de tes résultats, comment procèdes-tu à une augmentation de trésorerie dans les "saisons hautes" ? Il n'y a pas mille façon d'y répondre : Je baisse les rémunérations. Je ne peux pas. Ce qui veut dire que si, à l'heure actuelle, tu avais une société spécialisée dans le transport routier, tes employés claqueraient la porte. Car avec l'augmentation des prix du carburant, les marges et les rémunérations s'affaisseraient, et vu la demande sur le marché du travail concernant les chauffeurs, inutile de te dire que tu ne serais pas en position de force. De même, si tu devais acheter de nouveaux camions, toujours dans le cadre de cette société de transport, tes employés en pâtiraient, puisque ton bénéfice baisserait mécaniquement avec l'amortissement des nouveaux investissements. Tes "salariés" auraient donc intérêt à ce que tu n'investisses pas, au final… Si tu avais un commerce, la période des fêtes qui s'achève se serait terminée sur un fort excédent, fort excédent qui aurait été en partie redistribué à tes employés, te laissant avec une trésorerie réduite pour affronter la période de soldes et l'habituel ralentissement des ventes sur la période allant de février à avril. Tu risquerais de ne même pas pouvoir couvrir tes frais fixes… Ce qui marche pour toi, en tant que professionnel libéral, ne marche pas pour tout le monde. Vouloir fixer arbitrairement les conditions de rémunération de tous selon tes propres prérogatives et au détriment de la liberté contractuelle est une hérésie, quelque soit le plan (éthique, utilitarisme) sur lequel on se place. Maintenant, en ce qui concerne ma position, cela ne te concerne en aucun cas, et n'enlève rien à la validité de mes arguments.
  8. True. C'est ce que je sous-entendais maladroitement par "avantages" : le salariat permet à l'employé de minimiser les risques et pour l'employeur de maîtriser les coûts. Après l'homme de paille défendant le salaire minimum, voici l'ad hominem corrélant la crédibilité de son interlocuteur au nombre de personnes qu'il emploie. Et l'argument d'autorité "Moi j'emploie des gens, je sais ce que je dis" ne tarde pas à tomber. C'est cool, tu gères bien tes sophismes.
  9. Clairement, Kuing, il faut que tu arrêtes avec cette lubie de l'abolition du salariat et de rémunérations adossées aux résultats de l'entreprise. C'est un système complètement bancal. Si les types du marketing me sortent une campagne dantesque renforçant mon image de marque et me permettent de doubler les marges sur mes produits, l'ensemble de mes « salariés » bénéficieraient mécaniquement d'une augmentation, même s'ils n'ont pas amélioré leur productivité. Je ne vois pas exactement l'intérêt de les récompenser pour le travail des autres… Et si le prix de mes matières premières double ponctuellement, réduisant mon bénéfice d'autant sur la période, je ne vois pas pourquoi mes employés en feraient les frais. Ce n'est pas leur job d'anticiper les fluctuations sur le tarif des intrants. La rémunération des employés est un incitant bien trop puissant pour être laissé au hasard ou calculé sur la base d'une simple formule mathématique. Aucun manager de qualité n'accepterait d'en perdre le contrôle, tant les préjudices peuvent être immenses pour l'entreprise. Aussi, le salaire est un prix, et donc une information, qui est d'une importance cruciale dans un système top-down aussi asymétrique qu'une société. Ce n'est pas pour faire joli sur l'organigramme que l'on emploie des DRH bardés de diplômes négociants leur rémunération en dizaines de k€. Techniquement, je ne donne pas trois ans à une société bâtie sur un tel modèle avant de s'effondrer. Si tu rehausses ton bénéfice, l'aspect mécanique de la redistribution t'empêchera de capitaliser et tu ne pourras jamais en profiter pour gonfler ta trésorerie. En cas d'investissements lourds, qui peuvent nécessiter un emprunt et/ou une perte sèche sur une période donnée, tu envoies un signal contradictoire à tes employés en baissant leurs salaires alors que l'activité est prévue à la hausse (sinon tu n'investirais pas), de même qu'en cas d'ajustement des prix pour mettre en place une stratégie concurrentielle agressive… et en cas de période creuse, l'information se retourne carrément contre toi, pouvant pousser tes salariés-actionnaires au découragement au plus mauvais moment. Le salariat, ça a beaucoup d'avantages, à la fois pour les patrons et pour les salariés eux-même. En France, ça n'est merdique que parce que l'état a décidé de se placer au milieu et de tirer la couverture vers le salarié dans un pur calcul électoral.
  10. S'il faut un flingue en cadeau, c'est l'année ou jamais d'offrir un 33 ! Bon anniversaire
  11. Grumpf… J'ai cru bon de changer l'ordre de démarrage de mes disques pour que GRUB prenne la main sur le loader de Windows. Le pauvre OS s'en est malheureusement retrouvé tout chamboulé et a commencé à me gerber de l'I/O Error par paquets de 10. Résultat des courses : deux téra-octets de données corrompues et deux journées perdues à essayer de les récupérer. Je n'ai jamais autant regretté mon Mac .
  12. Merci pour l'inspiration : j'étais justement en train de réfléchir à ce que je pouvais préparer pour le dîner. Ce sera donc raclette, ce soir.
  13. Bel homme de paille, Tremendo. Je suis sur qu'ailleurs que sur Liborg, un tel sophisme aurait pu passer, mais Rincevent et Chitah l'ont très bien souligné. Avoir confiance en l'individu ne sous-entends pas qu'il soit nécessaire de faire confiance en la capacité des foules à décider collectivement des lois. Simplement rien à voir. J'ai parfaitement confiance en la capacité de l'Homme à prendre des décisions individuelles, motivées par une volonté de maximiser son bien-être, et dont lui incombe toutes responsabilités, mais absolument aucune en sa capacité à décider du bien général à travers un processus de votation collectif engageant la responsabilité de toute une population. Surtout dans un pays comme la France, où le niveau d'éducation économique et politique est d'un ridicule achevé et la tentation de spoliation du voisin à son propre profit plus grande encore que partout ailleurs. La majorité silencieuse, c'est celle que nous côtoyons au quotidien. Le jour où elle prendra la parole, crois-moi, tu seras parmi les premiers à prier pour qu'elle la ferme. Quant à la faculté des Français à être autre chose que des enfants irresponsables, à l'heure d'aujourd'hui, cela tient plus de la blague de mauvais goût que de la réalité. C'est d'ailleurs, à mon avis, tout l'intérêt de DD. Derrière le cynisme et la volonté d'en finir au plus vite avec la sociale-démocratie dans un dernier feu d'artifice marxisant, il y a un pari osé : celui de la pédagogie. Avec beaucoup de chance, les lamentables échecs qu'un tel outil finiraient par provoquer pourraient ouvrir les yeux de nos concitoyens sur les réalités politico-économiques et les dangers des raisonnements constructivistes. Les Français sont littéralement en situation de dissonance cognitive quant au rôle de l'état, et un bon choc pourrait les ramener à la raison. Aussi, il y aurait effectivement une petite chance de voir le peuple abattre certains privilèges de la nomenklatura au passage. Un plaisir que l'on ne peut pas bouder, même si l'on sait très bien que le peuple ne s'arrêtera pas en si bon chemin dans sa volonté de couper des têtes et que tout ceux qui puissent être considérés de près ou de loin comme des riches ou des privilégiés y passeront aussi. Pour le meilleur comme pour le pire : un droit de véto populaire aurait pu bloquer la mise en place de l'HADOPI, mais il aurait aussi très sûrement bloqué les réformes des caisses de retraites, le changement de statut de la Poste, la loi de modernisation des collectivités locales… Inutile de te dire que si des réformes libérales d'ampleur venaient à nous être imposées sous la pression des déficits, la démocratie directe les tuerait dans l’œuf. Et c'est ça que je trouve potentiellement intéressant : lorsque les Français auront refusé démocratiquement toute forme de libéralisme et devront faire face au mur des réalités, il ne leur restera guère que le choix de la remise en question.
  14. Je n'ai pas changé d'avis sur la démocratie directe : Cependant, je dois avouer que je soutiens désormais une mise en place rapide d'un tel outil. Justement car je suis parfaitement conscient que celui-ci va être très mal utilisé, et qu'il pourrait hypothétiquement avoir un rôle pédagogique… mais surtout parce qu'il va se révéler être un formidable catalyseur des forces destructrices. Je me fais salement utilitariste sur cette question : la fin justifie les moyens. Le processus sera moche et sanglant, mais j'ai désormais tendance à penser qu'il s'agit là d'un passage obligé qu'il faut s'ingénier à rendre le plus bref possible. D'où la démocratie directe. L'assurance d'une overdose rapide de sociale-démocratie. Encore plus fort qu'un vote Aubry. Au main des Français, cet outil est le gage de l’avènement d'un marxisme chantant et riant, où les votations pour taxer les riches, les flux financiers et toute autre source d'argent méchant se succéderont dans l'allégresse populaire, à un rythme que jalouseront les petites filles expertes en corde à sauter. Les miracles auxquels les plus utopistes d'entre nous rêvons humidement auront tôt fait de prendre corps : nationalisation des banques, subventions généralisées, principe de précaution sacralisé, arrêt des centrales nucléaires, interdiction de fumer, argent gratuit pour tous… Une ruine savamment organisée, festive et citoyenne©, pour le peuple et par le peuple. Nous allons nous prendre un mur, alors autant faire ça bien, tous main dans la main, dans un dernier grand délire constructiviste et socialisant.
  15. Belle période pour fêter son anniversaire ! Un très joyeux à toi, Copeau.
  16. Tu as raison, Azor : la vie est totalement contre-nature en ce qui concerne l'Homme. Car à la base, tout le monde le sait, ceux-ci naissent morts et leur faculté à vivre n'est qu'une considération d'ordre culturel. Non, sérieusement : je n'aimerai pas être dans ta tête. Il faut tout de même sacrément torturer les mots et les sens pour arriver à tes conclusions… Parce que si tu n'arrives pas à comprendre ce qu'il peut y avoir de naturel à considérer qu'un être vivant a le droit de rester vivant, tu devrais quand même te poser des questions.
  17. J'ai souvent entendu des devs vanter ce type de clavier, mais je n'ai encore jamais posé les doigts sur un des engins de la série Natural Keyboard de MS. J'aurai manqué quelque chose de si extraordinaire ? Vu le nombre de lignes que je me tartine en ce moment, il va d'ailleurs falloir que je pense à me retrouver un vrai clavier de coder bien costaud… je crois que je vais aller poster ça dans le topic dédié au matos informatique. Sinon, j'ai du me tartiner un gros nombre d'heures de route aujourd'hui, et, vu que mon vieillissant smartphone est tombé en rade de batteries en cours de chemin, je n'ai eu d'autre choix que celui de la radio pour m'accompagner… et je n'ai pas même réussi à tenir un quart d'heure avant de tout couper et préférer me parler à moi-même pour m'occuper. Dès l'allumage, une grognasse sous Lexomil a commencé à débiter un texte absurdes aux rimes déplorables dans lequel elle expliquait être en apesanteur dans un ascenseur, le tout sur une loop dégueulasse composée deux samples et trois beats semblant sortir tout droit des nineties… J'ai cru pouvoir respirer un instant en entendant les Red Hot, mais ceux-ci furent rapidement coupé pour laisser place aux jérémiades d'un dépressif que j'aurai préféré voir passer sous mes roues qu'à la radio, avec un enchainement direct sur l'égorgement rituel d'une truie passé au vocoder une chanson de Britney Spears et un hymne tiers-mondiste dans lequel une bande de gugusse que j'imagine bouffer tous les jours au restaurant expliquaient qu'ils voulaient de l'eau. Je n'avais alors jamais été aussi heureux d'entendre une publicité de ma vie. Jusqu'à ce que celle-ci s'achève sur un message sanitaire expliquant que manger gras-salé-sucré c'était mauvais… La suivante s'acheva sur une note concernant les économies d'énergie. Puis vint un message du ministère de la santé concernant la rougeole, que j'interrompis prestement pour éviter de finir par déféquer de rage sur le cuir de mon siège conducteur. Quel pays de merde : même l'advertising est en proie au socialisme. Du coup, je n'arrive pas à dormir. Ca fait maintenant un petit moment que je vis relativement coupé du reste de la France et cet épisode de la radio m'a donné l'impression d'avoir séjourné plusieurs années dans un caisson cryogénique.
  18. Ça, je l'avais saisi… ce qu'il m'intéresserait de savoir, c'est ce qu'il va advenir de ces CDS une fois les banques ruinées. Car, imaginons que la SG ait émis une bonne quantité de swaps sur la dette franÇaise, et que, les taux explosant, elle soit acculée à la ruine, puis nationalisée par un de nos brillants technocrates. Est-ce que l'état franÇais récupère ce genre d'actifs à ce moment-là ? Parce que, du coup, on se retrouverait à devoir payer le remboursement de la dette, les intérêts de la dette, et les assurances sur la dette. De quoi rincer les finances (et les contribuables) en l'espace d'un trimestre.
  19. Sauf que l'on parle de couple, Apollon… une des rares structures sociales où le communisme peut s'avérer fonctionnel.
  20. Accessoirement, la force physique fait partie des éléments structurant l'archétype masculin (animus) dans la psychologie féminine. Par extension, mieux vaut parfois sortir ses petits bras et déplacer un meuble un peu lourd que finir cocu. Après, tu peux tomber sur une donzelle qui va te répéter à l'envie que cela n'altère en rien ta virilité. Mais c'est juste qu'elle est aussi barge que toi.
  21. Les cons, ils se sont fait avoir à leur propre jeu. J'imagine que lors de l'euphorie pré-Lehman, lorsque les cours des CDS baissaient, les banques devaient s'en mettre plein les poches, puisque les positions sont obligatoirement soldées chaque jour. Maintenant que les trends s'inversent, c'est l'hémorragie… et ces glands n'ont absolument rien provisionné sur les dividendes encaissés lors de la phase baissière. Et donc, le jour où on va devoir nationaliser les banques exsangues, on récupère leur passif et ce genre d'instrument rigolo se retrouvera à la charge du contribuable ?
  22. Je classerai mon actuel Lycosa second dans le top des claviers que j'ai pu avoir sous les doigts (avec le Apple Extended Keyboard II en première place). Les touches sont assez rapprochées et très rapides, avec une course courte rappelant les claviers slims des premiers Powerbook aluminium. Il a un bon feedback sonore (ni trop bruyant, ni totalement silencieux) mais le retour "sensitif" est vraiment léger : si tu n'aimes pas les touches trop molles, passe ton chemin. A éviter aussi : la finition "mirror" qui se dégueulasse à une vitesse effrayante et qui n'offre pas le grip du modèle classique, dont les touches ont un feeling "peau de pêche" vraiment sympathique. Personnellement, j'ai fait la boulette de prendre cette finition, et je suis obligé de garder un flacon de solution hydro-alcoolique sur mon bureau pour me dégraisser les doigts régulièrement si je tiens à ne pas pourrir mon clavier trop rapidement ni foirer mes contrôles en arène. Quand je l'ai acheté, le BlackWidow n'était pas encore sorti, mais c'est celui que je prendrai si je devais en racheter un tout de suite : il doit gommer le principal défaut du Lycosa, la fameuse mollesse de ses touches, puisque c'est un clavier mécanique (raison pour laquelle le Lycosa est inférieur à l'AEK2 pour moi). Et en finition matte, évidemment. Sinon, c'est super solide. J'ai aussi un Nostromo (fabriqué par Belkin), une Naga et un tapis eXactMat de leur marque, et après deux ans d'utilisation plus qu'intensive, rien n'a bougé.
  23. Les adeptes du tantra apprennent à orgasmer sans éjaculer. Les adeptes des moches apprennent à éjaculer sans orgasmer.
  24. La prochaine fois, prends du Razer : le mien a bu des quantités phénoménales de liquides en tous genres sans jamais sourciller et ne se chie pas quand les doigts commence à poser par paquets de 4 sur le clavier pour coller des running-strafe-jumps-to-grenade-dans-ta-face. Bon, par contre, il n'y a pas de joli petit LCD dessus comme sur les Gxx de chez Logitech. Et normalement, sur le G19, le rétroéclairage n'est pas seulement bleu, il est carrément multicolore et configurable : tu peux choisir la couleur ainsi que les touches qui s'allument (si j'ai bien saisi).
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