Marlenus

Pour le parfum, c'est normal c'est pour homo les pubs, donc on est dans de l'homoérotique (comme pour le rasage)

Quand on arrêtera de mettre des nanas sexy pour vendre des trucs de mecs je te donnerais raison. (Puis je te descendrais....)

J'arrive pas à comprendre pourquoi le dollar continue de baisser par rapport à l'euro.

Je ne conteste absolument pas ça. Mais à partir de ce constat, tu ne peux être étonné d'avoir plus de mention TB en S qu'en L.

Ou alors qu'avoir un 20 en math et en physique c'est plus facile que 20 en philo et en français.

Certains SJW ici disent plutôt: Ass, Tits or Dick?

C'est quoi des cheveux presque?

Et pourtant, l'article est intéressant. Notamment sur le principe de l'indignation sélective.

C'est pas une impression. Trump le dit très bien dans son tweet, c'est une victoire républicaine et une défaite en rase campagne des démocrates.

Pas dur à se souvenir la date si on comprend que si les USA sont pas intervenu dans le merdier c'est qu'ils avaient d'autre chat à fouetter

Le lien entre les 2 n'est clairement pas fait. Pose la question à tes collègues de quand on a perdu l'alsace et la lorrainne et on en reparle.

Dans mon collège, c'était les parents qui venaient chercher les objets confisqué et il y avait un laïus sur le pourquoi du c'était confisqué. Sans déconner, cette histoire du "On a pas le droit de confisquer, c'est du vol" cela tiens tant que tu n'as pas de gamin à gérer.

Si tu es Timourien, oui.

Personnellement ma chef est une chef à l'ancienne avec des expressions plutôt crues. Par exemple: "C'est le premier qui bande qui baise l'autre". A partir de là, sachant que ceux qui ne sont pas d'accord ont aucun problème à se faire muter dans un autre service, on peut dire que je n'ai pas l'impression d'être dans une atmosphère SJW (alors que vu ma branche cela pourrait :D ).

Si c'est ça, effectivement, cela colle pour l'affaire du gars.

Définition du site du service public: Une diffamation est une allégation ou imputation (accusation) d'un fait non avéré qui porte atteinte à l'honneur ou à la considération d'une personne. C'est-à-dire que l'auteur des propos accuse sa victime d'avoir commis tel ou tel fait précis. Le fait en question peut faire l'objet, sans difficultés, d'une vérification et d'un débat contradictoire. Il est possible de répondre par oui ou non à la question « Untel a-t-il commis le fait » ? Le fait en question peut être la commission d'une infraction pénale, la falsification d'un diplôme... Il y a diffamation même si elle est faite sous forme déguisée ou dubitative ou si elle est insinuée. Par exemple, si l'auteur emploie le conditionnel. Elle est également caractérisée si elle vise une personne non expressément nommée mais identifiable (si on donne sa fonction par exemple). Si l'accusation n'est pas un fait vérifiable, elle relève de l'injure. https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F32079 Dans le cas qui nous concerne, je ne vois effectivement pas l'angle d'attaque sur les propos même. . Le seul que je vois c'est qu'à un moment dans sa défense dans la tribune du monde il dit qu'il n'a jamais bossé avec elle contrairement à ce qu'il a put lire ce qui aurait put laisser croire qu'il avait utilisé une position hiérarchique pour sa demande.

Oui, et ceux là on ne les interdits pas et ils ne font pas la une des journaux. D'ailleurs on ne les appelles pas bizutage mais WEI.

Ok donc c'est juste pour le fun et que les mecs trouvent cela cool qu'il se font mettre de cuillères chauffées à blanc dessus. Pourquoi pas.

Sauf que ces petits kapos sévissaient avant. Si tu veux dire que cela ne règle rien, alors ok (c'est d'ailleurs le principe de beaucoup d'interdiction). Si tu veux dire que cela a empiré, moins convaincu.

On va pas refaire le débat sur l'importance du réseau que tu te créés pendant les études par rapport au diplôme? Si?

Non. Mais ce sont celles qui bizutent.

Ben c'est surtout que pour beaucoup d'entre elles, il n'y a pas de bizutage. Tu ne vas pas te faire bizuter en fac d'histoire. Maintenant, j'avoue ne pas savoir comment cela se passe en 2018, j'ai fait mes études dans les années 90 (et donc mes connaissances aussi pour la plupart), les écoles où il y avait bizutage, tu savais qu'il fallait y aller quoiqu'ils te fassent. Comme dit Tramp: "On ne peut pas avoir le beurre et l'argent du beurre"

A tout ceux qui ont fait une école où le bizutage était vu comme quelque chose d'obligatoire (comme il a été dit, en fac en France tu n'en as pas)? Pas de problèmes. Mais je doute qu'il y en ait beaucoup. Je ne connais personne IRL qui ait refusé un bizutage en France dans ce genre d'école. Je ne connais personne, qui serait assez fou pour comme le dit ultimex vouloir se faire ostracisé et ne pas avoir accès au réseau de l'école vu qu'en général ces écoles sont choisies pour ça.

Sauf que le bizutage au sens courant en France, c'est accepter de se faire pourrir gratuitement et que si tu t'y refuses ton diplôme ne sert à rien. La question depuis longtemps, n'est pas si cela est bien ou pas, mais jusqu'où on peut aller dans ce pourrissement. Car le bizutage n'a jamais cessé en France, on a juste changé le nom. Actuellement, j'ai l'impression que le trop loin (ce qui fait réagir), ce sont les marques physiques.

Pour moi la différence est dans les 20-30% d'étudiant qui le font et pas 99%. Je cite wiki pour le coup qui parle du bizutage en belgique: L'énorme différence pour moi elle est là. Quand tu n'es pas obligé de le faire pour t'intégrer c'est tout de suite mieux. Quand tu n'es pas obligé de te faire marquer par des cuillères chauffées à blanc (cas ici) pour réussir tes études et que tu ne le fais que pour le plaisir de la fête, c'est tout de suite mieux (et quelque part je doute qu'il y a beaucoup de gens qui le feront. Faire des orgies de beuveries, oui, se soumettre à des 2èmes années sadiques, beaucoup moins).