Loi Posté 4 janvier 2016 Signaler Posté 4 janvier 2016 Ce serait une sacrée prise de risque de la part du Réal...
PJE Posté 4 janvier 2016 Signaler Posté 4 janvier 2016 Benitez out , Zidane in ? http://www.marca.com/futbol/real-madrid/2016/01/04/568a73e3e2704e11608b46a2.html?cid%3DSMBOSO34503%26s_kw%3DtwitterCM%26t%3D118478694=Twitter Si tu regardes les derniers matchs du Real ça été pathétique par moment. J'ai l'impression que comme à Chelsea les joueurs lâchent l'entraîneur. Ça fait des mois que dans la presse espagnole, on parle de conflit entre les joueurs et Benitez. Je l'ai surnommé PPH après le classico car je pensais vraiment qu'il allait sauter. Mais il se peut aussi que Zidane soit nommé adjoint pour faire tampon entre les joueurs et l'entraîneur comme avec Ancelotti lors de sa première saison.
Tremendo Posté 4 janvier 2016 Signaler Posté 4 janvier 2016 J'ai du mal à voir Zidane tenir un groupe de pros casse-couille et apporter une fraîcheur tactique. Je sais pas, je me trompe peut-être.
PJE Posté 4 janvier 2016 Signaler Posté 4 janvier 2016 J'ai du mal à voir Zidane tenir un groupe de pros casse-couille et apporter une fraîcheur tactique. Je sais pas, je me trompe peut-être. On a aucune idée de son niveau en coach principal mais le groupe de casse-couille en question l'aime bien notamment Benzema, Varane et CR7. Ils ont gagné la C1 avec Zidane comme entraîneur adjoint.
Tremendo Posté 4 janvier 2016 Signaler Posté 4 janvier 2016 On a aucune idée de son niveau en coach principal mais le groupe de casse-couille en question l'aime bien notamment Benzema, Varane et CR7. Ils ont gagné la C1 avec Zidane comme entraîneur adjoint. Oui bon entraineur adjoint c'est autre chose tout de même. Carlos Queiroz a été adjoint de Ferguson durant la grande époque de Manchester United, et puis après pouf! Tito Vilanova entraîneur c'était pas la même chose non plus. Mais c'est vrai qu'on ne sait rien du niveau réel de Zidane comme entraineur.
PJE Posté 4 janvier 2016 Signaler Posté 4 janvier 2016 Oui bon entraineur adjoint c'est autre chose tout de même. Carlos Queiroz a été adjoint de Ferguson durant la grande époque de Manchester United, et puis après pouf! Tito Vilanova entraîneur c'était pas la même chose non plus. Mais c'est vrai qu'on ne sait rien du niveau réel de Zidane comme entraineur. Au pire, Mourinho est libre et Iker n'est plus là.
Loi Posté 4 janvier 2016 Signaler Posté 4 janvier 2016 Oui bon entraineur adjoint c'est autre chose tout de même. Carlos Queiroz a été adjoint de Ferguson durant la grande époque de Manchester United, et puis après pouf! Tito Vilanova entraîneur c'était pas la même chose non plus. Mais c'est vrai qu'on ne sait rien du niveau réel de Zidane comme entraineur. Ouais enfin Zidane dispose d'une certaine aura liée à son passé de joueur (il va en falloir dans le calbar pour bousculer ce ballon d'or, le symbole qu'il représente...). Ce n'est pas vraiment le cas de ceux que tu as cités avant lui. Au final j'ai bien plus de doutes sur le niveau de Zidane "entraineur", plutôt que Zidane "manager".
Tremendo Posté 4 janvier 2016 Signaler Posté 4 janvier 2016 Ouais enfin Zidane dispose d'une certaine aura liée à son passé de joueur (il va en falloir dans le calbar pour bousculer ce ballon d'or, le symbole qu'il représente...). Ce n'est pas vraiment le cas de ceux que tu as cités avant lui. Au final j'ai bien plus de doutes sur le niveau de Zidane "entraineur", plutôt que Zidane "manager". Au Real ils sont capables de tout.
PJE Posté 4 janvier 2016 Signaler Posté 4 janvier 2016 En 4 ans, ils ont réussi (peut-être) à virer 3 entraineurs qui ont gagné la C1 (dont 2 plusieurs fois) au cours de leurs carrières. Le vrai problème du Real c'est Florentino Perez qui gère le club dans une logique trop financière et pas assez sportive.
Loi Posté 4 janvier 2016 Signaler Posté 4 janvier 2016 "Selon la presse espagnole, l'ancien joueur Santiago Solari serait nommé entraîneur adjoint, au côté de Zinedine Zidane." http://www.lequipe.fr/info-continue/perez_conf_real/07566
PJE Posté 4 janvier 2016 Signaler Posté 4 janvier 2016 "Selon la presse espagnole, l'ancien joueur Santiago Solari serait nommé entraîneur adjoint, au côté de Zinedine Zidane." http://www.lequipe.fr/info-continue/perez_conf_real/07566 J'ai plus été marqué par sa soeur que par son passage au Real (il chauffait le banc). http://www.listal.com/liz-solari/pictures//17
Johnnieboy Posté 4 janvier 2016 Signaler Posté 4 janvier 2016 Quelle idée de recruter Benitez, en même temps. Tout le monde, absolument tout le monde savait que ça n'allait pas marcher.
Cugieran Posté 4 janvier 2016 Signaler Posté 4 janvier 2016 Et pour Ruffier, on sait bien qu'il a le sang chaud, et qu'il n'est pas forcément très malin. Il le porte sur lui. Bon mais sait-on si Ruffier s'est fait chambrer tout le match par ce gui...enfin ce joueur? Bonne question.
Cugieran Posté 4 janvier 2016 Signaler Posté 4 janvier 2016 Bon pour le moment, c'est pas fait, mais c'est un gros challenge pour ZZ. Si ça marche, c'est tout bon pour lui mais autrement, il faudra repasser par la L1
ali m'gregor Posté 4 janvier 2016 Signaler Posté 4 janvier 2016 . Ça fait des mois que dans la presse espagnole, on parle de conflit entre les joueurs et Benitez. . Si on regarde le parcours de Benitez comme entraineur que ce soit en Espagne, en Italie ou en Angleterre, il n'a jamais tenu plus de deux ans dans tous les clubs où il est passé.. Il y aurait comme un problème avec ce monsieur ?
PJE Posté 4 janvier 2016 Signaler Posté 4 janvier 2016 Si on regarde le parcours de Benitez comme entraineur que ce soit en Espagne, en Italie ou en Angleterre, il n'a jamais tenu plus de deux ans dans tous les clubs où il est passé.. Il y aurait comme un problème avec ce monsieur ? Il est obligé de jouer au prof pour mettre sa méthode de jeu en place. C'est une méthode très contraignante et si les joueurs n'adhèrent pas ou plus ça se termine. Ça me gaverait de jouer au foot de cette façon. Benitez et la « règle des dix mètres » : la data au service de la synergie d’équipe Peu de termes résument mieux la tactique à l’ère moderne que le fameux « bloc-équipe », néologisme d’une limpidité sans équivoque. Le terme se comprend comme il s’entend : pour être performante, une équipe doit « faire bloc », qu’il s’agisse des phases offensives ou défensives (incluant les phases dites de transition), ou des séquences de pressing. Sur le papier, cette notion paraît donc assez simple, voire presque simpliste selon certains de ses détracteurs. Il faut bien admettre que, dans la pratique, le concept de bloc-équipe reste plus difficile à mettre en œuvre. Logique : c’est précisément à travers ce principe tactique que s’incarne la fameuse complexité du football, chorégraphie ultime dans laquelle onze joueurs réalisent des mouvements complémentaires malgré des dizaines de mètres d’écart. Arrigo Sacchi définissait ainsi cette quête de la cohésion parfaite, avec la poésie qu’on lui connaît : « Dans le football, l’essentiel se résume à la capacité de savoir profiter du travail de tout le monde, de trouver une synergie. Ainsi, on trouve le bon placement et on réussit à donner une impression de bloc-équipe compact. Là, la connexion s’améliore, la synergie intervient, qu’elle soit petite, moyenne ou grande, et enfin les possibilités de succès d’une équipe se multiplient, tout comme les capacités personnelles des joueurs. » La cohésion du bloc-équipe, une allégorie Inculquer l’harmonieComment atteindre cette synergie sur le terrain ? La question est évidemment cruciale. Depuis des décennies, les entraîneurs cherchent à parfaire cette harmonie à l’aide d’entraînements dédiés, par exemple les fameux entraînements sans ballon (les joueurs doivent imaginer les séquences de passe) et même sans adversaires (les joueurs doivent simuler une séquence de pressing, par exemple). Néanmoins, ces exercices restent finalement assez sommaires au regard des enjeux que portent la cohésion du bloc-équipe dans le football moderne. C’est ce qui nous avait poussé à proposer, dans l’un de nos tous premiers billets il y a trois ans de ça, l’exercice des « sots à l’élastique« . Mi-sérieux et mi-ironique, cet pratique avait vocation à parfaire les relations entre les joueurs en contraignant la distance les séparant, à l’aide d’un élastique plus ou moins ample selon les consignes du coach. Pour rappel, et afin de vous éviter une fastidieuse lecture qui a succombé aux ravages de l’âge : « Prenez autant d’élastiques que vous souhaitez faire de combinaisons de joueurs, la taille étant variable (par nature) selon les besoins et les postes visés. Par exemple, un élastique entre deux joueurs de couloir devra en théorie être plus lâche, de manière à laisser l’arrière-latéral occuper défensivement son couloir – mais pas trop quand même. A l’inverse, un élastique reliant deux milieux de terrain (par exemple, un milieu défensif et un milieu relayeur) se devra logiquement d’être plus court. Plus globalement, tout élastique « vertical » aura tendance à être plus long qu’un élastique « horizontal » (deux défenseurs centraux, deux attaquants). L’objectif n’est pas de remplacer l’intelligence de placement des joueurs et leur autonomie sur le terrain durant un match, mais de les aider à développer cette science de la coordination en l’inscrivant au fer rouge dans leur inconscient. De sorte qu’une fois en match, ils n’aient pas besoin de réprimandes pour savoir où se placer lorsque leur partenaire fait une saillie dans un couloir, ou entame un pressing au milieu de terrain. » Cette notion d’élasticité, ici prise au sens littéral, est en effet au cœur de la synergie évoquée par Sacchi. Il ne s’agit pas en effet de construire un bloc-équipe fixe et rigide. Tout réside dans les respirations dudit bloc, au sens littéral : inspirations (rétrécissement du bloc, par exemple en situation défensive), expirations (déploiement du bloc, par exemple lors des projections sur les côtés ou des contre-attaques). Mais pour que ce fragile équilibre tienne le coup, il faut nécessairement une valeur-étalon : il s’agit logiquement de la distance maximale entre deux joueurs, condition sine qua non pour que le bloc-équipe fasse précisément bloc. A l’époque, naïvement, nous avions proposé de « matérialiser » cette distance à l’aide d’un élastique… Mais il est évidemment possible de se passer d’outils physiques pour aborder la question sous l’angle du numérique, autrement dit de la data. Les dix mètres-étalonAinsi Rafael Benitez, nouvel entraîneur du Real, a-t-il consacré ses premiers entraînements à inculquer sa fameuse « règle des dix mètres » auprès des joueurs madrilènes. A l’instar de la « règle des cinq secondes » chère au pressing de Guardiola, ce concept tactique vise à inscrire dans l’ADN de l’équipe une règle fondamentale lui permettant d’agir de manière optimale, quelles que soient les situations rencontrées : « Throughout these first few days’ work, Benitez is taking a tough line on the distance between the lines and between the defenders themselves. This is the 10 metre rule; reference to the maximum separation that Benítez wants between his players when they need to defend or start pressuring. The Spanish manager is a student of football and considers that those 10 metres are the perfect distance for strangling opponents and not allowing space behind central midfielders. » La règle des dix mètres appliquée au jeu défensif, une allégorie Si la « règle » ne s’applique ici qu’aux défenseurs, chantier prioritaire de Benitez en cette pré-saison (le Real n’était que la 5e défense de Liga la saison passée), on comprend aisément qu’elle pourrait s’appliquer à n’importe quel secteur de jeu, peut-être avec d’autres distances de référence. Cela semble d’autant plus logique que la distance est ici mesurée à l’aide d’outils géolocalisés (on imagine qu’ils s’agit de brassards-GPS ou autres vêtements connectés adaptés à l’entraînement), permettant une lecture en direct et/ou a posteriori des positions sur le terrain : « The 10 metre rule is something that Benítez has instilled in every team he’s been at; an identifying mark that he has made so exact that he has it programmed into a piece of software that creates a system of grids that constantly measures the distances between players. It is the most visual and clearest way that he has at his disposal to explain it to his players before putting it into practise on the field of play. Theory first, then practise. » Cette dernière citation démontre l’importance de l’entraînement dans l’apprentissage de mécanismes de jeu quasi-inconscients : une évidence pour l’ensemble des entraîneurs et éducateurs, mais dont on oublie parfois qu’ils s’appliquent aussi à cette matière complexe qu’est l’espace. On comprend surtout, en creux de cette méthode de travail particulièrement innovante, l’objectif d’une distance « réglementaire » entre les joueurs : réduire les espaces laissés à l’adversaire, mais aussi s’assurer qu’un joueur ne part pas au pressing « pour rien », ou qu’un coéquipier n’est jamais trop loin pour tenter des combinaisons en petit terrain… nombreuses sont les déclinaisons qui témoignent de l’apport des données géolocalisées pour parfaire la synergie d’une équipe. Le spectre du totaalvoetbal n’est évidemment pas loin…
Marlenus Posté 4 janvier 2016 Signaler Posté 4 janvier 2016 Bon c'est officiel, Zidane entraineur du Real.
ali m'gregor Posté 4 janvier 2016 Signaler Posté 4 janvier 2016 Au fou ! A peine arrivé comme entraineur de Lyon, Génésio demande et obtient le départ de Bisevac. S'il y avait un défenseur lyonnais qui avait toujours fait correctement le boulot, c'est bien lui. Et on va continuer à galérer défensivement avec Mapou et autre B. Koné !
PJE Posté 4 janvier 2016 Signaler Posté 4 janvier 2016 Bon c'est officiel, Zidane entraineur du Real. Il peut être champion d'Europe dans 6 mois comme Di Mateo qui avait repris Chelsea en cours d'année. Au fou ! A peine arrivé comme entraineur de Lyon, Génésio demande et obtient le départ de Bisevac. S'il y avait un défenseur lyonnais qui avait toujours fait correctement le boulot, c'est bien lui. Et on va continuer à galérer défensivement avec Mapou et autre B. Koné ! Bisevac arrive en fin de contrat et Lyon veut récupérer un peu d'argent. On est en France, pays de pauvre du foot.
Cthulhu Posté 4 janvier 2016 Signaler Posté 4 janvier 2016 C'est une tempête dans un verre d'eau cette polémique avec Ruffier. C'est loin d'être classe comme comportement, mais c'est le genre de choses qui arrivent pendant un match de foot, y a pas de quoi fouetter un chat.
Eorl Posté 4 janvier 2016 Signaler Posté 4 janvier 2016 Sais pas si je dois me réjouir de la nomination de ZZ... Fan ni du FCB ni du RM je suis très confus. Ils sont fous ?
PJE Posté 4 janvier 2016 Signaler Posté 4 janvier 2016 Sais pas si je dois me réjouir de la nomination de ZZ... Fan ni du FCB ni du RM je suis très confus. Ils sont fous ? La folie c'était de virer Ancelotti pour mettre Benitez.
Tremendo Posté 5 janvier 2016 Signaler Posté 5 janvier 2016 Florentino Perez compte refaire le coup du Barça avec Guardiola venu de l'équipe B directement pour entraîner la première équipe. En prenant un type inexpérimenté, une icone du club qui s'est formé en tant qu’entraîneur au Real Madrid, il tente un coup médiatique, une opération commando, mais aussi de calmer les supporters.
PJE Posté 5 janvier 2016 Signaler Posté 5 janvier 2016 Florentino Perez compte refaire le coup du Barça avec Guardiola venu de l'équipe B directement pour entraîner la première équipe. En prenant un type inexpérimenté, une icone du club qui s'est formé en tant qu’entraîneur au Real Madrid, il tente un coup médiatique, une opération commando, mais aussi de calmer les supporters. Les joueurs ne sont pas de robots et n'adhèrent pas automatiquement à tout malgré leurs salaires. Si au niveau humain ça ne passe pas, tu peux pas durer trop longtemps sur le banc. La cassure entre les joueurs et l'entraineur était flagrante tout comme la cassure entre l'entraineur et le public. Son nom a été conspué lors de l'annonce de la composition des équipes lors du dernier match à domicile.
Nick de Cusa Posté 5 janvier 2016 Signaler Posté 5 janvier 2016 Tout de même, jeune débutant, tout de suite le plus grand club du monde. Vous allez me dire, c'est ce qu'a fait le Barca avec Guardiola et Enrique, si je ne m'abuse.
Cugieran Posté 5 janvier 2016 Signaler Posté 5 janvier 2016 Avec une grosse machine derrière et l'adhésion des joueurs, tu peux faire pas mal de trucs. 1
Johnnieboy Posté 5 janvier 2016 Signaler Posté 5 janvier 2016 Tout de même, jeune débutant, tout de suite le plus grand club du monde. Vous allez me dire, c'est ce qu'a fait le Barca avec Guardiola et Enrique, si je ne m'abuse. Guardioloa a passé pas mal de temps avec les plus grands entraîneurs de la planete : Cruyff, Bielsa, La Volpe, etc. Puis il a tout cassé avec le Barça B.Luis Enrique s'est cassé les dents avec la Roma (et une équipe moyenne). Puis a fait une très bonne saison avec le Celta Vigo (en faisant éclore Rafinha au passage, futur du Barça). Zidane va nous faire une Seedorf et se faire virer au bout d'un an maximum. Je peux écire le scénario d'ici : indulgence au début malgré un départ pas top, place pour la LdC en fin de saison (plutôt troisième que deuxième) parce que c'est quand même le Real Madrid. Début de saison pas canon, galère en phase de poules de LdC. Au revoir en décembre ou en février. Et ça, c'est pas le scénario catastrophe, hein. C'est facile de conserver son aura quand on fait rien. Dès que tu agis, si tu n'es pas satisfaisant, tu te fais virer, légende du club ou pas. Zidane a tout contre lui : les meilleurs joueurs ne font que rarement les meilleurs entraîneurs Il était milieu offensif : ils font encore moins de bons entraîneurs que les autres anciens joueurs. Il reprend une équipe en cours d'année Son président est un tocard qui vire un entraîneur par an en moyenne. 1
PJE Posté 5 janvier 2016 Signaler Posté 5 janvier 2016 Tout de même, jeune débutant, tout de suite le plus grand club du monde. En tant que sélectionneur de l'équipe de France, il est vice champion du monde 2006.
SilenT BoB Posté 5 janvier 2016 Signaler Posté 5 janvier 2016 Le truc dans cette affaire c'est que Guardiola et Enrique ont de sacrés caractères, Zidane est plus zen et moins "agressif". Je ne le vois pas pouvoir gérer autant d'égos surdimensionnés. Oui son aura est énorme, il a tout gagné, et même s'il n'est qu'une seule fois ballon d'or (là y'a eu un problème), il a un palmarès de joueur long comme le bras. Les joueurs le connaissent bien il traine au club depuis un moment, Zidane n'est pas bête et prépare ce moment depuis longtemps, j'espère qu'il sait ce qu'il fait. Mais je persiste et je signe il aurait dû faire ses armes en ligue 1 ou en Serie A (plus en Serie A d'ailleurs) pour s'aguerrir et arriver au Real like a boss. En ligue 1 il y a des clubs paisible (Monaco par exemple et je ne vends pas ma baraque hein) où personne ne l'aurait emmerdé, il aurait appris tranquillement et aurait certainement la LDC chaque année. En Serie A il y a des équipes de bon niveau voir de haut niveau et les joueurs italiens, encadrement italien sont à fond dans la tactique (hormis l'achat d'arbitre). Le real, tout de suite, pas certain que ça marche. Par contre si ça marche, BINGO!
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