Aurel Posté 2 janvier 2007 Signaler Posté 2 janvier 2007 Comment attirer les squatters chez soi ? Laisser un immeuble inoccupé un certain temps, ne pas le surveiller, surtout dans les beaux quartiers. Après 3 années d'inoccupation de ses bureaux, le CIC voit l'un de ses immeubles occupé par le DAL et 80 mal logés. Ils sont partis pour au moins 5 ans de procédure. Face à cette spoliation grotesque, les Français rigolent.
DoM P Posté 2 janvier 2007 Signaler Posté 2 janvier 2007 Comment attirer les squatters chez soi ? Laisser un immeuble inoccupé un certain temps, ne pas le surveiller, surtout dans les beaux quartiers. Après 3 années d'inoccupation de ses bureaux, le CIC voit l'un de ses immeubles occupé par le DAL et 80 mal logés. Ils sont partis pour au moins 5 ans de procédure. Face à cette spoliation grotesque, les Français rigolent. Ils ont, me semble-t-il, 48 heures pour lancer une procédure d'expulsion qui, légalement, doit se dérouler presque immédiatement. Si la préfecture refuse de faire effectuer l'expulsion, le CIC peut alors se retourner contre celle-ci, et lui demander dommages et intérêts. Cela ne justifiant en rien la violation de propriété privée dont il est question ici.
Calembredaine Posté 2 janvier 2007 Signaler Posté 2 janvier 2007 Comment attirer les squatters chez soi ? Laisser un immeuble inoccupé un certain temps, ne pas le surveiller, surtout dans les beaux quartiers. Après 3 années d'inoccupation de ses bureaux, le CIC voit l'un de ses immeubles occupé par le DAL et 80 mal logés. Ils sont partis pour au moins 5 ans de procédure. Face à cette spoliation grotesque, les Français rigolent. Conséquence directe et immédiate du discours du Grand C. prônant le vol "légal" via le droit au logement opposable.
G7H+ Posté 2 janvier 2007 Signaler Posté 2 janvier 2007 Conséquence directe et immédiate du discours du Grand C. prônant le vol "légal" via le droit au logement opposable. Je vous jure que quand j'ai vu le camarade Chiractchev dire ça, j'ai clairement entendu les choeurs de l'armée rouge en fond sonore. Bon, allez ! Assez rigolé. Je passe à la vitesse supèrieure pour ma demande de résidence permanente au Canada.
Coldstar Posté 2 janvier 2007 Signaler Posté 2 janvier 2007 Comment attirer les squatters chez soi ? Laisser un immeuble inoccupé un certain temps, ne pas le surveiller, surtout dans les beaux quartiers. Après 3 années d'inoccupation de ses bureaux, le CIC voit l'un de ses immeubles occupé par le DAL et 80 mal logés. Ils sont partis pour au moins 5 ans de procédure. Face à cette spoliation grotesque, les Français rigolent. Sans oublier: laisser comme des cons l'eau et l'électricité et les locaux tout propres pour que ce soit bien tentant. Par contre, il ne devait pas être régulièrement traité avecdes insecticides…
Ronnie Hayek Posté 2 janvier 2007 Signaler Posté 2 janvier 2007 Sans oublier: laisser comme des cons l'eau et l'électricité et les locaux tout propres pour que ce soit bien tentant. Comprends pas bien cette remarque : les proprios auraient dû laisser leur bien en état de décrépitude avancée ?
Constantin_H Posté 2 janvier 2007 Signaler Posté 2 janvier 2007 Bien fait pour ces salopards de propriétaires qui en plus entretiennent les biens qu'ils n'occupent pas au lieu de les laisser pourrir.
Constantin_H Posté 2 janvier 2007 Signaler Posté 2 janvier 2007 Plus sérieusement, je me demande si quelqu'un, parmi les chantres du "droit au logement", se rendent compte du danger pour la civilisation qu'est la destruction graduelle du droit de propriété ? Combien de temps avant qu'un propriétaire rendu fou par des squatteurs et des juges complaisants ne s'empare d'un fusil pour se faire justice lui-même ?
Coldstar Posté 2 janvier 2007 Signaler Posté 2 janvier 2007 Comprends pas bien cette remarque : les proprios auraient dû laisser leur bien en état de décrépitude avancée ? Couper l'eau et l'électricité n'est pas exactement ce que j'appelle laisser des locaux décrépits, et ça n'est pas un gros inconvénient dans un immeuble vide, non? EDIT là où ma remarque est moins pertinente, c'est qu'après tout, si ces indésirables ont les bons appuis, ils peuvent très bien avoir l'eau et l'électricité à l'oeil…
Salatomatonion Posté 2 janvier 2007 Signaler Posté 2 janvier 2007 Et pendant c'temps là à Vera Cruz, euh pardon, au ministère de l'économie et des finances… 3e différence : l’effort porte aussi sur les biens de Réseau ferré de France dont il n’a pas besoin pour sa mission ferroviaire. Les cessions se montent à une centaine de millions d’euros par an depuis plusieurs années. J’ai décidé d’accélérer la valorisation de ce patrimoine, qui inclut une réserve foncière importante : J’ai décidé, dans le cadre de la loi de finances pour 2006, que ce patrimoine serait transféré à une foncière détenue par l’État ; J’ai fixé un objectif pour 2006 de 350 millions d’euros de recettes, budgétaires qui reviendront en cours d’exercice au budget de l’État ; Une masse importante de biens sera mise sur le marché dans des délais courts, selon des procédures adaptées à chaque type d’actifs. Une partie sera destinée à produire des logements ;
SilenT BoB Posté 2 janvier 2007 Signaler Posté 2 janvier 2007 Je ne sais pas bien ce qu'est le logement opposable, j'avoue mon ignorance, si quelqu'un qui connait le sujet voulait bien résumer en deux ligne ce qu'est cette connerie, ce serait vraiment sympa. Sinon en parlant d'ignorance sur le sujet je vous conseille la fin de cet article, relativement intéressant et révélateur! article libé Sinon sur le squatt en lui-même, rien à rajouter à ce qui a été dit, c'est scandaleux, ils n'ont rien à foutre là et doivent être foutus dehours à vitesse grand V!
KaptN Posté 2 janvier 2007 Signaler Posté 2 janvier 2007 Je ne sais pas bien ce qu'est le logement opposable, j'avoue mon ignorance, si quelqu'un qui connait le sujet voulait bien résumer en deux ligne ce qu'est cette connerie, ce serait vraiment sympa. Cela signifie que celui qui est "victime" du non-respect de ce droit a le droit d'attaquer les administrations et les entités publiques, il me semble. Exemple : étant donné que ce droit existe, quelqu'un a le droit d'attaquer la mairie de sa ville car elle ne lui donne pas de logement. Ca fait rêver, hein ?
Timur Posté 2 janvier 2007 Signaler Posté 2 janvier 2007 Je vous jure que quand j'ai vu le camarade Chiractchev dire ça, j'ai clairement entendu les choeurs de l'armée rouge en fond sonore. Le plus amusant c'est qu'il dit ça dans un palais de 10000 m2 rue du faubourg saint-Honoré…
Antoninov Posté 2 janvier 2007 Signaler Posté 2 janvier 2007 Couper l'eau et l'électricité n'est pas exactement ce que j'appelle laisser des locaux décrépits, et ça n'est pas un gros inconvénient dans un immeuble vide, non? Si, si ça veut dire couper le chauffage, j'imagine.
xxc Posté 2 janvier 2007 Signaler Posté 2 janvier 2007 Si, si ça veut dire couper le chauffage, j'imagine. Ça veut dire aucun entretien possible non plus. Ni alarme incendie, ni anti-vol. Mais surtout, quel est l'intérêt de couper l'eau et l'électricité ? Juste pour pas payer l'abonnement ?
Sous-Commandant Marco Posté 2 janvier 2007 Signaler Posté 2 janvier 2007 -Mme Palourde!!!! Vous êtes revenue!! Attendez, laissez-moi deviner. Vous vous êtes dit que le logement, c'est une affaire sérieuse et que le loyer que je vous proposais n'était finalement pas si élevé que ça. Alors, on s'est décidé? Un T2 ou un T3? Les deux peut-être? - Non, je prends tout l'immeuble. Et gratos! Les hommes politiques sont là et les caméras aussi.
Sous-Commandant Marco Posté 2 janvier 2007 Signaler Posté 2 janvier 2007 Ça veut dire aucun entretien possible non plus. Ni alarme incendie, ni anti-vol. Mais surtout, quel est l'intérêt de couper l'eau et l'électricité ? Juste pour pas payer l'abonnement ? Je crois aussi que c'est pour éviter de payer la taxe d'habitation.
Libérus Posté 2 janvier 2007 Signaler Posté 2 janvier 2007 Le chateau de Bitty me semble inoccupé , puisque son propriétaire est à L'Elysée.
h16 Posté 2 janvier 2007 Signaler Posté 2 janvier 2007 Et au fait, dites-moi, si tout cela brûle (par hasard, hein, pas de sous-entendu !), qui sera responsable des morts et des blessés ? Mmmh ? Vive la Fraônce.
Ronnie Hayek Posté 2 janvier 2007 Signaler Posté 2 janvier 2007 Couper l'eau et l'électricité n'est pas exactement ce que j'appelle laisser des locaux décrépits, et ça n'est pas un gros inconvénient dans un immeuble vide, non?EDIT là où ma remarque est moins pertinente, c'est qu'après tout, si ces indésirables ont les bons appuis, ils peuvent très bien avoir l'eau et l'électricité à l'oeil… Je crois que tu n'as pas compris ma question et/ou que tu ne t'es pas relu : tu avais l'air de dire qu'ils l'avaient bien cherché en laissant les locaux propres. D'où mon interrogation.
toccata Posté 2 janvier 2007 Signaler Posté 2 janvier 2007 Je serais très curieux de savoir si l'immeuble squatté est un immeuble d'habitation ou de bureaux… C'est toujours délicat de gérer les bureaux. On ne peut pas pousser les murs comme on rajoute des barettes de mémoire à un ordinateur. Les besoins peuvent fluctuer, et il faut gérer l'avant et après déménagement. Pour moi les 3 ans d'innocupations sont un indice fort pour un immeuble de bureaux. Mais, si ce sont des bureaux, cela signifie aussi qu'il n'y a vraisemblablement qu'un seul point d'eau par étage, les sanitaires! Et je vous laisse imaginer la vie quotidienne… Pas de douches ou baignoires, des lavabos. Pour le linge et la vaisselle, les mêmes lavabos. Pas de cuisine non plus, donc pas de hotte et des problème de moisissure quasi inévitables (humidité lors de la cuisson)– sans parler des projections de corps gras. Sans parler non plus de la sécurité (réchaud à gaz? plaque électrique? posés où et comment?)…
vincponcet Posté 2 janvier 2007 Signaler Posté 2 janvier 2007 Je serais très curieux de savoir si l'immeuble squatté est un immeuble d'habitation ou de bureaux…C'est toujours délicat de gérer les bureaux. On ne peut pas pousser les murs comme on rajoute des barettes de mémoire à un ordinateur. Les besoins peuvent fluctuer, et il faut gérer l'avant et après déménagement. Pour moi les 3 ans d'innocupations sont un indice fort pour un immeuble de bureaux. Mais, si ce sont des bureaux, cela signifie aussi qu'il n'y a vraisemblablement qu'un seul point d'eau par étage, les sanitaires! Et je vous laisse imaginer la vie quotidienne… Pas de douches ou baignoires, des lavabos. Pour le linge et la vaisselle, les mêmes lavabos. Pas de cuisine non plus, donc pas de hotte et des problème de moisissure quasi inévitables (humidité lors de la cuisson)– sans parler des projections de corps gras. Sans parler non plus de la sécurité (réchaud à gaz? plaque électrique? posés où et comment?)… il s'agit de bureaux http://fr.news.yahoo.com/01012007/202/des-…7-avec-une.html L'immeuble de six étages situé 24, rue de la Banque, dans le deuxième arrondissement et comptant quelque 1.000 m2 selon les militants était auparavant occupé par une succursale du CIC. les titres sont hallucinants : Droit au logement opposable: des associations attendent du concret, d'autres l'"appliquent" et la bannière sur l'immeuble en question fait froid dans le dos… sinon, question idiote : à quoi ça sert pour une banque d'avoir des logements vides ? ça fait de l'immobilisation capital non-rentable, je ne comprends pas la logique économique.
Punu Posté 2 janvier 2007 Signaler Posté 2 janvier 2007 Un truc qui me frappe, mais je me préoccupe souvent de mots, c'est l'apparition des termes "mal-logement" et "mal-logés" pour désigner les squatteurs. Je ne les avais jamais lus il y a seulement 2 semaines, puis ils sont soudain apparus dans les journaux entre guillemets et sont désormais utilisés sans guillemets. Les journaux reprennent de plus en plus vite les créations lexicales des associations gauchistes qui poursuivent ainsi un objectif politique.
christophe Posté 2 janvier 2007 Signaler Posté 2 janvier 2007 Plus sérieusement, je me demande si quelqu'un, parmi les chantres du "droit au logement", se rendent compte du danger pour la civilisation qu'est la destruction graduelle du droit de propriété ?Combien de temps avant qu'un propriétaire rendu fou par des squatteurs et des juges complaisants ne s'empare d'un fusil pour se faire justice lui-même ? Moi je trouve ça très bien le droit au logement. Je pense que ça fait partie des trucs qui vont accélérer l'effondrement de notre système. Franchement, si Ségolène est élue, si l'extrême gauche est forte et influente, on peut espérer que le système s'écroule complètement pour les élections de 2012. (Note sur ce point: c'est peut être la stratégie que suit l'affreux thomas pour reprendre un autre fil…) Bon, ça se fera surement dans le sang, mais de toute manière est ce que quelqu'un voit un autre scenario de sortie de crise en France? Autant que ça se fasse le plus rapidement possible, non? Donc on spolie tous les propriétaires, on collectivise tout, on augmente les impôts, on donne des droits spécifiques à certains au détriment des autres, on met Alévêque sur toutes les chaines de TV pour qu'il continue à montrer son minoi indigné, on fait du socialisme à outrance, on se soviétise vraiment et puis comme ça les gens n'auront eu que ce qu'ils ont voulu. Car finalement, il y a deux sortes de personnes: - celles qui veulent ce système et qui ne méritent rien d'autre que d'y goûter - celles qui ne font rien ou pas grand chose pour changer les choses (vous savez, cette fameuse "majorité silencieuse") et qui méritent aussi de prendre cher Et puis nous, on se lance dans une version moderne de "L'ancien régime et la Révolution", comme ça on sera les Tocqueville modernes… Bonne année 2007! Je vous souhaite à tous non seulement un contrôle fiscal mais aussi et surtout un redressement fiscal…
Rincevent Posté 2 janvier 2007 Signaler Posté 2 janvier 2007 Un truc qui me frappe, mais je me préoccupe souvent de mots, c'est l'apparition des termes "mal-logement" et "mal-logés" pour désigner les squatteurs. Je ne les avais jamais lus il y a seulement 2 semaines, puis ils sont soudain apparus dans les journaux entre guillemets et sont désormais utilisés sans guillemets. Les journaux reprennent de plus en plus vite les créations lexicales des associations gauchistes qui poursuivent ainsi un objectif politique. Les journalistes aiment bien que des esprits bien intentionnés leur fournissent des morceaux d'articles prêts à insérer. C'est humain.
Coldstar Posté 2 janvier 2007 Signaler Posté 2 janvier 2007 Je crois que tu n'as pas compris ma question et/ou que tu ne t'es pas relu : tu avais l'air de dire qu'ils l'avaient bien cherché en laissant les locaux propres. D'où mon interrogation. Gné? Tu as un tout petit peu surinterprêté non? Oui j'ai peut-être écrit "propres" là où j'aurais pu dire "immédiatement opérationnel" et ma remarque sur l'eau et l'électricité m'a paru peu pertinente après y avoir réfléchi: rétablir l'électricité dans un immeuble si des agents CGT-EDF donnent un coup de main est un jeu d'enfant pour le DAL. C'est comme si tu avais lancé à Aurel que le CIC avait bien cherché l'effraction en ne faisant pas garder l'immeuble… Ce qui est est intéressant dans ce fait divers ce sont les conséquences: -Une "grosse" société a-t-elle les moyens ou le pouvoir de faire évacuer un tel squat? -Le CIC récupèrera-t-il son bien? Ce qui me fait croire que oui, c'est la remarque très juste de Toccata [quote Pour moi les 3 ans d'innocupations sont un indice fort pour un immeuble de bureaux. Mais, si ce sont des bureaux, cela signifie aussi qu'il n'y a vraisemblablement qu'un seul point d'eau par étage, les sanitaires! Et je vous laisse imaginer la vie quotidienne… Pas de douches ou baignoires, des lavabos. Pour le linge et la vaisselle, les mêmes lavabos. Pas de cuisine non plus. Théoriquement, les autorités devront intervenir car la salubrité et la sécurité ne sont pas assurés. A moins que les pouvoirs publics ne rachètent pour reconstruire… très improbable. D'où la question: - Quelles responsabilités si accident? -Si le propriétaire récupère son bien: quand? Quels sont les coûts à prévoir? Qui prendra en charge ces coûts? Le proprio, les pouvoirs publics, l'assureur? -Corollaire: comment s'assurer contre les squatteurs? Cette assureur existe-t-elle et couvre-t-elle tous les cas? Les primes sont certainement fonction des précautions prises par le propriétaire pour garder son bien…
toccata Posté 2 janvier 2007 Signaler Posté 2 janvier 2007 il s'agit de bureauxhttp://fr.news.yahoo.com/01012007/202/des-…7-avec-une.html les titres sont hallucinants : Droit au logement opposable: des associations attendent du concret, d'autres l'"appliquent" et la bannière sur l'immeuble en question fait froid dans le dos… sinon, question idiote : à quoi ça sert pour une banque d'avoir des logements vides ? ça fait de l'immobilisation capital non-rentable, je ne comprends pas la logique économique. j'ai bien aimé dans l'article "immeuble vide dans le quartier de la Bourse". Pas illogique pour une banque d'y avoir (ou avoir eu)… des bureaux! Mon interrogation demeure: habitats ou bureaux? Mais mon intuition se précise. Voilà donc qu'on fait un exemple très médiatique et très marquant (3 années d'inoccupation!) pour un immeuble qui n'est peut-être pas habitable au regard des lois… mais auquel il faudrait appliquer une loi de réquisition pour le logement! Par ailleurs, je suis tout à fait d'accord, il n'y a aucune logique économique à ne pas louer un batiment destiné à l'habitation. Pour des bureaux, la logique peut être différente entre des clients qui n'accepteraient pas des baux courts (menace de déménagement), et un propriétaire qui ne souhaite pas scinder l'immeuble, qui estime qu'avec le marché de l'immobilier la différence entre le rachat et la vente peut être plus importante que le coût et l'absence de rendement du capital.
Harald Posté 2 janvier 2007 Signaler Posté 2 janvier 2007 Cette occupation scandaleuse met néanmoins en lumière un réel malaise. Il y a à l'heure actuelle des dizaines de milliers de petits salariés qui ne peuvent avoir accès à un logement en raison de leur faible revenu, de l'absence de garanties, etc. C'est une réelle soufrance pour ces gens qu'il ne faudrait pas mettre de côté. Au lieu de se contenter de critiquer ceux qui essaient de faire bouger les choses, et nous savons bien qui ils sont puisqu'ils sont les seuls à occuper ce terrain que nous leur avons laissé libre, il me paraitrait plus judicieux et constructif de voir les libéraux se positionner publiquement sur ce sujet. Que les associations libérales et autres relais politiques s'emparent de ce sujet, fasse du battage autour en pointant les causes de ce marasme: assistannat coûteux qui ampute les salaires, droit du travail oppressif qui freine l'embauche, législations contraignantes autour de l'immobilier, fiscalité oppressive à l'encontre des propriétaires, application à géométrie variable du droit qui pousse les propriétaires à se montrer hyper-sélectifs, politiques urbanistiques des élus locaux qui tendent à vider les villes de leurs diverses composantes pour les transformer en bobo-cities, etc.
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