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The changing face of Lil' Kim: Rapper's appearance is completely transformed as she steps out with extremely taut visage

 

Over the years her appearance has changed, at times on a weekly basis.

But Lil' Kim looked completely unrecognisable as she stepped out in Hollywood last week.

The 38-year-old rapper showed off yet another dramatically different look as she partied with pals in West Hollywood.

 
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What's happened to Lil' Kim's face? Lil's Kim stepped out last week looking taut and pinched in the face, left. She is pictured in 2004, right

 

The Lady Marmalade star looked fresh-faced, her visage appearing extremely taut and pinched.

She also showed off a new black weave as she headed out on the town in a sheer cream top, which exposed her black bra.

The singer paired the racy attire with an eye-wateringly tight matching skirt and cinched the ensemble in at the waist with a gold belt.

The bold star also wore stand-out jewellery, including a heavy collared necklace which featured a jewel-encrusted panther's head.

Lil' Kim also appeared to be struggling in her sky-high heels and was required a helping hand by two members of her entourage as she made her way through a crowd.

Her face also stood out with the aid of lashings of red lipstick and a pair of large false eyelashes.

 
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Racy: Lil' Kim showed off a new black weave as she headed out on the town in a sheer cream top, which exposed her black bra, last week

 

 

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Bejewelled: The bold star also wore stand-out jewellery, including a heavy collared necklace which featured a jewel-encrusted panther's head

http://www.dailymail.co.uk/tvshowbiz/article-2274645/Lil-Kim-face-Rappers-appearance-completely-transformed-steps-extremely-taut-visage.html

 

Edit : seigneur, les photos : http://www.buzzfeed.com/whitneyjefferson/the-many-faces-of-lil-kim

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Sciences-Po Bordeaux : huit étudiants convoqués par la direction pour sexisme

 

"Pour ou contre le viol collectif ?" "Pour ou contre l'excision ?" "Les lesbiennes sont des salopes". "Les féministes sont des lesbiennes". Huit étudiants de Sciences-Po Bordeaux étaient convoqués mercredi 6 février à 17 heures à un entretien préalable à un éventuel conseil de discipline. La direction de Sciences Po Bordeaux envisage aussi de porter plainte

De quoi s'agit-il ? Ces huit étudiants de première, troisième et quatrième année, avaient "liké" une page ouverte sur Facebook intitulé "Osez le masculisme, créée dans l'après-midi du 22 janvier 2013. "Cette page propageait des contenus sexistes, injurieux et homophobes", a indiqué le directeur de Sciences-Po Bordeaux, Vincent Hoffmann-Martinot. Elle détournait la page Facebook d'une association interne à l'établissement baptisée A-Bord, une association de réflexion et de débat sur le genre.

 

L'affaire avait néanmoins commencé un peu avant. En décembre, quelques élèves, pour répondre à la création de cette association, ouvrent une page sur Facebook "Osez le masculin à Scpobx". L'humour est pour le moins graveleux : "Même entre nos murs, nous sommes devenus minoritaires ! Réagissez et sauvegardez vos postes, usez de la cooptation. La parité enferme l'homme dans sa condition sexuelle et le réduit à un pénis. Pourquoi devrions-nous céder notre place sous prétexte d'être né avec un troisième membre ?", était-il écrit.

 

Les auteurs de cette page appelaient à organiser une "Erection-Débat sur le Japon Bolivarien". "En partenariat avec les phallus de Sciences-Po Bordeaux, Osez le Masculisme vous propose une première érection-débat sur les problématiques liées au bukkake dans le Japon bolivarien". Le bukkake ? Kesako ? Selon Wikipédia, dans les films pornographiques, ce terme désigne la représentation d'une pratique sexuelle de groupe consistant à une éjaculation collective par un groupe d'hommes sur une femme ou un homme. "A cette occasion, nous projeterons des vidéos (...) pour que vous en sachiez plus sur cette coutume qui devrait être obligatoire avant le mariage".

 

"Nous avons découvert ce groupe quelques jours avant notre propre projection-débat prévue le 24 janvier, a expliqué à L'Express, Sarah, la présidente d'A-Bord. Les commentaires étaient extrêmements violents et on craignait des incidents. Mais finalement, la projection s'est bien passée, ils n'ont sûrement pas osé passer à l'acte."

Le 24 janvier, la direction exigeait que son ou ses auteurs supprime (nt) cette page dans les meilleurs délais. Sommation restée sans réponse. Le lendemain, la direction engageait une procédure auprès de Facebook. "Nous avons fait valoir le fait que cette page utilisait le logo Sciences Po Bordeaux qui est déposé à l'INPI. Cet argument a suffi à faire fermer la page", explique-t-on dans l'établissement.

"La page incriminée se composait d'une dizaine de posts et a compté, au maximum de son activité, 70 amis", affirme Vincent Hoffmann-Martinot.

Un collectif antisexiste à Bordeaux, tout aussi anonyme, a immédiatement demandé l'exclusion de ces étudiants. "Il existe un droit à la défense, indique Jean Petaux, professeur et par ailleurs responsable de la communication de Sciences Po Bordeaux. Mais on ne va pas exclure des étudiants parce qu'ils ont ''aimé'' un post !" "Il n'est pas question de céder aux injonctions de blogueurs en mal de buzz et à la pression médiatique qui inciteraient à punir aveuglément pour l'exemple. Si des sanctions doivent être prises, elles le seront", a souligné Vincent Hoffmann-Martinot.

 

Comme dans bon nombre d'écoles, ce genre d'humour semble avoir un certain succès... A Sciences Po Bordeaux, l'équipe de volley masculin s'appelle depuis des années les "violleyeurs". Celle de rugby féminin : "mi-putes, mi-soumises". (précision : ce sont les filles qui ont choisi ce nom !)

 

Le collectif anti sexiste à Bordeaux a vertement critiqué la direction de l'établissement qui selon lui aurait minimisé la portée de l'événement. "Il ne s'agirait rien de moins que de blagues potaches de garçons immatures. Des blagues de ''puceaux'' en somme, qui trouveraient là un défouloir", écrit le collectif dans un communiqué de presse. Il rappelle par ailleurs que c'est le dernier IEP à avoir proposé à ses étudiants (es) un enseignement sur le genre, réservé au Master 2.

 

Nathalie Brafman

http://enseignementsup.blog.lemonde.fr/2013/02/06/sciences-po-bordeaux-huit-etudiants-convoques-par-la-direction-pour-sexisme/

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French Workers Threaten To Blow Up Their Factory à propos de DMI et où l'on apprend, pas comme dans les media français, que
 

Tuesday morning, the employees, now down to 168, placed about ten gas cylinders inside the plant and rigged them in a way as to turn them into bombs. The entrance to the factory was blocked by barricades of old tires and a burning pile of pallets. Angry men milled around. Photos of the gas-cylinder contraptions circulated. Some officers of the Gendarmerie, discretely deployed at a distance, did nothing.
[...]
Extortion. Not exactly a helpful message for the private sector just when investments in factories and jobs were needed more than anything else. That the Gendarmerie refused to intervene sent another message: this type of extortion is tolerated. And investors were once again scratching their heads


Et histoire de bien se poiler :

Déserts médicaux : face aux médecins, le Sénat prône la coercition

Là au moins c'est cash, coercition direkt!

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Un contribuable modèle
Article paru dans le Figaro du 9 février 1913.
 
Le contribuable français est tout simplement en train de devenir le modèle du contribuable. On vient de lui apprendre, en 1913, que les dépenses publiques atteindraient cinq milliards cette année, et qu'elles augmenteraient de deux cents millions par an dorénavant, et c'est à peine s'il manifeste un léger mécontentement.
 
Où est le temps où la question financière le passionnait au point qu'il en prenait prétexte pour faire une révolution? Et pourtant, d'après le compte rendu de Necker aux États Généraux, la situation du Trésor, avec 475.294.000 livres de recettes et 531.444.000 livres de dépenses, ne présentait qu'un pauvre petit déficit de 56 150 000 livres.
 
Le contribuable d'alors n'en marqua pas moins sa volonté fort nette de supprimer le bon plaisir royal en matière d'impôts, et il se crut sauvé lorsque la Constituante déclara solennellement que désormais le budget serait voté par les représentants du peuple.
 
Belles espérances que la réalité a démenties.

 

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