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The avengers c'est vraiment un condensé de tous ces films débiles des années 2000 complètement abracadabrants. Stop avec ça, passez à autres choses bordel! Je veux pas faire mon vieux con mais au moins avant, les films de science-fiction ou d'action savaient tenir en haleine et être un minimum cohérents.

Un super-héros va bientôt sortir du placard

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DC Comics, la maison d'édition, entre autres, de Batman ou Superman, l'a annoncé. L'un de ses personnages va prochainement faire son coming out.

Verra-t-on Batman et Robin vivre leur relation au grand jour? Est-ce que Clark Kent (alias Superman) va-t-il avouer son amour à Perry White, le rédacteur en chef du Daily Planet? à moins qu'il ne s'agisse de Catwoman et de Poison Ivy? La réponse ne devrait tarder et mettra fin aux nombreuses spéculations qui durent depuis des années au sujet de l'orientation sexuelle des super-héros. Jusqu'alors, DC Comics, la firme qui détient les droits de reproductions des personnages de la saga Batman et autre Superman, avait refusé à certaines études au sujet de la prétendue relation "homoérotique" de Batman et Robin d'utiliser leur image.

Aujourd'hui, il semblerait que l'éditeur soit prêt à faire sortir du placard l'un des personnages existants. Présent au Kapow Comic Convention de Londres dimanche, Dan DiDio, co-éditeur de DC Comics, a révélé que l'un d'eux serait amené à devenir "l'un de nos plus éminents personnages gays". Une déclaration corroborée par Bob Wayne, vice-président des ventes, qui a comparé ce changement radical à la prise de position de Barack Obama au sujet du mariage homosexuel. Toutefois, on ne sait pas quel personnage fera son coming out, même si cette révélation paraît imminente. "L'un des personnages principaux de DC Comics va révéler son homosexualité en juin", a précisé Courtney Simmons, le vice-président de DC Entertainment.http://www.7sur7.be/…u-placard.dhtml

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J'ai vu une grosse rétrospective gore au ciné.

Black Sheep, à base de moutons génétiquement modifiés. Le tout sous couvert d'un second degré british. Bien cool

Theatre Bizarre, fait de petites histoires sordides

Et Elmer le remue méninge, plutôt drôle et bien barré

GFOXdTOz6Us

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http://www.quebecois.../120515-11.html

Points de vue sur Hunger games que j'ai bien aimé.

The Hunger Games est une trilogie écrite par l'Américaine Suzanne Collins qui s'est vendue à plus de 30 millions d'exemplaires dans le monde, dont 400 000 en France aux éditions Pocket Jeunesse. Aux états-Unis, le premier tome de The Hunger Games est resté près de deux ans en tête des meilleures ventes. Le film a fait un véritable « carton ».

Personnellement, je n'ai pas lu les livres mais le film, qui vient de sortir sur les écrans en France, donne envie de les lire. Ce n'est pas un grand film, dont on ressort avec une forte émotion. Toutefois, c'est un film qui sort de l'ordinaire, qui ouvre des perspectives de réflexion sur notre monde, dans la tradition des dystopies classiques: Un bonheur insoutenable d'Ira Levin (1970), 1984 de George Orwell (1949), Fahrenheit 451 de Ray Bradbury (1953), Nous Autres, de Zamiatine (1920) ou La Grève, d'Ayn Rand (1957).

Une dystopie est une contre-utopie, qui décrit un monde totalitaire ou en tout cas cauchemardesque. En général, la dystopie met en valeur l'individu contre la masse, elle valorise le héros solitaire contre l'abrutissement collectiviste.

Dans The Hunger Games, imaginez un âge sombre, futuriste, où l'humanité est gouvernée par une classe dominante qui réprime toute rébellion du peuple par le sacrifice de quelques enfants, choisis au hasard et obligés de lutter les uns contre les autres jusqu'à la mort, devant les caméras.

La jeune héroïne Katniss, 16 ans, se distingue par son courage et sa détermination à survivre. Elle se porte volontaire pour prendre la place de sa jeune soeur dans la compétition. Elle se retrouve face à des adversaires surentraînés, prêts à tout.

L’auteure, Suzanne Collins, revient sur la création de ce monde dystopique: « L'univers de Katniss (jouée par Jennifer Lawrence) m'a initialement été inspiré par la fascination que j'éprouve pour le mythe grec de Thésée qui, tous les neuf ans, envoyait une phalange de jeunes garçons et filles dans un labyrinthe mortel afin de combattre le monstrueux Minotaure. »

On peut lire quelques critiques forts intéressantes, rapprochant notamment le film de thèmes libertariens.

Voici par exemple cet extrait d’un blog ami (traduction): « Je ne vais pas complètement vous gâcher l'intrigue, mais pour ceux qui ont vu le film, je voudrais faire quelques commentaires sur les thèmes libertariens récurrents dans le film. Ceci est très intéressant à noter, parce que la culture populaire d'Hollywood a toujours été anti-marché et anti-liberté au cours des dernières décennies: le vilain homme d'affaires capitaliste, avec une moustache frisée, tente de raser une forêt et de mettre à sa place un parc de stationnement (comme Avatar), le monde a été surpollué et abandonné par des Américains gras, obèses et consuméristes (Wall-E), etc. Les médias, la culture pop et Hollywood, s’intéressent au "collectivisme", à "l'environnement" ou à "la diversité", plutôt qu’à la non-violence ou à la conquête de la liberté humaine. The Hunger Games jette tout cela par la fenêtre. »

Cela dit, on lit aussi certaines bêtises à propos de ce film: certains parlent d'une dénonciation du capitalisme et d'un hommage aux Indignés. Cette analyse est ridicule. Le capitalisme n'est pas un régime politique, encore moins un régime policier. C'est un mode de production, fondé précisément sur l'échange volontaire et libre. Mais certains ne font pas la différence…

Pour d'autres, ce film viserait l'avènement glaçant de la société du spectacle. L'hypothèse est déjà plus plausible. Le nom choisi pour désigner cette société futuriste est: « Panem », du latin, pain. L'expression latine « panem et circenses » (« du pain et des jeux »), décrit le système social de l'empire romain. Le pouvoir distribuait du pain aux pauvres tous les jours tandis que les jeux du cirque (dans lesquels des chrétiens ou des esclaves étaient sacrifiés) permettaient de maintenir une apparence de paix, par le divertissement. Le rapprochement avec la démocratie de masse et l’état-providence n’est pas interdit…

Karin Westman, enseigne l’anglais à l'Université du Kansas en s’appuyant sur cette trilogie ainsi que sur d'autres séries telles qu’Harry Potter. Il soutient que The Hunger Games est un puissant outil de débats au sein des familles, parce qu'il se rapporte à des questions primordiales telles que la loyauté fraternelle et la survie de la famille.

Le film surfe aussi sur la vague du survivalisme, véritable phénomène de société aux états-Unis. Les survivalistes se préparent à survivre aux guerres, aux catastrophes ou à l’effondrement économique en apprenant des techniques de survie et des rudiments de notions médicales, en stockant de la nourriture, en construisant des abris, ou en apprenant à se nourrir en milieu sauvage. Le survivalisme aujourd’hui est devenu une véritable culture présente dans le cinéma, la littérature ou la bande-dessinée.

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Prometheus-Affiche-France-copie-1.jpg

On va dire que tout est là pour plaire au fan de blockbuster un peu plus poussé que la moyenne (Inception, Batman, etc.) mais j'en attendais plus.

Sur la forme, rien à dire c'est 10/10. Effets spéciaux, visuels au top du top, paysages splendides, l'univers de Giger ultra présent et ça fait plaisir de revoir le Maitre.

Sur le fond par contre, je suis pas mal déçu. On retrouve une trame scénaristique commune (mise en bouche, élément découverte, présentation des persos, en route pour la quête etc.). J'ai trouvé les persos un peu trop stéréotypé, ptet parcequ'il y en avait trop.

Idem, j'ai trouvé l'évolution de l'histoire un peu confuse par moment, un peu trop de trucs qui ne servaient à rien.

Et puis la fin, tellement prévisible m'a forcément déçu.

Au final j'attendais que Scott profite de l'univers Alien qui asseyait déjà une popularité sans commune mesure pour construire un film intelligent et un peu à part, à la frontière du film d'auteur en somme. On a eu droit à un blockbuster, pas tellement surprenant mais forcément décevant

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Vu The woman knight of mirror lake ( Hong Kong , 2011 ) de Hermann Yau ( réalisateur du génial Ebola syndrome ) gros film épique à la gloire d'une révolutionnaire féministe décapitée en 1907 , avec excellentes scénes d'action.

Très patriotique et xénophobe, comme tous les films récents traitant de la période 1900-1940…

La Chine est capitaliste, mais son cinéma est toujours communiste-ultra nationaliste…

Et vient de sortir un film ( que je n'ai pas acheté et dont le titre m'échappe ) à méga-budget et dans lequel jouent toutes les stars chinoises célèbrant la naissance du parti communiste et le génie de Mao.

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Au final j'attendais que Scott profite de l'univers Alien qui asseyait déjà une popularité sans commune mesure pour construire un film intelligent et un peu à part, à la frontière du film d'auteur en somme. On a eu droit à un blockbuster, pas tellement surprenant mais forcément décevant

Il ne faut plus rien attendre d'Hollywood, ce sont les faiseurs de séries télé qui ont pris le contrôle des films, le réalisateur est ravalé dans un rôle de fonctionnaire subalterne. Avec leur goût de la réplique débile, leur prédilection pour les situations mièvres enfilant les clichés comme des perles, ils seraient capables de transformer n'importe quel bon projet sur le papier en grosse bouse émotive pour mangeur de pop-corn.

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Bonne atmosphère, histoire très décevante. Quelques scènes un peu dèg' histoire d'avoir le cachet "dérangeant", mais rien de mémorable.

Fassbender vaut le coup, seul relief dans un film plat.

Bref, les types qui se sont occupés des bandes annonces ont fait un excellent boulot en rendant bandant (d'où le terme ?) ce qui ne l'est pas.

Décevant comme une fille au lever.

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J'ai vu Iron Sky et c'était fabuleux.

Le thème est aussi idiot que le pitch le laisse entendre ("des nazis dans l'espace!"), et pourtant il est traité brillament, je n'ai trouvé rien que j'aurais voulu tourné différemment. Seule la scène d'introduction fait parfois "cheap", tout le reste du film est d'une qualité de production irréprochable. La fin est prévisible mais c'est normal. Sachant comment ce film a été financé et produit, chapeau bas.

[Edit] Je viens d'apprendre que le budget total était en fait de 7,5 millions de dollars. Je croyais que c'était 10 fois plus, vu le résultat visuel… Je suis d'autant plus impressionné. Film culte instantané.

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Vu Coriolanus de Ralph Fiennes , avec ce dernier, Gerard Butler et Vanessa Redgrave , transposé de nos jours ( à peu près ) et en conservant le texte de Shakespeare ( avec des coupes).

Très réussi.

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Vu Coriolanus de Ralph Fiennes , avec ce dernier, Gerard Butler et Vanessa Redgrave , transposé de nos jours ( à peu près ) et en conservant le texte de Shakespeare ( avec des coupes).

Très réussi.

Je me tâte toujours pour aller le voir. Je suis un fan absolu de Shakespeare et Coriolan est l'une de mes pièces préférées (avec le roi Lear). Malgré Ralph Fiennes, qui est toujours très bon, j'ai peur de voir une oeuvre transformée en apologie de la démocratie contre l'autoritarisme d'un militaire devenu dingo, est-ce que je me trompe (j'espère me tromper) ?

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J'ai vu Agora. Pour un film athée, c'était quand même bien soporifique.

Agora est un péplum philosophique hispano-maltais

What did you expect ?

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What did you expect ?

C'est vrai qu'Alejandro Amenábar, tu le sors des flims d'horreur où il excelle (Tésis, The Others), il est soporifique.

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Je me tâte toujours pour aller le voir. Je suis un fan absolu de Shakespeare et Coriolan est l'une de mes pièces préférées (avec le roi Lear). Malgré Ralph Fiennes, qui est toujours très bon, j'ai peur de voir une oeuvre transformée en apologie de la démocratie contre l'autoritarisme d'un militaire devenu dingo, est-ce que je me trompe (j'espère me tromper) ?

L'avis de Roger Ebert :

The point with Shakespeare is the language. Modern-dress productions of his plays are common and can inspire intriguing viewpoints. Who is to say that "Coriolanus" might not as well be set in the Middle East as in Rome — neither a place Shakespeare had ever seen? In the 1995 film version of "Richard III," for instance, Ian McKellen was cast as a fascist dictator of the 1930s.

Now we have Ralph Fiennes directing and starring in "Coriolanus," one of the Roman tragedies, where the feral and discontented general is at war in "a place calling itself Rome." The walls are covered with graffiti, grenade launchers replace swords, and we get the obligatory shot of warriors being blown toward us with an explosion blossoming behind. The costumes, art direction and props could be used for an action film about most modern wars, including that in Bosnia, and indeed the film was shot on location in Belgrade.

Apart from the infinite varieties of the human face, there are no sights in "Coriolanus" I'm not familiar with. Fiennes, an actor who can remake himself, is here lean and muscular, his head shaven, his neck a muscular trunk displaying a dragon tattoo. He carries an AK-47. Is this Shakespeare's hero? Did Shakespeare envision Coriolanus in Greco-Roman draperies? I imagine him alone in a room, writing by candlelight, intoxicated by language. For him, Coriolanus was the name of the speaker of his words.

One of the pleasures of Fiennes' film is that the screenplay by John Logan ("Hugo," "Gladiator") makes room for as much of Shakespeare's language as possible. I would have enjoyed more, because such actors as Fiennes, Vanessa Redgrave and Brian Cox let the words roll trippingly off the tongue.

I realize I savor Shakespeare in a different way than the typical Friday night action fan — who, lured by the violence and ferocity of the hard-boiled trailer and TV ads, will perhaps wonder why everyone is talking so strangely. There is a reason most of the sentences in action dialogue are not more than a few words long. More than half of the film's box-office revenue will come from overseas, where the film will be dubbed, and longer speeches are trickier to dub. "Coriolanus" will ideally be seen in English.

Shakespeare's story involves a Roman who cares more about battle than about politics. This is Caius Martius (Fiennes), a general who has led Rome against its nearby Volscian enemies. Warfare has cut off Rome's food supplies, there's rioting in the streets, and he leaves to join the siege of the enemy city Corioles.

When he prevails, he's given the honorary title "Coriolanus," returns home and at the urging of his strong-willed mother, Volumnia (Vanessa Redgrave), runs for Consul. He is, alas, not a diplomatic politician (it's unwise to hold the people in contempt). Banished from Rome, he joins forces with his former Volscian enemy, Tullus Aufidius (Gerard Butler), and they attack it. Only his mother can persuade him to lay down his arms.

Transfer this story to "a place calling itself Rome," add the trappings and the suits of modern warfare, supply updates from cable news, and you have a movie which is not so much about the private patrician scorn of Coriolanus as it is about the motivation of most action heroes, which is to strut in macho display, inspire slaughter and mayhem, and provide reaction shots when things blow up real good. This is all done well by Fiennes, but as a man who starred in this play 10 years ago in London, he has deeper feelings for it, and the key scenes are those between Coriolanus and his mother, to whom he seems more romantically attached than to his wife, Virgilia (Jessica Chastain).

I admired the movie even though I found it neither fish nor fowl. As Shakespeare, it has too much action footage (Coriolanus' face seems permanently streaked with blood), and as action, it has too much Shakespeare. I suppose the action is the price Fiennes had to pay to do the Shakespeare, because a film this expensive must appeal to the masses.

What's the question Shakespeare has Coriolanus ask about public opinion? "What's the matter, you dissentious rogues/That, rubbing the poor itch of your opinion/Make yourselves scabs?"

http://www.rogereber.../120209998/1023
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Je me tâte toujours pour aller le voir. Je suis un fan absolu de Shakespeare et Coriolan est l'une de mes pièces préférées (avec le roi Lear). Malgré Ralph Fiennes, qui est toujours très bon, j'ai peur de voir une oeuvre transformée en apologie de la démocratie contre l'autoritarisme d'un militaire devenu dingo, est-ce que je me trompe (j'espère me tromper) ?

Tu peux le voir sans inquiétude, c'est bien meilleur que ne le dit le nullissime Ebert, les démagogues sont toujours répugnants et on ne parle pas de démocratie.

Se trouve en un très bon blu-ray US, dispo chez Amzn US.

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Pour ceux que cela intéresse, je recommande : Encyclopédie du cinéma de Hong-Kong ( Paris, Les Belles Lettres ) , seul ouvrage exhaustif sur le sujet -- et c'est en français.

Car le cinéma HK , ce n'est pas seulement John Woo et Johnny To ( et Tsui Hark ) , c'est beaucoup plus riche et varié que ne le laissent croire les ignares et paresseux critiques.

Et aujourd'hui, il est très facile de trouver tous les films , en dvd et blu-ray, avec sous-titres anglais.

Par ex. chez http://www.yesasia.com

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Après avoir vu la version américaine de "Millenium" (Stieg Larsson), je comprends enfin ce qui me gênait tellement dans les livres: Lisbeth est en fait une Mary Sue, et la trilogie entière devient une fan-fiction sur sa vie vers la fin du premier livre.

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Prometheus-Affiche-France-copie-1.jpg

On va dire que tout est là pour plaire au fan de blockbuster un peu plus poussé que la moyenne (Inception, Batman, etc.) mais j'en attendais plus.

Sur la forme, rien à dire c'est 10/10. Effets spéciaux, visuels au top du top, paysages splendides, l'univers de Giger ultra présent et ça fait plaisir de revoir le Maitre.

Sur le fond par contre, je suis pas mal déçu. On retrouve une trame scénaristique commune (mise en bouche, élément découverte, présentation des persos, en route pour la quête etc.). J'ai trouvé les persos un peu trop stéréotypé, ptet parcequ'il y en avait trop.

Idem, j'ai trouvé l'évolution de l'histoire un peu confuse par moment, un peu trop de trucs qui ne servaient à rien.

Et puis la fin, tellement prévisible m'a forcément déçu.

Au final j'attendais que Scott profite de l'univers Alien qui asseyait déjà une popularité sans commune mesure pour construire un film intelligent et un peu à part, à la frontière du film d'auteur en somme. On a eu droit à un blockbuster, pas tellement surprenant mais forcément décevant

Depuis Lecter III, puis Gladiator, Scott ne fait plus que l'artisan parfait mais sans inspiration.

Chapeau pour le travail bien fait, mais quel dommage de la part du créateur d'Alien et de Blade Runner.

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J'ai vu the Avengers quand il est sorti. Du rire, des cascades, des explosions, Scarlett Johanson, Tony Stark, un bon gros no-brainer a la sauce blockbuster, mais avec un tres grand plaisir a voir. Pas du tout etonne de voir le carton qu'il est en train de faire.

The Dictator, de Sacha Baron Cohen. J'ai passé un bon moment, meme si j'ai quand-meme prefere Ali G.

C'est la ou je me rends compte que je suis pas dans le delire nouvelle vague, ces derniers temps.

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Regardé la saison quatre de True blood ( sex & gore ) , sans doute la moins bonne série de HBO ,avec beaucoup de séquences qui flirtent avec le ridicule pour tomber dans le grotesque, et quand même de bons moments.

Et comment cela se termine-t-il ?avec des mystères qui annoncent la saison 5.

Je note que sous des petits airs libres/libérés, cette série est hypocritement puritaine ( comme Six feet under , du même Alan Ball , et d'ailleurs à peu près tout ce que produit Hollywood ).

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Armond White a donné son avis sur Prometheus :

A Noxious Burp

by Armond White on Jun 7, 2012 • 9:30 am

Ridley Scott Hiccups Alien Fumes in Prometheus

Now the Alien franchise becomes a Quintilogy–a purely market-driven neologism following the recent Blu-Ray boxset that labeled the first four Alien films not as a “Quartet” but a “Quadrilogy.” Prometheus is made with the same contempt for the public–as if anyone wanted or needed another repackaging of the sci-fi horror tale. Even the 1979 original (the best, seconded by Jean-Pierre Jeunet’s Alien Resurrection) was little more than what one critic condensed as “a gorilla in a haunted house movie.”

Prometheus could have been concocted by a publicist taking advantage of the current gullible film culture that believes the hype hoisting Ridley Scott as an artist (or even interesting). Scott’s sales record is all that makes fanboys take him seriously; his formulaic, stultifying, calendar-art-pretty movies certainly don’t. The mere fact that Prometheus gloms on to a legacy–it is a Prequel to the previous four films–is enough to convince the easily duped that something special is going on in this nonsense.

What’s going on is a plot that’s less coherent than any of the earlier films (even though it repeats them) with an unappealing cast babbling nonsense about Faith, Creation and Let‘s-get-the-hell-outta-here! The original film almost passes for art due to producer Walter Hill’s efficient adherence to genre storytelling and the unique exhibition of H.R. Giger’s unnervingly biomorphic designs for the monster and its space ship which simultaneously evoked outre genitalia and assorted seafoods. (The original’s signature motifs conveyed a palpable, nearly poetic fear of Sex.) Now, Ultrahack Scott reveals himself as little more than a production-design freak; Prometheus (convincingly shot in 3-D) lacks the atmospheric awe of the first film, the undeniably well-paced tension of James Cameron’s sequel and the rich, evocative splendor of Jeunet’s capstone.

Instead, Prometheus is marked by Scott’s typically shallow characterization, narrative confusion and disrespect for movie history. Not since the atrocious Wall-E has one movie so thoughtlessly trashed a superior film. This time both David Lean’s Lawrence of Arabia and Steven Spielberg’s A.I.: Artificial Intelligence are dishonored through the characterization of an ominous automaton, David (played by Michael Fassbender who quickly has come to emblematize crap cinema). David models his hair and speaking voice after Peter O’Toole’s classic enigmatic Lawrence and David’s lack of “soul” refers to the conundrum of Spielberg and Kubrick’s neo-Pinocchio conception–scoffed at here as “not a real boy.”

Just as Wall-E demeaned the spectacular movie-musical romance Hello, Dolly! to the delight of ignorant film geeks, Prometheus plays with our culture’s most profound artistic expressions of human ambition, merely for a series of unpleasant thrills: Noomi Rapace performing an abortion on herself, various decapitations, dispirited ruminations on religion and, finally, Guy Pearce in ludicrous Halloween make-up. It’s a foul repeat, a noxious burp. If you swallow Prometheus, you’ll swallow anything.

http://cityarts.info…a-noxious-burp/
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Vu Seediq bale ( Taiwan, 2011, ) de Wei Te-sheng, grand film épique ( près de cinq heures…, en deux parties ) , qui retrace la révolte, en 1930 des guerriers coupeurs de tête de la tribu des Seediq contre l'occupant japonais. Historiquement exact, épique, dur et triste ( et beaucoup de Japonais décapités ).

Attention : il y aura une "version internationale " ( Warriors of the rainbow ) amputée de plus d'une heure. Mais il y a plein d'éditions taiwanaises excellentes ( dvd et blu-ray ) qu'il est facile de se procurer.

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Regardé la saison quatre de True blood ( sex & gore ) , sans doute la moins bonne série de HBO ,avec beaucoup de séquences qui flirtent avec le ridicule pour tomber dans le grotesque, et quand même de bons moments.

Et comment cela se termine-t-il ?avec des mystères qui annoncent la saison 5.

Je note que sous des petits airs libres/libérés, cette série est hypocritement puritaine ( comme Six feet under , du même Alan Ball , et d'ailleurs à peu près tout ce que produit Hollywood ).

Yep.

La différence c'est que Six Feet Under est bien. True Blood est de plus en plus mauvais.

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