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Posté

Pas lu mais je veux bien admettre que tuer son bourreau dans son sommeil relève de la légitime défense.

Il venait de défoncer la porte de sa chambre, de la ruer de coups. Il est parti, elle a pris son fusil de chasse et lui a tiré dans le dos.

Posté

Autant la légitime défense est ridicule.

Autant la condamner à 10ans de prison est tout aussi absurde.

Une peine avec du sursis ou amménageable aurait été largement plus approprié.

Les assises, tu peux pas test.

Posté

Il y a bien plus que ça.

Ce qui m'avait frappé c'est qu'elles refusent les mecs (ok).

Et elles le font en justifiant par un discours qui dit en gros:

"Les femmes ont le droit de se retrouver entre elles car elles sont une minorité opprimées, par contre les hommes n'ont pas le droit car ils sont une majorité".

Et tout un laïus sur la mixité sociale. Oui à la mixité forcée pour les riches,  non à la mixité forcée pour les pauvres si ils n'en veulent pas.

Etc.

 

Oui oui ça fait partie du délire.

Posté
"Les femmes ont le droit de se retrouver entre elles car elles sont une minorité opprimées, par contre les hommes n'ont pas le droit car ils sont une majorité".

.

 

Maintenant aux dernières nouvelles, les gens qui font de la politique en excluant une frange de la population ne sont jamais la pour rendre service.

Concrètement les meetings féministes qui excluent les hommes, ils ressemblent à des rassemblements insurrectif précédant un pogrom puisque c'est exactement ce qu'ils sont. C’est uniquement parce qu'il manque l'essentiel à ces engeances (la capacité tout masculine à organiser une émeute dangereuse) que personne ne les prend au sérieux. Sur le spectre politique ce sont simplement des fachos.

Posté

Ce qui est hors du cadre de la légitime défense

Pas nécessairement. Il était impuni depuis tout ce temps, il aurait continué. La menace était encore présente, je dirais même chronique.
Posté

Donc tu es favorable à un cadre de la légitime défense "continue" ?  C'est dans l'immédiateté et encore heureux, c'est le derniers recours et il doit être nécessaire. Une fois qu'il part il n'y a plus de menace immédiate. Et le fait qu'il était impuni je vois pas le rapport, pareil, proportionnalité.

 

Renoncer à l'immédiateté c'est vraiment amener des dérives. Surtout quand il s'agit de spéculations.

Posté

Pas nécessairement. Il était impuni depuis tout ce temps, il aurait continué. La menace était encore présente, je dirais même chronique.

 

Si elle avait été enfermée ok la menace aurait été présente, mais la elle pouvait juste partir.

Meme si son acte est compréhensible c'est un acte de colère ou de vengeance, pas de défense.

Il faudrait peut être une notion de "légitime vengeance".

 

D'une manière plus général, qu'on risque la mort quand on agresse quelqu'un physiquement c'est une bonne chose.

 

Posté

Si elle avait été enfermée ok la menace aurait été présente, mais la elle pouvait juste partir.

Il me semble justement qu'elle venait d'essayer, en vain, de lui échapper.
Posté

Elle essaye en vain de lui échapper mais elle peut atteindre et avoir accés à une arme chargée, viser et tirer?

À minima et en théorie, elle aurait pu s'échapper en le menaçant avec l'arme.

Bien sur, ma phrase ne prend pas en compte l'état psychologique ni même physique de la personne, (vient de se faire tabasser, potentiel etat second apres coup a la tête, potentiel état de choc psychologique...)

Faut vraiment ne jamais avoir été sérieusement passé à tabac dans sa vie, ni même agressé, pour ne pas se rendre compte que ça peut modifier les priorités de comportement.

(Ma dernière phrase est un constat, elle ne vise personne dans la discussion, au cas ou ça serait mal interprété).

Posté

Rah putain madmoizelle... Entre ça et Causette ne me dites pas qu'il n'y aurait pas de boulot pour un anti-sjw français sur Youtube.

Posté

Oui qu'on vienne pas nous dire que le mouvement est plus light qu'aux US : il est déjà ici

 

 

http://www.madmoizelle.com/musulman-normal-sexisme-493949

 

"Refuser de serrer la main des femmes est un tel mépris pour la moitié de l’humanité, que se désolidariser ou non de Daech deviendrait presque une question subsidiaire"

 

Le sexisme est évidemment plus grave que le meurtre et le terrorisme voyons

Posté

cependant, imo, ça prendra quand même moins bien en France de manière générale.

 

La France c'est quand même pas spécialement un pays avec une culture de "huh, you hurt my feelings"

Posté

 

Des données rendues publiques par Statistique Canada cette semaine viennent déboulonner certains mythes sur la violence conjugale.

Ainsi, contrairement à la croyance populaire, l'Enquête sociale générale de 2014 sur la victimisation nous apprend que les hommes sont tout aussi nombreux à être victimes de violence conjugale que les femmes.

Si cette donnée ne surprend pas les experts, certains sont néanmoins étonnés de voir la chute de la violence conjugale, qui a diminué de près de la moitié, et de constater le degré de violence dont sont victimes les hommes.

Selon l'Enquête, sur un peu plus de 19 millions de Canadiens qui avaient un conjoint ou un ex-conjoint en 2014, environ 4 %, soit 760 000 personnes, ont déclaré avoir été victimes de violence physique ou sexuelle, ou les deux, de la part de leur partenaire au cours des cinq années précédentes. Or, cette proportion de 4 % est identique chez les hommes et les femmes.

La bonne nouvelle, c'est que cette proportion est bien inférieure à celle de 7 % enregistrée 10 ans plus tôt, en 2004, une chute dont l'ampleur étonne le criminologue et spécialiste des questions de violence conjugale Stéphane Guay, de l'Université de Montréal.

«Qu'il y ait une baisse, c'est normal et on s'y attend parce que c'est un problème qui a été pris au sérieux et il y a eu beaucoup d'actions qui ont été prises. Mais 3 % de différence? C'est presque une diminution de 50 %. Ça, je ne vous aurais pas gagé un 2 $ là-dessus», a-t-il confié en entrevue avec La Presse Canadienne.

Par ailleurs, parmi les victimes de violence conjugale, les femmes demeurent deux fois plus nombreuses à avoir subi les violences les plus graves (34 % contre 16 % chez les hommes), soit d'avoir été agressées sexuellement, battues, étranglées ou menacées avec une arme à feu ou un couteau.

Par contre, les hommes sont trois fois et demi plus nombreux (35 % contre 10 %) à avoir subi des voies de fait sous la forme de coups de pied, de morsures, de coups et de coups avec un objet contondant.

Le professeur Guay précise que les données montrent depuis longtemps que les hommes sont aussi nombreux à déclarer être victimes de violence conjugale, mais la nature des violences subies par les hommes l'étonne.

«C'est la première fois que je vois un rapport de Statistique Canada qui dit que les hommes ont été plus souvent victimes de ces formes de violence grave que les femmes. Ça me surprend. Je n'aurais pas pu prédire ça», a-t-il expliqué.

Femmes surreprésentées?

Pour le grand public, la violence conjugale visant les femmes est un phénomène bien connu et les données policières laissent croire qu'elles sont surreprésentées. Cette situation s'explique en grande partie par le fait que les femmes rapportent plus souvent à la police les sévices subis, d'une part parce qu'elles sont plus nombreuses à subir les violences les plus graves, mais aussi parce que les hommes rapportent moins les violences, mêmes graves, dont ils sont victimes, pour des raisons culturelles.

«C'est la perception de leur rôle sexuel dans la société qui fait en sorte qu'ils ne déclarent pas, parce qu'ils se disent que la police va rire d'eux», a expliqué le chercheur sans détour.

Stéphane Guay note toutefois qu'il faut se méfier des raccourcis dans l'interprétation de ces données.

«Il y a une limite méthodologique quand on mesure des comportements sans évaluer le contexte. Par exemple, quand une femme porte des coups, est-ce que c'était en guise de réplique ou si c'est la femme qui a initié le geste? On ne le sait pas», fait-il valoir.

Ainsi, bien qu'il soit impossible de relier les deux statistiques obtenues par des méthodes et enquêtes distinctes, l'Enquête de Statistique Canada précise que 70 % des incidents de violence conjugale ne sont pas rapportés à la police, alors que les données policières indiquent que 68 % des victimes de violence familiale (qui incluent les gestes posés par n'importe quel membre de la famille à un autre membre de la famille) sont des femmes et des filles, et que la moitié des cas sont des dossiers de violence conjugale.

Lien entre rupture et violence

L'Enquête comporte par ailleurs plusieurs autres données intéressantes, notamment qu'un lien très clair existe entre la rupture et la violence. Ainsi, 41 % des victimes disent avoir subi de la violence d'un ex-conjoint après la fin de l'union, et la moitié de celles-ci précisent que la gravité de la violence a augmenté après la rupture, une constante qui frappe de manière égale les hommes et les femmes.

De plus, les incidents de violence conjugale étaient plus souvent déclarés relativement à des unions rompues que par des personnes actuellement mariées ou vivant en union libre.

Les résultats révèlent par ailleurs qu'il pourrait y avoir un lien entre la violence durant l'enfance et la violence conjugale à l'âge adulte, alors qu'un plus grand nombre de victimes de violence conjugale ont affirmé avoir été victimes de sévices physiques ou sexuels, ou les deux, durant leur enfance (48 %), comparativement aux personnes n'ayant pas déclaré de violence conjugale (32 %).

Tristement et sans surprise, le taux de violence conjugale chez les autochtones est plus du double (9 %) que chez les non-autochtones (4 %).

Les provinces rapportent généralement une baisse de la violence conjugale similaire à celle de l'ensemble du Canada en termes de proportion.

C'est l'Île-du-Prince-Édouard qui rapporte le plus haut taux de violence conjugale, suivie dans l'ordre de la Saskatchewan, et ex aequo, de l'Alberta et de la Nouvelle-Écosse. Le Nouveau-Brunswick vient au cinquième rang, alors que le Québec occupe la huitième place. Le taux de violence conjugale le plus faible a été enregistré à Terre-Neuve-et-Labrador.

http://quebec.huffingtonpost.ca/2016/01/24/violence-conjugale-hommes_n_9065342.html

 

Posté

«Il y a une limite méthodologique quand on mesure des comportements sans évaluer le contexte. Par exemple, quand une femme porte des coups, est-ce que c'était en guise de réplique ou si c'est la femme qui a initié le geste? On ne le sait pas»

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Posté

Quand ils parlent de 4% d'hommes et de femmes battus j'imagine bien que l'intersection n'est pas nulle. Il doit y avoir des couples qui se déchirent à coups de lattes où chacun se dit battu.

Posté

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Ahah un autre malade qui traine sur HDL :D 

Posté

Quand ils parlent de 4% d'hommes et de femmes battus j'imagine bien que l'intersection n'est pas nulle. Il doit y avoir des couples qui se déchirent à coups de lattes où chacun se dit battu.

Non non, ce sont les braves femmes battues qui osent se défendre qui faussent les chiffres. Espèce de misogyne.
Posté

Cf M.Trintignant et B. Cantat, où manifestement, ils se foutaient tout les deux des bouffes. Les échanges de coups, dans le cadre de la violence conjugale, c'est plutôt fréquent, la femme énerve le mâle, le tarabuste, et ça part, quand c'est pas elle qui commence. Dans mon job où on enquêtait, c'était assez fréquent.

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