Le féminisme

[poincaré]

  Le 11/11/2018 à 15:39, Lancelot a dit :

Je confirme, des gens qui pensent comme ça j'en ai rencontré plusieurs dans les milieux académiques. Les plus modérés pensent simplement que oui, certes, ça fout la merde, mais comme ça part d'une bonne intention il faut le supporter.

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Il faut absolument que je lui parle de The Red Pill. Jusqu'ici je n'ai pas réussi à le convaincre que sa vision binaire, de domination entre les sexes est erronée. Démonter ses convictions sera une tâche ardue.

[RaHaN]

 

traduction (issue d'une publication), extraite de ce lien : 
 

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"Les enfants et les petits appartenant à des espèces sociales aiment tous jouer à chat perché, se pourchasser et faire semblant de se battre. Les humains ne font pas exception à la règle mais contrairement aux louveteaux, qui préfèrent généralement poursuivre, les petits humains (comme les ratons) préfèrent être poursuivis. Pourquoi ? Parce que, contrairement aux loups qui sont au sommet de la chaîne alimentaire depuis bien plus longtemps, nous les humains sommes des proies dans la majeure partie de notre histoire évolutive. La sélection naturelle a donc donné à notre espèce l’impulsion intrinsèque pour détecter les prédateurs, les fuir, les éliminer. Mais voici une mise en garde : les humains sont maintenant au sommet de la chaîne alimentaire. (...) Les humains ont réussi (du moins, semble-t-il) à passer de proie à prédateur en un temps record. (...) Plutôt que nos prédispositions cognitives, c’est notre instinct de détection de menace, ainsi que notre volonté d’apprentissage culturel, d’utilisation des outils, de coopération, de culture matérielle et de sous-traitance des connaissances, compétences et décisions qui nous rendent si intelligents et puissants. (...) nous avons tendance à traiter les groupes sociaux en utilisant les outils que notre esprit connaît le mieux : en supposant qu'ils ont un esprit comme le nôtre et des intentions amicales ou hostiles à notre égard. Ces préjugés sont en jeu lorsque nous supposons couramment que des abstractions telles que ‘l’université’, ‘les médias’, ‘le gouvernement’ ou ‘les Américains’ veulent nous contrôler. Notez avec quelle facilité nous attribuons des états mentaux et la psychologie prédateur/proie à de telles entités. Lorsque nos modes de détection de la menace deviennent hyperactifs, ces hypothèses se traduisent par des illusions et des psychoses, via lesquelles les gens perçoivent généralement un monde habité par des agents maléfiques aux intentions obscures à leur égard. Les théories du complot deviennent souvent virales précisément pour cette raison : parce qu'elles sont totalement intuitives. (...) Notre vieille psychologie de proies est mal adaptée aux environnements modernes. (...) Que se passe-t-il donc lorsque les intuitions convergent de plus en plus vers l'idée que la moitié de l'espèce humaine - à savoir les hommes - sont des prédateurs ? Avant de pouvoir répondre à cette question, nous devons examiner l’aspect le plus contre-intuitif de ce casse-tête. Les mouvements de justice sociale qui ciblent les oppresseurs s'attaquent généralement aux perdants et non aux gagnants - en d'autres termes, ils sont généralement dirigés vers les impotents. Nous devons également comprendre pourquoi les humains peuvent ne pas remarquer - ou ne pas s’inquiéter excessivement - de l’injustice. (...) Voici une autre règle : les humains aiment le prestige, et ils détestent les perdants. C’est pourquoi nous sommes avant tout en concurrence pour les ressources symboliques de statut social : admiration, fierté et justification pour accéder à d’autres ressources. (…)
L'exemple de la Révolution française peut aider à éclairer les conditions historiques changeantes qui ont donné naissance au mouvement MeToo. Au cours du siècle dernier, les conditions de vie et les possibilités offertes aux femmes se sont considérablement améliorées. Dans les démocraties occidentales, les privilèges juridiques des hommes ont été entièrement supprimés, et les pratiques de discrimination positive (bourses d'études spécifiques, politiques de recrutement, formation d'éducateurs, programmes d'études sur le genre, obligation morale d'embrasser le féminisme, etc.) au profit des filles et des femmes sont devenues la norme. Dans la culture populaire, les vertus autrefois attribuées aux marqueurs traditionnels de la masculinité tels que la force, l'endurance, la dignité, la protection et le désintéressement se sont lentement érodées, donnant naissance à des modèles largement absents, ou au mieux déroutants, de rôles sociaux culturellement admirables que les hommes peuvent incarner. (...) Les conditions sociales changeantes dans lesquelles une classe dotée de prestige finit par perdre son statut tendent à se produire dans le contexte de nouvelles pressions concurrentielles. L'entrée massive de femmes sur le marché du travail les a mises en concurrence avec les hommes dans un créneau qu'ils occupaient auparavant presque exclusivement. (...) Considérons maintenant un contexte dans lequel les hommes sont de plus en plus dévalorisés en tant que prestataires, découragés activement de chercher un statut, ridiculisés et pathologisés pour être masculins - tout en faisant face à une concurrence féroce de candidates qui sont mieux formées et plus valorisées qu'ils ne le sont, et pour des emplois où les comités d’embauche discriminent ouvertement les hommes. Le fait que la plupart des gens n’identifient pas ceci comme une recette menant au désastre témoigne de l’aveuglement de notre psychologie de foule, qui nous amène trop facilement à nous attaquer aux perdants (...) Plus qu’une critique du mouvement MeToo en tant qu’événement isolé, cet essai est une invitation à la modération pour tous ceux qui se sentent convaincus qu’ils sont du bon côté de l’histoire et ont identifié l’ennemi. Lorsque vous ressentez l’attraction magique de la justice, dans le cadre de la légitime lutte contre les prédateurs, rappelez-vous que la résistance à l’intimidation de masse et à la violence nécessite beaucoup de contrôle des impulsions, de réflexion et de courage."

 

 

 

Ah, et sinon :

 

[Johnathan R. Razorback]

  Le 22/11/2018 à 09:23, Restless a dit :

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Celui-là il faut l'archiver pour la postérité tellement ça illustre à la fois la condescendance dédaigneuse des gauchistes culturels en général et le côté pathologique du féminisme radical qui essaye de construire une identité de groupe à base d'oppression imaginaire (violences économiques, lol) et de désignation d'un ennemi qui n'avait rien demandé (le "vs" du début du message manifeste cette attitude de manière flagrante. Comme disait Freund c'est l'ennemi qui vous désigne...).

[0100011]

Les olympiades de la victimisation donneront d'autres exemples bien plus colorés...

[Lancelot]

"Les femmes sont les premières victimes de la précarité", hein ? Quelle est la proportion de femmes chez les SDF déjà ?

[Flashy]

Ce qui est marrant, c'est que tout est mélangé.

Par exemple, le fait que 70% des "travailleurs pauvres" serait des femmes est inexact.
Déjà, ce taux concerne les gens vivant sous le seuil de pauvreté, pas les "travailleurs pauvres" (pas la même définition). Ensuite, ce taux concerne...le monde ! Y compris les pays où les femmes n'ont pas le droit de travailler (ceci expliquant cela...).

 

En France, parmi l'ensemble de la population pauvre, les femmes sont surreprésentées (-55% contre 45%-), mais parmi les travailleurs pauvres, la proportion s'inverse ! (-45% contre 55%-).

 

http://www.onpes.gouv.fr/IMG/pdf/Ponthieux-Raynaud.pdf

[Atika]

Preuve encore une fois, étatistes qu'ils sont, qu'il haïssent la concurrence.

 

 

[Adrian]

 

[Soda]

  Le 04/12/2018 à 16:09, Adrian a dit :

 

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Voilà, et une fois que les hommes éviteront les femmes pour pas avoir de problème, elle vont chouigner parce qu'elles se sentent mise à l'écart, c'est sans fin.

[poincaré]

  Le 04/12/2018 à 16:26, Soda a dit :

Voilà, et une fois que les hommes éviteront les femmes pour pas avoir de problème, elle vont chouigner parce qu'elles se sentent mise à l'écart, c'est sans fin.

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C'est très bien de vouloir faire attention à son comportement et de prendre quelques précautions avec ses collègues féminins pour éviter tout malentendu. Maintenant si on pouvait éviter de tomber dans la victimisation, ce serait bien aussi : ce n'est pas la faute de ces femmes si certains ne savent pas gérer une relation humaine correctement.

[Soda]

  Le 04/12/2018 à 17:15, poincaré a dit :

C'est très bien de vouloir faire attention à son comportement et de prendre quelques précautions avec ses collègues féminins pour éviter tout malentendu

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Donc faut pas traîter les femmes comme les hommes ? Espèce de sexiste.

[Lancelot]

  Le 04/12/2018 à 17:15, poincaré a dit :

ce n'est pas la faute de ces femmes si certaines ne savent pas gérer une relation humaine correctement.

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fixd

[Fagotto]

On lisait déjà les mêmes articles à l'époque des lois anti-harcèlement aux US non? Genre plus aucun homme ne prend l'ascenseur avec une femme (comme quoi c'est pas nouveau ces histoires...) etc...

[Antoninov]

  Le 04/12/2018 à 16:26, Soda a dit :

 

Voilà, et une fois que les hommes éviteront les femmes pour pas avoir de problème, elle vont chouigner parce qu'elles se sentent mise à l'écart, c'est sans fin.

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Dans l'article:

  Quote

“If men avoid working or traveling with women alone, or stop mentoring women for fear of being accused of sexual harassment,” he said, “those men are going to back out of a sexual harassment complaint and right into a sex discrimination complaint.”

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Pile: harcèlement sexuel

Face: discrimination

:-)

[poincaré]

  Le 04/12/2018 à 17:21, Soda a dit :

Donc faut pas traîter les femmes comme les hommes ? Espèce de sexiste.

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Ça veut dire quoi "traiter quelqu'un comme un homme" ou "comme une femme" ?

[Noob]

  Le 04/12/2018 à 17:15, poincaré a dit :

C'est très bien de vouloir faire attention à son comportement et de prendre quelques précautions avec ses collègues féminins pour éviter tout malentendu. Maintenant si on pouvait éviter de tomber dans la victimisation, ce serait bien aussi : ce n'est pas la faute de ces femmes si certains ne savent pas gérer une relation humaine correctement.

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Le problème n'est pas là. Le problème de metoo c'est l'attention portée à la moindre accusation qui peut coûter son poste à n'importe qui, sans qu'aucune vérification ne soit jamais faite.

Comme là il ne s'agit pas de justice, mais uniquement de l'image de l'entreprise, une rumeur simple est parfois suffisante pour déclencher X campagne négative contre elle. Et dans certain cas il n'y a pas d'autre moyen que de virer le type accusé pour évacuer le problème. Les types prennent donc les mesures nécessaires pour s'éviter des emmerdes et protéger leur carrière.

[Tramp]

  Le 04/12/2018 à 21:33, Noob a dit :

Et dans certain cas il n'y a pas d'autre moyen que de virer le type accusé pour évacuer le problème.

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Ou alors attendre que ça passe. 

[Noob]

  Le 04/12/2018 à 22:33, Tramp a dit :

Ou alors attendre que ça passe. 

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Ha bien sûr, mais comme c'est pas celui sur qui ça tombe qui a le contrôle là-dessus, ceux qui sont susceptibles de sauter prennent les mesures pour se protéger.

[Soda]

  Le 04/12/2018 à 20:55, poincaré a dit :

Ça veut dire quoi "traiter quelqu'un comme un homme" ou "comme une femme" ?

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Bah c'est simple c'est agir sans prendre en compte le genre d'autrui.

 

 Par exemple j'appelle l'ascenseur et un homme arrive et monte avec moi jusqu'à là pas de problèmes, mais si c'est une femme je devrais lui dire d'attendre le prochain afin d'éviter tout malentendu, c'est une discrimination.

Bref avec certaines féministes sois je suis un violeur ou un harceleur.

 

 

[Hank Rearden]

Le féminisme aboutit finalement dans une espèce de néo-puritanisme dans lequel toute relation/interaction homme/femme devient suspecte de sexisme et de discrimination.

 

C'est au nom du féminisme que sera rétablie la non-mixité (transports en commun séparés et dédiés, ascenseurs homme, ascenseurs femmes, open space homme , open space femme, ecole fille ecole garçon comme au bon vieux temps, etc...) alors qu'originellement c'est aussi au nom du féminisme et de la libération de la femme que cette non-mixité avait été abolie.

[Extremo]

  Le 05/12/2018 à 01:21, Hank Rearden a dit :

Le féminisme aboutit finalement dans une espèce de néo-puritanisme dans lequel toute relation/interaction homme/femme devient suspecte de sexisme et de discrimination.

 

C'est au nom du féminisme que sera rétablie la non-mixité (transports en commun séparés et dédiés, ascenseurs homme, ascenseurs femmes, open space homme , open space femme, ecole fille ecole garçon comme au bon vieux temps, etc...) alors qu'originellement c'est aussi au nom du féminisme et de la libération de la femme que cette non-mixité avait été abolie.

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Tout à fait d'accord (en même temps c'est pas pour rien que t'es mon perso de La Grève préféré ). Et je rajouterais que d'une manière générale il y a un lien bien plus ténu entre progressisme et christianisme que chaque camp ne veut bien l'admettre, avec les SJW et les féministes radicales qui représentent bien entendu l'aile la plus puritaine et totalitaire.

[poincaré]

  Le 04/12/2018 à 23:21, Soda a dit :

Par exemple j'appelle l'ascenseur et un homme arrive et monte avec moi jusqu'à là pas de problèmes, mais si c'est une femme je devrais lui dire d'attendre le prochain afin d'éviter tout malentendu, c'est une discrimination.

Bref avec certaines féministes sois je suis un violeur ou un harceleur.

Expand  

Ton exemple est caricatural au possible. N'importe quel homme un peu malin n'adoptera jamais ce comportement. En revanche ce qu'il peut faire, c'est garder une distance physique dans l'ascenseur et se comporter normalement.

 

Et c'est tout de même pas compliqué d'éviter de reluquer sa collègue de manière tellement obvious que ça en devient gênant, ou de lui faire des remarques sur ses fringues dès que l'occasion se présente. Ça n'empêche pas de s'asseoir à côté d'elle dans l'avion ou que sais-je. Avec ça j'ai du mal à concevoir qu'on puisse se faire accuser à tort d'harcèlement sexuel, sauf attaque purement personnelle. Maintenant je comprends que certaines préfèrent évacuer tout ça sur internet plutôt que s'engouffrer dans une procédure longue et coûteuse qui n'aboutira sûrement à rien puisque sans preuve, sans témoignage, faits datés...

[poincaré]

  Le 05/12/2018 à 01:21, Hank Rearden a dit :

Le féminisme aboutit finalement dans une espèce de néo-puritanisme dans lequel toute relation/interaction homme/femme devient suspecte de sexisme et de discrimination.

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Il y a juste ceux qui sont paranos et ceux qui ne le sont pas.

 

  Le 05/12/2018 à 01:21, Hank Rearden a dit :

C'est au nom du féminisme que sera rétablie la non-mixité (transports en commun séparés et dédiés, ascenseurs homme, ascenseurs femmes, open space homme , open space femme, ecole fille ecole garçon comme au bon vieux temps, etc...)

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Il faudrait peut-être se demander pourquoi avant de s'en plaindre. 

 

D'ailleurs ça existe déjà à Rio, au Japon, au Mexique, en Inde et la population n'a pas l'air de s'en plaindre. On trouve des services privés type Pink Taxis pour satisfaire la demande, c'est une excellente chose. À Lyon il existe même une asso de réparation de vélo qui organise des ateliers réservés aux femmes. Je ne vois pas où est le problème.

[Tramp]

  Le 05/12/2018 à 18:26, poincaré a dit :

Je ne vois pas où est le problème.

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C’est un problème uniquement quand c’est réservé aux hommes.

[poincaré]

  Le 05/12/2018 à 18:27, Tramp a dit :

 

C’est un problème uniquement quand c’est réservé aux hommes.

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Les saunas gay ne sont pas un problème.

[Tramp]

  Le 05/12/2018 à 18:32, poincaré a dit :

Les saunas gay ne sont pas un problème.

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Je n’ai jamais vu de sauna gay qui interdisait l’entrée à des femmes.

[Tramp]

À propos des clubs men only :

 

https://www.google.fr/amp/s/amp.theguardian.com/lifeandstyle/2018/jan/25/men-only-clubs-and-menace-how-the-establishment-maintains-male-power

[poincaré]

  Le 05/12/2018 à 18:43, Tramp a dit :

Je n’ai jamais vu de sauna gay qui interdisait l’entrée à des femmes.

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Je n'ai pas eu l'occasion d'essayer si tu veux je te raconterai. Des saunas/hammam a priori exclusivement réservés aux hommes tu en trouves plein sur internet.

[Hank Rearden]

  Le 05/12/2018 à 18:05, poincaré a dit :

Ton exemple est caricatural au possible. N'importe quel homme un peu malin n'adoptera jamais ce comportement. En revanche ce qu'il peut faire, c'est garder une distance physique dans l'ascenseur et se comporter normalement.

 

Et c'est tout de même pas compliqué d'éviter de reluquer sa collègue de manière tellement obvious que ça en devient gênant, ou de lui faire des remarques sur ses fringues dès que l'occasion se présente. Ça n'empêche pas de s'asseoir à côté d'elle dans l'avion ou que sais-je. Avec ça j'ai du mal à concevoir qu'on puisse se faire accuser à tort d'harcèlement sexuel, sauf attaque purement personnelle. Maintenant je comprends que certaines préfèrent évacuer tout ça sur internet plutôt que s'engouffrer dans une procédure longue et coûteuse qui n'aboutira sûrement à rien puisque sans preuve, sans témoignage, faits datés...

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Le préjugé sexiste est désormais dans la tête des hommes. C'est eux-mêmes qui s'autocensurent. Ce n'est plus la femme qui a peur du regard de l'homme mais exactement le contraire.

 

C'est l'homme qui est désormais  mal à l'aise seul avec une femme qu'il ne connait pas dans un ascenseur....pas le contraire.

[Tramp]

  Le 05/12/2018 à 18:46, poincaré a dit :

Je n'ai pas eu l'occasion d'essayer si tu veux je te raconterai. Des saunas/hammam a priori exclusivement réservés aux hommes tu en trouves plein sur internet.

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C’est quand même marrant ça parle d’open Space, transports en commun, ascenseurs, écoles etc. et tu insiste sur les saunas gays comme-ci ça occupait la même place dans une vie. En Finlande peut-être, chez les gens normaux...