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c'est pas moi mdmame, c'est lui qui veut en venir a des endroits argumentatifs foireux, qui s'ils sont justes arythmetiquement,sont plutot bas-de-gamme en terme de philosophie.

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  Le 25/05/2014 à 19:42, JIM16 a dit :

c'est pas moi mdmame, c'est lui qui veut en venir a des endroits argumentatifs foireux, qui s'ils sont justes arythmetiquement,sont plutot bas-de-gamme en terme de philosophie.

:icon_surpris:

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But they’re too complicated!

 

  Citation

 

“Delicately calibrated” seems to be used as a synonym for “not robust”. If your results are so finicky that they don’t hold true in translation from male to female rats, why would you expect them to hold up in translation from rats to people? There are detectable differences in male and female physiology that turn out to matter, so this business of ‘simplifying’ by focusing entirely on one sex means women’s medicine suffers.

 

There is good news. Now the NIH is cracking down and telling researchers that they must test mixed sexes, or no money for you. That’s an effective incentive.

 

Ca leur apprendra a dependre du funding etatique.

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  Le 27/05/2014 à 13:17, JIM16 a dit :

il a un anus en haut de la page d'accueil de son blog

Bravo j'arrive plus à voir autre chose maintenant --'

  • 5 weeks later...
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http://m.xojane.com/issues/feminism-men-practical-steps

 

mes deux preferees:

 

  Citation

6. When a woman tells you something is sexist, believe her.

25. Befriend women.

 

hihihi :lol:

 

 

  Citation
33. Walk the walk about income inequality.
Women still earn about 77% as much as men. If you are in a position where you are financially able to do so, consider donating a symbolic 23% of your income to social justice-oriented causes. If 23% sounds like a lot to you, that’s because it is a lot and it’s also a lot for women who don’t have a choice whether to forfeit this amount or not.

 

 

:icon_jump:

 

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Le prolétariat féminin se moque bien des maths, pseudo science au service des intérêts bourgeoiso-masculins.

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Heureusement qu'elles comptent pas envoyer des gens sur Mars, ou plus généralement faire quoi que ce soit d'important.

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Attention, c'est du lourd :

  Citation

 

Le harcèlement de rue et le féminisme bourgeois
Alix van Buuren | Etudiante en sociologie

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Tribune

Certaines des femmes qui luttent contre ce qui a été nommé « harcèlement de rue » sont des amies, des connaissances plus ou moins proches. Je connais leurs parcours, leurs raisons. Je pense particulièrement au collectif #Stop Harcèlement de rue, dont la médiatisation s’est faite sans bavure.

Making of
Diplômée de sociologie, notre riveraine Alix van Buuren (un pseudo) estime que la manière dont de nombreuses féministes françaises luttent contre le « harcèlement de rue » fait « le jeu d’un mépris de classe fantastique d’une part et d’un racisme certain de l’autre ». Mathieu Deslandes

Toutes les interventions sur ce sujet ne sont pas du même acabit.

De la même façon qu’on a caricaturé les fans de Dieudonné (je pense à la nauséabonde chronique de Nicolas Bedos sur le plateau de Laurent Ruquier le 11 janvier) comme étant des jeunes de banlieue abrutis, sans culture, sans bac +X et de préférence maghrébins, certains dénoncent le harcèlement de rue en faisant figurer en première ligne l’exacte même caricature.

La récente chronique de Noémie de Lattre, sur France Inter, dans l’émission « On va tous y passer » du 23 juin, et intitulée « Les Cons des rues », est un modèle du genre.

Le bout de rosbif

Noémie de Lattre n’est pas contente. Elle en a marre de se prendre un
nombre incalculable de remarques dans la rue en permanence et d’avoir l’impression d’être davantage un bout de rosbif qu’un être pensant doté de pouces préhenseurs lui permettant de se distinguer du singe – aussi respectable soit-il. Soit. Moi aussi.

 

Noémie de Lattre, comme beaucoup, n’aime donc pas qu’on la renvoie en permanence à son physique, et qu’on l’interpelle sans plus de façon.

Pour autant, comme tant d’autres, elle fait – sans doute malgré elle –
le jeu d’un mépris de classe et d’un racisme terrible dont on connaît
aujourd’hui l’étendue en France d’une part, et elle contribue
d’autre part à la pérennité du machisme et du sexisme de cette
partie de la population, à savoir les riches, les éduqués, ceux qui ont un bac +X et qui par une action conjointe du Saint-Graal et de je ne sais combien de séances d’hypnoses échapperaient à ce comportement bestial et porcin qui
l’outrage. Féminisme bourgeois.

Viols en réunion contre tournantes

On ne saurait cependant lutter contre la culture du viol, contre la société
patriarcale sous toutes ses déclinaisons sans nous en prendre aussi et
justement à l’élite, à celle qui dirige, fait des lois, commente nos
faits et gestes, sans l’accuser elle aussi de ses violences, de son
comportement abject.

Parce que non, désolée, nous ne dénonçons pas la violence des riches de la façon dont nous dénonçons la violence des « pauvres », on ne dénonce pas la violence des Franco-Français de la façon dont on dénonce celle des autres ou du moins celle qu’on décrit comme étant autre.

On parle de viols en réunion quand on parle de personnes blanches, de la police ou des politiciens, version policée donc des tournantes sordides
perpétrées par les autres, ceux de l’au-delà du périf, les étrangers,
les pauvres, ceux qui ne parlent pas sur France Inter.

Elle imite un accent de banlieue

On ne juge pas de la même façon le viol de Mona, habitante de Seine-Saint-Denis et boulangère, et celui de Pénélope habitant à Saint-Germain-des-Près et journaliste : la première va par exemple retourner plusieurs fois au poste pour enfin apprendre qu’après ces coups et blessures, elle devrait en fait être dirigée vers l’instance médicale policière, tandis que la seconde aura les moyens financiers et culturels de ne pas se payer le luxe de je ne sais combien d’allers-retours ô combien pernicieux.

Le traitement médiatique qui est actuellement fait du harcèlement de rue
perpétue ce genre de distinction. Il contribue à renforcer l’idée selon
laquelle le harcèlement de rue, le sexisme de masse serait l’apanage des classes populaires et des étrangers.

C’est exactement ce genre de stéréotypes mensongers que Noémie de Lattre véhicule – et elle est loin d’être la seule – lorsqu’elle imite un accent de banlieue, lorsqu’elle décrit un jeune homme à la casquette à l’envers (stéréotype du « wesh » de banlieue), lorsqu’elle affiche son mépris pour ces hommes sous couvert de leur manque d’éducation, sous couvert qu’elle vaut mieux qu’eux, non pas parce qu’elle ne se permet pas les remarques qu’ils se permettent, mais parce qu’elle est plus éduquée et, lorsque enfin elle affirme que les auditeurs de France Inter ne se comporteraient pas ainsi.

Nos frères, pères, mères et sœurs

Non, le harcèlement de rue, et, au-delà, les problèmes de sexisme, de machisme, de violences conjugales, de viols et autres atrocités, de subordination des femmes aux hommes, n’est pas l’apanage des classes populaires.

Il n’est pas l’apanage de ceux qui ne parleraient pas français pour reprendre la ridicule pique d’Alain Finkielkraut à l’encontre de l’accent des banlieues.

Il existe un certain racisme, un certain mépris de classe dans cette
dénonciation univoque du harcèlement de rue, sans cesse renvoyé à la
figure du jeune de banlieue, que cela soit implicitement ou explicitement.

Le sexisme, le harcèlement, les violences, les humiliations, le rabaissement des femmes est un phénomène de société global et il est aussi bien véhiculé par un riche actionnaire de Vinci rabaissant une femme à son physique, que par un universitaire se permettant d’aguicher ses étudiantes pour les mettre dans son lit ou un autre, des remarques sexistes ; ou encore par nos frères, nos pères, mais aussi nos mères et nos sœurs.

Habit et lexique du dragueur

C’est curieux : certains de mes amis sont choqués quand je leur raconte m’être fait aborder par un groupe d’hommes à base de « t’es charmante, tu veux pas aller boire un verre », « t’es bonne », « tu suces ? » ; beaucoup moins quand un homme riche, éduqué, bien habillé me signale en guise de bonjour qu’il me trouve charmante, et en guise d’au revoir que « cela a été un plaisir de me contempler ». Le fond reste pourtant le même, seuls changent l’apparence physique (tenue vestimentaire) et le lexique des hommes.

Le sexisme est ambiant. Nous vivons dans une société patriarcale où les postes les plus élevés sont encore détenus par des hommes, où les femmes (et les autres minorités avec elles) sont l’altérité perpétuelle.

Se concentrer sur les classes populaires, en se focalisant sur les expressions les plus choquantes et vulgaires du harcèlement, prétendre, par un jeu d’expressions et de mimiques subtiles que le harcèlement de rue, dont la dénonciation est aujourd’hui décidément à la mode, ne pourrait être assimilé qu’aux classes populaires, c’est faire le jeu de ces hommes qui tiennent les ficelles de notre société par des moyens bien plus puissants que les autres.

La chronique de Noémie de Lattre, qui nous a servi de point d’entrée, n’est qu’un exemple gênant parmi une multitude d’autres dans les sphères féministes françaises, focalisées sur les privilèges et les modes de vie d’une élite oublieuse de la diversité et de ses propres tares. Ces mécanismes font le jeu du mépris de classe et du racisme. Et ceci n’est pas acceptable

 

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Les commentaires sont d'un niveau de cosnternitude bien pire que le rue89 moyen, à croire que al grognasse a demandé à ses chouchoutes d'aller squatter els premières pages de commentaires.

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Les commentaires sont d'un niveau de consternitude bien pire que le rue89 moyen, à croire que la grognasse a demandé à ses chouchoutes d'aller squatter els premières pages de commentaires.

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C’est curieux : certains de mes amis sont choqués quand je leur raconte m’être fait aborder par un groupe d’hommes à base de « t’es charmante, tu veux pas aller boire un verre », « t’es bonne », « tu suces ? » ; beaucoup moins quand un homme riche, éduqué, bien habillé me signale en guise de bonjour qu’il me trouve charmante, et en guise d’au revoir que « cela a été un plaisir de me contempler ». Le fond reste pourtant le même, seuls changent l’apparence physique (tenue vestimentaire) et le lexique des hommes.

Oh putain…

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