Kuing Yamang Posté 17 janvier 2012 Signaler Posté 17 janvier 2012 Voir le graphique page 12 http://www.performan…epense_2012.pdf Merci pour ce lien.
Tremendo Posté 17 janvier 2012 Signaler Posté 17 janvier 2012 D'après toi si France-Telecom venait à licencier massivement, quel serait le pourcentage de ses personnels que Free, par exemple, voudrait reprendre (10%, 20%…80%) ? S'il venait à licencier…Pense qu'il n'y avait ni SFR, ni Bouygues telecom et autres il y a 20 ans, c'est bien de l'emploi en plus.
Antoninov Posté 18 janvier 2012 Signaler Posté 18 janvier 2012 Page 10:En 2009, les dépenses des administrations publiques consolidées s’élèvent à 1 067,7 Md€, soit 56,0 % du PIB. Page 14: évolution de la structure de la dépense publique (en % PIB) 1960-1970 39% 1970-1980 42.7% 1980-1990 49.7% 1990-2000 52.8% 2000-2009 52.9% Je ne sais pas d'où vient la différence entre ces deux chiffre à l'intérieur du rapport… 56% c'est la valeur pour 2009. 52.9% c'est la moyenne sur les dix années 2000 à 2009. Pour 2010, c'est 56,6% (rapport 2012). Ah ben oui, désolé, je comparais une moyenne à une année seule. Et donc c'est aussi une grosse entourloupe de l'article d'Attac: ils comparent deux moyennes! Voir le graphique page 12 http://www.performan…epense_2012.pdf Le ratio dépenses publiques / PIB a été exceptionnellement haut en 1993 parce qu'il y a eu une grosse récession à ce moment-là. Mais on voit (plus ou moins facilement) qu'il y a une tendance haussière sur le long terme : - à chaque récession, on monte plus haut - à chaque période économique plus favorable, le taux descend moins bas… Je constate également une autre entourloupe: l'article d'Attac utilise le raport 2011, or les chiffres ont été révisés dans le rapport 2012 et sont évidemment moins favorables à leur thèse. (les rapports 2011 et 2012 se trouvent facilement via Google).
Tremendo Posté 18 janvier 2012 Signaler Posté 18 janvier 2012 L'Allemagne aussi se prépare aux vaches maigres. L'Allemagne se prépare à une année 2012 moins faste que 2011. Le gouvernement a officialisé ses prévisions économiques ce mercredi, et table sur une croissance de 0,7% cette année, puis de 1,6% en 2013. Des performances bien éloignées du rebond de 3% de l'activité enregistré en 2011. Vu l'aggravation de la crise en zone euro, Berlin a revu ses prévisions à la baisse (le gouvernement tablait à l'origine sur 1% de croissance). Le consensus des économistes table sur 0,5% de croissance mais un établissement aussi important que la Deutsche Bank anticipe par exemple que l'activité calera complètement. D'autres craignent que l'Allemagne ne sera pas épargnée par une éventuelle récession en zone euro. «Parce qu'elle vend 40% de ses exportations à ses partenaires européens, un retournement conjoncturel dans la région pourrait avoir un impact important et durable sur la croissance allemande, préviennent ainsi les économistes de BNP Paribas. Toutefois, la consommation intérieure devrait limiter le déclin de l'activité.» Au pire, l'Allemagne pourrait résister à une récession estime Standard & Poor's (S&P). Même si l'activité recule en 2012, l'agence de notation ne retirera pas son AAA à la première économie d'Europe. .
free jazz Posté 18 janvier 2012 Signaler Posté 18 janvier 2012 Vers une prohibition des transactions en liquide? Payer une note de plus de 5000 euros en liquide sera bientôt interditBELGIQUE | Un commerçant ne pourra bientôt plus accepter d'argent comptant s'il vend des marchandises pour plus de 5000 euros. Aujourd'hui, cette limite se situe à 15 000 euros. Le gouvernement veut en outre élargir cette réglementation au paiement des services. C'est ce que rapportent samedi les journaux De Standaard, Het Nieuwsblad et De Morgen. Dans l'accord de gouvernement, il est en effet prévu de réduire considérablement la limite au-dessus de laquelle on ne peut pas payer en cash. L'objectif est de dresser une barrière pour empêcher le blanchiment d'argent, mais également la fraude fiscale. Tout ce qui n'est pas payé en espèces laisse une trace… La limite pour les paiements en cash sera réduite encore cette année à 5000 euros. C'est ce qui ressort de la note de politique du secrétaire d'Etat à la Lutte contre la fraude, John Crombez (sp.a), rédigée sur la base de l'accord de gouvernement. John Crombez présentera sa note la semaine prochaine devant le parlement. L'idée est d'aller encore plus loin en 2014, en rabaissant le montant maximum à 3000 euros. Par ailleurs, l'interdiction de payer en espèces sera étendue aux "prestations de services". Belga http://www.rtbf.be/i…rdit?id=7386573
Invité rogermila Posté 18 janvier 2012 Signaler Posté 18 janvier 2012 Vers une prohibition des transactions en liquide? Une initiative qui gagnerait à être appliquée en Seine Saint Denis.
h16 Posté 18 janvier 2012 Signaler Posté 18 janvier 2012 Vers une prohibition des transactions en liquide? http://www.rtbf.be/i…rdit?id=7386573 Oh, comme c'est bizarre. L'achat d'or devient plus compliqué…
poney Posté 18 janvier 2012 Signaler Posté 18 janvier 2012 je propose qu'on redéfinisse la politique, non plus comme l'art de gérer la cité, mais l'art d'interdire des trucs aux gens.
Sous-Commandant Marco Posté 18 janvier 2012 Signaler Posté 18 janvier 2012 La tentation de réduire la quantité de billets en circulation, voire de les supprimer complètement, doit titiller pas mal de monde, en Grèce par exemple.
free jazz Posté 18 janvier 2012 Signaler Posté 18 janvier 2012 Oh, comme c'est bizarre. L'achat d'or devient plus compliqué… Je suis d'accord avec toi: comme dans le cadre de l'interdiction de la vente d'or en liquide, la lutte contre la fraude est ici un prétexte bien commode…d'une part pour empêcher les affaires, mais surtout à mon avis, pour rendre les gens davantage dépendants des banques, et donc des cartes de crédit plus traçables, au débit plus contrôlable et à l'usage purement scriptural. Bref, comme d'habitude en temps de crise, l'Etat organise la pénurie.
poney Posté 18 janvier 2012 Signaler Posté 18 janvier 2012 Le bateau coule, autant mettre un coup de hache dans la coque : Nicolas Sarkozy annonce le déblocage d'"un demi milliard d'euros" pour des mesures d'urgence destinées à enrayer le chômage. Parmi elles, l'embauche de 1000 salariés supplémentaires pour le service public de l'emploi : http://www.lemonde.fr/election-presidentielle-2012/article/2012/01/18/sarkozy-annonce-430-millions-d-euros-de-plus-pour-l-emploi_1631251_1471069.html#ens_id=1628077
Silex Posté 18 janvier 2012 Signaler Posté 18 janvier 2012 (modifié) Vers une prohibition des transactions en liquide? D'ailleurs pour ceux qui ont loupé ça, le mois dernier les transactions liquides de plus de 1000€ ont été interdites du jour au lendemain en Italie : http://www.businessw…s-12082011.html Modifié 19 janvier 2012 par Lexington Activation du lien
Chitah Posté 18 janvier 2012 Signaler Posté 18 janvier 2012 La bonne nouvelle c'est que 1000 incapables vont avoir le loisir de rencontrer quelques milliers de tocards comme eux en la personne de leurs futurs collègues. Avec un peu de chance, ils se sentiront réellement utiles et compétents quand ils observeront certains de leurs collègues.
Antoninov Posté 18 janvier 2012 Signaler Posté 18 janvier 2012 Pour en revenir aux chiffres de la dépense publique française en parts de PIB cités plus haut: beaucoup critiques l'ultra-libéralisme grandissant, les libéralisations, la dérégulation. Mais le chiffre de 56% de PIB pour la dépense publique n'est-il pas simplement l'antithèse d'un tel sentiment? Comment un pays où l'Etat est aux commandes d'une si grande partie des ressources pourrait-il être ultra-libéral, etc…?
Hank Rearden Posté 18 janvier 2012 Signaler Posté 18 janvier 2012 Pour en revenir aux chiffres de la dépense publique française en parts de PIB cités plus haut: beaucoup critiques l'ultra-libéralisme grandissant, les libéralisations, la dérégulation. Mais le chiffre de 56% de PIB pour la dépense publique n'est-il pas simplement l'antithèse d'un tel sentiment? Comment un pays où l'Etat est aux commandes d'une si grande partie des ressources pourrait-il être ultra-libéral, etc…? Le "libéral" en France, c'est un homme de paille qu'on crée à sa guise pour mieux le critiquer et le détruire.
Mathieu_D Posté 18 janvier 2012 Signaler Posté 18 janvier 2012 Attention, pour les gauchos, ce n'est pas libéral, c'est ultra-libéral, et c'est équivalent pour eux à capitalisme d'Etat, de connivence. Après comment une telle dérive sémantique est arrivée, allez savoir…
KeLkUn Posté 18 janvier 2012 Signaler Posté 18 janvier 2012 Attention, pour les gauchos, ce n'est pas libéral, c'est ultra-libéral, et c'est équivalent pour eux à capitalisme d'Etat, de connivence. Après comment une telle dérive sémantique est arrivée, allez savoir… L'autre jour en regardant Ron Paul à la télé mon père m'a dit "même les libéraux sont pour la réduction des taxes". La raison est assez simple, je pense que les libéraux français ne sont pas du tout pédagogue. Dans le fond beaucoup de personnes sont libéraux sans le savoir, même les fonctionnaires, mais si vous vous réduisez à dire "suppression des fonctionnaires" normal que ça ne passe pas. Si vous commenciez par la base "protection de la propriété privée" les gens comprendraient d'eux même le reste.
poney Posté 18 janvier 2012 Signaler Posté 18 janvier 2012 Attention, pour les gauchos, ce n'est pas libéral, c'est ultra-libéral, et c'est équivalent pour eux à capitalisme d'Etat, de connivence. Après comment une telle dérive sémantique est arrivée, allez savoir… C'est tout simplement ce qui n'est pas communiste. Encore hier, un ami me faisait remarquer que le ministre Belge Wathelet était un "adepte du marché" et qu'il s'amusait de voir deux "fervents croyants en la religion libérale" se disputer à propos d'économie. Wathelet est aussi libéral qu'Hitler était peintre.
Tremendo Posté 20 janvier 2012 Signaler Posté 20 janvier 2012 Je relaie cet article de Juan Ramon Rallo: "Des bourdes à la pelle". C'est bien l'épargne et l'investissement général qui souffriront de la taxe Tobin , pas les banques. http://www.libremerc…sparates-62818/ Que cela soit dû à du vide idéologique pur jumelé à de la pensée unique de gauche, ou bien au lien de vassalité qui l’unit à l’axe franco-allemand ou encore à de l'électoralisme populiste des plus rances et antipatriotiques, la vérité c’est que Rajoy a déjà enchainé bourdes sur bourdes. Ce fut d’abord cette augmentation sauvage, nocive, et inutile des impôts, puis ensuite son engagement quasi inexistant à réduire les dépenses publiques ; le report aux calendes grecques du remboursement des sommes que les communautés autonomes doivent à l’Etat, argent qu’il n’a pas et que celles-ci ne peuvent continuer à gaspiller ; et maintenant son soutien ferme et décidé à cette marotte d’extrême gauche appelé Taxe Tobin –ou taxe sur les transactions financières-. Tout cela confirme que cet homme tranquille et prévisible qu’on nous a vendu durant la campagne électorale a fini par devenir un interventionniste hyperactif et imprévisible de haut rang. Soyons francs, en matière de politique économique, il est devenu un Zapatero-bis obsédé par l'augmentation des impôts pour financer un modèle d'état surdimensionné développée durant l'époque de la bulle immobilière. Désormais, on prétend taxer les transactions internationales pour que les banques -la cause de la crise nous dit-on- contribuent à paver la voie du redressement économique. Comment une taxe qui a été conçu pour stabiliser les taux de change entre les monnaies en est venu à être un sujet majeur, un outil pour satisfaire la cupidité de l'Etat, cela mériterait plus d’explications qu’une simple poignée de main entre politiciens visant à confirmer le pillage en règle. Après tout, James Tobin lui-même fut horrifié durant ses derniers jours de la récupération que le mouvement anti globalisation -maintenant représenté directement dans les Conseils des ministres de bien des pays européens, notamment en Espagne- était en train de réaliser dans le but de créer une gigantesque bureaucratie internationale financée par les citoyens qui –quel outrage !- auraient opté pour l’épargne et l’investissement dans un produit financier. Aujourd’hui, pour notre plus grand malheur, cette méga bureaucratie internationale existe déjà et s’est même consolidée : ça s’appelle l’Union européenne, avec ses Etats nationaux et régionaux, tous plus dépensiers les uns que les autres. La seule chose qui lui manque pour subsister définitivement ce sont des revenus fiscaux suffisants, et le harcèlement des épargnants semble être la voie choisie par beaucoup des kamikazes qui nous dirigent. Et oui, je dis bien : harceler les épargnants, et non les banques. Rajoy pourra toujours nous promettre qu’il manque encore quelques détails à régler pour éviter que celles-ci (les banques) répercutent le coût de ce nouveau tribut à leurs clients, mais, tout comme ses promesses électorales, ce ne sont que des paroles vides. En fait, cette promesse est peut-être même pire que les autres : Rajoy pouvait promettre, et effectivement ne pas augmenter les impôts ; mais il ne pourra absolument pas empêcher que les banques transfèrent ce surcoût aux clients épargnants. Ou peut-être prétend-il être capable de contrôler le montant de chacune des commissions que les banques, comme intermédiaires financiers, prélèvent à leurs clients ? Il existe des différences significatives entre les commissions de courtage, le versement de dividendes entre différents établissements et d’autres encore. Sérieusement, pourra-t-il empêcher les banques de bouger d’un iota la valeur de n’importe lesquelles de ces transactions ? Bien sûr que non, parce que le vrai objectif de la taxe Tobin –destinée à l’origine, je répète, à mettre des barrières au trading actif de devises- n’est pas que les intermédiaires paient, mais bien que le fassent ceux qui se trouvent en bout de chaine, qui sont bien ceux qui lancent ou non les ordres d’achat et de vente. Mais c’est qu’en plus, dans le contexte actuel, il est absolument impensable que notre système bancaire européen, déjà en manque de capital, puisse supporter un tel coût : ou simplement on pense à injecter des milliards aux banques européennes pour ensuite leur imposer une taxe ? Ce ne serait pas plus simple, d’entrée, de réduire les montants des plans de recapitalisation publique ? Ca le serait mais, comme je l’ai dit, personne ne croit sérieusement que ce seront les banques qui paieront la taxe Tobin. Allons même plus loin, les épargnants européens en souffriront davantage que le paiement direct des impôts : la taxe Tobin sapera le niveau de liquidité des marchés. Quand vous voudrez vous séparer d’une obligation, d’une action ou de n’importe quel autre produit financier, vous vous retrouverez face à de nombreuses contreparties, ainsi, si vous êtes pressés de vendre, vous devrez liquider à des prix défavorables. Par conséquent, bien évidemment, les marchés deviendront plus risqués et l’épargne à long terme diminuera. Exactement ce que nous avions besoin en Europe : convertir nos marchés en un poison pour notre épargne. Après avoir maintenu l’impôt sur le patrimoine et décidé de prélever le capital à 27%, la taxe Tobin était la dernière chose qui nous manquait. Toute une prouesse propre à des esprits socialistes. Et puis quand le capital sortira à toute vitesse d’Espagne et d’Europe pour se diriger vers le Royaume-Uni ou les Etats-Unis, tous crieront au loup bien évidemment : « les spéculateurs, les spéculateurs » s’écrieront-ils. Non, votre propre stupidité et lâcheté quand il s'agit de tuer la poule aux œufs d'or.
h16 Posté 20 janvier 2012 Signaler Posté 20 janvier 2012 Cette traduction pourrait sans doute trouver sa place sur Contrepoints, non ?
Tremendo Posté 20 janvier 2012 Signaler Posté 20 janvier 2012 Cette traduction pourrait sans doute trouver sa place sur Contrepoints, non ? Ah! Je ne suis pas contre.
Stéphane Posté 24 janvier 2012 Signaler Posté 24 janvier 2012 (modifié) C'est mort par ici… Relançons la discussion http://www.challenge…-la-caisse.html La dette grecque n’est pas détenue que par des créanciers privés. Ces derniers, qui sont représentés par l’Institute for International Finance (IIF), pèsent 206 milliards d’euros, alors que les créanciers publics en détiennent près de 100 milliards. L’un des principaux bailleurs de fonds de cette catégorie est la Banque centrale européenne, qui porte en son bilan 45 milliards d’euros d’obligations grecques achetés au bon moment, c’est-à-dire durant l’été, avec une décote de 25 à 30% sur la valeur nominale des titres. Si la BCE ne participe pas à l’échange, elle pourrait afficher une quinzaine de milliards d’euros de plus-values liées à cet achat à bon prix. En revanche, si elle est contrainte de rentrer dans la danse - ce que souhaitent l’IIF et Christine Lagarde - la perte s’élèverait, en cas d’accord sur une décote de 30% environ, à… 16 milliards d’euros. Bon, 16 milliards d'€, ça s'imprime, non? Modifié 3 février 2012 par Lexington Activation du lien
Snarol Posté 24 janvier 2012 Signaler Posté 24 janvier 2012 C'est mort par ici… Relançons la discussion http://www.challenge…-la-caisse.html Bon, 16 milliards d'€, ça s'imprime, non? Dans la grande mode des "prix européen du film d'animation, prix de la liberté et blablabla", on devrait lancer un prix européen du plus mauvais gestionnaire de fonds publics.
poney Posté 24 janvier 2012 Signaler Posté 24 janvier 2012 ceci dit, ça va faire taire les roquets qui hurlaient à la main mise du privé, des banques, et des juifs des capitalistes sur la dette souveraine de la Grêce.
Noob Posté 24 janvier 2012 Signaler Posté 24 janvier 2012 En même temps je Dans la grande mode des "prix européen du film d'animation, prix de la liberté et blablabla", on devrait lancer un prix européen du plus mauvais gestionnaire de fonds publics. +1 à la manière d'un prix busiris chez eolas.
Kuing Yamang Posté 25 janvier 2012 Signaler Posté 25 janvier 2012 http://www.youtube.com/watch?v=bVGuv0bE0GQ
KeLkUn Posté 25 janvier 2012 Signaler Posté 25 janvier 2012 En ce moment le Baltic Dry chute assez fortement et il n'a jamais été aussi bas depuis 3 ans (plus bas de la crise). http://www.bloomberg.com/quote/BDIY:IND/chart Est ce un indicateur fiable?
h16 Posté 25 janvier 2012 Signaler Posté 25 janvier 2012 Il indique que le commerce est au point mort (surprod). Donc qu'on va au devant d'un petit problème supplémentaire.
Invité Posté 25 janvier 2012 Signaler Posté 25 janvier 2012 J'écoutais Bernanke en live ; il a annoncé qu'ils allaient augmenter le bilan de la fed par le biais d'achats. Sinon, beaucoup de bullshit, une question pertinente carrément ignorée et on passe au suivant, et encore plus de bullshit. Sa voix tremble toujours autant. Conclusion : Rien de neuf, j'ai perdu mon temps. Le seul plaisir que j'ai tiré était de le voir en donnant l'image du type qui allait se faire dessus.
Kevinz Posté 25 janvier 2012 Signaler Posté 25 janvier 2012 J'écoutais Bernanke en live ; Eh ben, t'es un costaud Sanksion. Moi à coup sûr je serais tombé malade dans la nuit. En tout cas j'ai l'impression qu'il a fait gigoter les onces ce chenapan d'imprimeur de coton.
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