john_ross Posté 17 février 2009 Signaler Posté 17 février 2009 Peut-on augmenter les salaires? http://www.france5.fr/c-dans-l-air/index-f…d_rubrique=1090
Brock Posté 17 février 2009 Signaler Posté 17 février 2009 pascal il dechire! vazy scal-pa! le coco s'enerve! bien joue. ses arguments sont d'une connerie abrutissante! c'est fascinant, les autres sont aterres! ohohoh c trop fort.
Bastiat Posté 18 février 2009 Signaler Posté 18 février 2009 chouette il commence à être connu des patrons d'émissions grands public. Mais quel moulin à parole ce Elie Cohen
Brock Posté 18 février 2009 Signaler Posté 18 février 2009 tous les invites ont tenu un discours economique se tenant, parfois avec un pied chez Keynes mais dans l'ensemble c'etait correct. Le coco intervient tout excite, pose des questions d'ordre emotionnel, on sent bien que ses ouailles l'observent. la rengaine est toujours la meme: y en a qui gagne trop tandis que d'autre gagnent rien, ouh les vilains patrons.
h16 Posté 18 février 2009 Signaler Posté 18 février 2009 Mouais. En gros, à part le verbiage d'Elie Cohen, on n'entend que peu Salin. C'est une émission comme beaucoup d'autre. Mais bon, Salin dans une émission grand public, c'est un vrai changement. Le pas suivant, c'est quand ils s'abstiendront d'inviter Cohen.
Invité Posté 18 février 2009 Signaler Posté 18 février 2009 Le plus important a été dit, ce qui augmente le niveau des gens c'est la productivité. Après, c'est sur que le coco : " l'économie fonctionne pour elle même bla bla bla, l"économie au service de l'homme ou le contraire ? gna gna gna " La routine habituelle quoi.
ernest Posté 18 février 2009 Signaler Posté 18 février 2009 Pascal Salin est présenté comme un simple enseignant de Dauphine… alors qu'il a présidé la société du Mont Pélerin, qu'il est chevalier de la légion d'honneur etc… C'est triste.
DiabloSwing Posté 18 février 2009 Signaler Posté 18 février 2009 Pascal Salin est présenté comme un simple enseignant de Dauphine… alors qu'il a présidé la société du Mont Pélerin, qu'il est chevalier de la légion d'honneur etc… C'est triste. En même temps, dire ça, c'est s'exposer au raisonnement suivant : Société du Mont Pèlerin => Hayek => Friedman => Chicago Boys => Chili => Pinochet => Droite dure, Fasciste. Voir même : Société du Mont Pèlerin => Fascisme. On n'est plus à ça près.
john_ross Posté 18 février 2009 Auteur Signaler Posté 18 février 2009 En même temps, dire ça, c'est s'exposer au raisonnement suivant :Société du Mont Pèlerin => Hayek => Friedman => Chicago Boys => Chili => Pinochet => Droite dure, Fasciste. Voir même : Société du Mont Pèlerin => Fascisme. On n'est plus à ça près. Question idiote : qui connait parmi les téléspectateurs de cette émission la société du Mont-Pélerin, et Hayek?
DiabloSwing Posté 18 février 2009 Signaler Posté 18 février 2009 Ca ce sont les gauchistes invités dans ce genre de débats qui lancent des abdhominems du style.
john_ross Posté 18 février 2009 Auteur Signaler Posté 18 février 2009 Définir Pascal Salin dans une émission comme C dans l'air par professeur d'économie et auteur de français n'ayez pas peur du libéralisme est tout à fait approprié. PS : il me semble que dans l'émission, Ce soir ou jamais (sur fRance 3), il fut présenté comme ancien président de la société du Mont-Pélerin.
Lancelot Posté 18 février 2009 Signaler Posté 18 février 2009 En même temps, dire ça, c'est s'exposer au raisonnement suivant :Société du Mont Pèlerin => Hayek => Friedman => Chicago Boys => Chili => Pinochet => Droite dure, Fasciste. Voir même : Société du Mont Pèlerin => Fascisme. Pas besoin de se donner toute cette peine, Libéral => Fasciste est largement suffisant de nos jours.
DiabloSwing Posté 18 février 2009 Signaler Posté 18 février 2009 C'est ce que je voulais dire par : Société du Mont Pèlerin => Fascisme.
Rincevent Posté 18 février 2009 Signaler Posté 18 février 2009 Pas besoin de se donner toute cette peine, Libéral => Fasciste est largement suffisant de nos jours. "Libéral-Fascisme" (avec guillemets) : 2460 résultats selon Google, 24 200 pour Yahoo. And still counting.
Taishar Posté 18 février 2009 Signaler Posté 18 février 2009 Il est vrai que ça fait plaisir de voir Salin dans une émission grand public, mais il a peu parlé et je ne l'ai cette fois-ci pas trouvé convaincant. Qu'on soit d'accord avec Cohen ou non, m'est avis que les téléspectateurs ont beaucoup plus retenu ses paroles que celles de Salin (sur le même temps de parole).
DiabloSwing Posté 18 février 2009 Signaler Posté 18 février 2009 Salin est rarement convaincant en public
Jaafar Posté 18 février 2009 Signaler Posté 18 février 2009 Je crains aussi que pour le commun des téléspectateurs, l'intervention de Salin ne se résume à "il ramène tout aux impôts: il défend les riches, quel salaud". Un point très intéressant qui aurait mérité d'être développé: des industries comme l'automobile ou l'électronique grand public ont été formidablement aidées par le crédit facile (je veux une voiture, je m'endette, je veux un écran plasma, pareil). Quelque part, elles sont plus en "ajustement" qu'en crise. Leur distribuer des aides c'est tenter de maintenir un dynamisme artificiel.
Rincevent Posté 18 février 2009 Signaler Posté 18 février 2009 J'ai trouvé Salin moins mauvais que d'habitude.
DiabloSwing Posté 18 février 2009 Signaler Posté 18 février 2009 J'ai trouvé Salin moins mauvais pire que d'habitude. Corrigé.
Rincevent Posté 18 février 2009 Signaler Posté 18 février 2009 Laul. Plus sérieusement, c'est vrai qu'il est beaucoup moins expansif qu'Elie Cohen. Et il a oublié de sauter sur pas mal d'occasions presqu'offertes. Mais bon, je peux le comprendre. Il insiste peut-être aussi un peu trop sur l'économie centralisée, quoique ça ait touché un point sensible (le contrôle du prix du travail).
Baltar Posté 18 février 2009 Signaler Posté 18 février 2009 La technique habituelle des contradicteurs antiliberaux est de s'emporter en faisant un etat des lieux de la pauvrete, aujourd'hui de la crise, comme si cela avait valeur d'argument en leur faveur. Puis ils ont le sens de la formule.
swed95 Posté 18 février 2009 Signaler Posté 18 février 2009 Bonsoir, il ne faut pas confondre anti libéraux et anti capitalistes.
swed95 Posté 18 février 2009 Signaler Posté 18 février 2009 AntiLibéraux : qui oeuvre contre les libertés Anticapitaliste : qui oeuvre contre l'aspect impersonnel du capital Ma vision simplifié
Calembredaine Posté 18 février 2009 Signaler Posté 18 février 2009 Anticapitaliste : qui oeuvre contre l'aspect impersonnel du capital ça me fait penser qu'il faut que je tance mon aspirateur; il se la joue trop impersonnel le sagouin.
neuneu2k Posté 18 février 2009 Signaler Posté 18 février 2009 Bonsoir, il ne faut pas confondre anti libéraux et anti capitalistes. Bonsoir, quand on pousse les anti capitalistes dans leurs retranchements, systématiquement, ils veulent contrôler (ou même empêcher) toutes transaction privée, ce qui les pousse nécessairement vers le totalitarisme et en fait les ennemis de la liberté, qu’ils se disent antilibéraux ou non n’est pas franchement important.
ledubitatif Posté 18 février 2009 Signaler Posté 18 février 2009 Bonsoir, quand on pousse les anti capitalistes dans leurs retranchements, systématiquement, ils veulent contrôler (ou même empêcher) toutes transaction privée, ce qui les pousse nécessairement vers le totalitarisme et en fait les ennemis de la liberté, qu’ils se disent antilibéraux ou non n’est pas franchement important. En revanche l'anti libéralisme (au sens large, pas comme le facteur) ne va pas toujours de pair avec l'anti capitalisme. Le discours social-démocrate est souvent bien peu libéral, mais pas anti capitaliste.
Lancelot Posté 18 février 2009 Signaler Posté 18 février 2009 En revanche l'anti libéralisme (au sens large, pas comme le facteur) ne va pas toujours de pair avec l'anti capitalisme. Le discours social-démocrate est souvent bien peu libéral, mais pas anti capitaliste. Intéressant, comme quoi le capitalisme est bien inclus dans le libéralisme et pas l'inverse.
h16 Posté 19 février 2009 Signaler Posté 19 février 2009 En revanche l'anti libéralisme (au sens large, pas comme le facteur) ne va pas toujours de pair avec l'anti capitalisme. Le discours social-démocrate est souvent bien peu libéral, mais pas anti capitaliste. Bah oui. Colbertisme, par exemple.
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