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Union européenne


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Posté

Aucun parti n'a de frange eurosceptique. C'est comme le socialisme, ils sont tous plus ou moins europhiles avec les "libéraux" qui sont les plus bétas du lot.

Posté

En se basant sur ça, on peut éliminer tous les candidats sauf l'Allemagne, les Pays-Bas, peut-être les pays scandinaves et baltes. Ce qui ne serait pas si mal au final.

Posté

Mmmmh l'Allemagne bien gérée, comment dire...

 

Oh, un déficit désormais inexistant, bientôt un excédent brut et un désendettement, des baisses d'impôts supplémentaires évoquées, des salaires qui sont plus en hausse qu'ils ne l'ont jamais été depuis 15 ans, un chômage quasi-inexistant, et tout simplement un système qui fonctionne bien de manière générale (santé, éducation...), je pense qu'on peut dire que c'est bien géré. C'est pas un Etat libertarien, y'a encore 44.8% PIB de dépenses publiques, mais c'est bien géré.

Posté

C'est mieux géré que la France mais ce n'est certainement pas bien géré.

Rappel ils ont une dette plus élevée que celle de la France en valeurs, et ne me parlez pas de la Rda.

Posté

C'est mieux géré que la France mais ce n'est certainement pas bien géré.

Rappel ils ont une dette plus élevée que celle de la France en valeurs, et ne me parlez pas de la Rda.

 

Ouais enfin 81% et elle est déjà en train de reculer, alors que la France continue à se diriger vers les 100% à toute vitesse. L'Allemagne était mal gérée i ly a 20 ans, ce n'est aujourd'hui plus le cas.

Et la RDA reste une donnée à prendre en compte, ne serait-ce que parce que ces territoires plombent encore la moyenne allemande et qu'une partie de l'endettement en vient effectivement.

Posté

Le pépin sur l'Allemagne, c'est la démographie. Je mets bien une petite pièce sur eux à 10 ans mais à 30 ans, je garde mes sous pour acheter des albums panini et des sandwich aussi.

Et ça il va vraiment falloir le résoudre, en dépit de la qualité médiocre du porno germanique qui ne sera du coup d'aucun secours et d'une tolérance à l'immigration qui a ses limites.

Posté

 

C'est mieux géré que la France mais ce n'est certainement pas bien géré.

Rappel ils ont une dette plus élevée que celle de la France en valeurs, et ne me parlez pas de la Rda.

+1

L'Allemagne n'est pas un modèle libertarien, ni un modèle libéral, et même pas un modèle de simple bonne gestion, c'est juste une référence pour les sociaux-démocrates qui mouillent et qui pensent qu'il faut donner du répit à la bête pour s'en servir un peu plus longtemps.

 

Le pépin sur l'Allemagne, c'est la démographie.

Ca fait 30 ans qu'on entend ça. 
Posté

La population allemande devrait baisser mais on n'attend pas non plus de crash comme ça risque d'être le cas au Japon.

Posté

Peut être parce que la démographie, c'est un truc qu'on voit venir de loin.

Yep, je connais un moustachu avec une présence scénique inégalée qui en à fait un thème majeur d’ailleurs de la démographie allemande…

Sérieusement, la démographie, c’est bien un truc qui ne passionne que les politicards (et la démocratie c’est le dernier cercle de l’enfer ou tout le monde est obligé d’être un politicard), c’est du même niveau d’utilité pour la compréhension du réel que le PIB, une mesure techniquement valide, mais qui mesure des trucs qui n’ont aucun sens en ajoutant des choux et des carottes.

Posté

Y a pas longtemps le gouvernement expliquait que notre démographie nous était défavorable parce qu'on élevait des chômeurs et en Allemagne, favorable parce que les chômeurs meurent.

Posté

Sans aller jusqu'aux moustachus ni à faire de la démographie un indicateur ultime de la santé d'un pays, il y a quand même un moment ou quand tu as de moins en moins d'actifs, tu as peut-être de gros défis à accomplir. 

C'est pas un drame mais le stock de dette étant quand même très élevé, c'est pas un bon point non plus.

 

On en parlait dans le thread de l'immigration en Suisse je crois. Corrélation n'est pas raison mais force est de constater que sans l'apport de main d'oeuvre ( au sens large ), l'économie ne se porterait certainement pas aussi bien. Je pense qu'une bonne natalité et/ou immigration adéquate est plutôt bon pour faire grandir le gâteau.

Posté

Sérieusement, la démographie, c’est bien un truc qui ne passionne que les politicards (et la démocratie c’est le dernier cercle de l’enfer ou tout le monde est obligé d’être un politicard), c’est du même niveau d’utilité pour la compréhension du réel que le PIB, une mesure techniquement valide, mais qui mesure des trucs qui n’ont aucun sens en ajoutant des choux et des carottes.

 

C'est plus un outil de prévision qu'un outil de compréhension.

Et ce qui est clair, c'est que l'essentiel de l'effort sur les données démographiques sert à réaliser des prévisions pour les systèmes socialistes, et qui n'ont ou ne devraient avoir aucun intérêt à l'échelle individuelle.

  • 4 weeks later...
Posté

Ce serait grace à l'UE que la France s'est réformée. Encore un libéral qui s'est pris le pied dans la tapis.

 

http://www.contrepoints.org/2014/07/22/174223-lue-a-reforme-la-franc

Tiens faudra que je demande à ce monsieur pourquoi la privatisation des autoroutes, telle qu'elle a été faites en France (la précision est très importante), est si bien que ça pour qu'il nous la présente comme une grande avancée?

Posté

Secteur bancaire pourri qui a du être recapitalisé.

 

 

La Slovénie, plombée par la recapitalisation de son secteur bancaire largement détenu par l'Etat, a vu son déficit public grimper en flèche à 14,7% du PIB en 2013, a annoncé aujourd'hui l'Office des statistiques.

"Il s'agit d'une augmentation unique, espérons que la recapitalisation (des banques) sera terminée cette année", a indiqué un responsable de l'institut, Andrej Flajs. En 2012, le déficit public slovène s'était élevé à 3,8% du Produit intérieur brut (PIB).
Pour 2014, le gouvernement table sur un déficit public de 4,2% et s'est engagé auprès de ses partenaires européens à le faire baisser en 2015 sous la limite des 3% fixée par le Traité de Maastricht.
La Slovénie a dû injecter 3,63 milliards d'euros en 2013 dans des recapitalisations de ses banques, soit 10,3% du PIB du petit pays alpin.

 

  • 4 weeks later...
Posté

Daniel Hannan dans le WSJ sur les eurosceptiques

 

 

Britain's Free-Trade Case Against Europe
The U.K. has tried hard enough to reform Brussels. It's not working.

By
Daniel Hannan
Sept. 18, 2014 1:18 p.m. ET

What comes into your head when you hear the word "euroskeptic"? A red-faced Englishman warning against the perils of immigration? A golf-club bore in a blazer? A football hooligan?

That's what the other side would like you to think. So, when they find an example, they fall on him hungrily. One such example was U.K. Independence Party Member of the European Parliament Godfrey Bloom who, among other things, spoke of giving aid to "bongo bongo land." But it's only fair to give the full story: Mr. Bloom was expelled from his party, as a handful of other eccentrics have been.

The challenge for euroskeptics is to make sure that the debate is framed by the argument they are in fact making, not that which their opponents would like them to be making.

To understand what that argument is, consider that 10 months ago, the EU announced that it was suspending its trade talks with India, mainly because of differences over agricultural exports. Not every country in Europe followed its lead, though. The European Free Trade Association, or EFTA, comprising Norway, Iceland, Switzerland and Liechtenstein, promptly declared that it intended to sign a free-trade agreement with Delhi by 2015.

The four EFTA states are part of the European market, enjoying free circulation of goods, capital, labor and, with some exemptions, services with the 28 EU members. But, critically, they are outside the tariff wall, meaning that they can sign bilateral commercial deals with non-European countries.
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Oxford Street in London. Getty Images/Photononstop RM

In July, for example, China's free-trade deals with Iceland and Switzerland came into effect. When we bear in mind that China grew by 7.7% last year while the euro zone shrank by 0.5%, I'd say that gives the EFTA states quite an advantage. Small wonder per capita income across the EFTA bloc is 25% higher than in the EU.

Britain, a global trader by history, geography and inclination, is especially adversely impacted by EU protectionism. We are missing colossal opportunities in India, an English-speaking, common-law democracy, our fourth-largest overseas investor, and the ancestral home of no fewer than 1.4 million British citizens. Maddeningly, we can't sign a free-trade agreement with India as long as our trade policy is controlled by Brussels.

It's a similar story when it comes to the Trans-Atlantic Trade and Investment Partnership, the proposed U.S.-EU trade agreement. Outside the EU, we'd have signed a comprehensive bilateral trade deal with Washington decades ago. Instead, we have to sit and watch while vested interests seek favors. France, for example, insisted at the outset that the film sector be excluded, which is a big deal when we remember that entertainment is America's third-largest export.

The case against the EU needn't be nostalgic or defensive, still less xenophobic. On the contrary: The euroskeptic vision is internationalist and optimistic. Any nostalgia comes from those on the other side who can't look beyond the 1950s model of a united Europe.

We no longer believe, as we did in the 1950s, that big conglomerates are the future, that the expansion of government is benign or that economies needed to be planned. But the EU remains a child of its time, wedded to its five-year plans, its unelected commissioners, its common workplace entitlements, its fixed prices.

The one thing it isn't wedded to is free competition. Barely a week passes without a harmless product running afoul of Brussels regulations, supposedly on consumer-protection or environmental grounds, but in reality because a cartel of producers who meet certain specifications see an opportunity to harm their rivals. The EU, for example, is outlawing high-energy vacuum cleaners, hair-dryers and other appliances—a measure which will have a negligible effect on carbon emissions, but which was strongly pushed by manufacturers that happened to produce low-wattage appliances.

If your objective were to promote free trade, you wouldn't forge a customs union out of a cluster of similar industrialized economies. The whole point of trade is to swap on the back of differences. Yet for more than 40 years, Britain's commerce has been artificially redirected from its natural hinterland—the mixture of agrarian, commodity-based, industrial and service economies that make up the Anglosphere—toward the less diverse European bloc.

In 2012, the Commonwealth's combined economy overtook the euro zone's. This wasn't simply a result of the euro crisis. That crisis simply speeded up a demographic decline that was already well under way in the EU.

A few months ago, I lightly observed in a blog post that every continent was growing except Antarctica and Europe. A Spanish friend crossly got in touch to correct me, sending me reams of statistics. I had to accept that he had been right and I wrong: Antarctica is in fact prospering as cruise ships return. The EU is the planet's only dwindling trade bloc.

That, ultimately, is why Britain would be better off out. Recovering our sovereignty, winning back the ability to hire and fire our lawmakers, no longer having to fund the fraud and waste in Brussels—these things are bonuses. The elemental case for secession is an economic one: The EU is taxing and regulating itself into irrelevance. When we joined in 1973, Western Europe accounted for 36% of global GDP. Today it's 23% and in 2020 it will be 15%.

Our American friends sometimes urge us to get stuck further in so as to correct the EU's protectionist tendencies and make it more outward looking. Honestly, cousins, what do you think we've been trying to do for the past 40 years? There comes a point when you should admit that you gave something your best shot.

There's a whole world out there—not least among the common-law English-speaking nations which, over the years, have been our truest friends. As Winston Churchill put it, "If Britain must choose between Europe and the open sea, she must always choose the open sea."

Mr. Hannan is a British Conservative Member of the European Parliament, and author of "Inventing Freedom: How the English-Speaking Peoples Made the Modern World" (Broadside, 2013).

http://online.wsj.com/articles/britains-free-trade-case-against-europe-1411060727?mod=rss_Opinion?mod=hp_opinion

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