Brock Posté 7 octobre 2015 Signaler Posté 7 octobre 2015 (modifié) exactement ca. Pour le sommeil, mon pere dort cinq heures depuis quarante ans et ca le traumatise, il a tout essaye, mais comme il est anxieux et refuse absolument tout traitement chimique au dela de l'occasionnel aide-dodo, il n'a jamais reussi a endiguer son probleme.MA femme a exactement le meme probleme.Ils ont tous les deux un metier serieux, pas comme moi ; c'st le stress de devoir se lever tot et faire des choses graves et importantes qui les tient eveilles.Ils givent beaucoup trop de fuck Perso pour les anxieux du dodo je conseille d'essayer le cannabis therapeutique, au moins une fois.Si ca ne fonctionne pas tant pis, mais c'est pas mal magique.Si ca n'aggrave pas l'anxiete ca relaxe bien et ca aide le cerveau a produire les bonnes ondes, chez certaines personne ca ne marche pas du tout. Tiens d'ailleurs en la matiere, H16 a souvent donne ce tres bon conseil: faire descendre sa temperature corporelle.Tres utile. EDIT (Sekonda) : Le conseil concernant le cannabis thérapeutique ne doit bien sûr être suivi que si vous être dans une zone géographique où il est autorisé. Le forum ne promeut pas la consommation de substances illicites. Modifié 10 octobre 2015 par Sekonda
Tramp Posté 7 octobre 2015 Signaler Posté 7 octobre 2015 Je ne trouve pas ça reposant le sommeil weedé.
Brock Posté 7 octobre 2015 Signaler Posté 7 octobre 2015 bah c'est mieux que pas de sommeil du tout.Moi c'est le sommeil sous cacheton que je trouve tres dur au reveil.Et le sommeil sous alcool, mauvais.
Bisounours Posté 7 octobre 2015 Signaler Posté 7 octobre 2015 Le problème avec la weed, c'est l'envie de bouffer du sucre après. Et papoter sur le forum, ça aide pas non plus à se calmer, ça excite, le clavier et l'écran. Le sport, peut être ?
h16 Posté 7 octobre 2015 Signaler Posté 7 octobre 2015 En dehors d'un régime un peu paléo, je suis en train de regarder les compléments alimentaires et si j'ai bien compris les valeurs sûres sont Vitamine D, magnésium, zinc (j'ai une peau un peu pourrie). Est ce que j'en oublie d'autre ? Sous quel forme faut il les prendre ? Que valent les juvamines (qui me semblent beaucoup moins cher) ? Merci de votre réponse De bons conseils ont été filés. Poissons gras, vitamine D (genre 10K uL), vitamine C (1 ou 2g au début), vitamine A (beurre). Un ou deux jours de repas très très légers ou nuls quand tu as pris un peu de gras, histoire de booster ton système immunitaire. Pour les rhumes, la vitamine C est de loin le plus efficace mais de façon générale, cela provient essentiellement d'un problème de muqueuses ; nous sommes tous porteurs sains de rhumes différents et variés qui tapissent nos sinus. Le passage chaud/froid et les passages atmosphère humide/sèche rapides finissent par "fissurer" les muqueuses pas assez souples, et le virus s'insère dans le sang, prolifère et atchoum (pour schématiser). La vitamine C redonne leur souplesse aux muqueuses qui en ont besoin. Si, en plus, tu fais attention à ne pas avoir une chambre trop sèche ou trop humide et aller travailler dans un environnement trop humide / trop sec, tu évites ces changements brusques et tu réduis tes problèmes. Et puis lave toi les mains. Genre tout le temps. Pour la vitamine D les AJR suffisent-ils ? Du coup un truc comme Juvamine Top Forme est il suffisant (en ajoutant de la vitamine C / magnésium / zinc) ? http://www.juvamine.com/60842/multivitamines-top-forme.html Ces produits sont bien trop légers pour faire un effet quelconque (5 ug pour la D là où on peut s'enfiler 10 ou 100x ça...) Pour le sommeil : le mieux est d'aplatir ses ondes alphas avec de la lecture, et de refroidir son corps, en arrêtant de gigoter dans une pièce fraîche.
Cugieran Posté 7 octobre 2015 Signaler Posté 7 octobre 2015 Ils givent beaucoup trop de fuck Je vois le truc. J'espère que ça me passera un jour. Je pense que je me mets toujours comme objectif de me mettre à l'abri mais comme mon niveau de vie augmente sensiblement avec le temps, je sens bien le truc qui n'arrivera jamais Mais en vieillissant ça passe un peu. Puis je suis pas dormeur, je l'ai jamais été, ça me gêne pas. J'aime le matin tôt depuis tout petit mais quand même, parfois, une grasse mat, j'aimerais bien savoir... ce que ça fait
h16 Posté 7 octobre 2015 Signaler Posté 7 octobre 2015 Je vois le truc. J'espère que ça me passera un jour. Je pense que je me mets toujours comme objectif de me mettre à l'abri mais comme mon niveau de vie augmente sensiblement avec le temps, je sens bien le truc qui n'arrivera jamais Mais en vieillissant ça passe un peu. Puis je suis pas dormeur, je l'ai jamais été, ça me gêne pas. J'aime le matin tôt depuis tout petit mais quand même, parfois, une grasse mat, j'aimerais bien savoir... ce que ça fait J'ai besoin de 8h par jour, tous les jours. Ne te plains pas, vraiment, j'aimerais bien avoir 3h de plus par jour.
Cugieran Posté 7 octobre 2015 Signaler Posté 7 octobre 2015 Bah l'herbe est toujours plus verte de l'autre coté de la clôture hein En semaine, ça m'enchante assez ce rythme mais punaise une fois par semaine, même par mois, me lever à 8h (hors cuite, bon ok, et encore, c'est rare que ça me tienne jusqu'à 8h), juste pour voir...
NoName Posté 7 octobre 2015 Signaler Posté 7 octobre 2015 moi je fais partie de la catégorie dont le sommeil change avec les saisons. En été, il arrive que je me lève avant 7h, et la plupart du temps entre 7h30 et 8h même si je n'ai absolument rien à faire, alors que l'hiver me lever à 9h c'est une vraie torture. J'ai jamais compris pourquoi. Je me demande si y'a d'autres gens à qui ça fait ça.
Nigel Posté 7 octobre 2015 Signaler Posté 7 octobre 2015 J'ai jamais compris pourquoi. Je me demande si y'a d'autres gens à qui ça fait ça. La chaleur ?
Rincevent Posté 7 octobre 2015 Signaler Posté 7 octobre 2015 moi je fais partie de la catégorie dont le sommeil change avec les saisons. En été, il arrive que je me lève avant 7h, et la plupart du temps entre 7h30 et 8h même si je n'ai absolument rien à faire, alors que l'hiver me lever à 9h c'est une vraie torture. J'ai jamais compris pourquoi. Je me demande si y'a d'autres gens à qui ça fait ça. La luminosité ambiante ?
NoName Posté 7 octobre 2015 Signaler Posté 7 octobre 2015 c'est plus large que ça. Quand c'est l'été, effectivement la lumière me réveille plus tôt, mais même en me couchant à 1h du matin, à 8h je suis réveillé et je suis bien, frais et dispo, et je tiens la journée sans problème; a contrario, en hiver, je suis tout le temps crevé même en dormant beaucoup
Bisounours Posté 7 octobre 2015 Signaler Posté 7 octobre 2015 Tu étais un ours ou une marmotte dans une autre vie, tu as envie d'hiberner, c'est tout. 2
Rincevent Posté 7 octobre 2015 Signaler Posté 7 octobre 2015 c'est plus large que ça. Quand c'est l'été, effectivement la lumière me réveille plus tôt, mais même en me couchant à 1h du matin, à 8h je suis réveillé et je suis bien, frais et dispo, et je tiens la journée sans problème; a contrario, en hiver, je suis tout le temps crevé même en dormant beaucoupVitamine D ou mélatonine (donc, au final, luminosité dans les deux cas). Éventuellement température, faudrait vérifier la température de ta piaule en été et en hiver pour voir si il y a une différence.
NoName Posté 7 octobre 2015 Signaler Posté 7 octobre 2015 ha bah c'est clair que y'a une différence, quand il fait 16 degrés dans ma chambre en hiver je suis heureux. sauf que ça fonctionne aussi quand je dors chez mon frère et là là température est constante. Mais du coup la vitamine paraît être une bonne piste
Poil à gratter Posté 8 octobre 2015 Signaler Posté 8 octobre 2015 Oh oui, les vraies nuits. Le truc qui me manque terriblement. Des gens ont des trucs infaillibles pour dormir plus tôt ? Que ce soit des astuces systémiques (pour se mettre en situation de dormir tôt) ou des trucs plus techniques (pour réussir à trouver le sommeil et s'endormir) ? Trucs infaillibles sans doute pas, mais j'avais le même problème pendant longtemps et j'arrive désormais à m'endormir beaucoup plus facilement (moins de 15 minutes). J'ai changé tout un tas de trucs dans ma vie au quotidien: - plus de café journalier: j'ai graduellement arrêté la machine à café en changeant d'alimentation et je me suis rendu compte que je n'avais pas besoin de café pour me réveiller ou être en forme. Bonus: l'énergie est plus constante durant la journée au lieu d'être en dents de scie. Malus: par contre quand j'ai un mauvais jour, c'est un mauvais jour tout le long. - installer f.lux ( https://justgetflux.com/) sur tous mes écrans: ils est prouvé qu'utiliser un écran avant de dormir peut empêcher de trouver le sommeil, et dans tous les cas ça perturbe le sommeil. Idéalement, il ne faudrait pas utiliser d'écran 2 heures avant d'aller dormir, mais ce n'est pas réaliste pour moi, donc f.lux me semble un bon compromis (ça ne coûte rien d'essayer en tous cas). - avoir une activité physique, même modérée, tous les jours: marche, vélo, natation, musculation, peu importe, mais avoir une activité physique même modérée aide à évacuer le stress. Ça peut être aussi simple que descendre une station de métro avant pour finir d'aller au boulot en marchant, prendre les escaliers au lieu de l'ascenseur. - essayer de dormir dans une pièce fraîche: typiquement si le logement est à 20 degrés, une chambre à coucher devrait être à 19 degrés. - repas léger le soir: ça c'est sans doute un peu plus personnel mais faire un repas chargé le soir (en particulier en féculents) ça ne me donnait pas du tout envie de dormir, en revanche le midi ça m'assommait. Enfin le dernier truc, c'est plus psychologique qu'autre chose, mais désormais je vais dormir quand je suis fatigué: je n'essaye pas de dormir tôt, tard, ou a une heure précise. Me fixer un "objectif" me stresse plus qu'autre chose, donc c'est contre productif. De toutes façons au bout d'un moment le corps finit par prendre un rythme régulier, la nature est bien faite si tu es pathologiquement insomniaque les conseils des normaux ne vont pas fonctionner sur toi.Si tu fais de l'anxiete c'est encore plus dur. Je connais deux types d'insomniaques: ceux qui se reveillent et ne parviennent plus a se rendormir, et ceux qui n'arrivent pas a dormir avant 4h du mat. La plupart font de l'anxiete.Et c'est marrant parce qu'a cote je connais des gens qui dorment peu mais n'y accordent guere d'attention et n'en concoivent pas d'anxiete, ceux la s'en sortent mieux.La peur de pas dormir ca joue aussi ! Ouais, c'est très difficile à comprendre pour des non insomniaques, et en général les conseils sont parfaitement débiles. Du genre: "ben ferme les yeux et tu dormiras". Super, je n'y avais pas pensé! Effectivement la peur de ne pas dormir ça a joué énormément chez moi: rien de tel que de régler le réveil un peu plus tôt que d'habitude pour me filer une grosse nuit d'insomnie. C'est un cercle vicieux: je vais me coucher plus tôt, vu que je vais devoir me lever plus tôt. Mais je ne suis pas en état de dormir, et je me retourne dans le lit. Vérification de l'heure: oups, ça fait déjà 1 heure que je rumine, maintenant il faut dormir. Du coup, ça me stresse encore plus car j'ai déjà loupé une heure de sommeil... et la machine à insomnie est en marche. Actuellement, je suis en déficit de vitamine D, j'ai une prescription pour une ampoule par quinzaine X 4, donc je suis pas sûre qu'on puisse faire n'importe quoi avec toutes les vitamines, si ? Ça dépend si les vitamines sont liposolubles ou hydrosolubles: les hydrosolubles on peut surdoser sans que ça soit trop dangereux vu qu'elles sont éliminées par l'urine (sauf cas d'insuffisance rénale). Les liposolubles, c'est dangereux de surdoser car le surplus n'est pas éliminé mais stocké dans l'organisme. Dans tous les cas il n'y a pas de preuve que les suppléments vitaminiques aient un effet positif, ça serait même plutôt le contraire. À part la vitamine D, mais c'est plus une hormone qu'une vitamine. moi je fais partie de la catégorie dont le sommeil change avec les saisons. En été, il arrive que je me lève avant 7h, et la plupart du temps entre 7h30 et 8h même si je n'ai absolument rien à faire, alors que l'hiver me lever à 9h c'est une vraie torture. J'ai jamais compris pourquoi. Je me demande si y'a d'autres gens à qui ça fait ça. Oui, je suis désormais sur ce rythme aussi: je dors plus en hiver qu'en été. Ça me semble du aux variations de luminosité.
h16 Posté 8 octobre 2015 Signaler Posté 8 octobre 2015 ha bah c'est clair que y'a une différence, quand il fait 16 degrés dans ma chambre en hiver je suis heureux. sauf que ça fonctionne aussi quand je dors chez mon frère et là là température est constante. Mais du coup la vitamine paraît être une bonne piste C'est clairement un problème de luminosité. Tu as intérêt à regarder du côté de la mélatonine.
Citronne Posté 8 octobre 2015 Signaler Posté 8 octobre 2015 Tu étais un ours ou une marmotte dans une autre vie, tu as envie d'hiberner, c'est tout. Ce post est le plus traumimi de ce thread.
Nick de Cusa Posté 10 octobre 2015 Signaler Posté 10 octobre 2015 Chefs, je voudrais votre regard critique mais impitoyable, s'il vous plait. Le but serait de lancer le texte le plus court & simple possible et qui s'avance le moins possible (et braque le moins possible le lecteur), sur la question de savoir si le cancer est une maladie métabolique. Questions: Intéressant / utile ? Qu'est-ce qui est manifestement faux et/ou risible ? Autres corrections ? Le cancer est-il une maladie génétique ou métabolique ? La compréhension scientifique actuelle dominante du cancer est qu'il s'agit d'une maladie de nature génétique, c'est à dire qu'il apparait suite à des changements qui se produisent dans nos gènes, notre ADN, et donc, dans le noyau d'au moins une de nos cellules. Les explications sur ses causes et ses thérapies pivotent largement autour de cette compréhension. Il existe cependant une autre théorie, comptant de nombreux soutiens dans la médicine. Celle-ci est la théorie métabolique du cancer. Ce qu'elle suppose, c'est que les changements qui se produisent au départ, et qui ensuite, par une séquence complexe d'évènements, entrainent le cancer -c'est à dire, la dé-differenciation des cellules et leur multiplication anarchique- ne partent pas du noyau de la cellule, mais bien de son cytoplasme, et en particulier, de ses mitochondries. Les mithocondries sont les centrales énergétiques de nos cellules. La théorie dominante sur la raison de leur présence dans cellules, est qu'il s'agirait à l'origine de cellules aérobiques qui se sont installées en symbiose dans des cellules anaérobiques, permettant ainsi l'exitence des cellules eucaryotes, qui composent toutes les plantes et tous les animaux. La théorie métabolique du cancer n'est point nouvelle, elle remonte au Dr Otto Warburg, en 1922. Warburg gagna le Prix Nobel de Médecine. Pourquoi cette question nous intéresse-t-elle ? S'il s'avérait que le cancer est une maladie métabolique, alors il pourrait y avoir lieu de repenser les approches thérapeutiques pour le prévenir et le combattre. Par exemple, les approches concernant la part jouée par le carburant qu'utilisent les cellules, et ainsi, la part jouée par l'alimentation. Par exemple, la recommendation d'alimenation donnée de nos jours aux malades du cancer, se concentre sur l'idée d'éviter la perte de poids, et se dirige donc vers un consommation importante de glucides. La question de savoir si le cancer pourrait etre une maladie métabolique est pertinente pour comprendre si ce choix est bien le meilleur possible. Si cette question mérite d'etre posée, alors, que faire ? Pour invalider ou valider la théorie métabolique, quelles études lancer ? Une idée qui vient à l'esprit, parmi un grand nombre possible, est de saisir l'opportunité du fait qu'un grand nombre de personnes ont désormais fait le choix d'adopter une alimentation très riche en gras. Il y a diverses raisons à cela, telles, par exemple, les sports d'endurance, ou des raisons thérapeuthiques, par exemple comme remède à l'épilepsie. L'alimentation riche en gras aurait aussi gagné de très nombreux adeptes en Suède. Dès lors, si une telle population existe, comment serait-il possible de mesurer sur la durée si elle présente des résultats différents du reste de la population, que ce soit en termes de fréquence de cancers, de gravités des cancers, et de mortalité due au cancer ? Que cela nous apprendrait-il ? Merci.
Poil à gratter Posté 10 octobre 2015 Signaler Posté 10 octobre 2015 1) je ne suis pas trop sûr qu'on puisse dire que c'est une maladie d'origine génétique. Une maladie génétique c'est lorsque le matériel génétique d'un individu est défaillant ou anormal: l'individu nait avec ce matériel défaillant. En revanche on sait que certains cancers ont plus de chance d'apparaître lorsque l'individu possède certains gènes ou séquences de gènes bien précis. Le truc c'est que tous nos gènes ne s'expriment pas, et/ou s'expriment avec plus ou moins d'intensité suivant l'environnement. C'est la différence entre phénotype et génotype ( https://en.wikipedia.org/wiki/Genotype-phenotype_distinction). Par exemple même des vrais jumeaux (donc 10% identiques génétiquement parlant) ont des différences de phénotype. Certains autres cancers sont dus à des détérioration du génome: notre ADN se détériore sans arrêt, et le corps à des moyens de le réparer. Néanmoins, parfois le corps ne peut pas réparer ou répare mal, et la cellule dégénère en cellule cancéreuse. Exemple: la radioactivité à un effet délétère sur l'ADN, et s'y exposer favorise l'apparition de certains cancers. Donc le cancer, c'est la conjonction de multiples facteurs: des facteurs de risque présent dans le génotype d'un individu et des facteurs environnementaux. 2) la piste endosymbiotique ( https://fr.wikipedia.org/wiki/Théorie_endosymbiotique) pour les mitochondries considère que ce sont probablement des bactéries qui ont été intégrées dans nos cellules. Aucun rapport avec anaérobie (anaérobique est un barbarisme) et aérobie: les bactéries peuvent être aérobies ou anaérobies suivant la pression du milieu (la fermentation alcoolique en est un exemple). 3) oui la piste métabolique est très intéressante et ça fait déjà longtemps que l'on sait que certains cancers ont des causes principalement alimentaires: c'est juste qu'on a accusé un peu tout et n'importe quoi à tort et à travers. On a accusé la viande rouge, les nitrosamines, les barbecues, et évidemment les graisses animales.
Nick de Cusa Posté 10 octobre 2015 Signaler Posté 10 octobre 2015 1) je ne suis pas trop sûr qu'on puisse dire que c'est une maladie d'origine génétique. Une maladie génétique c'est lorsque le matériel génétique d'un individu est défaillant ou anormal: l'individu nait avec ce matériel défaillant. En revanche on sait que certains cancers ont plus de chance d'apparaître lorsque l'individu possède certains gènes ou séquences de gènes bien précis. Hm. Ça m'ennuie beaucoup. Ce n'est pas le sens ici. Le sens ici est que ça se déclenche au départ dans l'ADN / les gènes. C'est ce qu'on trouve quand on lit sur cette discussion : The view of cancer as a metabolic disease was gradually displaced with the view of cancer as a genetic disease. http://www.medscape.com/viewarticle/719423 Si ça n'est pas clair, comment le clarifier ?
Nick de Cusa Posté 10 octobre 2015 Signaler Posté 10 octobre 2015 ... Donc le cancer, c'est la conjonction de multiples facteurs: des facteurs de risque présent dans le génotype d'un individu et des facteurs environnementaux. ... La question que je pensais poser (et donc pas claire) est: où se produit le premier (chronologiquement) changement dans la cellule ? Dans le noyau ou dans le cytoplasme ? La suite est multifactorielle, ça tout le monde en est d'accord.
Nick de Cusa Posté 10 octobre 2015 Signaler Posté 10 octobre 2015 Et grand merci, le plus critique est de déterminer ce qui n'est pas clair.
Jesrad Posté 10 octobre 2015 Auteur Signaler Posté 10 octobre 2015 Ou dans la membrane cellulaire (modèle dinomit) ?
Poil à gratter Posté 10 octobre 2015 Signaler Posté 10 octobre 2015 Hm. Ça m'ennuie beaucoup. Ce n'est pas le sens ici. Le sens ici est que ça se déclenche au départ dans l'ADN / les gènes. C'est ce qu'on trouve quand on lit sur cette discussion : http://www.medscape.com/viewarticle/719423 Si ça n'est pas clair, comment le clarifier ? Je vais créer un compte et je lirais ça un peu plus tard. La question que je pensais poser (et donc pas claire) est: où se produit le premier (chronologiquement) changement dans la cellule ? Dans le noyau ou dans le cytoplasme ? La suite est multifactorielle, ça tout le monde en est d'accord. En fait c'est compliqué: pour ce que j'en sais il ne se passe pas grand chose dans le noyau. Le gros du boulot concernant l'ADN se passe dans le cytoplasme et est effectué par les ribosomes: http://biology.tutorvista.com/animal-and-plant-cells/ribosomes.html En vrai, ce n'est même pas de l'ADN mais un ARN messager qui est synthétisé dans le noyau, et est transporté jusqu'aux ribosomes. Du coup on peut suspecter que ça peut foirer dans le noyau et/ou dans le cytoplasme, qu'il y a sans doute un lien entre le noyau, le nucléole et les ribosomes, mais la causalité semble encore un peu floue. J'ai trouvé ça, qui date un peu déjà: http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2475768/ The relationship between the nucleolus and cancer appears to be much more complex than that known just a few years ago. The morphological and functional changes of the nucleolus, widely observed in cancer tissues, are the consequence of the increased metabolic necessities that characterize proliferating cells. Moreover, the most frequent gene alterations occurring in human tumors are responsible for up-regulation of the rRNA transcriptional activity. In this context, which is still currently true, we can reasonably speak of an adaptation of the nucleolus in the transformed cells. On the other hand, there is increasing evidence, coming from the studies of certain human diseases, that also suggests an active role of ribosome biogenesis in tumorigenesis. Je ne suis pas sûr qu'on puisse trancher, mais est-ce vraiment important?
POE Posté 10 octobre 2015 Signaler Posté 10 octobre 2015 Le but serait de lancer le texte le plus court & simple possible et qui s'avance le moins possible (et braque le moins possible le lecteur), sur la question de savoir si le cancer est une maladie métabolique. Je ne comprends pas ton but si tu ne veux pas avancer sur la question de savoir si le cancer est une maladie métabolique, quel est donc le but de ton article ?
Brock Posté 10 octobre 2015 Signaler Posté 10 octobre 2015 faire de l'information journalistique de qualite, un truc de ouffff
Nick de Cusa Posté 10 octobre 2015 Signaler Posté 10 octobre 2015 ... En vrai, ce n'est même pas de l'ADN mais un ARN messager qui est synthétisé dans le noyau, et est transporté jusqu'aux ribosomes. Du coup on peut suspecter que ça peut foirer dans le noyau et/ou dans le cytoplasme, qu'il y a sans doute un lien entre le noyau, le nucléole et les ribosomes, mais la causalité semble encore un peu floue. J'ai trouvé ça, qui date un peu déjà: http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2475768/ Je ne suis pas sûr qu'on puisse trancher, mais est-ce vraiment important? Eh bien cette citation correspond au modèle métabolique, où ça commence l'un par rapport à l'autre. Ici, pas dans le noyau : ... The morphological and functional changes of the nucleolus, widely observed in cancer tissues, are the consequence of the increased metabolic necessities that characterize proliferating cells... Je pense que ça doit être tout de même important. Mais si jamais je le lance, le lecteur pourra juger le contraire.
Nick de Cusa Posté 10 octobre 2015 Signaler Posté 10 octobre 2015 Ou dans la membrane cellulaire (modèle dinomit) ? Tu penches pour ça ?
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