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Santé & nutrition, que manger ?


Jesrad

Messages recommandés

Posté

mind is blown

je savais pas que le sms existait en blegique

Nan c'est parce qu'à chaque fois qu'on passe une frontière en Europe, on a droit à un SMS indiquant la facturation.
Posté

Un journaliste sérieux qui fait son travail, pour ceux qui veulent se confronter à d'autres points de vues.

Kresser also tells concerned patients about cultures that do just fine on carbohydrate-based diets. “The Hadza of north-central Tanzania and the Kuna of Panama obtain a high percentage of their total calories from foods that are high in natural sugars, such as fruit, starchy tubers and honey, yet they are remarkably lean, fit and free of modern disease.” He also mentions the Kitava in the Pacific Islands, whose diet heavy in yams, banana, and papaya is 69 percent carbohydrate; the Tukisenta in the Papua New Guinea highlands, whose diet is over 90 percent carbs; and the Okinawans, whose diet is “mostly from sweet potato.”

Better-known still are the Greeks, in particular from the islands like Crete, and other Mediterranean diets that are grain-centric.

“All of these cultures,” Kresser notes, citing Swedish researcher Staffan Lindeberg’s book Food and Western Disease (and, I would add, Dan Buettner’s The Blue Zones) “are fit and lean with practically non-existent rates of neurological disorders and other modern chronic disease.”

http://www.theatlantic.com/health/archive/2013/12/this-is-your-brain-on-gluten/282550/

Posté

Pour les amateurs de viande rouge, le chien et l'autruche sont de bonnes valeurs.

A ma connaissance je n'ai jamais goûté de chien, mais je plussoie pour l'autruche. Goûté le kangourou récemment c'est très proche du boeuf, en plus tendre.
Posté

Pareil, par contre l'autruche je sais pas, j'en ai mangé seulement en fondue et donc on sent quasiment rien du goût de la viande.

Posté

Ha ça, bon généralement c'est en fondue chinoise pour le coup, mais c'est vrai que c'est très très populaire ici. C'est un peu le plat de fête vite fait, t'achète le plateau de viande déjà prédécoupée et tu as plus qu'à faire chauffer l'huile ou le bouillon.

Posté

 

Par Nicolas Guggenbühl - Diététicien Nutritionniste

Professeur à l’Institut Paul Lambin (Haute Ecole Léonard de Vinci, Bruxelles) - Rédacteur en chef du magazine Food in Action et de son media web www.foodinaction.com

Les graisses ou lipides sont la forme la plus concentrée d’énergie (9 kcal par gramme, contre 4 kcal/g pour les glucides et les protéines), on conçoit donc aisément qu’en excès, elles contribuent au déséquilibre de la balance énergétique. Cela fait plus d’un demi-siècle que bien des recommandations nutritionnelles attirent l’attention sur la nécessité de réduire l’apport en graisses. Une des conséquences est un déplacement de l’apport énergétique vers les glucides, notamment les sucres, ce qui n’est pas forcément bénéfique, et pourrait même avoir des conséquences fâcheuses.

Diététique évolutive

La diététique n’est pas une science exacte, et son évolution est intimement liée à la connais-sance des relations entre l’alimentation et la santé. Elle n’est pas figée, mais évolutive, et doit pouvoir constamment se remettre en question. Or, il apparait aujourd’hui de plus en plus clairement qu’une alimentation fortement allégée en graisses ne peut plus être consi-dérée comme le modèle de références en matière d’alimentation saine. Rappelons que le fameux régime méditerranéen des années soixante – qui est devenu un modèle de réfé-rence – comportait près de 40 % de l’énergie sous forme de lipides, soit un niveau compa-rable à ce qui est consommé actuellement en Belgique. Dans leurs dernières recommanda-tions nutritionnelles, nos voisins français ont remonté la limite maximale de la part des graisses à 40 % de l’apport énergétique, alors qu’elle est encore fixée à 30 % dans de nom-breux pays.

Moins gras ou mieux gras ?

Le principal problème actuel ne réside pas tant dans la quantité de graisses que dans sa qua-lité. Ici aussi, certains préceptes volent en éclat : les acides gras saturés, tant décriés pour leur effet sur le taux de cholestérol, ne sont plus vus de manière aussi homogène. Car si cer-tains d’entre eux (les C12, C14 et C16) sont effectivement reconnus comme néfastes pour les vaisseaux, d’autres (C18) sont tout à fait neutres, et d’autres encore (C4) pourraient même présenter certains effets bénéfiques. Ce qui pourrait expliquer que la relation couramment admise entre graisses saturées et maladies cardiovasculaires n’a pu être mise en évidence dans les travaux récents. L’amélioration de l’alimentation ne passe pas par une réduction de la proportion de graisses, au risque de laisser trop de place aux glucides qui, trop souvent, sont issus de céréales raffinées et de sucres ajoutés, mais bien par une meilleure composition de la ration des lipides. Concrètement, elle s’obtient en privilégiant les sources de graisses d’origine végétale (huiles, noix, graines…), sans pour autant devoir adopter un régime végétarien. Le poisson est une source d’oméga-3 pratiquement irremplaçable. Et les produits laitiers (lait, yaourt, fromages…) ont leur place, leur consommation n’étant pas associée à une augmentation du risque cardiovasculaire, contrairement à ce que laisserait supposer leur teneur en acides gras saturés. Par contre, les huiles hydrogénées utilisées dans l’industrie contenant des acides gras trans sont clairement identifiées comme nuisibles et gagneraient à être supprimées.

Fausse route

Certaines huiles, comme l’huile de palme, sont pointées du doigt en raison de leur richesse en acides gras saturés. La stigmatisation d’une source d’acides gras saturés n’a cependant pas beaucoup de sens, car l’alimentation est un tout, et l’équilibre peut très bien s’obtenir en composant entre autres avec de l’huile de palme, des produits laitiers autres qu’à 0 % de matières grasses, et même un peu de chocolat ! Ce qui compte, c’est certes d’éviter les ex-cès d’acides gras saturés (sans devoir les supprimer), mais aussi de s’assurer d’une teneur suffisante en graisses mono- et polyinsaturées. Faire une fixation sur une huile en particulier, et envisager de la taxer, n’a pas beaucoup de sens. Ou alors, il faudrait taxer aussi le beurre, les produits laitiers entiers, le beurre de cacao, le chocolat… Et jusqu’à présent, il y a peu ou pas d’évidence indiquant que de telles mesures changent le problème de fond, à savoir une consommation calorique excessive et un niveau de sédentarité croissant.

 

Posté
Les graisses ou lipides sont la forme la plus concentrée d’énergie (9 kcal par gramme, contre 4 kcal/g pour les glucides et les protéines), on conçoit donc aisément qu’en excès, elles contribuent au déséquilibre de la balance énergétique. Cela fait plus d’un demi-siècle que bien des recommandations nutritionnelles attirent l’attention sur la nécessité de réduire l’apport en graisses. Une des conséquences est un déplacement de l’apport énergétique vers les glucides, notamment les sucres, ce qui n’est pas forcément bénéfique, et pourrait même avoir des conséquences fâcheuses.

 

 

- WTF les Kilojoules

-WTF les consequences facheuses.

Et commmmmmmmmmmmmme d'habitude, fixation totale sur le gras avec degustation d'huiles comme si c'etait des vins.

J'ai remarque aussi que dans le monde francophone on prefere un discours long et complexe avec plein de subtilites sur les Omegas et toutes les formes de gras decrites avec amour, qu'un discours simple ou on te dit simplement d'arreter de t'enfourner du sucre dans la face.

 

 

Diététique évolutive

La diététique n’est pas une science exacte

 

 

tu la sens bien ma grosse excuse?

Posté
Faire une fixation sur une huile en particulier, et envisager de la taxer, n’a pas beaucoup de sens

 

 

c'est fucking retarde tu veux dire, espece de grosse chiffe molle.

Posté

Tu t'emportes pour rien.

 

Cet article est passé dans un magazine belge à gros tirage, c'est à a dire que beaucoup vont le lire, et il va en sens inverse du mangi-bougisme (qui n'existe pas, d'ailleurs, chez nous mais qui nous empoisonne le cerveau quand même à cause de la télévision).

 

C'est bon à prendre.

Posté

non c'est pas bon a prendre, parce que ce qui est ecrit entre les lignes c'est:

 

1.ne changez rien.

2.la bouffe c'est complique

 

et puis encore une fois, il aurait pu faire un paragraphe sur les carbs, non non! rien que de l'huile.

 

Posté

Ah, moi je lis ça autrement.

 

-La graisse c'est bien meilleur qu'on vous le rabache. Mangez de la graisse.

-renseignez vous mieux.

 

 

T'es dur en affaire.

Posté

nan nan rien qu\a sont style ca se sent qu'il a du mal a changer  de discours apres avoir passe 30 ans a mentir.Et la facon dont s'est tourne...arghhh on dirait POE qui parle d'homeo.

Posté

-on te dit simplement d'arreter de t'enfourner du sucre dans la face.

 

 

 

Le problème est qu'après avoir diabolisé un aliment injustement pendant des décennies. les gens seront sceptiques si on leur dit sans transition "non l'ennemi en fait c'était pas lui mais l'autre"

Posté

Je plussoie jimmychou. Arriver avec l'argumentaire "c'est compliqué et c'est pas une science exacte" rajoute bien plus de bordel ambiant et les gens se rabattent sur le "nan mais ce qu'il faut faire, c'est manger équilbré et un peu de tout" et hop, tu reprends ta partie de scrabble.

 

T'arrives a rien avec ce genre d'article.

 

Sinon un article idiot sur le regime paleo qui se fait dezinguer dans les commentaires.

http://grist.org/food/michael-pollan-explains-whats-wrong-with-the-paleo-diet/

Posté

Non mais le gars s'exprime normalement dans le contexte du média où il s'exprime. Faut arrêter de déconner.

 

J'ai dis à ma femme qui veut faire un régime à la mode (chrononutrition) "Bordel c'est pas compliqué tu dois juste manger moins de sucre. Juste. Fait. Le."

 

Les choses simples ça ne marche pas sur les nanas.

 

Faut du mystère, du rêve, une romance, du potentiel à lien social entre copines, des histoires à raconter...

Posté

Faut du mystère, du rêve, une romance, du potentiel à lien social entre copines, des histoires à raconter...

 

Bref, du pognon.

Posté

Hier, je me suis farci une réunion sur le plan quinquennal alimentaire imposé dans la restauration collective. 

 

plan.jpg

 

Je me suis étonnée de l'obsession sur le gras en précisant avec mon air le plus innocent possible "alors que le sucre, c'est quand même beaucoup plus mauvais pour la santé". Tout le monde m'a regardée avec des yeux ronds en maudissant les fromages gras et en reprenant le cours des conneries habituelles.

 

Notez que depuis cette année, la DDPP (Direction départementale de la protection des populations, ce n'est pas une blague) est habilitée à vérifier l'application du plan dans les restaurations scolaires et à prendre des sanctions le cas échéant. Mais oui mais oui. N'envoyez pas vos enfants à la cantine si vous pouvez l'éviter, conseil d'amie.

Posté

Sinon, produits laitiers = calcium...  :lecon:

Ils ne savent pas qu'il y a beaucoup plus de calcium dans les sardines à l'huile que dans un produit laitier ?

Posté

non, vraiment pas, je t'assure. Ils ne savent rien.

J'ai aussi essayé d'expliquer qu'il y avait différentes sortes de graisse et qu'on ne pouvait pas mettre sur un pied d'égalité la graisse de la friture et celle de la charcuterie mais l'expert m'a doctement répondu que c'était de la mauvaise graisse qu'on trouvait dans la charcut'. J'ai ricané, ce qui est ma réponse universelle et qui me permet de me faire adorer de mes collègues.

Posté

A la tévé, les émissions sur les gros (j'adore) et les misères qu'ils subissent sont édifiantes. Exemple typique du régime amaigrissant de l'ado obèse en établissement pour une année : au petit déj, open bar sur le pain, et réduction des graisses... A partir de là, tu regardes forcément en ricanant un peu jaune

Donc, Vengeuse, je te souhaite bon courage !

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