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Vous intéresser au libéralisme vous a-t-il apporté quelque chose ?


kivars

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Posté
Ce que ca m'a apporté ?

Une aversion et un écoeurement m'empêchant de lire trop de presse, de regarder trop de TV, ou de trop discuter avec des dictateurs en herbe.

Bref, je suis devenu un ours.

Mais j'ai une grosse bite quand même.

Pareil :icon_up:

Posté

Le pouvoir, les femmes, une villa à Dubai, des soirées à St Trop avec E Barclay et V McDoom.

Et puis aussi des réponses à certains problèmes philosophiques, politiques et éthiques. L'inverse est aussi vrai, certains aspects du libéralisme m'ont fait prendre conscience d'un certain nombre de problèmes éthiques, philosophiques et politiques dont je ne soupçonnais pas l'existence.

Posté
a/ Le pouvoir, les femmes, une villa à Dubai, des soirées à St Trop avec E Barclay et V McDoom.

b/ Et puis aussi des réponses à certains problèmes philosophiques, politiques et éthiques. L'inverse est aussi vrai, certains aspects du libéralisme m'ont fait prendre conscience d'un certain nombre de problèmes éthiques, philosophiques et politiques dont je ne soupçonnais pas l'existence.

Etrange.

Moi, j'ai eu tout le a/ et rien du b/ .

Posté

Je me suis fait une réflexion proche il n’y a pas longtemps : depuis que je suis libéral, je suis passé de « mieux vaut un innocent en prison qu’un coupable en liberté » à « mieux vaut un coupable en liberté qu’un innocent en prison », alors que je n’ai jamais réfléchi de manière poussée (ce sont des réponses instinctives).

Il faudrait que je réfléchisse au pourquoi…

Ah la fameuse technique de drague dite de la réforme de l'Etat :icon_up:

Huh ?

Posté
Personnellement depuis que je m'interesse au thèses libérales, je suis :

- plus fort en économie ( lol logique)

- Je comprend mieux les rapports sociaux de maniere générale. Les gens sont égoistes, il ne faut pas s'en ettoner , c'est meme positif.

- J'eprouve un dégout profond pour la coercition de manière générale et suis plus plus indépendant.

- Dans la mesure ou je comprend mieux certains comportement je suis plus empathique.

Au fond, le libéralisme rejoint le communisme dans le fait qu'il porte une vision globale de la société et de l'individu, en passant a la fois par la philosophie et l'économie :icon_up:

Moi j'ai vraiment découvert le libéralisme sur ce forum….ainsi me sont venus les lectures de Bastiat, Hayek, Mises, Stirner…

Ce qui le libéralisme m'a apporté:-Une vision humaine et humble de l'homme.

-Un centrage de ma reflexion sur l'homme, sur l'action humaine, et non sur des politiques sociales, sur l'Etat, ou autre collectivité imaginaire. La solution est dans l'homme et sa liberté de faire et non dans l'Etat.

-Un degout pour les pseudo psychologues et psychiatres qui bien souvent croient à des fantômes, leurs fantômes.

-La conviction que je ne suis ni de droite, ni de gauche.

-La conviction que je peux aller très loin…et pas seulement dans la connerie :doigt:

Posté

1. Que plus les systèmes progressent, plus les individus régressent et vice-versa.

2. L'individualisme méthodologique.

  • 4 weeks later...
Posté
Personnellement depuis que je m'interesse au thèses libérales, je suis :

- plus fort en économie ( lol logique)

- Je comprend mieux les rapports sociaux de maniere générale. Les gens sont égoistes, il ne faut pas s'en ettoner , c'est meme positif.

- J'eprouve un dégout profond pour la coercition de manière générale et suis plus plus indépendant.

- Dans la mesure ou je comprend mieux certains comportement je suis plus empathique.

Au fond, le libéralisme rejoint le communisme dans le fait qu'il porte une vision globale de la société et de l'individu, en passant a la fois par la philosophie et l'économie :icon_up:

Bonsoir kivars,

je n'ai pas pris le temps de lire toutes les réponses qui t'ont été faites, il se peut donc que mon message te semble redondant.

Voici mes objections :

- A moins de réduire le libéralisme à une conception économique des choses, où est la logique entre une compétence en économie et le libéralisme ?

- Tous les libéraux n'affirment pas que l'égoïsme est la caractéristique principale des hommes, et même ceux qui tablent sur l'égoïsme ne tablent que sur l'égoïsme éclairé (la rationalité de l'intérêt), et ils précisent bien que l'égoïsme est loin d'être l'essentiel de la psychologie individuelle.

- Le libéralisme ne rejoint pas le communisme, dont la tendance à l'idéologie (au sens où l'entend Raymond Boudon) est incurable ; alors que, stricto sensu, il n'y a pas à proprement parler une idéologie libérale, qui serait une contradiction dans les termes. Enfin, l'individu n'intéresse pas le communisme, qui ne sait même pas ce que c'est, parce qu'il ne connaît et ne veut connaître que des masses.

Bonne soirée

Posté
- A moins de réduire le libéralisme à une conception économique des choses, où est la logique entre une compétence en économie et le libéralisme ?

Reconnaître que le libéralisme induit une conception économique des choses, ce n'est pas pareil que l'y réduire.

Posté
Reconnaître que le libéralisme induit une conception économique des choses, ce n'est pas pareil que l'y réduire.

Sauf que kivars ne l'induit pas : il le déduit - il faut apprendre à lire !

De plus, affirmer que le libéralisme induit une conception économique des choses est une hérésie pour beaucoup de libéraux (et non des moindres), qui ont déjà bien du mal à se dépêtrer des réductions qu'on en fait aujourd'hui dans l'opinion et la presse…

Enfin, un libéral dit "bonjour" ou "bonsoir", il n'a pas les familiarités des Conventionnels de 1792-93, ni celles des soviétiques…, ni même des démocrates post-modernes alter-mondialistes. En somme, le libéral se distingue du barbare (lisez la définition qu'en donne Ortega y Gasset, libéral espagnol, qui devrait vous guérir).

Bref, pour DIRE quelque chose, il faut dire QUELQUE CHOSE - ce qui implique d'éviter les interjections ineptes et autres flatulences.

Posté
Bonsoir kivars,

je n'ai pas pris le temps de lire toutes les réponses qui t'ont été faites, il se peut donc que mon message te semble redondant.

Voici mes objections :

- A moins de réduire le libéralisme à une conception économique des choses, où est la logique entre une compétence en économie et le libéralisme ?

Disons que comprendre comment le marché libre fonctionne aide à devenir libéral. Disons qu'être libéral pousse à essayer de comprendre comment le marché libre fonctionne, pourquoi le keynesianisme est une vaste blague. Disons que ce n'est pas le mec lambda UMP/PS/NPA/FN/Verts qui a lu un ou des livres d'éco, par contre le libéral lambda l'a fait.

Suffit de se ballader sur planete-ump.fr ou forum-socialiste.net et liberaux.org pour voir le fossé. (qui ne se résume pas qu'à l'économie d'ailleurs…)

Posté
Disons que comprendre comment le marché libre fonctionne aide à devenir libéral. Disons qu'être libéral pousse à essayer de comprendre comment le marché libre fonctionne, pourquoi le keynesianisme est une vaste blague. Disons que ce n'est pas le mec lambda UMP/PS/NPA/FN/Verts qui a lu un ou des livres d'éco, par contre le libéral lambda l'a fait.

Suffit de se ballader sur planete-ump.fr ou forum-socialiste.net et liberaux.org pour voir le fossé. (qui ne se résume pas qu'à l'économie d'ailleurs…)

Si un modèle économique se dégage bien du libéralisme, le libéralisme est bien plus une doctrine philosophique qu'un modèle économique.

On a plus de chance de devenir libéral en lisant les Socrate/Platon/les Evangiles/Montaigne/Locke etc… qu'en étudiant l'économie IMHO.

Posté
On a plus de chance de devenir libéral en lisant les Socrate/Platon/les Evangiles/Montaigne/Locke etc… qu'en étudiant l'économie IMHO.

C'est peut être vrai mais il faut tout de même souligner que l'économie est actuellement un des domaines où le n'importe quoi étatique est le plus facilement mis en évidence, ce qui lui donne un potentiel de recrutement énorme.

Posté

- Pouvoir définir les mots "praxéologie", "jusnaturalisme", "utilitarisme" et autres ; sans avoir l'air con mais à condition de pouvoir les placer dans une phrase…

- Se rendre compte que, en plus de ne plus pouvoir regarder la TV, on doit préparer avec beaucoup d'avance l'instruction de ses enfants et assez souvent refaire la sienne.

- Se rendre compte qu'en fait, peu de gens aiment et savent penser par eux-même : quitte à être communiste, éviter les poncifs serait tellement plus agréable, mais non. Désormais on sait qu'avant chaque conversations, on peut préparer un bloc-note avec d'un côté : "poncifs débiles" de l'autre "réponses à poncifs débiles", dans 90% des cas, vous aurez une réponse d'avance pour chaque questions, sans avoir à réfléchir plus que votre interlocuteur (d'où le choix du mot "réfléchir").

- Beaucoup d'économies : plus besoin de radios, de télévisions ou de journaux, un ordinateur suffit, mais là, ce n'est pas uniquement grâce au libéralisme (enfin si, indirectement).

- Beaucoup plus de lecture, une bonne connaissance des classiques et de l'histoire. Quand on entre dans une librairie, on est dans les seuls à se rendre compte que ni Bastiat, ni Mises, ni Tocqueville, ni Constant, ni Turgot, ni Rand, Ni Hayek, etc. ne sont présents. Par contre, vous avez Marx, Lénine et même… Che Guevara en 8 exemplaires. Mais en même temps, vous aimez, à la sortie de cette même librairie entendre une tarl…ze de "jeunz" répondre dans un langage digne d'un enfant de 1 ans surdoué que "putain, c'est trop un pays ultra-libéral, on peut pas penser librement !" et en rentrant, voir les 25 tracts de Force Ouvrière et du NPA placardés partout.

- Quand on arrive dans un repas de famille, on pense à emporter de la lecture ou quelconques autre activité : si on participe au débat, c'est parti pour 3 heures non-stop à sortir des arguments compliqués pour obtenir une réponse du genre "non c'est pas vrai !" ou pire "t'es qu'un mouton" (véridique). Mais passons, on aime l'ironie des situations.

- On sait ce que le mot "risque" veut dire et que rien ne s'obtient sans risque, de comment le minimiser et de comment s'en servir, on fait de meilleurs entrepreneurs.

- On sait qu'un fusil est un très bon moyen de garder la conversation courtoise.

- Si quelqu'un est communiste/socialiste/etc. ça ne peut vouloir dire que trois choses :

Option A. Il aime les gros états bien puissants parce qu'il a peur d'être seul et isolé, il ne se sent pas rassuré sans la présence d'une entité abstraite (société) pour résoudre tous ses problèmes et ne peut résoudre les problèmes et imprévu seul, sans aide et qu'il n'aura sans aucun doute aucunes initiatives.

Option B. Il aime le pouvoir, veut tout diriger, contrôler et maîtriser, il a un méchant sentiment de supériorité presque maladif et se sent investit d'un devoir presque divin…

Option C. Il ne pense pas, ne veut pas penser et surtout ne fera rien pour penser même si ça vie en dépend.

L'avantage est que si vous tombez sur une fille présentant l'option A ou B, vous éviterez de très, très nombreux problèmes de le savoir d'avance. Si c'est l'option C, au moins vous savez que vous n'aurez aucuns sujets de conversation autre que des banalités plates, si tant est qu'il y ait une conversation dans ce genre de couple…

- On sait ce que veut dire le mot tautologique, aucuns slogans de marche avec nous. Le répéter ne change pas le problème.

- Pour nous le mot "pillard" est synonyme du mot "politicien".

- Les gens nous détestent, mais on sait pourquoi : Quand quelqu'un nous demande "courtoisement" de faire quelque chose et qu'on refuse. Si celui-ci nous réponds que de toute façon on est "égoïste" et qu'on devrait arrêter de "ne penser qu'à nous", mais ils savent que ça ne marche pas sur nous. Parce qu'on sait que ça revient à dire : "arrête de penser à toi ! Pense à moi, juste à moi, soit mon serviteur !" et que c'est… tout aussi égoïste.

Voilà entre autres, ce que ça apporte, en plus de ce qui a été déjà dit, pour moi.

Posté

Bonjour,

Vous intéresser au libéralisme vous a-t-il apporté quelque chose ?

1/ L'humilité : je ne sais pas grand chose, en fait.

2/ Plus de rigueur pour analyser ce que je reçois. J'essaie de m'assurer que le postulat de base d'un argument est fondé, vérifiable. J'essaie de ne plus confondre "corrélation" et "causalité". Depuis, je tique quand je lis ou entends certains raisonnements simplistes qui, avant, seraient passés sans problème.

3/ Envie de lire.

Aucun rapport direct avec le libéralisme, sinon que c'est justement en m'y étant intéressé que tout ça m'est arrivé.

Posté
Si un modèle économique se dégage bien du libéralisme, le libéralisme est bien plus une doctrine philosophique qu'un modèle économique.

On a plus de chance de devenir libéral en lisant les Socrate/Platon/les Evangiles/Montaigne/Locke etc… qu'en étudiant l'économie IMHO.

Tout à fait, je me suis aperçu que je l'étais en lisant dans l'ordre Spooner (outrage), Thoreau (désobéissance civile), puis Rothbard (L'Etique de la Liberté) et David Friedman (Vers une Société Sans Etat) le gros utilitariste qui tâche. Ce sont les 4 livres que j'ai lu en premier.

C'est bien évidemment les trois premiers qui m'ont le plus frappé. Même si je préfère la liberté à la prospérité, je me suis demandé : est-ce que ça marcherait dans la réalité, est-ce que ça serait mieux ? Le modèle économique qui s'en dégage est il réaliste, morale, et meilleur ?

Je pense que la plupart des libéraux se sont posés ces questions aussi, et donc s'intéressent à l'économie.

Posté

Et bah dites donc, c'est qu'il y en a des taquins sur ce forum :icon_up:

J'entendais mon premier post ce que certains d'entre vous m'ont répondu, a savoir que je suis devenu un peu plus conscient de certains problèmes étiques et j'ai a présent une meilleur compréhensions des mécanismes de la vie en société.

Je suis pas rentré dans une secte :doigt: Et j'avais déja un gros zizi avant de m'intersser au liberalisme !

Mais je pense malgré tout que le liberalisme a une étique qui peut influer sur beaucoup de jugements préconcus. C'est ce que j'ai voulu metre en relief, d'une maniere un peu new age j'avoue !

skippy.JPG

Posté
- Quand on arrive dans un repas de famille, on pense à emporter de la lecture ou quelconques autre activité : si on participe au débat, c'est parti pour 3 heures non-stop à sortir des arguments compliqués pour obtenir une réponse du genre "non c'est pas vrai !" ou pire "t'es qu'un mouton" (véridique). Mais passons, on aime l'ironie des situations.

Presque tout pareil que Hildegarde à part peut être les fusils. ..

Mais il y a tout de même le plaisir de connaitre à l'avance les arguments des autres, puisqu'on est baigné dedans depuis tout petit.

Tandis que les autres ne connaissent pas (du tout) votre position voire pire, croient la connaitre. (Heu le libéralisme c'est le culte de l'argent fou et de la compétition)

Ca donne un avantage stratégique dans les discussions important. :icon_up:

  • 2 months later...
Posté
Personnellement depuis que je m'interesse au thèses libérales, je suis :

- plus fort en économie ( lol logique)

- Je comprend mieux les rapports sociaux de maniere générale. Les gens sont égoistes, il ne faut pas s'en ettoner , c'est meme positif.

- J'eprouve un dégout profond pour la coercition de manière générale et suis plus plus indépendant.

- Dans la mesure ou je comprend mieux certains comportement je suis plus empathique.

Au fond, le libéralisme rejoint le communisme dans le fait qu'il porte une vision globale de la société et de l'individu, en passant a la fois par la philosophie et l'économie :icon_up:

Salut, j'inaugure votre site sur ce fil.

Le libéralisme une vision globale comme le communisme ?… à la différence énorme près que le communisme (issu du "matérialisme historique" de Marx) inverse la logique naturelle des choses. Ce n’est plus l’esprit qui dirige la matière, mais la matière qui commande l’esprit. Autrement dit la liberté n’est plus le maître mot et le bonheur des opprimés ne peut résulter que des directives d’un ordre politique chargé de les défendre, quitte à l’imposer par la force. Cela change tout !

Quant à mon intérêt pour le libéralisme : en fait je ne suis pas partie à sa découverte, c’est plutôt lui qui s’est naturellement révélé à moi, au fur et à mesure de mon éxpérience.

Mais au risque de surprendre des libéraux je voudrais faire la remarque suivante : à l’écoute de certains faits d’actualité (comme ce projet d’interdiction du voile intégral, ou cette liberté d’expression qui autoriserait à se torcher publiquement les fesses avec le drapeau de la République…) je réalise que la liberté n’est finalement qu’absence de liberté.

Etre libre n’est pas faire tout ce qui convient à ses caprices, mais au contraire être capable de maitriser ses actes, de s’imposer des lignes de conduite n’obéissant pas à l’arbitraire mais répondant à certaines valeurs préétablies, dont notamment le respect de l’autre.

La liberté est une fin pas un moyen. N’obéir qu’à ses instincts ou désirs n’est pas liberté mais esclavage, Kant l’a bien souligné. Seule la volonté permet de s’élever au rang de décideur ; volonté d’ériger des règles et de les respecter, tel est le seul moyen d’atteindre la vraie liberté, l'individu étant indissociable de la communauté d’humains dont il est issu.

Et qu’on ne vienne pas nous raconter qu’au nom de la liberté on peut faire ou laisser faire n’importe quoi. :doigt:

  • 2 months later...
Posté

Un sentiment d'importance et une plus grande confiance en soi, le sentiment de faire partie de faire partie de l'élite !

Un intérêt pour le fonctionnement de l'économie, les métaux précieux, le poker, les armes.

De plus beaux vêtements, des cheveux plus courts.

Des discussions intéressantes entre amis.

Tous des choses reliés plus ou moins au libéralisme.

Posté
De plus beaux vêtements,

a l'exception des t-shirt jaunes of course

des cheveux plus courts.

un coiffeur suffisait

Posté
Un sentiment d'importance et une plus grande confiance en soi, le sentiment de faire partie de faire partie de l'élite !

Un intérêt pour le fonctionnement de l'économie, les métaux précieux, le poker, les armes.

De plus beaux vêtements, des cheveux plus courts.

Des discussions intéressantes entre amis.

Tous des choses reliés plus ou moins au libéralisme.

de faire partie de l'élite? doublement en plus? moi c'est un peu le contraire…le libéralisme m'a permis de m'éloigner de tout sentiment d'appartenance pour entrer dans l'action…BANZAIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII :icon_up:

Posté

Moi ça m'a apporté de l'optimisme.

En venant ici je savais déjà que CPEF mais je croyais que c'était irrémédiable, on nous bourre tellement le $$ avec les problèmes sociologiques économiques politiques culturels écologiques… je croyais même que ce monde était foutu… le libéralisme m'a permis de prendre du recul sur toutes ces thèses bruyantes et de respirer.

Reste plus qu'à renverser le pouvoir, me mettre comme chef absolu avec un harem et le libéralisme aura été parfait.

  • 3 months later...
Posté

Ca m'a permis de ne pas devenir complètement fou en m'apportant une manière plus cohérente de considérer les phénomènes sociaux que je constate. Le libéralisme s'emboîte mieux dans ma cervelle que le socialisme qui ne peut mener qu'à l'inhibition de l'action.

Posté

Perso m'intéresser au libéralisme m'a permis :

- De devenir un citoyen modèle pour contribuer à casser l'image négative du libéralisme en France (pour la plupart des gens être libéral = être irresponsable, alors que c'est tout le contraire)

- D'assumer le fait que j'étais libéral

- D'avoir des débats houleux avec mes amis

- De posséder une vision plus pragmatique des choses

- De mettre en lumière les contradictions de certains pseudo-économistes

Autrement, une question qui serait intéressante à poser est "comment êtes-vous devenu libéral ?"

Et puis je me gêne pas pour glisser une citation libérale dans mes statuts sur facebook ce qui fait que je suis grillé assez rapidement.

-> Perso je fais mieux en mettant "libérale classique" dans la rubrique opinion politique sur Facebook, comme cela je ne laisse pas de doute. :icon_up:

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