Aller au contenu

Traductions pour Contrepoints, Wikiberal et autres


Nick de Cusa

Messages recommandés

Posté

Un article un peu long, mais intéressant sur le thème : les confinements nous montrent que l'ingénierie sociale est dangereuse :

 

https://mises.org/wire/covid-lockdowns-showed-us-how-dangerous-social-engineers-have-become

 

ou alors, plus court,et plus léger : les vols pourraient bientôt durer deux fois moins longtemps, merci le capitalisme!

 

https://fee.org/articles/flight-times-may-soon-be-cut-in-half-thanks-to-capitalism/

 

 

Posté
On 6/24/2021 at 11:47 AM, F. mas said:

ou alors, plus court,et plus léger : les vols pourraient bientôt durer deux fois moins longtemps, merci le capitalisme!

 

https://fee.org/articles/flight-times-may-soon-be-cut-in-half-thanks-to-capitalism/

 

J'ai pas encore fini, mais je le poste et je l'éditerai quand je finirai. Ce soir ou demain matin.

EDIT : c'est fini @F. mas. J'attends la relecture. Crédit de traduction avec mon vrai nom SVP, précisions en MP si besoin :)

 

Spoiler

La durée des vol bientôt divisée par deux. Merci le capitalisme !

La croissance de la startup Boom illustre parfaitement la beauté et la puissance des marchés. Ils incitent à expérimenter pour trouver la meilleure réponse aux besoins des clients, car une entreprise gagne lorsque ses clients gagnent aussi.

 

La startup Boom Supersonic, basée à Denver au Colorado, développe actuellement un avion de ligne qui dépassera la vitesse du son en vol et United Airlines a annoncé son intention d'en acheter 15, avec une option pour 35 de plus si les tests de sécurité sont satisfaisants.

 

Mais que se passera-t-il si ces avions s'avèrent dangereux pour les utilisateurs et pour la planète ? Certains s'interrogent avant de mettre des vies en jeu.

 

 

Chaque progrès entraine de nouveaux risques dont certains sont impossibles à prédire. On pourrait avoir tendance à surestimer ces risques dans la mesure où l'on considère que l'intérêt de l'entreprise est de façon inhérente opposée à celui des consommateurs : le bénéfice net contre la sécurité des passagers et celle de la planète en général. Pourtant nous reconnaissons dans nos vies individuelles que causer du tort à autrui ne nous aide en rien, sauf à chercher un bénéfice à très court terme. Le mensonge, la triche, le vol et les comportements irréfléchis ne constituent pas une stratégie gagnante mais la recette de l'échec.

Malgré cela, certains persistent à croire que des individus regroupés sous la forme d'une entreprise échapperaient à ce principe et que les entreprises seraient par nature destinées à être en conflit avec leurs consommateurs. Est-ce vraiment le cas ? Il est vrai que des Bernard Madoff peuvent tirer leur épingle du jeu par la fraude mais il est difficile d'argumenter qu'il s'agit d'une stratégie gagnante à long terme. La preuve : voyons ce qu'est devenu Bernie.

A l'inverse, la sécurité et la satisfaction des consommateur sont vitales pour l'entreprise. Par les mots d'un illustre businessman, Benjamin Franklin : "When you're good to others, you are best to yourself" (la bonté envers autrui est une grande bonté envers soi-même). C'est le secret de Polichinelle du succès de chaque relation et de chaque entreprise, et Boom Supersonic ne déroge pas à la règle.

 

J'ai eu la chance d'interviewer le PDG Blake Scholl avant qu'il ne dévoile le premier prototype en Octobre 2020 et l'un des points sur lequel il mettait le plus d'emphase était son engagement à chercher des problèmes pour apporter des solutions. "Je crois sincèrement que le vol supersonic, fait correctement, sera bon pour tout le monde. Si vous recevez des critiques, regardez-vous dans le mirroir et demandez vous 'est-ce valide ?'. Si oui, taisez-vous et aller résoudre les problèmes !".

Lorsque Boom a rencontré la FAA (Federal Aviation Commission), des objections ont été levées des deux côtés. "Nous avons apporté une liste et eux aussi. La notre était plus longue !" explique Scholl. Anticipant la sensibilité environnementale des consommateurs, Boom a conçu ses moteurs pour fonctionner avec des carburants alternatifs.

Attirant les meilleurs talents du domaine, Scholl a bâti ce que le professeur Adam Grant dans son livre Think Again appelle un "réseau de challenge" : un groupe d'experts qui n'ont pas peur de questionner leurs idées et de repenser leurs décisions lorsque de nouvelles données apparaissent. lls reconnaissent qu'il leur sera impossible de révolutionner l'aviation en ignorant ce type de problème d'une part, ainsi que la valeur ajoutée qu'ils peuvent apporter au client d'autre part.

 

Ce défaut d'état d'esprit a été la principale source d'échec du Concorde, prédécesseur de Boom né d'une association entre les gouvernements français et du Royaume-Uni. "Ils n'avaient pas pour but d'implémenter un modèle économique durable, mais cherchaient plutôt à impressionner les russes", raconte Scholl. La réalisation technique était en effet impressionnante, mais le financement par le contribuable les a éloignés des besoins réels et des moyens des clients. C'est d'ailleurs une caractéristique des projets publics dont la direction est moins centrée sur la satisfaction des clients que celle des bureaucrates donneurs d'ordres. Certains commentent : "c'était serré, peu spacieux et avec des sièges plus étroits encore que ceux de Ryanair !". A la fin des années 90, la traversée de l'Atlantique revenait à 5000€, pour un avion dont le développement a couté 2,7 milliards d'euros (de 2003) de chaque côté de la Manche. Et pour quel résultat ? Si vous souhaitez voir le Concorde, il faut aller au musée. Il a été décommissionné officiellement en 2003.

 

En contraste, les entreprises privées souhaitant réussir sont contraintes de réfléchir à la faisabilité économique ainsi qu'aux besoins des clients. Par exemple, après seulement deux semaines sur le projet, Scholl déterminait que la consommation excessive de carburant était le principal facteur de prix du billet du Concorde. "De combien devons-nous réduire la consommation", s'est-il demandé, "pour arriver aux prix d'une business class actuelle ?". La réponse ? 30%, un objectif atteignable étant donnés les progrès de technologie et de conception des moteurs de ces 50 dernières années.

L'histoire de Boom illustre parfaitement la beauté et la puissance des marchés. Ils incitent les entreprises à innover pour trouver le meilleur moyen de satisfaire le consommateur, car l'entreprise gagne lorsque le consommateur gagne aussi.

 

  • Yea 3
Posté

 

On 6/24/2021 at 11:47 AM, F. mas said:

Un article un peu long, mais intéressant sur le thème : les confinements nous montrent que l'ingénierie sociale est dangereuse :

 

https://mises.org/wire/covid-lockdowns-showed-us-how-dangerous-social-engineers-have-become

 

Terminé. Transmis à la rédac. 

Remarque : j’ai traduit « social engineer » par « ingénieur social ».  Il est peut-être préférable de traduire par « constructiviste » ?

  • Yea 1
Posté
39 minutes ago, Mister_Bretzel said:

@F. mas ma trad du 25 juin n'est pas satisfaisante ? Je peux reformuler et rerédiger si besoin.

 

Arg! Si elle est très bien! Je ne l'avais juste pas vue ? Bon, du coup on va la programmer pour le début de semaine prochaine. Et merci encore ! :)

  • Yea 1
Posté
il y a une heure, F. mas a dit :

Bon, sur un ton positif, les recherches sur le covid ont boosté celles sur la malaria, qui du coup est peut être sur le point de disparaître, by Marian Tupy

 

Ce n'est pas ce que dit l'article  (au sens de c'est peut-être le cas, mais l'article ne le mentionne pas). Il renvoie à l'étude d'un vaccin qui contient des parasites vivants, sans lien avec les recherches sur le covid. 

Posté

ayé

 

[reste à insérer les 4 liens, et le graphique : taux de mortalité du paludisme pour 100 000 personnes, 1990-2017]

 

Révélation

L'ennemi le plus ancien de l'humanité pourrait être en voie d’éradication

 

À cause de la COVID-19, le développement d'un nouveau vaccin étonnant contre le paludisme est passé relativement inaperçu.

 

Par Marian L. Tupy | @HumanProgress

 

"Le moustique : une histoire de notre prédateur le plus mortel" de Timothy Winegard contient de nombreux éléments intéressants. L'historien américain soutient par exemple que les moustiques ont pu jouer un rôle dans l'extinction des dinosaures. Il note également que les maladies dont le moustique est le vecteur sont suffisamment anciennes pour avoir modifié l'ADN humain (voir la prévalence de la drépanocytose chez les personnes d'origine africaine). Selon Winegard, le moustique "règne sur la terre depuis 190 millions d'années et a tué avec une puissance ininterrompue" quelque 52 milliards de personnes (c'est-à-dire plus que toutes les guerres de l'histoire réunies).

 

L'un des passages les plus intéressants du livre concerne ce que l'on appelle le "projet Darién", c'est-à-dire la tentative du royaume d'Écosse de coloniser le golfe de Darién, dans l'actuel Panama. Les Écossais vinrent équipés d’une imprimerie et munis d'un grand nombre de chaussettes de laine, mais sans la moindre idée de la façon de traiter les milliards de moustiques qui ont rapidement décimé les colons. L'impact financier de l’échec du projet sur le royaume est tel que les Écossais acceptent d'unir leurs forces à celles des Anglais, formant ainsi ce qui est aujourd'hui le Royaume-Uni de Grande-Bretagne (Angleterre, Écosse et Pays de Galles) et d'Irlande du Nord.

 

Le paludisme, la maladie la plus courante propagée par le moustique, appartient au passé pour la plupart des pays développés, mais le parasite infecte encore quelque 200 millions de personnes par an - et en tue 400 000. Les enfants de moins de cinq ans sont les plus vulnérables au paludisme et représentent la majorité des victimes. En plus de la souffrance humaine, le paludisme impose des coûts économiques énormes à certains des pays les plus pauvres du monde - neuf pour cent du produit intérieur brut du Tchad, par exemple.

 

Heureusement, notre ennemi le plus ancien a peut-être trouvé son maître. La pandémie de COVID-19 a tellement monopolisé l'attention que relativement peu de monde a remarqué l'émergence d'un nouveau vaccin étonnant contre le paludisme. L'injection consiste à infecter les personnes avec "des parasites Plasmodium falciparum vivants, ainsi que des médicaments pour tuer tout parasite qui atteint le foie ou la circulation sanguine, où ils peuvent provoquer les symptômes du paludisme". Selon la revue Nature, "la vaccination a protégé 87,5 % des participants infectés après trois mois par la même souche de parasite que celle utilisée pour l'inoculation, et 77,8 % de ceux qui ont été infectés par une souche différente."

 

Dans notre livre, Ten Global Trends Every Smart Person Should Know : And Many Others You Will Find Interesting, ("Dix tendances mondiales que toute personne intelligente devrait connaître : et bien d'autres que vous trouverez intéressantes") Ronald Bailey et moi-même avons noté que, grâce à l'amélioration des traitements et des mesures préventives, le taux de mortalité lié au paludisme est passé de 12,6 pour 100 000 en 1990 à 8,2 pour 100 000 en 2017. Ces progrès réguliers sont encourageants, mais nous attendons avec impatience le jour où le taux de mortalité du paludisme sera nul et où la maladie rejoindra les autres maladies que l'humanité a soit éteintes, soit contenues. L'année dernière a peut-être été épouvantable, mais elle semble avoir donné naissance non pas à un, mais à deux vaccins importants. Nous devrions en être heureux.

 

 

 

Marian L. Tupy est membre senior du Center for Global Liberty and Prosperity du Cato Institute et rédactrice en chef de HumanProgress.org.

 

  • Yea 2
  • Love 1
  • 2 weeks later...
Posté

Un article de Reason, pas long et pas bien difficile : Joe Biden veut punir Facebook pour son propre échec concernant les vaccins

https://reason.com/2021/07/20/facebook-biden-section-230-vaccine-hesitancy-covid-19/?fbclid=IwAR1W9fvbwN1LRpXrmrDzcvhj3s0IhH9Jy2NdgVbSWacsdnbBPTk0P5Trk8c

 

(comme quoi, même en cherchant à coller au plus près de l'agenda politique des Etats, les GAFA se font toute de même entubées)

 

  • Love 1
Posté
Révélation

Joe Biden veut punir Facebook pour les propres échecs du gouvernement en matière de vaccins.

 

Les bureaucrates fédéraux de la santé devraient cesser de prendre les médias sociaux comme boucs émissaires.

 

Le gouvernement fédéral intensifie sa guerre contre Facebook : Le président Joe Biden a accusé la plateforme de médias sociaux de Mark Zuckerberg d’avoir échoué à purger les contenus anti-vaccins, contribuant ainsi à l'hésitation à se faire vacciner et à "tuer des gens", a déclaré le président.

 

La Maison Blanche cherche actuellement comment remanier la section 230, la loi fédérale qui immunise les plateformes internet de toute responsabilité légale, afin de punir Facebook de ne pas avoir obtempéré aux moindres desiderata du gouvernement.

 

"Nous examinons la question, et il est certain qu'ils devraient être tenus responsables", a déclaré Kate Bedingfield, directrice de la communication de la Maison Blanche, en réponse à une question sur la section 230 posée par Mika Brzezinski de Morning Joe.

 

M. Biden est depuis longtemps favorable à l'élimination de la section 230, même s'il faudrait pour cela un nouveau vote du Congrès. Ironiquement, la section 230 est également impopulaire auprès de nombreux républicains - y compris l'ancien président Donald Trump qui a demandé son abrogation totale - parce qu'ils la considèrent comme une sorte de privilège dont bénéficieraient les entreprises technologiques présumées hostiles aux utilisateurs conservateurs. Mais les nouvelles  menaces de l'administration Biden devraient faire réfléchir radicalement les républicains à leurs préjugés anti-230. La Maison-Blanche souhaite que Facebook censure de manière proactive davantage de contenus et considère la section 230 comme un obstacle à la réalisation de cet objectif. L'abrogation de la section 230 n'est donc pas la panacée au problème des entreprises technologiques qui bloqueraient trop de comptes provocateurs de droite ; les démocrates du gouvernement fédéral veulent abroger la section 230 pour que les entreprises technologiques n'aient précisément d'autre choix que de bloquer davantage de contenus.

 

Les républicains anti-Facebook commettent une erreur tactique ; la Maison Blanche de Biden, d’un autre côté, se trompe tout simplement sur l'ampleur de la responsabilité des médias sociaux face à l'hésitation vaccinale. En se concentrant sur les inconvénients perçus d'un trop grand nombre de contenus anti-vax sur Facebook, l'administration néglige une douzaine d'autres stratégies qu'elle pourrait mettre en œuvre pour stimuler la vaccination dans tout le pays.

 

Tout d'abord, il est loin d'être évident que les médias sociaux - et Facebook en particulier - soient les principaux responsables de l'hésitation à se faire vacciner, un problème antérieur à Internet. Selon les données de Facebook, ses utilisateurs sont en fait plus susceptibles d'être vaccinés que le citoyen américain moyen.

 

"Les données montrent que 85 % des utilisateurs de Facebook aux États-Unis ont été ou veulent être vaccinés contre la COVID-19", a écrit Guy Rosen, "vice-président de l'intégrité" de Facebook. "L'objectif du président Biden était que 70 % des Américains soient vaccinés avant le 4 juillet. Facebook n'est pas la raison pour laquelle cet objectif n'a pas été atteint."

 

La désinformation existe sur tous les supports et dans toutes les formes de communication, de la radio à la télévision en passant par le bouche à oreille. Le gouvernement lui-même a fait preuve de désinformations sur la COVID-19, depuis les premières (mauvaises) directives sur les masques jusqu'aux déclarations délibérément erronées du tsar du coronavirus Anthony Fauci sur l'immunité collective. Même lorsqu'il s'agit de vaccins, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC, Centres pour le contrôle et la prévention des maladies) était initialement prudents quant à la possibilité de laisser les personnes vaccinées abandonner les masques et les protocoles de distanciation sociale, ce qui aurait pu faire paraître le vaccin inutile pour certaines personnes à faible risque. Il est naïf de présumer que les médias sociaux sont le principal moteur de l'hésitation vaccinale.

 

"Nous n'avons pas de bonnes mesures de ce que les gens voient sur les médias sociaux, ni la capacité de les relier à leur comportement en matière de vaccination", a noté Brendan Nyhan, professeur en sciences politiques au Dartmouth College, qui pense que les dommages causés par les médias sociaux sont exagérés.

 

Même la focalisation sur Facebook, par opposition à d'autres sites comme YouTube - où les contenus anti-vaccins sont probablement plus répandus - témoigne de la compréhension limitée du gouvernement de la portée de ces questions. Il semble que de nombreux démocrates attribuent encore à tort la défaite d'Hillary Clinton en 2016 aux malversations de Facebook : Ils ont actualisé leurs griefs mais ont conservé la même cible pour leur colère mal placée.

 

Si la Maison Blanche veut promouvoir la vaccination - un louable objectif - elle devrait cesser d'être si obsédée par ce qui se passe sur Facebook, et plus largement sur les médias sociaux. Au lieu de cela, Biden devrait pousser la Food and Drug Administration (FDA, Agence des produits alimentaires et médicamenteux) à, « you know », approuver vraiment les vaccins, qui sont actuellement disponibles en vertu d'une autorisation d'utilisation d'urgence. Malgré la pandémie mondiale, les régulateurs fédéraux procèdent comme s'il n'y avait aucune raison d'accélérer le mouvement : L'autorisation complète du vaccin de Pfizer n'est pas attendue avant janvier. Si le gouvernement souhaite apaiser l'appréhension des personnes réticentes à l'idée que les vaccins sont en quelque sorte expérimentaux, manœuvrer plus vite sur ce front serait plus utile que de s’en prendre à Mark Zuckerberg.

 

@F. mas

Posté
Il y a 23 heures, F. mas a dit :

ah super! Je vais pouvoir le programmer pour demain.

 

Je demande le vote du public sur la qualité de ma traduction vs la version révisée : ce sont les Républicains qui considèrent ou Biden+Trump?

 

Texte original

Biden has long supported getting rid of Section 230, though it would take an act of Congress to do so. Ironically, Section 230 is equally unpopular with many Republicans—including former President Donald Trump, who has called for its total repeal—because they consider it a sort of special perk enjoyed by tech companies that are purportedly hostile to conservative users.

 

Ma traduction :

M. Biden est depuis longtemps favorable à l'élimination de la section 230, même s'il faudrait pour cela un nouveau vote du Congrès. Ironiquement, la section 230 est également impopulaire auprès de nombreux républicains - y compris l'ancien président Donald Trump qui a demandé son abrogation totale - parce qu'ils la considèrent comme une sorte de privilège dont bénéficieraient les entreprises technologiques présumées hostiles aux utilisateurs conservateurs.

 

Paru dans contrepoints :

Joe Biden est depuis longtemps favorable à l’élimination de la section 230, même s’il faudrait pour cela un nouveau vote du Congrès.

Ironiquement, la section 230 est également impopulaire auprès de nombreux républicains – y compris l’ancien président Donald Trump qui a demandé son abrogation totale.

Tous deux la considèrent comme une sorte de privilège dont bénéficieraient les entreprises technologiques présumées hostiles aux utilisateurs conservateurs.

Posté

Les Américains ont tendance à faire des phrases interminables, ce qui fonctionne certainement dans leur sabir mais marchent moins bien en français. Quand je traduis, j'ai tendance à tronçonner et à adapter dans certains cas. Sinon M. Biden, cela fait un peu vieillot à l'heure de la disparition des cravates et du tutoiement généralisé. 

Posté

Quelqu'un pourrait avoir l'obligeance de traduire cette courte interview de Pascal Salin ?

 

https://www.brusselsreport.eu/2021/07/30/interview-with-french-economist-pascal-salin-a-tax-on-corporates-is-a-tax-on-employees-and-entrepreneurs/

 

@Dardanus : je n'ai pas oublié ta trad: comme il y a une histoire de copyright (que je n'avais pas vu), on est en train de demander à la maison d'édition l'autorisation de publication.

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
×
×
  • Créer...