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Traductions pour Contrepoints, Wikiberal et autres


Nick de Cusa

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Je suis toujours dispo pour faire une traduction de temps à autre, de préférence assez courte. Seulement, je n'ai pas forcément le temps de passer régulièrement sur le forum pour voir les traductions disponibles.

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Sorkin, éditorialiste au NY Times : la loi Glass-Steagall n'aurait rien changé

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L'éditorialiste Andrew Ross Sorkin, auteur de "Dealbook" s'en prend à une vache sacrée socialiste:

Il y a comme un mème autour de la loi Glass-Steagall, répété si souvent qu'il en est devenu sagesse populaire : l'abrogation de la loi Glass-Steagall a provoqué la crise financière de 2008. Et,selon le raisonnement en question, devenu depuis quasiment une questions religieuse pour certaines personnes, si cette loi était réinstaurée, nous éviterions la prochaine crise.

Les faits — les faits de base — ne sont pas aussi simples. Le fait que l'abrogation de la loi Glass-Steagall soit devenu la condition sine qua non de la crise financière est purement du révisionnisme historique. […]

La loi Glass-Steagall n'aurait pas empêché la dernière crise financière. Et elle n'aurait probablement pas empêché JPMorgan de perdre 2 milliards d'USD. La perte est en effet intervenue du côté de la banque commerciale, pas de la banque d'investissement. […]

Le premier domino à basculer dans la crise financière fut Bear Stearns, une banque d'investissement qui n'avait aucune activité de banque commerciale. La loi Glass-Steagall ne se serait pas appliquée. Puis vint Lehman Brothers; elle aussi n'était qu'une banque d'investissement sans partie commerciale, et n'aurait en conséquence pas été couverte non plus par la loi Glass-Steagall. Après ces deux banques, ce fut le tour de Merrill Lynch — et ouais, là encore ce n'était qu'une banque d'investissement qui n'avait rien à faire avec la loi Glass-Steagall.

La suivante fut American International Group (AIG), une compagnie d'assurance qui était là encore sans relation avec la loi Glass-Steagall. Pendant que nous y sommes, nous devrions probablement inclure aussi Fannie Mae et Freddie Mac, qui, de façon similaire, n'avaient encore rien à voir avec Glass-Steagall.

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On peut en lire un peu plus du même tonneau ici. La partie que je préfère du texte de Sorkin est lorsque la candidate démocrate au Sénat Elizabeth Warren est obligée d'admettre à demi-mot que le rétablissement de la loi Glass-Steagall n'aurait probablement rien changé à de sur quoi elle peste constamment, et au contraire de ce qu'elle essaye de faire passer comme message…

Lors de ma conversation avec Ms. Warren, elle m'a expliqué que l'une des raisons pour lesquelles elle voulait rétablir la loi Glass-Steagall — même si cela n'aurait pas empêché la crise financière — est que c'est un problème facile à comprendre par le public et "derrière lequel on peut lui faire porter son attention."

Elle a ajouté qu'elle considère la loi Glass-Steagall plus comme un symbole qu'on doit faire quelque chose en matière de régulation plus que ce que signifie l'acte en lui-même.

Ce dont le monde a besoin, en réalité, c'est moins de gouvernance par le symbole.

Reason en était arrivé aux mêmes conclusions à propos de la loi Glass-Steagall un peu plus tôt.

Posté

Bon, ça a l'air d'être la dèche en ce moment pour les traductions alors je veux bien dépanner un peu.

http://wattsupwithth…net-to-the-u-n/

Confions le web à l'ONU, une idée de génie.

Posté le 29 mai, 2012 par Anthony Watts.

Un inquiétant éditorial du Washington Times via Junkscience.com.

Le nouvel ordre mondial à l’assaut de votre ordinateur.

Imaginez que tout ce que vous faites en ligne soit surveillé et contrôlé par les Nations Unies. Des états autoritaires puissants dont la Chine et la Russie sont en train de faire pression pour que le système d’information le plus puissant du monde soit placé sous la tutelle de la communauté internationale. Ils voudraient qu’Internet fonctionne avec la même efficacité, la même vitesse et la même fiabilité que l’ONU !

Cette semaine, le Congrès envisagera la possibilité de modifier les Règlementations Internationales des Télécommunication de 1988 afin de donner à l’ONU des prérogatives extraordinaires concernant Internet. En septembre, le bloc autoritaire a émis une proposition intitulée « Code de conduite international pour la sécurité de l’information ». Son objectif est en théorie de standardiser Internet et d’établir des règles pour maintenir la cybersécurité. En réalité, il donnerait à l’Union Internationale des Télécommunications (UIT) (une agence de l’ONU chargée de la télécommunication mondiale) un vaste pouvoir pour réguler l’accès à Internet et les flux d’information dans le cyberespace.

Le fait que Beijing et Moscou soutiennent cette idée est une preuve suffisante qu’elle est mauvaise. La libre circulation de l’information a toujours été l’ennemie des états-voyous, pour qui la liberté d’expression et l’échange d’idées (auxquels certains peuples oppressés ont accès pour la première fois de leur histoire grâce aux technologies de l’information) devraient être éradiquées. Pour eux, Internet ne représente rien d’autre qu’un nouveau moyen de collecter des données sensibles sur les citoyens et de les empêcher de s’exprimer à l’aide d’un ensemble d’outils de censure sophistiqués.

Washington Times

Plus d’informations : http://www.theblaze….bill-next-week/

L’opposition ferme de la Commission Fédérale des Communications : http://transition.fc…OC-314117A1.pdf

NOUS DEVONS RESTER UNIS DANS NOTRE OPPOSITION A LA REGULATION D’INTERNET PAR L’ONU/UIT.

Pour finir, nous devrions tous nous inquiéter de cet effort coordonné de la communauté internationale pour mettre Internet sous contrôle intergouvernemental. Depuis sa privatisation dans le début des années 1990, ce réseau a prospéré sans aucune régulation non seulement aux Etats-Unis mais partout dans le monde. En fait, le consensus international a toujours été dans le sens d’empêcher les gouvernements de réglementer les fonctions essentielles de l’écosystème Internet.

Malheureusement, des nations comme la Chine, la Russie, l’Inde, l’Iran et l’Arabie Saoudite sont en train d’essayer de renverser cette tendance en mettant le contrôle d’Internet sous la juridiction de l’UIT, organisation fondée sur un traité dans le cadre des Nations Unies. Le but de ces efforts, tel qu’il a été déclaré par le premier ministre russe Vladimir Putin en juin dernier, est d’établir « un contrôle international sur Internet en utilisant les capacités de surveillance et de supervision de [l’UIT] ».

Actuellement, en revanche, plusieurs pays parmi les 193 membres de l’UIT cherchent à renégocier le traité de 1988 afin d’étendre son influence vers des domaines qui échappent jusqu’ici à la régulation. Voici quelques exemples :

- Soumettre la cyber-sécurité et la confidentialité des données à un contrôle international.

- Permettre à des compagnies téléphoniques étrangères de faire payer des charges pour le trafic internet « international », logique qui pourrait aller jusqu’à un forfait « par clic » pour certaines destinations, ceci dans le but de générer de nouveaux revenus pour les compagnies téléphoniques nationalisées (et donc dans les caisses des gouvernements).

- Imposer des régulations économiques sans précédent tels que des mandats pour les échanges de données en
peer-to-peer
, jusqu’à présent non-régulés.

- Etablir la domination de l’UIT sur d’importantes entités de gouvernance au fonctionnement jusqu’à présent privé et décentralisé comme
l’Internet Corporation for Assigned Names and Numbers
, organisation à but non lucratif qui coordonne mondialement les adresses web en .com et .org.

- Englober également sous contrôle intergouvernemental des fonctions assurées par
l’Internet Engineering Task Force
, l’
Internet Society
et d’autres groupes privés et décentralisés qui établissent les normes techniques permettant à Internet de fonctionner.

- XXXX Regulate international mobile roaming rates and practices.XXXX

La conséquence de ces efforts pourrait être à terme la division d’Internet entre d’une part les pays qui choisiront de quitter le très performant modèle actuel, privé et décentralisé, pour lui substituer un régime de régulation intergouvernementale ; et d’autre part ceux qui choisiront de le conserver. Une telle structure légale serait dévastatrice pour le libre commerce international, l’augmentation du niveau de vie et l’extension des libertés politiques, sans parler du capharnaüm technique.

Une fois la prise de contrôle assurée, combien de temps faudra-t-il d’après vous avant qu’ils en viennent à fermer les blogs climato-sceptiques qui critiquent le GIEC ?

Contactez votre représentant au Congrès, maintenant.

h/t to Mike Lorrey

Par contre je ne pige pas la phrase "Regulate international mobile roaming rates and practices.", trop technique pour moi apparemment. Et je ne sais pas ce que veut dire "h/t" dans "h/t to Mike Lorrey"

Posté

http://reason.com/ar…-run-out-of-oil

Pourquoi nous ne serons jamais à court de pétrole.

A. Barton Hinkle 1 juin 2012

Vous vous souvenez de ces histoires de « peak oil » ? Que leur est-il arrivé ?

La croyance selon laquelle la production mondiale de pétrole était à son apogée et allait se mettre à décliner (entraînant pénuries, effondrement économique, guerres pour les ressources et autres désastres) était très en vogue il n’y a pas si longtemps.

« La production mondiale de pétrole atteint-elle un pic ? » se demandait la BBC en 2005. « Beaucoup ne s’imaginent pas à quel point nous sommes proches du peak oil », disait le Houston Chronicle trois ans plus tard. Deux ans après, le New York Times écrivait à propos d’un groupe d’écologistes « soutenant que les réserves de pétroles étaient à leur maximum dès 2008 et vont maintenant baisser rapidement, et l’économie avec elles ».

Les agences gouvernementales n’étaient pas en reste. En 2010, le commandement des forces interarmées des Etats-Unis mettait en garde : « d’ici 2012, la production excédentaire de pétrole pourrait disparaître totalement, et dès 2015 le déficit de production pourrait atteindre environ 10 millions de barils par jour. » Encore ce printemps, tous les rapports semblaient s’accorder à dire que le gallon (environ 4 litres NDT) serait certainement à 5 dollars, ou pire, cet été.

Eh bien nous voilà en été 2012. Le Chicago Tribune rapporte que le prix mondial « est tombé bien en dessous de 4 dollars le gallon » et le terme peak oil semble complètement oublié. Et ce n’est pas tout : visiblement, le Moyen Orient pourrait dans une large mesure cesser d’être le principal fournisseur en pétrole des Etats-Unis.

D’après le Washington Post, les importations américaines venant des pays membres de l’OPEP ont diminué de 1.8 millions de barils par jour. L’année dernière, la principale source de pétrole brut des Etats-Unis (et de loin) a été le Canada, qui lui fournit 29% de ses importations. Par opposition, l’Arabie Saoudite (qui est la seconde plus grande source) ne représente que 14%. « La rapide augmentation de la production a été frappante dans des sites comme les sables bitumineux d’Alberta au Canada, et dans les formations rocheuses ‘étroites’ du Dakota du Nord et du Texas, réserves dont les ressources sont tellement difficiles à raffiner ou atteindre qu’elles n’étaient jusqu’à très récemment pas considérées comme économiquement viables. Le pétrole jaillit aussi dans des régions anciennement dangereuses en Colombie et… au Brésil ».

Mais ce n’est pas tout. « Une foule de nouvelles découvertes et de perspectives optimistes concernant de larges dépôts entraîne également les compagnies énergétiques à creuser dans la mer des Tchouktches (dans le cercle polaire Arctique), au fond de l’Amazonie, le long d’un gisement potentiellement énorme au-delà de la côte nord-est de l’Amérique du Sud, et dans les eaux bouillonnantes entourant les îles Malouines. »

Alors, qu’est-ce qui a bien pu se passer ? Ce n’est pas un grand mystère : quand les réserves baissent et que les prix montent, les producteurs sont incités à trouver de nouvelles sources et à développer de nouvelles technologies. Quand vous entendez qu’il reste seulement X milliards de « réserves accessibles » de pétrole, rappelez-vous que ça ne concerne pas tout le pétrole qui existe mais uniquement celui qu’il n’est pas trop coûteux d’aller chercher, que ce soit à cause des limites techniques ou des réglementations gouvernementales. Deux facteurs qui peuvent évoluer.

Et comment : En seulement six ans, le Dakota du Nord s’est hissé jusqu’à la place de second fournisseur de pétrole domestique grâce à l’amélioration de ses techniques de forage horizontal qui ont fait merveille dans les sites de Bakken et Tree Forks. La ruée vers le pétrole a fait quasiment doubler population de la ville de Williston. Le chômage est à 1% (3 000 emplois sont encore ouverts) et le salaire moyen a explosé de 32 000 à 80 000 dollars. Tout cela à été rendu possible par une nouvelle technologie, le fracking (compression de hydraulic fracturing, fracturation hydraulique). Cette technique a soulevé des objections de la part des écologistes, mais elle fonctionne.

Ceci montre à quel point il est faux de juger des réserves de pétrole en devinant combien on en voit devant soi. Pour commencer, ça ne prend pas en compte le facteur le plus important : l’ingéniosité humaine (qui, contrairement aux ressources, n’est pas limitée). En 1989, quand Colin Campbell (fondateur de l’association pour l’étude du peak oil) affirmait que le pic avait déjà été atteint, il avait peut-être raison étant donné la technologie de l’époque. Ceci dit, plus d’un siècle auparavant, Henry Wrigley (directeur du Pennsylvania Geological Survey) avertissait aussi que la production de pétrole avait atteint son pic. Des avertissements dans ce genre, nous en avons depuis plusieurs décennies.

Pourtant, comme l’expliquait il y a quelques années Donald Boudreaux, professeur d’économie à l’université Georges Mason, arriver à court de pétrole « n’est pas tant une question de physique que d’économie. Et l’économie nous montre que nous n’arriverons jamais à court de pétrole. »

Jamais ?

Oui, jamais. « Mon collègue Russ Roberts l’a très bien expliqué dans son livre Le Cœur invisible. Imaginez, dit-il, une pièce remplie de pistaches. Vous aimez les pistaches et pouvez en manger autant que vous voulez tant que vous jetez chaque coquille vide dans la pièce. Vous pouvez penser qu’après un certain temps vous les aurez toutes mangées. Après tout, leur nombre est fini. Mais… plus vous en mangez, plus il devient difficile d’en trouver de nouvelles au milieu du nombre croissant de coquilles vides. à terme, cela ne vaudra plus la peine pour vous d’investir le temps et les efforts requis pour trouver les quelques pistaches restantes. Vous déciderez volontairement de les laisser dans la pièce sans les manger. »

Que ferez-vous alors ? Vous irez trouver une autre source d’énergie, bien sûr. Ce qui est exactement ce que nous finirons par faire avec le pétrole.

A. Barton Hinkle est un rédacteur au Richmond Times-Dispatch, où cet article est apparu pour la première fois.

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Bon, ça a l'air d'être la dèche en ce moment pour les traductions alors je veux bien dépanner un peu.

Aah. Copain. Je commençais à me sentir seul. Thank you.

Posté
Thank you.

C'était ça ou passer mon après-midi sur Dwarf Fortress. Du coup je me rends compte que google traduction s'est beaucoup amélioré récemment.

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http://eureferendum….px?blogno=82740

Union Européenne : La Grande Bretagne bientôt exclue ?

Richard North, 3 juin 2012

Les autres membres principaux semblent se préparer à chasser l’Angleterre de l’Union Européenne, ou plutôt de ce que l’UE est sur le point de devenir.

Cette information a été dévoilée par Welt online, qui rapporte que Merkel travaille à se libérer du cycle perpétuel de gestion de crise à court terme et « à penser la manière dont nous pourrons aller de l’avant durant les cinq à dix prochaines années ».

Officieusement, cette déclaration concernerait un « plan secret » pour le futur de l’UE impliquant Van Rompuy, Barroso, le président de l’Euro Groupe Jean-Claude Juncker et le directeur de la BCE Mario Draghi.

C’est durant un dîner le 23 mai à Bruxelles que ce quatuor a reçu ses instructions ; et le plan, dont on dit qu’il « pourrait être un document révolutionnaire », devrait être dévoilé au Conseil européen au cours du mois.

D’après nos informations, quatre domaines sont discrètement envisagés : des réformes structurelles, l’union bancaire, une union fiscale et une union politique. Quel que soit le contenu final des réformes, toutes les parties s’accordent à penser qu’elles nécessiteront un nouveau grand traité.

Un autre point crucial évoqué est le prix élevé d’un tel traité : la division entre les 17 pays de l’eurozone et les autres. La Grande Bretagne, qu’elle le veuille ou non, pourrait se faire éjecter.

Il s’agit d’un changement radical de stratégie pour l’intégration européenne mais, commente un agent anonyme de la banque centrale, « c’est un changement nécessaire » pour que l’union monétaire puisse exister.

Bien entendu, les implications de ce qui précède pour le Royaume Uni seraient colossales. Si les autres membres préparent réellement un nouveau traité (et il semble que ce soit pour très bientôt), le gouvernement de Cameron devra à court terme prendre des décisions qui formaliseront un rôle de « cercle extérieur » pour l’Angleterre.

En effet, étant donnée l’opinion publique actuelle, il n’y a pas la moindre chance pour que la Grande Bretagne accepte de rejoindre l’Union monétaire et le « cercle intérieur ».

Cela implique que les relations de l’Angleterre avec ce nouveau groupe s’établiront selon les termes du traité et sans marge de manœuvre pour les anglais, à moins qu’ils ne réagissent très rapidement en définissant leurs conditions et en décidant soit d’accepter ce qui pourrait être considéré comme un statut de seconde classe, soit d’aller voir ailleurs.

Si on considère le contexte, la possibilité d’en décider par référendum (qui est toujours au mieux ténue) est d’ores et déjà morte et enterrée. Les décisions se prendront vraisemblablement ailleurs et les anglais ne pourront que les subir.

En revanche, rien ne dit que ce nouveau « cercle intérieur » sera viable, ou même s’il sera accepté par les 17 membres de l’eurozone. Cette tentative pour franchir le dernier pas de l’intégration pourrait être celle de trop, entraînant la destruction de l’Union Européenne elle-même.

Quoi qu’il en soit, il s’agit d’une opportunité que le Royaume Uni ne peut ignorer pour renverser le courant de l’intégration et reprendre le contrôle pour la prochaine décennie, et au-delà.

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Le message de Ron Paul à ses électeurs

https://www.liberaux…post__p__823354

J’ai tenu à vous mettre au courant personnellement, car j’ai d’excellentes nouvelles !

Grâce à une stratégie de campagne ingénieuse et aux efforts permanents de militants comme vous, nous sommes en mesure d’envoyer presque 200 délégués à Tampa pour la Convention Nationale des Républicains. Ce nombre détruit les prédictions de toutes les têtes pensantes et montre le sérieux de notre mouvement.

De plus, nous aurons à Tampa plusieurs centaines d’autres sympathisants qui, bien que liés à Romney, croient en nos idées de liberté, de gouvernement constitutionnel et de politique étrangère raisonnable.

Au final, jusqu’à 500 délégués seront certainement de notre côté au moment de la Convention, ce qui représente un peu plus de 20% !

Bien que ce nombre ne soit pas suffisant pour emporter la nomination, il nous met en position de force pour développer notre mouvement et influencer le futur du GOP !

J’espère que chacun d’entre vous continuera le combat qui nous a déjà amené si loin cette année. J’espère que vous assisterez aux conventions locales et d’états, et que si vous êtes sélectionnés en tant que délégué, vous vous rendrez à Tampa en août pour forcer le parti républicain à entendre la voix de la liberté.

Une telle opportunité ne s’est jamais encore présentée. Des centaines de militants comme vous seront à Tampa, bien décidés à faire retrouver au parti républicain ses racines de liberté et de gouvernement limité.

Nous aurons beaucoup à faire à Tampa. En outre, des candidats tels que Jutin Amash, Kurt Bills et Thomas Massie auront besoin de vous en automne. Partout dans le pays, des défenseurs de la liberté ont gagné des postes de direction dans les bureaux locaux du GOP, et nous devons continuer ce travail.

La présence de nos délégués doit se faire sentir à Tampa et pour les années à venir.

Défendez ce en quoi nous croyons. Soyez respectueux. Faites comprendre à l’establishment que nous sommes le futur pour ce parti et pour ce pays.

Notre Révolution ne fait que commencer. Vous entendrez beaucoup parler de moi à l’approche de Tampa et des élections d’automne. Il y aura aussi d’importantes nouvelles au sujet d’Audit the Fed et de la Campaign for Liberty.

J’espère que vous resterez à mes côtés et que nous continuerons à avancer. Notre Révolution n’aurait pas pu aller si loin sans vous.

Pour la Liberté.

Ron Paul

Comme c'est un texte important, version paragraphe par paragraphe pour faciliter les éventuelles corrections :

J’ai tenu à vous mettre au courant personnellement, car j’ai d’excellentes nouvelles !

I wanted you to get an update from me personally, since we have some great news!

Grâce à une stratégie de campagne ingénieuse et aux efforts permanents de militants comme vous, nous sommes en mesure d’envoyer presque 200 délégués à Tampa pour la Convention Nationale des Républicains. Ce nombre détruit les prédictions de toutes les têtes pensantes et montre le sérieux de notre mouvement.

Due to the smart planning of our campaign and the hard work and diligence of supporters like you, we stand to send nearly 200 bound delegates to the Republican National Convention in Tampa. This number shatters the predictions of the pundits and talking heads and shows the seriousness of our movement.

De plus, nous aurons à Tampa plusieurs centaines d’autres sympathisants qui, bien que liés à Romney, croient en nos idées de liberté, de gouvernement constitutionnel et de politique étrangère raisonnable.

What's more, we will send several hundred additional supporters to Tampa who, while bound to Romney, believe in our ideas of liberty, constitutional government, and a common-sense foreign policy.

Au final, jusqu’à 500 délégués seront certainement de notre côté au moment de la Convention, ce qui représente un peu plus de 20% !

When it is all said and done, we will likely have as many as 500 supporters as delegates on the Convention floor. That is just over 20 percent!

Bien que ce nombre ne soit pas suffisant pour emporter la nomination, il nous met en position de force pour développer notre mouvement et influencer le futur du GOP !

And while this total is not enough to win the nomination, it puts us in a tremendous position to grow our movement and shape the future of the GOP!

J’espère que chacun d’entre vous continuera le combat qui nous a déjà amené si loin cette année. J’espère que vous assisterez aux conventions locales et d’états, et que si vous êtes sélectionnés en tant que délégué, vous vous rendrez à Tampa en août pour forcer le parti républicain à entendre la voix de la liberté.

I hope every one of you continues the fight we have advanced so well this year. I hope you will finish your local and state conventions, and, if you were selected as a national delegate, that you will head to Tampa in August to force the Republican Party to listen to the voice of liberty.

Une telle opportunité ne s’est jamais encore présentée. Des centaines de militants comme vous seront à Tampa, bien décidés à faire retrouver au parti républicain ses racines de liberté et de gouvernement limité.

We have never had this kind of opportunity. There will be hundreds of your fellow supporters in Tampa who will be ready and willing to push the Republican Party back to its limited government, liberty roots.

Nous aurons beaucoup à faire à Tampa. En outre, des candidats tels que Jutin Amash, Kurt Bills et Thomas Massie auront besoin de vous en automne. Partout dans le pays, des défenseurs de la liberté ont gagné des postes de direction dans les bureaux locaux du GOP, et nous devons continuer ce travail.

There are many issues to fight for in Tampa. Also, candidates like Justin Amash, Kurt Bills, and Thomas Massie need your support as we move into the fall. Across the country, supporters of liberty have won local office and leadership positions in the GOP, and we need to keep working.

La présence de nos délégués doit se faire sentir à Tampa et pour les années à venir.

Our delegates’ presence must be felt both in Tampa and in years to come.

Défendez ce en quoi nous croyons. Soyez respectueux. Faites comprendre à l’establishment que nous sommes le futur pour ce parti et pour ce pays.

Stand up for what we believe in. Be respectful. And let the establishment know that we are the future of the Party and of the country.

Notre Révolution ne fait que commencer. Vous entendrez beaucoup parler de moi à l’approche de Tampa et des élections d’automne. Il y aura aussi d’importantes nouvelles au sujet d’Audit the Fed et de la Campaign for Liberty.

Our Revolution is just getting started. You'll be hearing plenty from me as we approach Tampa and the fall elections. You'll also be hearing of important developments on Audit the Fed and Campaign for Liberty.

J’espère que vous resterez à mes côtés et que nous continuerons à avancer. Notre Révolution n’aurait pas pu aller si loin sans vous.

I hope you'll continue to stand with me as we go forward. Our Revolution could not have come this far without you.

Pour la Liberté.

For Liberty,

Ron Paul

Posté

On peut argumenter sans fin sur les finesses des tournures idiomatiques, pour moi, tu nous livres de la belle ouvrage.

"Likely" n'est pas certainement, mais probablement.

Après GOP, ajouter: (Grand Old Party, surnom du Parti républicain, NdT)

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Le Centre National de Données Climatiques (NCDC) de la NOAA refroidit le passé : les mesures publiées ne correspondent pas aux données officielles.

Posté le 6 juin 2012 par Anthony Watts.

Nous avons déjà mis en évidence de nombreuses occurrences de refroidissement du passé par homogénéisation de banques de données climatiques comme le GISS ou HadCRUT. Un tel refroidissement permet d’exagérer artificiellement la courbe d’augmentation de la température durant les 100 dernières années.

Cette fois-ci, la prise de conscience provient d’une source étonnante, le docteur Jeff Masters de Weathers Underground via son collaborateur Christopher C. Burt. Voici un extrait de l’histoire :

Inconsistances dans l’analyse historique des températures du NCDC

Jeff Masters et moi avons récemment reçu un mail intéressant de la part de Ken Towe, qui travaille sur la base de données historique des températures du NCDC. Il est tombé sur ce qu’il convient d’appeler de surprenantes inconsistances, à savoir que la température moyenne qui y est utilisée ne reflète pas le contenu réel des publications du Monthly Weater Reviews et du Climatological Data Summaries des années passées. Voici pourquoi.

Un exemple d’inconsistance.

Voilà un exemple typique des découvertes de Ken. Nous avons ici une copie des relevés météorologiques pour février 1934. Si on se penche sur, disons, l’Arizona, nous voyons que sa température moyenne pour ce mois était de 52.0°F (environ 11°C NDT).

Relevés climatiques par état aux Etats-Unis en février 1934. C’est difficilement lisible, mais la température moyenne indiquée pour l’Arizona est de 52°F. D’après Monthly Weather Review.

Si on regarde maintenant l’analyse actuelle du NCDC (qui commence à partir de 1895), on peut voir que pour l’Arizona en février 1934, ils ont une température moyenne de 48.9°F (environ 9.4°C) en contradiction avec les données initialement publiées.

Capture d’écran montrant l’analyse longitudinale du NCDC sur l’évolution des températures en Arizona en février. Notez la barre du bas qui indique 48.9°F pour l’année 1934.

Après avoir passé en revue des années entières de relevés de 1920 à 1940 pour de nombreux états, Ken est arrivé à la conclusion qu’un tel ‘refroidissement’ des données était assez constant. Il a même fait quelques graphiques pour le montrer. En voici un exemple pour l’ensemble de l’année 1934 en Arizona :

Est indiqué ici, pour chaque mois de l’année 1934 en Arizona, de combien de degrés la température moyenne est baissée dans la base de donnée actuelle du NCDC par rapport aux véritables relevés tels qu’ils ont été publiés dans Climatological Data Summaries en 1934 par le USWB (US Weather Bureau : office météorologique des Etats-Unis). On peut vérifier par exemple que février est refroidi de 3.1°F. Créé par Ken Towe.

Toute l’histoire ici : Inconsistances dans l’analyse historique des températures du NCDC

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L’explication officielle est qu’ils ont traduit la ‘base de donnée traditionnelle de division du climat’ (Traditional Climate Division Data Set : TCDD) en une nouvelle ‘base de donnée à division quadrillée’ (Gridded Divisional Dataset : GrDD) qui prendrait en compte les inconsistances de la TCDD.

Pourtant, c’est toujours la même histoire : à l’exception d’un refroidissement de -0.05°C appliqué à l’UHI (qui est d’ailleurs très peu pris en compte), les « ajustements, améliorations et autres bidouillages » qui sont appliqués par le NCDC et les autres semblent toujours avoir pour résultat d’accentuer la tendance au réchauffement.

Travail de faussaire ou illustration des effets du biais cognitif de confirmation ? Quoi qu’il en soit, je ne pense pas que les citoyens qui ont pris le temps chaque jour pendant des années de participer au Programme d’Observation Coopérative du NOAA apprécieraient que leur travail soit jeté dans une bouillie de données climatiques et assaisonné pour correspondre à une nouvelle réalité qui ne correspond plus à leurs relevés. Dans le cas de l’Arizona, la modification de la division du climat, c’est exactement équivalent à changer les frontières de cet état, puis à prendre en compte ces nouvelles frontières pour dire que moins de personnes vivaient en Arizona en 1934. ça ne passerait pas dans le second cas, alors pourquoi être plus tolérant dans le premier ?

Bien sûr, il y a toutes sortes de « justifications » pour ces choses, publiées par le NCDC et d’autres. Reste qu’elles ne sont pas représentatives de la réalité, mais uniquement de ce qu’ils veulent bien y voir.

Chapeau bas au docteur Ryan Maue.

Mise à jour : Voilà un graphique illustrant les ajustements cumulatifs pour le sous ensemble USHCN du programme US COOP par Zeke Hausfather et posté récemment sur Lucia’s Blackboard :

Le calcul consiste à prendre la température ajustée du USHCN et en y soustrayant les données brutes du USHCN année par année. La plus grosse part du décalage est due aux ajustements TOBS.

Des sigles dans tous les sens, et je n'y connais rien en climatologie donc dans le doute j'en ai laissé un maximum en l'état.

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