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Nick de Cusa

Par Nick de Cusa
dans Action !

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Nick de Cusa

Nick de Cusa

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Certes, en même temps le travail ici n'est pas littéraire. On colle le plus possible au texte tout en évitant le mauvais Français.

Rincevent

Rincevent

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Certes, en même temps le travail ici n'est pas littéraire. On colle le plus possible au texte tout en évitant le mauvais Français.

C'est vrai. Mais je préfère éviter le mauvais français, quitte à m'éloigner délibérément de la forme du texte (tant que chaque idée est là).
Barem

Barem

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C'est vrai. Mais je préfère éviter le mauvais français, quitte à m'éloigner délibérément de la forme du texte (tant que chaque idée est là).

 

Dans mon travail pour vous, c'est ce que je fais. Toutefois, il faut être très viligant pour conserver le fond, même si l'on change la forme.

Rincevent

Rincevent

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Dans mon travail pour vous, c'est ce que je fais. Toutefois, il faut être très viligant pour conserver le fond, même si l'on change la forme.

Et je trouve aussi que je vais un peu plus vite (ou alors c'est une impression) quand je décolle volontairement du texte pour reformuler.
YouplaBoum

YouplaBoum

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Faites entrer ... le parti allemand anti-Euro.

C'était probablement juste une histoire de temps : un parti allemand anti-Euro vient tout juste d'entrer en scène.

Le Deutsch Wirtschafts Nachrichten (DWN) rapporte ainsi que le nouveau parti se lancera en Avril sous le nom de "Alternative for Germany". Le parti semble être un rejeton du groupe "Wahlalternative 2013" (Alternative pour l'élection 2013) - groupe composé principalement d'universitaires mais qui inclut également Hans-Olaf Henkel, l'ancien patron de la fédération allemande des industries (BDI), connu pour sa franchise.

Malgré le large scepticisme de l'opinion allemande envers les renflouements au sein de l'Eurozone - 63% des allemands sont ainsi contre un renflouement de Chypre, et certains sondages montrent qu'environ deux tiers des allemands estiment qu'ils se porteraient mieux s'ils avaient encore le Deutschmark - il n'y a encore aucun parti politique en Allemagne ouvertement sceptique envers l'euro, contrairement à la plupart des pays eux aussi créditeurs, comme l'Autriche, les Pays-bas ou la Finlande. La nouvelle formation a comme objectif clair de remplir ce vide.

Mais quel est précisément leur credo? Selon leur site internet :

1 - En accord avec le traité de Maastricht, l'Allemagne ne doit plus garantir les dettes des autres Etats membres.

2 - La monnaie unique doit être abandonée. Chaque Etat doit pouvoir être libre de quitter l'Euro ou d'entrer dans une autre association monétaire selon ce qui l'arrange (comme un Euro du Sud ou un Euro du Nord) ou même introduire une monnaie propre en parallèle.

3 - Un référendum doit être organisé si la République Fédérale Allemande souhaite abandonner trop de souveraineté à l'Union Européenne.

Sur Facebook, le groupe précise qu'ils vont faire campagne pour un retour à "aux monnaies nationales, ou à des unions monétaires plus petites". Aussi, à strictement parler, ce ne sera pas un pur Deutschmark Party.

Va-t-il néanmoins avoir un impact immédiat - une sorte de Beppe Grillo allemand ? Cela semple peu probable. S'il veut entrer au parlement, ce parti doit réunir plus de 5% des votes - ce qui, en l'absence d'évènement majeur, n'arrivera pas (même 1% serait un résultat honnête). Peut-être l'élection européenne de 2014 - où il n'y a pas cette limite des 5% et où les votants sont en général moins contraints à taire leurs frustrations envers l'Europe - pourrait être la plate-forme du parti, mais même ça serait peu évident.

Il est dans ce cas assez éloquent qu'un email  rédigé par l'un des fondateurs, le professeur d'économie de Hambourg Bernd Lucke, et rendu public, révélait que la direction des Free Voter - un mouvement politique basé principalement en Bavière, apparemment acquis aux idées anti-euros et qui parvint à collecter 10% des suffrages lors des dernières élections locales - refusa d'unir ses forces à Alternative for Germany. Le DWN note qu'il semble que les forces politiques anti-euro allemandes soient divisées avant même qu'elles n'existent vraiment.

 

Dardanus

Dardanus

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Le parti porte un nom anglais ? Il ne faut pas traduire par Alternative pour l'Allemagne ?

Barem

Barem

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Voici :

 

 

Les chiffres du chômage pulvérisent n'importe quel argument restant en faveur de dépenses de relance.

 

Il y a plus de 580.000 personnes supplémentaires au travail qu'il y a douze mois. Le nombre de chômeurs a diminué de 14.000 au cours des trois derniers mois pour lesquels nous avons des données, et le nombre total de personnes qui ne sont pas disponibles pour le travail est maintenant plus inférieur que jamais que depuis ... eh bien, depuis le gouvernement conservateur précédent.

 

Ces chiffres sont un coup dur pour tous ces keynésiens qui ont insisté sur l'idée que le chômage atteindra des niveaux sans précédent en raison du refus du gouvernement d’investir. En 2009, l'économiste David Blanchflower prévoyait que, si David Cameron était au pouvoir, le chômage serait la situation vécue par cinq millions d'individus. A intervalles réguliers depuis, il se manifestait pour prédire une hausse massive du chômage. M. Blanchflower siégeait et s’exprimait au Comité de politique monétaire de la Banque d'Angleterre, ce qui apporte une certaine aide en termes de communicabilité.

 

Ce que les chiffres suggèrent en réalité, c'est que le secteur privé a été très bon pour créer de nouveaux emplois. Le «rééquilibrage» loin d'une dépendance étatique excessive indique que les vœux du premier ministre commencent tranquillement. Tout argument qui défendait les dépenses de stimulation se sont évaporées.

 

Grâce au ciel, nous avons gardé la livre. Le taux de chômage en Grande-Bretagne est de 7,8 %. Dans la zone euro dans son ensemble, il est de 12,4 %, alors qu'en Espagne et en Grèce, il est passé à 25 %. Rappelez-vous ces chiffres quand précisément les mêmes personnes qui nous ont dit que nous devions rejoindre la zone euro affirment maintenant que nous devons rester dans l'UE.

 

Source : http://blogs.telegraph.co.uk/news/danielhannan/100203646/these-latest-unemployment-figures-destroy-any-remaining-case-for-stimulus-spending/

 

Barem

Barem

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J'ai réussi à obtenir l'autorisation de l'auteur de cet article pour traduire et publier son texte. Je vais commencer (voir peut être finir) cela aujourd'hui. Je pense que l'article pourra figurer dans l'onglet "opinions" ou "société" sur CP.

Sur contrepoints, au lieu de passer par le site "alternet", vous pourrez faire directement le lien vers son site internet. Voir la page : http://brucelevine.net/category/bruce-levine-articles/page/6/

YouplaBoum

YouplaBoum

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Le parti porte un nom anglais ? Il ne faut pas traduire par Alternative pour l'Allemagne ?

 

Oups, j'ai en effet été trop vite. Il vaudrait mieux traduire en français si le nom est allemand à l'origine.

Barem

Barem

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Voici :

 

 

Comment l’esprit contestataire des adolescents est devenu une maladie mentale.

L’industrie pharmaceutique a de nouveaux consommateurs. Ne pas se soumettre à l’autorité dorénavant est, dans bon nombre de cas, catégorisé comme étant un mal.

27 Janvier 2008.

 

Depuis maintenant une génération, les jeunes américains perturbateurs qui se rebellent contre les symboles de l’autorité ont été de plus en plus reconnu comme étant malade mental et ‘soigné’ à l’aide de psychotropes.

 

De jeunes gens agitateurs qui furent traité avec du Ritalin, de l’Adderall et d’autres amphétamines de façon routinière rapportent que ces médicaments les rendaient indifférent de l’ennui, du ressentiment et d'autres émotions négatives, et les rendaient plus conciliants et dociles. Et ce qu'on appelle les antipsychotiques atypiques comme le Risperdal et le Zyprexa – de puissants tranquillisants – sont prescrits de façon progressive aux jeunes désobéissants, même dans les cas où ces personnes ne présentent aucuns symptômes psychotiques.

 

De nombreux présentateurs d’émissions télévisées pensent que je plaisante quand je mentionne les troubles oppositionnels avec provocations (TOP ou ODD en anglais pour ‘oppositional defiant disorder’) Après leur avoir assuré que les TOP sont en fait des troubles mentaux reconnus officiellement --  avec des diagnostics de plus en plus fréquent chez les enfants et les adolescents – ils estiment souvent que les TOP sont simplement un terme original pour évoquer la délinquance juvénile. Mais ce n’est pas le cas.

 

Les jeunes gens auxquels ont attributs ces troubles, par définition, ne font rien d’illégal (les comportements illégaux sont les symptômes d’une autre atteinte mentale nommée troubles de comportement). En 1980, l’Association de Psychiatrie Américaine (APA) créait les TOP, définis par des signes de « négativisme, d’hostilité et  de défiance ». Les stigmates authentifiés des TOP inclus « la défiance régulière ou le refus de se conformer aux requêtes et règles imposées » et « la dispute verbale ou la controverse épisodique avec des adultes ».  Bien que les jeunes considérés comme porteurs de ces troubles soient odieux avec les adultes qu'ils ne respectent pas, ces enfants peuvent être joyeux avec des adultes qu’ils estiment ; et pourtant beaucoup d'entre eux sont ‘drogués’ avec des psychotropes.

 

La réaction la plus fréquente des autorités oppressives n’est pas tant la résistance manifeste qu’un certain type de défiance passive.

 

John Holt, ancien critique scolaire, en décrivant les stratégies passive-agressive employées par les prisonniers de camps de concentration et les esclaves de plantations autant que celles d’enfants en classe, pointait le fait que les sujets pouvaient tenter d’apaiser les règles tout en satisfaisant leur désir de dignité « en portant une sorte de masque, en agissant plus stupidement et impuissamment qu’il ne le ferait habituellement, en déniant à leurs supérieurs l’usage de leur intelligence et de leur habilité, et en déclarant leurs consciences et leurs âmes libres de leurs corps emprisonnés. »

 

Holt observait qu’en se forçant de paraitre idiot en cour, les enfants frustraient l’autorité en rétractant la partie la plus créative et intelligente de leurs esprits dans la situation, ce qui à l’inverse leur inspiraient un sentiment d’affranchissement.

Jouer la carte de la bêtise – ou l’agression passive – font partie des divers facteurs non symptomatiques expliquant le trouble de déficit de l’attention / hyperactivité. (TDAH) Des études montrent que pratiquement tous les individus considérés hyperactifs prêtent attention aux activités qu’ils apprécient ou qu’ils ont choisit. En d’autres termes, quand les enfants catalogués hyperactifs passent du bon temps, leur ‘maladie’ disparait.

 

Il y a d’autres genres de résistance passive à l’autorité qui furent l’objet de traitement par les instances de santé mentale. J’ai eu l’occasion de parler à de nombreuses personnes qui furent tôt dans leur vie reconnues intoxiquées, dépressives et même schizophrènes mais qui croyaient que leurs ‘affections’ n’étaient, en définitif, qu’une sorte d’entêtement contre un environnement oppressif. Certaines d’entre eux s’appréhendent comme étant des survivants de la psychiatrie dorénavant.

 

Bien qu'il existe de multiples causes expliquant des comportements perturbateurs et des troubles émotionnels, la résistivité de l’individu à l’égard de son environnement contraignant est une raison courante qui n’est fréquemment pas relevée par les professionnels de la santé mentale. Pourquoi ? Selon ma propre expérience, la raison de ce phénomène est que ces spécialistes sont excessivement ignorants de leur propre servilité vis-à-vis de l’autorité. L’approbation au sein d’une école de médecine et l’acquisition d’un diplôme (master ou doctorat) signifie que l’on s’est pliée, au cour de sa formation, à plusieurs manœuvres vides de sens, chacune d’elle nécessitant une conformité comportementale, émotionnelle et attentionnelle aux diverses instances supérieures – même celles qui se sont montrées irrespectueuses. Lorsque les maîtres et docteurs disciplinés commencent à prendre en charge des patients récalcitrants, beaucoup de ces jeunes professionnels deviennent anxieux, parfois même honteux devant leur propre obséquiosité, et ces sentiments peuvent se répercuter négativement sur des sujets ‘expertisés’ comme étant souffrants.

 

Les deux façons de mater toute révolte sont la criminalisation et la ‘pathologisation’, et l’histoire des EU contient une myriade d’exemple allant dans l’un ou l’autre sens. A la même époque où la loi sur la sédition de John Adams criminalisait la critique de la politique gouvernementale américaine, le Dr. Benjamin Rush, le père de la psychiatrie américaine, (son image orne le seau de l’American Psychological Association) ‘pathologisait’ l’anti-autoritarisme. Rush déterminait ceux qui se rebiffaient contre une autorité fédérale centralisée comme étant atteint d’une « outrancière passion pour la liberté » qui « constituait une forme d’insanité ». Il labellisa ce trouble « anarchia ».

 

A travers l’histoire américaine, les protestations directes ou indirectes envers l’autorité étaient des signes de maladies. Dans un article de 1851 du Journal de médecine et de chirurgie de la Nouvelle Orléans, le médecin originaire de Louisiane Samuel Cartwright rapportait la découverte de la ‘drapetomania’, le mal qui incitait les esclaves fuir leur captivité. Cartwright alléguait également avoir révélé ‘dysaesthesia aethiopis’, autre infirmité qui causait le désintéressement des esclaves envers leurs maîtres. Les premières versions de nos contemporains TOP et TDAH ?

 

Durant la vie de Rush, peu d’américains prirent au sérieux la révélation de l’anarchia, ainsi que la drapetomania et la dysaesthesia aethiopis durant celle de Cartwright. Toutefois, ces événements se déroulèrent avant que l’industrie pharmaceutique ne dévoile sa puissance.

 

En chaque génération il y aura des despotes. Il y aura aussi les « bobos » qui aimeront toujours les œuvres anti-autoritaires sans agir contre les tyrans. Et il y aura d’authentiques dissidents qui auront été tant blessé par le groupe des spoliateurs qu’ils se défendront. Ce n’est qu’occasionnellement dans l’Histoire que les premiers prennent des mesures directes et efficaces qui inspireront d’autres opprimés vers une brillante révolution, mais il arrive de temps à autre que survienne un Thomas Paine. Du coup, les tortionnaires ne prennent aucun risque, et les partenariats Etat-Business assurent la criminalisation, la ‘pathologisation’, la commercialisation de ‘médicaments’ et l’intimidation financière de ceux qui risquent de condamner le système.

 

Ce serait certainement un rêve pour les vampires de l’industrie pharmaceutique et ceux qui favorisent l’émergence d’une société autoritaire si chaque Thomas Paine en puissance – ou Crazy Horse, Tecumseh, Emma Goldman, Malcolm X – étaient diagnostiqué au plus jeune âge déficient mental et assagit au moyen d’un long traitement. La question est : cette espérance est elle devenue réalité ?

 

Source : http://brucelevine.net/category/bruce-levine-articles/page/6/

 

Lexington

Lexington

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Oups, j'ai en effet été trop vite. Il vaudrait mieux traduire en français si le nom est allemand à l'origine.

 

Sans lien ou nom d'auteur, je ne peux pas identifier l'article facilement... Y penser pour les prochains svp

 

Tout est publié sauf le dernier texte de Barem.

Nick de Cusa

Nick de Cusa

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Nick, aurais tu de travail pour moi ?

 

As-tu écumé EU Referendum, Openeuropeblog.blogspot.com, Hannan, Watts Up With That et autres sources libertariennes ?

Barem

Barem

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Ne sachant pas si vous prendrez en compte des articles que j'aurais traduit de ma propre initiative, je préfèrais attendre que tu nous délègues le boulot.

Toutefois, si tu préfères fonctionner ainsi dorénavant, je n'y vois pas d'inconvénient. (s'agissant de plus de sources dont je suis accoutumé)

Largo Winch

Largo Winch

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Sur nos blogs et sites partenaires habituels, tu peux traduire les billets qui te chante, a priori il n'y aura jamais de mauvaise surprise, ça conviendra à la ligne éditoriale de CP :

- EU Referendum,

- Openeuropeblog

- Watts Up With That

- Hannan

- reason

- cato@liberty

- Dan Mitchell

- FEE.org

 

En dehors de ceux-ci, je préfère que tu nous demandes ce qu'on en pense avant de te lancer dans la traduction.

 

En tout cas, grand merci pour le coup de main.

Barem

Barem

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Sur nos blogs et sites partenaires habituels, tu peux traduire les billets qui te chante, a priori il n'y aura jamais de mauvaise surprise, ça conviendra à la ligne éditoriale de CP :

- EU Referendum,

- Openeuropeblog

- Watts Up With That

- Hannan

- reason

- cato@liberty

- Dan Mitchell

- FEE.org

 

Voila le genre d'info qu'il me fallait.

 

 

En tout cas, grand merci pour le coup de main.

 

Comme je l'ai souvent dit, pour moi c'est un plaisir à la fois de pratiquer une langue étrangère et de permettre la diffusion de notre sensibilité.

 

 

En dehors de ceux-ci, je préfère que tu nous demandes ce qu'on en pense avant de te lancer dans la traduction.

 

Sous entends tu par là que vous ne publierez pas l'article que j'ai traduit sur le lien entre pouvoir et psychiatrie ?

Arturus

Arturus

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J'avais proposé cet article :

When they came for the Raw Milk drinkers…
par Ron Paul
http://www.the-free-foundation.org/tst2-24-2013.html

Je vois qu'il n'est pas dans la liste de traductions. Quel est son statut? Non étudié / refusé / autre ?

Sachant qu'a priori il n'existe pas encore d'accord de reprise avec le site (et je ne vois pas de contact).

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