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Qu'en sais-tu qu'il le savait? Ca te parait évident à toi mais pas à un étranger surtout un qatari.

Quand bien même, est-ce bien légitime de l'emmerder pour ça?

Je n'en sais rien, j'ignorais l'existence de cet hotel particulier avant d'avoir lu l'article, et au fond, cela ne m'importe pas, je contestais simplement ton interprétation de l'action des "monuments historiques", il ne s'agit pas spécifiquement d'emmerder les riches et les possédants, mais d'emmerder tout le monde sans discrimination au nom de la preservation de ces monuments !

Sinon, je veux bien que les propriétaires se plaignent d'être emmerdés par l'Etat, mais si ce sont les mêmes qui encaissent les subventions, et les déductions fiscales, je ne suis pas d'accord.

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Je n'en sais rien, j'ignorais l'existence de cet hotel particulier avant d'avoir lu l'article, et au fond, cela ne m'importe pas, je contestais simplement ton interprétation de l'action des "monuments historiques", il ne s'agit pas spécifiquement d'emmerder les riches et les possédants, mais d'emmerder tout le monde sans discrimination au nom de la preservation de ces monuments !

Sinon, je veux bien que les propriétaires se plaignent d'être emmerdés par l'Etat, mais si ce sont les mêmes qui encaissent les subventions, et les déductions fiscales, je ne suis pas d'accord.

Dans ce cas supprimons les subventions et les déductions fiscales.

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On m'a tweeté cette vidéo très naïve, très séduisante pour les gens qui n'ont pas de culture économique de base, c'est le genre de truc qui peut tourner facilement sur le web durant la campagne (si ce n'est déjà le cas) et qui mériterait une "déconstruction" en règle sur Contrepoints je pense.

http://www.lemonde.f…55765_3246.html

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L'Etat, sans qui on ne découvrirait pas Schubert… Je peux dire lol ? Dans mon collège public, en classe de musique, tout ce que j'ai "découvert", c'est ça :

Et je déconne pas.

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Eh bin c'est pas mal ! De quoi tu te plains ? Tu as de la chance.

  • 4 months later...
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Je ne sais pas si vous avez vu cette info mais voici une pitite polémique à Montpellier. La raison : le projet d'ériger une statue de Mao sur la place des Grands Hommes. Celle-ci s'ajouterait aux statues déjà présentes depuis août 2010 de De Gaulle, Churchill, Lénine, Roosevelt et Jaurès.

Réaction de Arnaud Julien, conseiller municipal UMP :

Mao est un dictateur et un criminel, responsable de millions de morts. Lui ériger une statue revient à l'honorer. C'est une provocation ! Si on suit cette logique politique, le fascisme a aussi été une idéologie majeure du siècle précédent. Mussolini et Hitler devraient-ils aussi avoir leurs statues?

Réponse de Jean-Pierre Moure, président socialiste de la communauté d'agglomération :

Les idéologies représentées sur la place sont toutes des idéologies de libération, de conquête des droits, malgré leur part d'ombre. Le fascisme et le nazisme sont la négation même de l'idée de liberté. Mao a effectivement causé des millions de morts, ajoute-t-il, mais il a aussi joué un grand rôle dans la montée en puissance de la Chine au XXe siècle.

http://www.lefigaro….montpellier.php

http://www.lefigaro….t-polemique.php

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Je ne sais pas si vous avez vu cette info mais voici une pitite polémique à Montpellier. La raison : le projet d'ériger une statue de Mao sur la place des Grands Hommes. Celle-ci s'ajouterait aux statues déjà présentes depuis août 2010 de De Gaulle, Churchill, Lénine, Roosevelt et Jaurès.

La statue vient d'être installé sous "les applaudissements et la surprise du public". Une petite troupe de dangereux extrêmiste est même venu troubler cette petite cérémonie, nous explique France 3. On croit rêver.

http://languedoc-roussillon.france3.fr/info/montpellier--5-nouvelles-statues-du-xxe-siecle-74976562.html?onglet=videos&id-video=000441928_CAPP_MontpellierpolmiqueautourdelastatuedeMao_240720121726_Au

image_74981385.jpg

Montpellier - statue de Mao Zedong, place du XXe siècle - 24 juillet 2012

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La statue vient d'être installé sous "les applaudissements et la surprise du public". Une petite troupe de dangereux extrêmiste est même venu troubler cette petite cérémonie, nous explique France 3. On croit rêver.

http://languedoc-rou…240720121726_Au

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Montpellier - statue de Mao Zedong, place du XXe siècle - 24 juillet 2012

Quel bande d'enfoirés quand même ! Excusez moi de cette grossiereté mais là c'en est trop. Honorer un assassin de masse. Pourquoi hitler tant qu'on y est !

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Et le gars qui proteste sur la vidéo est considéré comme un illuminé et soigneusement repoussé. Y'a bien un mec avec un tracteur qui va vouloir la déboulonner un de ces jours. Je donne pas 1 ans à cette statue.

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Il serait utile que des gangs libéraux fassent des démonstrations, au pied de cette statute : stand pour vendre ou distribuer des livres "Livre noir du communisme" etc…

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On notera que cette petite bagatelle est chiffrée à 3,5M€, en période de crise ça paraissait indispensable de subventionner un artiste d’état sans aucun doute. Pour l'anecdote, il est mort en 2011 apparemment, l’état va récupérer une partie par l'impôt, c'est-il pas beau la vie ? Comme disait Coluche, rigolez pas, c'est avec votre pognon…

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Mélanchon doit bouillir de ne pas voir de statue de Castro à l'horizon !

Mélenchon.

On notera que cette petite bagatelle est chiffrée à 3,5M€, en période de crise ça paraissait indispensable de subventionner un artiste d’état sans aucun doute. Pour l'anecdote, il est mort en 2011 apparemment, l’état va récupérer une partie par l'impôt, c'est-il pas beau la vie ? Comme disait Coluche, rigolez pas, c'est avec votre pognon…

QLB

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Pour info, l'inauguration de cette statue de Mao a des répercussions jusqu'en Chine où 2 camps, les pro et les anti-Mao s'affrontent par réseaux sociaux et blogs interposés.

Les contre

Un photographe du Quotidien de la jeunesse de Chine, He Yanguang, s'est demandé pourquoi la ville de Montpellier n'avait pas ajouté, aux côtés de Mao, "Hitler, Mussolini, Tojo Hideki (premier ministre japonais durant la seconde guerre mondiale), Staline, Pol Pot, Nicolas Ceaucescu et Kim Il-sung". Son texte a été supprimé par les administrateurs du site de microblogs.

Certains commentaires sont allés dans le même sens :

"Le gros Mao n'a apporté que des catastrophes à notre peuple"

"La Chine doit se lever, comme ça on impressionnera les cadres corrompus"

"Je demande fermement qu'on mette des statues de l'Allemand Hitler et de l'Italien Mussolini à Montpellier"

Les pour

Des usagers de Sina Weibo ont réclamé le licenciement du journaliste du Quotidien de la Jeunesse de Chine, fondé par Mao Zedong et Zhou Enlai. D'autres ont en profité pour prendre la défense de Mao.

"Une dictature sous Mao ? A l'époque de Mao, le peuple pouvait adresser directement ses opinions aux dirigeants, ou leur envoyer des affiches à grands caractères (dazibao) (…) Maintenant on peut insulter le parti (communiste chinois) de loin et anonymement, est-ce une manière de contacter directement les dirigeants?"

"Mao n'a jamais considéré Staline comme un parrain, mais comme un camarade. Bande de propagateurs de rumeurs éhontés !"

"Il n'y a pas d'opposition par rapport à Gandhi et Mandela, mais les oppositions sont fortes face à Washington et Lincoln, car tous deux sont les principaux assassins des Indiens, tu ne vas pas soutenir un génocide ?"

http://weibo.blog.le…sions-en-chine/

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A l'époque de Mao, le peuple pouvait adresser directement ses opinions aux dirigeants

C'est pas faux. Et une fois que les chinois ont adressé leur plainte aux représentants du régime et dit ce qu'ils avaient sur le coeur, il n'y avait plus qu'à les cueillir, eux et leur famille…

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«Ni Kafka, ni Joyce, ni Proust n'ont eu besoin de l'appui de l’État pour Écrire ce qu'ils ont Écrit, ni l'oeuvre d'un Wajda, d'un Tadeusz Kantor ou d'un Grotowski n'a rÉsultÉ des subventions culturelles du socialisme. Et ces six crÉateurs, bien qu'ils ne soient pas faciles et qu'ils exigent de leurs lecteurs ou spectateurs un effort intellectuel, ont trouvÉ un public qui pour les six est allÉ en s'Élargissant, comme les cercles concentriques. Une sociÉtÉ doit avoir l'art et la littÉrature qu'elle mÉrite : ceux qu'elle est capable de produire et ceux qu'elle est prête à payer.»

-Mario Vargas Llosa. Like a bawss.

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J'ai lu deux excellents articles dans Contrepoints en moins d'une semaine. Il va falloir se calmer.

En particulier le premier entretien à propos du hold-up étatique sur la culture, qui m'a donné envie de lire le bouquin d'Aude de Kerros.

http://www.contrepoi…rt-contemporain

Contrepoints - Pouvez-vous nous expliquer comment est née cette guerre culturelle silencieuse ?

Aude de Kerros - C’est une histoire longue et complexe, une toile de fond que je décris dans « L’Art Caché ». Ce qui a changé profondément le paysage de la création artistique en France c’est la transformation, en l’espace de trois mois en 1982, d’un Ministère ayant pour finalité de mettre la culture à la disposition de tous à un Ministère prétendant diriger administrativement la création, comme cela existait dans d’anciens régimes totalitaires aujourd’hui disparus. Des nouvelles Institutions furent créées pour encadrer tous les aspects de la création (DRAC, FRAC, FNAC, CNAC, etc.). Un corps « d’inspecteurs de la création » et un budget conséquent ont donné une grande efficacité à ces réformes.

http://www.contrepoi…pierre-bourdieu

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J'ai lu deux excellents articles dans Contrepoints en moins d'une semaine. Il va falloir se calmer.

En particulier le premier entretien à propos du hold-up étatique sur la culture, qui m'a donné envie de lire le bouquin d'Aude de Kerros.

http://www.contrepoi…rt-contemporain

Contrepoints - Pouvez-vous nous expliquer comment est née cette guerre culturelle silencieuse ?

Aude de Kerros - C’est une histoire longue et complexe, une toile de fond que je décris dans « L’Art Caché ». Ce qui a changé profondément le paysage de la création artistique en France c’est la transformation, en l’espace de trois mois en 1982, d’un Ministère ayant pour finalité de mettre la culture à la disposition de tous à un Ministère prétendant diriger administrativement la création, comme cela existait dans d’anciens régimes totalitaires aujourd’hui disparus. Des nouvelles Institutions furent créées pour encadrer tous les aspects de la création (DRAC, FRAC, FNAC, CNAC, etc.). Un corps « d’inspecteurs de la création » et un budget conséquent ont donné une grande efficacité à ces réformes.

+1, une bonne réponse argumentée et construite à la question instinctive qui nous vient parfois lorsqu'on peut être confronté à l'AC : "Mais qu'est-ce que c'est que cette merde ?"

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Tiens je viens de voir que la restauration du Colisée sera financée par un privé, le propriétaire de Tod's. Cela pourrait être une bonne occasion de faire un article pour Contrepoints, non? Surtout avec les dernières déclarations sur le côté régalien de la culture de la part de la nouvelle ministre.

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C'est vrai qu'après 30 ans d'exception culturelle et d'un Niagara d'argent public déversé sur la "création", on peut commencer à faire le bilan de cette politique.

A l'évidence le cinéma rayonne plus que jamais, et une nouvelle pépinière d'acteurs talentueux est venue remplacer les Ventura, Marielle, Piccoli, Galabru, etc.

les-kaira-silamoda.jpg

http://www.cinema-fr…k/les_kaira.htm

http://www.cinema-fr…er_penelope.htm

http://www.cinema-fr…ains_armees.htm

L'horizon de la production de bouses fumantes estampillées made in France semble sans limite. Mais autre élément intéressant, le robinet d'argent public tend aussi à augmenter les délocalisations et profite à nos concurrents à cause de la règlementation tatillonne qui sévit par ailleurs dans le milieu des fonctionnaires du spectacle.

L'Observatoire « Métiers et Marchés » de la Ficam, la fédération des industries techniques du cinéma, a publié ce jeudi 19 juillet, un rapport montrant qu’au premier semestre 2012, plus des deux-tiers des gros tournages de films français ont été délocalisés principalement en Europe.

Nous nous sommes entretenus ce lundi 23 juillet avec Thierry de Segonzac, le président de la Ficam.

Allociné : Dans son rapport la Ficam fait part d’une importante délocalisation des tournages de films français à l’étranger. Quelles conséquences cette délocalisation a-t-elle sur les professionnels du cinéma et pour l’avenir du Cinéma français ?

Thierry de Segonzac : Les conséquences sont bien évidemment économiques et sociales puisque les délocalisations de presque 70 % des films de plus de 10 millions entraînent une perte d’emploi et un manque à gagner pour toute la filière technique.

Ce n’est malheureusement pas un phénomène nouveau puisque nous l’avions déjà connu entre 2000 et 2004, mais nous avions réussi à inverser la tendance en 2004 quand les crédits d’impôt pour le cinéma et la production audiovisuelle ont été mis en place. Et véritablement la tendance avait été totalement inversée.

Malheureusement les autres pays européens ont continué de développer des systèmes d’incitation, comme le tax shelter belge ou autre. (ndlr : le tax shelter a été créé en 2004, il s’agit d’un incitant fiscal permettant aux entreprises de bénéficier d’une exonération fiscale de 150% du montant investi dans une production audiovisuelle.) Evidemment aujourd’hui ces incitants sont beaucoup plus attractifs que le système français.

Allociné: Selon vous, que peut faire la France pour tenter d'endiguer ces tournages à l'étranger ? Quelles seraient les solutions ?

Thierry de Segonzac: Nous savons exactement ce qu’il faut faire pour, à nouveau, inverser cette tendance.

Nous avons proposé un amendement au crédit d’impôt en fin d’année dernière, mais la difficulté - est évidemment la situation économique en général - mais surtout, tient à un phénomène qui est que le précédent gouvernement - étant donné que nous attendons de connaître la position de l’actuel gouvernement - le Parlement et la commission des finances à l’Assemblée et au Sénat nous ont dit, qu’ à une époque où l’on essaie d’éliminer les niches fiscales, ce n’est pas du tout souhaitable d’améliorer les crédits d’impôt cinéma.

C’est dramatique, parce que ça signifie que les crédits d’impôt pour le cinéma et pour l’audiovisuel - qui sont des mesures d’attractivité du territoire - sont considérés comme des niches fiscales. Ce qui est une erreur majeure puisque ce sont des mesures qui rapportent à l’économie française beaucoup plus qu’elles ne coûtent finalement. Et le fond du problème est là aujourd’hui.

Nous avons en France un certain nombre d’atouts en faveur du cinéma. La France est le premier pays européen producteur de films. Nous avons un savoir-faire technique qui est reconnu dans le monde entier, autant pour le tournage que pour les films d’animation et pour les effets spéciaux.

Nous avons un territoire qui est totalement mobilisé avec toutes les commissions des films régionales pour accueillir, dans les meilleures conditions, les tournages dans les régions et avec des systèmes de soutient régionaux,…

Et nous avons également des studios et des outils techniques réputés et un patrimoine remarquable sur l’ensemble du territoire.

Mais nous avons aussi des handicaps. Le handicap majeur étant le Droit du travail, avec les obligations qui nous sont données, notamment en temps de travail, puisque la réduction du temps de travail nous mets dans une situation très défavorable par rapport à tous les autres pays européens. Par exemple, en Belgique on peut tourner 10h par jours et 12 heures par jour aux Etats-Unis. Tout cela n’est pas possible en France, et évidemment le fait de ne pas pouvoir travailler plus de 8 heures par jour pose un problème majeur qui est que vous rallongez la durée du tournage.

Et aujourd’hui vu la lourdeur de tout amendement, s’attaquer à cette question de la durée du travail est totalement inespéré. La seule chose que l’on peut essayer de faire par rapport au second handicap majeur, qui est le poids des charges sociales, est d’apporter au producteur des contreparties dès l’instant où il développe l’emploi en France et où il développe la présence des tournages en France.

Et quelles pourraient être ces contreparties ?

Thierry de Segonzac : Alors la contrepartie c’est le projet d’amendement du crédit d’impôt cinéma que nous avons proposé à la fin de l’année 2011 à l’Assemblée Nationale et au Gouvernement français. Malheureusement la réponse qui nous a été faites est celle que j’évoquais plus haut, disant « au moment même où l’Etat français essaie d’éliminer beaucoup de niches fiscales, vous comprenez bien qu’il n’est pas possible d’améliorer d’autres mesures fiscales. »

Ce qui est dramatique c’est que le fait de dire cela signifie que le crédit d’impôts cinéma, qui est une mesure d’attractivité, est aux yeux du Parlement et du Gouvernement, une niche fiscale et une mesure de défiscalisation, ce qui n’a absolument rien à voir.

Nous le savons aujourd’hui, lorsque l’Etat français apporte 1 million d’euros de crédit d’impôt et bien il y a jusqu’à 3 ou 4 millions d’euros de dépenses générées grâce à cela. Et ces dépenses, qui sont générées sur le territoire français, engendrent de la fiscalité, de la TVA, de l’impôt, des charges sociales, et économisent des indemnités chômages. Autrement dit, elles apportent de nombreux avantages qui compensent largement l’effort qui est fait au départ. Et c’est la seule chose qu’il faut faire.

L’avantage c’est que lorsque vous n’avez qu’une seule mesure, vous n’avez pas besoin de vous battre sur tous les fronts puisqu’on sait exactement ce qu’il faut faire. On attend impatiemment ce que le gouvernement décidera de faire par rapport à ça.

Si le gouvernement refuse cet amendement, le cinéma français et sa fameuse exception culturelle ne risquent-t-ils pas d’en subir les conséquences ?

Thierry de Segonzac : L’exception culturelle tient aujourd’hui à la dilemmique de la production française et à l’ensemble du système de soutien français. Donc la production française peut continuer d’avoir lieu et de se développer, y compris en faisant la moitié de la prestation en Belgique, au Luxembourg, en Allemagne, en Irlande, au Canada ou ailleurs.

Mais pour autant, petit à petit, nous allons assister à une cautérisation extrêmement dangereuse de l’ensemble du tissu technique français et du savoir-faire français. On va avoir une perte de notre savoir-faire qui sera extrêmement dangereuse, je prends l’exemple de pas mal d’entreprises françaises des industries techniques, qui elles-mêmes, pour ne pas perdre trop de part de marché, vont créer des filiales en Belgique, au Luxembourg ou ailleurs.

Parce que le rapport met bien en lumière une hausse du nombre de tournages de films de fiction et du nombre de semaines de tournage ; mais en effet, si ces films sont tournés en dehors de France c’est un véritable manque à gagner…

Nous sommes bien d’accords ! Et nous attendons avec beaucoup d’impatience que la Ministre de la Culture puisse exprimer une position par rapport à ça.

http://www.allocine….e=18615450.html

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