Noob Posté 19 octobre 2012 Signaler Posté 19 octobre 2012 Voilà c'est ce que les français dervaient faire au lieu de gindre.
Chitah Posté 19 octobre 2012 Signaler Posté 19 octobre 2012 http://www.lepoint.fr/robots.txt Certains articles sont interdits, dont un « droit de réponse ». Ha ha ha. Ainsi que la publication judiciaire correspondante d'ailleurs.
Brock Posté 20 octobre 2012 Signaler Posté 20 octobre 2012 Il va m'être difficile de trouver les mots justes pour cet abruti de Joffrin. la presse française subventionnée mérite de crever la bouche ouverte, qu'on en finisse avec ce repaire de trous du cul fumants. ben voila tu n'as qu'a ecrire ca. il n'y a pas de mots pour Jojo.Seule une batte de baseball en alu pourrait faire le job. au lieu de gindre. geindre.
Tremendo Posté 20 octobre 2012 Signaler Posté 20 octobre 2012 Il va m'être difficile de trouver les mots justes pour cet abruti de Joffrin. la presse française subventionnée mérite de crever la bouche ouverte, qu'on en finisse avec ce repaire de trous du cul fumants. Mais justement, si Google supprime le référencement des journaux français, c'est ce qu'il va se passer. Moins d'indexation (donc moins de lien direct vers les journaux français), donc moins de visite vers leurs sites internet où la presse se rémunère grâce a la pub, donc moins de poignon et Joffrin est à la rue. Il faut donc espérer que Google supprime le référencement de l'aberration, de l'immonde, du figolu ou de l'inhumanité. On pourrait m'expliquer un truc : la presse française réclame des ronds à Google parce que cette boîte se ferait des couilles en or grâce à la pub que verraient les gens attirés par les news référencées par le moteur. Moi, je vais sur Google Actualités et je ne vois pas de pub. Nulle part. Alors quoi ? Il y a de la pub sur Google, disons la page recherche web, pas Google actualités. C'est quand même formidable cette histoire, parce que Google joue en quelque sorte le rôle de distributeur pour la presse, comme le fait un kiosquier d'ailleurs. Sans ces distributeurs, la presse (qui est le producteur d'information) est morte, elle n'aurait plus les moyens d'écouler ses papiers, et qu'est-ce que ces analphabètes de l'économie font? Ils veulent tuer la poule aux oeufs d'or, tuer leurs principaux partenaires économiques en les taxant, renégocier la relation producteur-distributeur qui se faisait clairement a leur avantage, non pas en convoquant Google à la table des négociations, mais en appelant directement le gouvernement à la sanction d'une taxe. Bref, on le savait déjà, mais les journaux français ne sont plus des entreprises qui se débattent sur le marché, elles n'ont plus de business models, elles ne sont plus que les laquais du système politique.
José Posté 20 octobre 2012 Signaler Posté 20 octobre 2012 Il y a de la pub sur Google, disons la page recherche web, pas Google actualités. Encore plus con alors. Cela signifierait, si l'on suivait le raisonnement de la mafia journalistique française, que n'importe quel producteur de contenu sur Internet pourrait réclamer de la thune à Google.
Nicknem Posté 20 octobre 2012 Signaler Posté 20 octobre 2012 Quand on voit qu'une partie des journaux en ligne français est constituée uniquement de flux AFP, Je me demande s'il ne serait pas plus intéressant pour Google de dégager les journaux et mettre un flux Reuters a la place. On y gagnerait en qualité
Chitah Posté 20 octobre 2012 Signaler Posté 20 octobre 2012 Encore plus con alors. Cela signifierait, si l'on suivait le raisonnement de la mafia journalistique française, que n'importe quel producteur de contenu sur Internet pourrait réclamer de la thune à Google. Tout à fait. Absolument tous. En fait Google est une entreprise d'infrastructure, il faut donc la nationaliser. Comme quoi tout ça c'est très logique, tous les chemins mènent au collectivisme total.
Noob Posté 20 octobre 2012 Signaler Posté 20 octobre 2012 geindre. merde, saleté de correcteur de chrome.
no treason Posté 20 octobre 2012 Signaler Posté 20 octobre 2012 Ne limitons pas la "presse française " aux quotidiens parisiens abusivement appelés "nationaux" ( immondes ) , à qques quotidiens de province ( le pire et le plus influent étant Ouest-France, qui se porte mieux que bien ) et à quatre news magazines hebdo (abjects). A côté de cette presse à la diiffusion fort limitée ( et pour laquelle Hollande prévoyait dans son programme des subventions particulières ) il existe des milliers de revues et magazines de qualité ( ou bétas) , à la diffusion infiniment plus vaste-- et qui ne demandent rien à Google. La "presse française" n'est pas un bloc…
Chitah Posté 20 octobre 2012 Signaler Posté 20 octobre 2012 Effectivement dans la presse quotidienne régionale on entend que Jean-Michel Baylet, patron des radicaux de gauche et ex-candidat à la primaire socialiste, use un petit peu trop de son groupe de presse (Le Midi Libre notamment) pour sa gloire personnelle…
Tremendo Posté 21 octobre 2012 Signaler Posté 21 octobre 2012 A côté de cette presse à la diiffusion fort limitée ( et pour laquelle Hollande prévoyait dans son programme des subventions particulières ) il existe des milliers de revues et magazines de qualité ( ou bétas) , à la diffusion infiniment plus vaste-- et qui ne demandent rien à Google. Porno magazine, Gros téton hebdo etc…C'est vrai cette presse mérite notre soutien. Encore plus con alors. Cela signifierait, si l'on suivait le raisonnement de la mafia journalistique française, que n'importe quel producteur de contenu sur Internet pourrait réclamer de la thune à Google. Effectivement c'est le même raisonnement, complètement insolite et anti-business
h16 Posté 21 octobre 2012 Signaler Posté 21 octobre 2012 Ne limitons pas la "presse française " aux quotidiens parisiens abusivement appelés "nationaux" ( immondes ) , à qques quotidiens de province ( le pire et le plus influent étant Ouest-France, qui se porte mieux que bien ) et à quatre news magazines hebdo (abjects). A côté de cette presse à la diiffusion fort limitée ( et pour laquelle Hollande prévoyait dans son programme des subventions particulières ) il existe des milliers de revues et magazines de qualité ( ou bétas) , à la diffusion infiniment plus vaste-- et qui ne demandent rien à Google. La "presse française" n'est pas un bloc… Tout à fait. Mais cette "presse là", la presse spécialisée, ne demande rien ni à Google ni à personne d'autre. La plupart vit d'ailleurs de ses ventes et les subventions leurs sont peu versées. Donc bon. Ce qui ne m'empêche pas de cogner sur Joffrin, donc http://h16free.com/?p=18106 (cette plateforme est lourdement instable. Un coup, le lien se met, un coup, non)
Chitah Posté 21 octobre 2012 Signaler Posté 21 octobre 2012 On peut aussi inclure dans la "presse" les magazines municipaux d'information ainsi que ceux des autres collectivités locales, tous monuments d'auto-promotion.
MrJones Posté 21 octobre 2012 Signaler Posté 21 octobre 2012 http://leplus.nouvelobs.com/contribution/663847-taxe-google-il-faut-s-attaquer-a-la-position-ultra-dominante-du-moteur-de-recherche.html Google Actu, un concurrent qui vole les contenus ?Mais Google n’est plus seulement un moteur de recherches. Il a créé Google Actu, un véritable portail d’actualités qui renvoie vers des contenus produits par d’autres sites d’information. De fait, Google, en classant et en utilisant le contenu de concurrents, use de sa position. Il génère d’autant plus d’importantes recettes publicitaires qu’il se positionne à la croisé des chemins, grâce à son moteur et à sa fonction de pointeur de liens. Les sites des éditeurs classiques sont donc doublement perdants : côté des recettes publicitaires et côté du contenu… spolié. Mais la position de Google conduit à aller plus loin. D’abord, s’il menace de censurer les sites, c’est tout simplement un déni de démocratie. Se pose alors des questions liées à la neutralité du web et à l’accessibilité des contenus par les consommateurs. Ici, les internautes seraient privés d’une partie de leur recherche. Ensuite, tous les contenus sont stockés et archivés sur les serveurs de Google. La question est de savoir à qui ils appartiennent ? Reste l’opinion publique, qui suit le raisonnement "simpliste" (ou de mauvaise foi) de Google : pourquoi Google paierait pour donner du trafic ? La question ne se situant, comme on vient de le voir, pas du tout à ce niveau-là. D'après Wikipedia, Nathalie Sonnac est Professeur en Information et Communication à l’Université Panthéon-Assas. Elle est spécialiste de l'économie des médias et du numérique. Ca fait peur :s
Acéphale Posté 21 octobre 2012 Signaler Posté 21 octobre 2012 Est-ce que l’État français pourra obliger Google à payer ? Il me semble que le problème dépasse largement les frontières françaises, c’est un débat qu’il faut mener au moins au niveau européen. Le marché français ne représente rien pour le géant californien. La régulation ne sera possible que si on élargit le débat au-delà des frontières. Ce qui est bien avec les amis de la régulation c'est que le cadre n'est jamais assez large pour leur appétit de taxation. Pourquoi ne pas décreter directement que chaque loi émise en France s'applique de facto à l'ensemble du système solaire ? Cela irait plus vite.
Chitah Posté 21 octobre 2012 Signaler Posté 21 octobre 2012 Ce qui est bien avec les amis de la régulation c'est que le cadre n'est jamais assez large pour leur appétit de taxation. Pourquoi ne pas décreter directement que chaque loi émise en France s'applique de facto à l'ensemble du système solaire ? Cela irait plus vite. Le vrai volontarisme, c'est de l'appliquer à l'ensemble de l'Univers. Voire au passé.
Mathieu_D Posté 21 octobre 2012 Signaler Posté 21 octobre 2012 http://leplus.nouvelobs.com/contribution/663847-taxe-google-il-faut-s-attaquer-a-la-position-ultra-dominante-du-moteur-de-recherche.html D'après Wikipedia, Nathalie Sonnac est Professeur en Information et Communication à l’Université Panthéon-Assas. Elle est spécialiste de l'économie des médias et du numérique. Ca fait peur :s Je rêve ou elle dit que la presse concurrence google ?
Gilles Posté 21 octobre 2012 Signaler Posté 21 octobre 2012 Ce qui est génial, c'est de regarder les commentaires sur ces journaux. Ces abrutis de pseudo-journalistes se font systématiquement démonter la face par leurs propres lecteurs, pas dupes. Que la presse place un fichier "no index" sur ses sites ou, comme au Brésil, qu'elle boycotte GG News, puis qu'elle s'occupe de vendre ses titres en Kiosque et qu'elle arrête enfin de mordre la main de celui qui la nourrit !Google n'est pas un service public et je suis enchanté que ce contre-pouvoir puisse la couper à nos souverains minables, dépensiers et fascisants ! Une autre raison de quitter ce pays. Non pas pour chercher plus de richesses (sauf celle de l'ouverture d'esprit) mais bien plus de liberté, d'égalité et de fraternité…. Vous nous faites honte et vous tirez vers le bas. Il suffit ! J'aurais pas mieux dit, quoi.
h16 Posté 22 octobre 2012 Signaler Posté 22 octobre 2012 D'après Wikipedia, Nathalie Sonnac est Professeur en Information et Communication à l’Université Panthéon-Assas. Elle est spécialiste de l'économie des médias et du numérique. Ca fait peur :s Oh, encore une conne socialiste ! Vraiment, il y en a de plus en plus dans ce pays ou bien ?
Tremendo Posté 22 octobre 2012 Signaler Posté 22 octobre 2012 Oh, encore une conne socialiste ! Vraiment, il y en a de plus en plus dans ce pays ou bien ? Expert pilote Lab Economie numérique de la création chez Hadopi. C'est ce qui apparait sur son profil Linkedin. Elle traine aussi chez Terra Nova. Sans commentaire.
Tremendo Posté 22 octobre 2012 Signaler Posté 22 octobre 2012 Très bon article dans lemonde. http://www.lemonde.fr/technologies/article/2012/10/19/les-arguments-croises-de-google-et-de-la-presse-en-ligne_1778228_651865.html Exiger de Google une rémunération au motif que son moteur de recherche dirige des lecteurs vers les sites de presse n'a pas plus de sens que d'exiger d'un taxiste qui conduit un client à un restaurant de rémunérer le restaurateur."
h16 Posté 22 octobre 2012 Signaler Posté 22 octobre 2012 Tiens, à propos du traitement par la presse du drame de l'A20, mes quelques réflexions du jour : http://h16free.com/2012/10/22/18140-trop-peu-de-maternites-une-presse-si-unanime
Bisounours Posté 22 octobre 2012 Signaler Posté 22 octobre 2012 C'est la première réflexion que je me suis fait : quid de la décision du gynéco ? un accouchement dans une voiture ne signifie pas forcément mort du nouveau né, n'avait elle pas des problèmes de santé par ailleurs, cette maman ? 7 mois de grossesse seulement peuvent le laisser supposer. Peut être aurait il dû faire appel à un transport médicalisé ? pas de clinique plus proche ?
Tremendo Posté 22 octobre 2012 Signaler Posté 22 octobre 2012 On résume: -Le fait d’accoucher à domicile ou en tout cas en-dehors d’une maternité est désormais très mal vécu dans notre France accro aux dépenses médicales et aux normes sanitaires démentielles au point qu’on en fait la principale raison de la mort du bébé alors que des millions de personnes à travers le monde et des générations sont nées à domicile. Un conseil plus utile: au lieu de l’envoyer à 45 minutes de là, pourquoi ne pas l’accompagner chez elle directement dans l’accouchement? Par conséquent c’est bien le système médical français qui a tué ce gosse, sans normes ni conseils débiles du gynéco, pas de trajet en bagnole et pas de bébé mort. -On veut continuer à créer des maternités où chaque sage-femme accouche en moyenne seulement 32 gosses par an. Sachant qu’un accouchement peut bien mobiliser une journée mais ça dépend parfois c'est moins, cela fait 32 journées de travail par an pour une sage-femme. Sachant que 95% de la population est à moins de 15 minutes d’une maternité, on se ficherait pas de nous par hasard? Bref, pignouferie de presse nauséabonde.
Philippe-le-bel Posté 22 octobre 2012 Signaler Posté 22 octobre 2012 …………au lieu de l’envoyer à 45 minutes de là, pourquoi ne pas l’accompagner chez elle directement dans l’accouchement? Elle a accouché à 7 mois seulement, je suis pesuadé que le gynéco souhaitait disposer immédiatement d'une couveuse. …On veut continuer à créer des maternités seulement maintenir celles qui existent voir seulement en supprimer moins. où chaque sage-femme accouche en moyenne seulement 32 gosses par an. Sachant qu’un accouchement peut bien mobiliser une journée mais ça dépend parfois c'est moins, cela fait 32 journées de travail par an pour une sage-femme.. Une sage-femme ne fait pas que ça: suivi en consultation (elle ont une délégation de pouvoir médical contrairement aux infirmières*), cours de préparation à l'accouchement, cours de puériculture aux mères, soins aux accouchées post-partum, soins au nouveau-né=> elle ont une équivalence partielle aux puéricultrices, etc, etc Cette répartition du travail n'est pas constante selon l'age de la sage-femme, les + jeunes faisant surtout les gardes les + agées étant souvent en poste de jour uniquement avec consultations, cours, soins. Sur Paris-banlieue une "garde blanche" sans acouchement est rarissime: une fois par an et encore. En en connaisant deux j'ai plutôt l'impression de femmes qui travaillent beaucoup. *avec droit de diagnostic et de pronostic et la responsabilité qui va avec;
h16 Posté 22 octobre 2012 Signaler Posté 22 octobre 2012 Elle a accouché à 7 mois seulement, je suis pesuadé que le gynéco souhaitait disposer immédiatement d'une couveuse. Oui non peut-être t'en sais rien. seulement maintenir celles qui existent voir seulement en supprimer moins. Plus elles sont petites, plus le taux de mortalité ou de complication augmente. Une sage-femme ne fait pas que ça: suivi en consultation (elle ont une délégation de pouvoir médical contrairement aux infirmières*), cours de préparation à l'accouchement, cours de puériculture aux mères, soins aux accouchées post-partum, soins au nouveau-né=> elle ont une équivalence partielle aux puéricultrices, etc, etc Cette répartition du travail n'est pas constante selon l'age de la sage-femme, les + jeunes faisant surtout les gardes les + agées étant souvent en poste de jour uniquement avec consultations, cours, soins. Sur Paris-banlieue une "garde blanche" sans acouchement est rarissime: une fois par an et encore. En en connaisant deux j'ai plutôt l'impression de femmes qui travaillent beaucoup. *avec droit de diagnostic et de pronostic et la responsabilité qui va avec; Allons. Tu veux regarder les chiffres allemands, pour te faire mal ?
Philippe-le-bel Posté 22 octobre 2012 Signaler Posté 22 octobre 2012 Je parle de travail concret pas de chiffres. Tremondo pense qu'une sage-femme ne travaille réellement que 32 jours par an et ne fait qu'attendre le reste du temps comme un employé de la RATP. Le travail du personnel soignant non médecin n'est pas toujours comparable de pays à pays en fonction des prérogatives autorisées ou non.
Tesla Posté 22 octobre 2012 Signaler Posté 22 octobre 2012 Sachant que 95% de la population est à moins de 15 minutes d’une maternité, on se ficherait pas de nous par hasard? Petite précision, selon l'étude 95% de la population est à moins de 40 min d'une maternité et 95% de la population est à moins de 15 min d'un centre de premier soin.
Philippe-le-bel Posté 22 octobre 2012 Signaler Posté 22 octobre 2012 Plus elles sont petites, plus le taux de mortalité ou de complication augmente. Donc ce sera encore pire avec de l'accouchement à domicile.
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