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Gender studies & applications


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Posté

je suis un peu decu je l'avais deja dit ici et personne n'avait rien remarque.

troll de combat mais Adler dit tout de meme de belles conneries.A se demander s'il a deja rencontre plus d'un homo.

Les psychanalystes n'ont pas besoin de rencontrer beaucoup de cas pour élaborer leurs théories. Et plus ils sont brillants, moins ils ont besoin de cas différents. Ca culmine avec Freud, qui au pire avait besoin d'un cas unique, et au mieux n'en avait même pas besoin pour pondre une théorie.
Posté

Je ne sais pas. Mais pour un truc qui n'existe pas et qui ne sera pas enseigné, je trouve la vidéo éclairante.

 

Posté

Voici un texte extrêmement intéressant :

 

 

Une éducation sexuelle spécifique dans l'enseignement catholique?

05 MAI 2010 |  PAR CLAUDE LELIÈVRE

Pour la première fois de son histoire, l’enseignement catholique a promulgué le 16 avril un document consacré à «l’éducation affective, relationnelle et sexuelle dans les établissements catholiques d’enseignement».

Pour apprécier l’événement, il faut savoir que lorsque la question de l’éducation sexuelle à l’Ecole a été posée dans les années qui ont suivi Mai 68, certaines fédérations de parents d’élèves sont alors montées au créneau avec des attendus significatifs.

Ainsi la Fédération de Paris des Associations de parents d’élèves de l’enseignement libre a incriminé " le processus inéluctable qui transforme le projet de l’Education nationale en une vaste entreprise de libération sexuelle " (communiqué du 20 février 1973). Et l’Union nationale des associations des parents d’élèves autonomes a tenu à distinguer " l’information sexuelle " qui peut être donnée à l’école à condition qu’elle ne fasse pas intervenir de jugement moral, et " l’éducation sexuelle " qui est liée à des options philosophiques et religieuses ; en concluant qu’ " une éducation sexuelle à l’école qui respecte le principe de laïcité estimpossible " (communiqué du 29 janvier 1973).

Finalement, le ministre de l’Education nationale d’alors, Joseh Fontanet – un ‘’démocrate chrétien’’ – a décidé en juillet 1973 d’opérer un clivage fondamental entre " l’information sexuelle " (obligatoire, intégrée aux programmes, pour tous les élèves) et "l’éducation sexuelle " (facultative, soumise à l’autorisation des parents pour le premier cycle).

Il y a sans doute plusieurs raisons qui ont amené l’enseignement catholique a élaborer ce document d’ " orientation " de 45 pages issu de dix-huit mois de travail d’une commission présidée par son secrétaire général adjoint, Claude Berruer. Mais on peut penser que la principale se trouve dans le fait que le ministère de l’Education nationale a décidé en 2003 que l’ " éducation sexuelle" (et non seulement " l’information sexuelle ") devait être désormais obligatoire.

La circulaire du 17 février 2003 indique que la loi du 4 juillet 2001 relative à l’interruption volontaire de grossesse et à la contraception a " confié à l’école une mission éducative dans le champ bien spécifique de l’éducation à la sexualité ". Et cette circulaire précise que cela implique " une nécessaire cohérence entre les adultes participant au respect des lois et des règle de vie en commun qui s’exercent aussi bien dans le cadre de la mixité que de la lutte contre les violences sexistes et homophobes contraires aux droits de l’homme ".

Cette circulaire ministérielle de février 2003 est un texte de référence ambitieux en matière d’éducation sexuelle puisqu’il s’agit de rien moins que d’apprendre à identifier et à intégrer les différentes dimensions de la sexualité humaine, biologique, affective, psychologique, juridique, sociale, culturelle et éthique ; et de développer l’exercice de l’esprit critique.

On ne saurait trop souligner par ailleurs que cela peut et doit être mis en œuvre dans le cadre même des enseignements en classe, dans différentes disciplines : " Les programmes des différents champs disciplinaires ( tels que la littérature, l’éducation civique, les arts plastiques, la philosophie, l’histoire, l’éducation civique juridique et sociale.. ) offrent, dans leur mise en œuvre, l’opportunité d’exploiter des textes et des supports en relation avec la sexualité selon les objectifs précédemment définis ".

Les établissements catholiques sous contrats (c’est à dire presque tous) vont donc se retrouver avec deux textes de références en matière d’éducation sexuelle. On le sait, le principe de base de la loi Debré régissant les établissements privés sous contrat est que l’établissement a un caractère " propre ", mais que l’enseignement (donné dans les classes) doit être le même que dans les établissements publics.

En principe donc, le texte d’orientation du 17 avril 2010 de l’enseignement catholique devrait être la référence pour le caractère " propre " de l’établissement. Et la circulaire ministérielle du 17 février 2003, le texte de référence pour l’enseignement donné dans les classes des établissement catholiques sous contrats.

Mais est-il vraiment possible que " l’orientation " du texte sur l'éducation sexuelle (c'est un texte dit d'''orientation'') préconisée par les dirigeants de l'enseignement catholique pour les établissements ne diffuse pas aussi dans l’enseignement proprement dit, dans les classes des établissements catholiques sous contrat ? Si l’enseignement catholique a promulgué ce texte, c’est sans aucun doute que la référence du texte ministériel ne lui convient pas vraiment.

Et il y a bien, dans le document, la revendication explicite d’un projet spécifique : " Le projet spécifique de l’Enseignement catholique attaché à la formation intégrale de la personne humaine, réfère l’éducation affective, relationnelle et sexuelle à une vision chrétienne de l’anthropologie et l’inscrit dans une éducation plus large à la relation qui concerne tout le parcours scolaire ".

" Tout le parcours scolaire ". Dans l’établissement catholique (hors les classes), ou bien dans les classes également ? Quid du cadre de la loi Debré pour les établissements sous contrats ?

 

Posté

Probablement déjà posté, mais voici un article bien senti du point : http://www.lepoint.fr/societe/l-experience-tragique-du-gourou-de-la-theorie-du-genre-31-01-2014-1786513_23.php

Le point semble prendre une approche ouvertement "anti-genre", ce qui est plutôt appréciable.

 

Par contre que cette histoire est triste et à vomir !

Tu sais, il faut lire les posts de Jesrad, il en parle depuis peut-être un an, des expériences de Money.
Posté

Etudier pourquoi les garçons aiment le bleu et les filles le rose, c'est intéressant. Mais prendre ça pour un processus de domination chromatique ou je ne sais quel délire post-marxoïde, c'est des conneries de merde.

Donc non, il n'y a pas que des conneries, mais il y en a quand même une part tout sauf marginale.

Posté

il n'y a personne ici qui pense qu'il n'a pas que des conneries dans les gendre studies?

C'est un champ de recherche en sciences donc a priori c'est neutre.

 

Les études de genre ou gender studies sont un champ d'étude et de recherche interdisciplinaire consacré au genre dans ce qu'il a de socialpolitiqueanthropologique,historiquephilosophique ou artistique1,2.

Le genre est également un domaine d'étude dans de nombreuses disciplines, notamment l'art et l'histoire de l'art, mais également l'histoire, l'anthropologie, la sociologie, lapsychologie ou la psychanalyse. Ces disciplines diffèrent parfois dans leurs approches et dans leurs raisons d'étudier le genre. Mais les études de genre peuvent également être considérées comme une discipline à part entière, au croisement de différentes autres approches disciplinaires.

De manière générale, les études de genre proposent une démarche de réflexion sur les identités sexuées et sexuelles, répertorient ce qui définit le masculin et le féminin dans différents lieux et à différentes époques, et s’interrogent sur la manière dont les normes se reproduisent jusqu’au point de paraître naturelles.

 

 

C'est un champ de recherche comme peut l'être le suivant : quels effets ont les ondes électro-magnétiques sur les tissus humains? Jusque là ça va, mais si tu fais de tes enfants un sujet d'expérience (les exposer à un rayonnement en modulant puissance et longueur d'onde dans tous les sens), ça devient problématique.

 

C'est ce que je comprends de cette controverse.

Posté

Comme Rincevent.

"Une" chaise et "un" tabouret c'est une histoire intéressante.

Partir en live sur la domination du tabouret ce serait drôle si ça ne tournait pas au tragique.

Posté

Voilà. La partie étude sociologique est réellement intéressante. Mais si ça se contentait de ça, il n'y aurait pas de problème.

Posté

C'est un site pour les gamins-ados-adultes ayant un problème avec leur identité ou orientation sexuelle sur lequel on trouve - incroyable ! - des informations sur les différentes identités ou orientations sexuelles. Le seul scandale est le financement public.

Posté

C'est un site pour les gamins-ados-adultes ayant un problème avec leur identité ou orientation sexuelle sur lequel on trouve - incroyable ! - des informations sur les différentes identités ou orientations sexuelles. Le seul scandale est le financement public.

 

Ah c'est donc ca, le bidule? Heureusement que j'ai rien suivi a l'histoire, j'aurais perdu du temps.

Posté

C'est un site pour les gamins-ados-adultes ayant un problème avec leur identité ou orientation sexuelle sur lequel on trouve - incroyable ! - des informations sur les différentes identités ou orientations sexuelles. Le seul scandale est le financement public.

Oui, mais comme tu fais partie du complot toi aussi, tu ne parles pas du fait que ce site contient des liens et des vidéos de Youporn, site porno bien connu. Ainsi, les enfants de 6 mois pourront cliquer et voir des zizis et des zézettes en action. :lol:

Posté

On vient de m'apprendre la diffusion du documentaire "Il, elle, hen" le 07/02 à 23h10 sur Arte. Il traite des écoles suédoise qui dispensent une pédagogie neutre.

 

On y voit apparemment que l'expérience n'est pas concluante, les filles réclamant explicitement des vêtements de filles (en vérifiant les étiquettes) et les garçons se précipitent plus sur les jeux vidéos que les maisons de poupée.

Posté

C'est ce qui doit faire le plus rager un constructiviste : qu'en fait même si on voulait, on ne pourrait pas absolument remodeler un individu par la seule éducation. C'est pour ça que les gender studies en biologie sont souvent mal vues, cf les documentaires de Eia ou la controverse Spelke-Pinker.

Il ne fait aucun doute que dans une vision du monde où les déterminismes psychologique sont exclusivement sociaux, l'éducation est le moyen d'ingénierie favori, mais si cette vision du monde se casse la gueule, je me demande ce que va devenir le socialisme.

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