Kosher Posté 25 août 2013 Signaler Posté 25 août 2013 Oh, mais... mais... Mais Joyeux anniversaire Kosher !!!Oh, c'est gentil. Merci NoName !
Lancelot Posté 25 août 2013 Signaler Posté 25 août 2013 Croire que l'état peut forcer l'âme de sa population et la soumettre à ses lubies, c'est lui donner un pouvoir dont il est dénué. Par ailleurs, on a tendance à oublier que nous sommes dans une démocratie, aucun politicien n'a d'intérêt à aller à contre-courant.La politique est une chose étrange : il est quasi-impossible de s'en servir pour aboutir à un résultat prédéterminé mais il est extrêmement facile de s'en servir pour casser un truc qui fonctionne et empiler les problèmes. C'est ce que concluent les penseurs libéraux dans le domaine économique, d'ailleurs. En l'occurrence on parle de politique sociale. La situation normale du marché de l'opinion, c'est la division du travail. Une poignée de spécialistes (les intellectuels, l'élite, whatever...) s'occupe de fournir des orientations idéologiques à la mode au reste. Le reste est une force plutôt conservatrice qui y réagit plus ou moins bien (en pratique, pas question de débat) et détermine celles qui survivent. Bien sûr dans la situation actuelle ce système est totalement faussé. L'élite officielle (journalistes, intellectuels, professeurs, politiques) est au mieux médiocre et inintéressante. Le reste ne vaut guère mieux parce qu'on lui a pourri la tête en lui disant que, grâce à la démocratie, c'était désormais à lui de fournir les idées. Comme il a autre chose à faire de sa vie et qu'il n'y connait rien, il a tendance soit à suivre le courant sans se poser de question, soit à se tourner vers des postures faciles de pseudo-rébellion (décroissantisme, mélenchonnisme, soralisme, bourkisme...). À côté de ça les vraies décisions sont prises par la bureaucratie qui fonctionne de manière relativement indépendante des remous politiciens.
sans Posté 25 août 2013 Signaler Posté 25 août 2013 La politique est une chose étrange : il est quasi-impossible de s'en servir pour aboutir à un résultat prédéterminé mais il est extrêmement facile de s'en servir pour casser un truc qui fonctionne et empiler les problèmes. C'est ce que concluent les penseurs libéraux dans le domaine économique, d'ailleurs. Oui, autrement dit aisée est la destruction et ardue la construction. En l'occurrence on parle de politique sociale. La situation normale du marché de l'opinion, c'est la division du travail. Une poignée de spécialistes (les intellectuels, l'élite, whatever...) s'occupe de fournir des orientations idéologiques à la mode au reste. Le reste est une force plutôt conservatrice qui y réagit plus ou moins bien (en pratique, pas question de débat) et détermine celles qui survivent. Bien sûr dans la situation actuelle ce système est totalement faussé. L'élite officielle (journalistes, intellectuels, professeurs, politiques) est au mieux médiocre et inintéressante. Le reste ne vaut guère mieux parce qu'on lui a pourri la tête en lui disant que, grâce à la démocratie, c'était désormais à lui de fournir les idées. Comme il a autre chose à faire de sa vie et qu'il n'y connait rien, il a tendance soit à suivre le courant sans se poser de question, soit à se tourner vers des postures faciles de pseudo-rébellion (décroissantisme, mélenchonnisme, soralisme, bourkisme...). À côté de ça les vraies décisions sont prises par la bureaucratie qui fonctionne de manière relativement indépendante des remous politiciens. Les gens en majorité ne sont pas politisés. Il n'y a que quand un problème les touches personnellement qu'ils vont chercher un biais politique pour chercher, et c'est légitime, qui est le coupable pour s'énerver dessus (les patrons, les musulmans, la phynance apatride...). Ce sont là des idées 'flottant' un peu, chez une petite partie du peuple, et qui ne sont pas faites pour durer. Pour le coup, ce n'est pas particulièrement ce que j'avais en tête. J'avais en tête les idées bien ancrée, dans la grande majorité de la population. L'élite intellectuelle, qu'elle soit bidon ou pas, joue bien un rôle dans la formation des opinions du peuple, mais on a tendance à surestimer ce rôle : la formation d'idées chez l'élite n'est pas un hasard, et qu'elle arrive à les transmettre au peuple n'est pas un hasard non plus.
Ventura Posté 25 août 2013 Signaler Posté 25 août 2013 Moralité, prenez votre caisse. Une petite pochette de CD ou un lecteur MP3, un thermos de thé ou de café, ou les deux, un boite de biscuit, un bon sandwich. Ce train de merde. Quand c'est pas en retard, c'est rempli de scouts. Vive la bagnole. +1 Cahors Nantes en voiture, ça se fait tout seul. D'une façon générale la plupart des voyages en France intra muros sont avantageux en voiture tant qu'on ne se fait pas la totale, c'est-à-dire la diagonale Tarbes-Bar le Duc ou Nice-Brest. Bon une voiture c'est un budget c'est sûr mais le jeu en vaut la chandelle.
Ventura Posté 25 août 2013 Signaler Posté 25 août 2013 Bon les enfants, je vais vous raconter ma life d'aujourd'hui et ça ferait un beau VDM. Ce matin, un lapin je m'en fus z'à la gare de Cahors pour prendre le train dans la gueule dans le but ultime d'aller passer une semaine chez ma soeur, quelque part autour de Nantes – non, pas à Montaigu bande de petits polissons. Prévoyant lapin que je suis, j'avais réservé un billet en première classe – qui se trouvait être moins dispendieuse de mes écus que la seconde classe pour une raison que la raison feint d'ignorer. Le parcours en question était censé démarrer à sept heures et cinquante six minutes et s'achever à seize heure et cinquante cinq minutes, en passant par Châteauroux et Tours. Jusqu'ici tout va bien. Le train arrive à la bonne heure, et d'un pas aussi preste que ma nuit blanche me le permet j'enjambe le piège à chevilles qui sépare le quai du marchepied et je propulse avec une précision toute mécanique mon corps d'albâtre ainsi que mes bagages dans le wagon qui allait constituer mon environnement dans les heures à venir. Le wagon en question fait partie du lot des wagons qui seront modernisés prochainement, ce qui signifie donc qu'il est un poil vieillot et décrépi – mais bon ça reste 'première classe' quand même. Le fauteuil s'incline, le wagon est faiblement peuplé d'humanoïdes peu bruyants et tout aussi peu odorants – à priori je devrais survivre. Le train s'ébranle. Jusqu'ici tout va bien. Première déconvenue : la prise 230 V qui devrait me permettre d'alimenter mon armada siliciumisée fait grève, flûte. Et puis, vingt-cinq kilomètres plus tard environ, le train semble s'ébranler de moins en moins vite. Jusqu'ici tout va bien, ou presque. Pourquoi on avance à la vitesse d'un syndicaliste un lundi matin ?? Jusqu'ici tout allait bien, mais là on avance plus du tout. Le haut-parleur soviétique nous annonce que la locomotive est en panne, et qu'il y aura probablement au moins deux heures de retard. Crotte. On attend. Heureusement que la journée n'est pas caniculaire, vu que la clim est tombée en panne en même temps que la locomotive. La nuit blanche de la veille rend la lecture particulièrement pénible, il me faut un plan B. Un coup d'oeil rapide dans le dossier films du netbook : le seul film qui me donnait un minimum envie était Gadjo Dilo – bon, soit, c'est parti. Un film plus tard, le train n'a pas bougé d'un millimètre – fait chier. Trois heures et trente minutes après l'arrêt locomotiaque, on repart enfin – une locomotive est venue de Brive pour reprendre le flambeau. On passe Brive, Limoges, La Souterraine, Argenton-sur-quelquechose, et enfin arrive Châteauroux. J'ai les boules mais il manque le cochonnet. Je descend du train d'un pas nettement moins preste qu'à l'ascension – et pour cause, je commence à être ankylosé. Châteauroux, sa gare, ses nuages. Je fonce au guichet pour connaître mon destin, c'est pas glorieux : prochain départ pour Nantes dans environ quatre heures. Une maigre consolation quand même : vu l'ampleur du retard, je serais remboursé de 75% du prix du billet, normalement. Heure d'arrivée prévue : vingt trois heures et vingt minutes – j'ai envie de tuer quelqu'un. Bon en attendant je collecte la paperasse pour le remboursement, je fais modifier le billet pour tenir compte du nouvel itinéraire – il passe par Vierzon, j'ai peur. Ceci fait, je sors de la gare. J'ai besoin d'une bière. Là, un bar. J'y fonce, il est ouvert – soupir de soulagement – je commande la première bière. Par acquis de conscience, j'ouvre le netbook histoire de voir ce qu'il y a comme wifi à proximité et là – surprise – il y a un hotspot. Je me demande bien quels horreurs un hotspot a bien pu commettre pour se faire exiler ici mais bon à cheval donné on ne regarde pas les dents. Je commence à décrire ma journée de merde – qui n'est pas finie, bordel de manche à couilles (là j'en suis à ma cinquième bière, je précise). Bref, vive le service publique ! M'en vais commander une bière, tiens. Autrement merci pour cette tranche de vie sympa, on sent la bière d'ici (5 bières c'est abusé).
Ventura Posté 25 août 2013 Signaler Posté 25 août 2013 Dans un monde libéral, ouvert et mondialisé, la tradition a-t-elle encore une place comme choix de société, comme modèle? Pour répondre sereinement à cette question, il faudrait bien sûr ne pas considérer le voile musulman/ou son absence mais plutôt la notion de tradition en général. Un monde libéral n'est pas un monde ouvert et mondialisé. En l'absence d'une telle coercition étatique, ça m'étonnerait que la France ou l'Europe furent aussi ouvertes et mondialisées. L'ouverture et la mondialisation sont menées à marche forcée. Dommage.
poney Posté 25 août 2013 Signaler Posté 25 août 2013 5 bières c'est abusé ? Moi qui ne m'inquiète jamais sous la dizaine
Ventura Posté 25 août 2013 Signaler Posté 25 août 2013 Effectivement, toute tradition est une ancienne innovation.Mais il y a des innovations lentes (ou moins lentes d'ailleurs) qui émergent naturellement dans des sociétés libres, et des innovations imposées ou imaginées par des politiques. Contre ces dernières, un libéral doit lutter. Il serait naif ou illusoire de croire que l'évolution de nos pensées de nos traditions et de notre socle identitaire ce dernier siècle n'est pas le fruit d'innovations politiques. En ce sens, non, je ne suis pas un conconservateur ou je sais pas quoi aigri par la vie et qui fantasme un passé idéalisé, je suis juste un lassé du constructivisme socialiste passé et présent, et je fantasme non pas du passé, mais, par exemple, des régions qui ont une identité suffisament marquée et une hostilité naturelle suffisante a l'état central pour conserver un socle identitaire sain, c'est du moins le sentiment de bien être (et de liberté !) que j'ai ressenti par exemple lors de mes vacances en bretagne cet été. C'était cool, je me sentais comme un humble étranger face a un territoire qui ressemble a quelque chose et un peuple qui a une vraie base identitaire commune, absolument pas tournée vers le passé et absolument pas fermée sur elle même. Face aux bretons, t'as pas l'impression d'avoir a faire a une page blanche décadente sur laquelle tu peux imposer ta burqa venue de nulle part. Désolé de te l'apprendre mais oui, tu es un libéral-conservateur en tout cas tu viens d'en écrire un manifeste
Ventura Posté 25 août 2013 Signaler Posté 25 août 2013 5 bières c'est abusé ? Moi qui ne m'inquiète jamais sous la dizaine Normalement on ne s'inquiète pas en dessous de 2, puis on ne s'en inquiète plus au dessus de 5. Enfin bref à chacun ses seuils !
sans Posté 25 août 2013 Signaler Posté 25 août 2013 Désolé de te l'apprendre mais oui, tu es un libéral-conservateur en tout cas tu viens d'en écrire un manifeste Nop, conconservatisme, voire mon post plus loin.
poney Posté 25 août 2013 Signaler Posté 25 août 2013 Normalement on ne s'inquiète pas en dessous de 2, puis on ne s'en inquiète plus au dessus de 5. Enfin bref à chacun ses seuils ! Je m’inquiète (et m'arrête) à 2 si je conduis (voir, zéro, sinon, le diable me tente).
Ventura Posté 25 août 2013 Signaler Posté 25 août 2013 Il serait naïf de s'imaginer que les politiciens ont le pouvoir de changer si facilement la direction du vent. Prend l'antiracisme par exemple, que tu as évoqué plus haut. Crois-tu qu'une bande d'élite s'est réunie et a proclamé que racisme il n'y aurait plu ? Pense-tu que les campagnes débiles des associations subventionnées ont pu avoir la moindre influence sur les sentiments de la population (autres que le facepalm) ? Si les Français ne sont plus racistes (ou peu s'en faut), c'est que ces dernières décennies plusieurs ethnies ont rejoint la population française, qui n'étaient pas là avant. Vivre avec des gens qu'on méprise ou qu'on déteste, ou qu'on craint, n'est pas tenable pour un être humain ordinaire. En étant en contact avec ces gens de races différentes, en commerçant le sentiment de défiance s'est progressivement étiolé, car ça allait dans l'intérêt de tout le monde. Croire que l'Etat peut forcer l'âme de sa population et la soumettre à ses lubies, c'est lui donner un pouvoir dont il est dénué. Par ailleurs, on a tendance a oublié que nous sommes dans une démocratie, aucun politicien n'a d'intérêt à aller à contre-courant. Tiens c'est amusant, je pense exactement le contraire lol !
Astha Posté 25 août 2013 Signaler Posté 25 août 2013 La quantité c'est bien mais de quelle bière s'agissait-il ?
Lancelot Posté 25 août 2013 Signaler Posté 25 août 2013 Oui, autrement dit aisée est la destruction et ardue la construction.Disons que la construction est sensé être un phénomène permanent et spontané, alors quand on cherche à le diriger par la force, ça fout la merde. Par contre Machiavel relevait à juste titre qu'il existe une plasticité assez remarquable chez les populations : il suffit d'imposer une situation pendant une génération et la suivante sera née avec et ne la remettra plus en cause. Donc non seulement ça fout la merde, mais en plus les gens finissent par aimer la merde. Les gens en majorité ne sont pas politisés. Il n'y a que quand un problème les touches personnellement qu'ils vont chercher un biais politique pour chercher, et c'est légitime, qui est le coupable pour s'énerver dessus (les patrons, les musulmans, la phynance apatride...). Ce sont là des idées 'flottant' un peu, chez une petite partie du peuple, et qui ne sont pas faites pour durer.Je suis tout à fait d'accord et c'est la raison principale pour laquelle je trouve la démocratie contre nature. L'élite intellectuelle, qu'elle soit bidon ou pas, joue bien un rôle dans la formation des opinions du peuple, mais on a tendance à surestimer ce rôle : la formation d'idées chez l'élite n'est pas un hasard, et qu'elle arrive à les transmettre au peuple n'est pas un hasard non plus.Oui, normalement il existe bien un feedback, une interaction entre le peuple et l'élite. C'est ce que j'essayais de décrire au début de mon message. Mais actuellement ce mécanisme, bien qu'il existe encore dans une certaine mesure, est totalement faussé pour les raisons que j'évoquais.
Chitah Posté 25 août 2013 Signaler Posté 25 août 2013 Jean-François Copé à l'instant : il dénonce d'un côté l'incarcération du prisonnier politique Nicolas Bernard-Buss dans les goulags hollandiens et de l'autre le fait que la justice ait relâché les détrousseurs de trains sans sanction. Il y a deux mensonges dans cette phrase, je vous laisse les trouver vous-mêmes. Je constate que de nombreuses personnes sur le forum ont dit exactement la même chose que Copé. Les grands esprits se rencontrent.
Invité Posté 25 août 2013 Signaler Posté 25 août 2013 Les ventes de ses album Burzum ont explosé. J'en ai acheté un aussi. C'est plutôt un service que l'Etat parano lui a rendu.
Chitah Posté 25 août 2013 Signaler Posté 25 août 2013 Copé, dans son discours de Chateau Renard, est pratiquement en mode Contrepoints : liberté et responsabilité, Etat pachydermique, baisse du nombre de parlementaires, etc.
Ventura Posté 25 août 2013 Signaler Posté 25 août 2013 Tiens je viens de lire un article qui illustre bien ce que serait une société un peu plus libérale. Plus libérale mais un peu moins ouverte et un peu moins mondialisée. http://www.lefigaro.fr/international/2013/08/22/01003-20130822ARTFIG00337-cosaques-le-retour-des-gardiens-de-l-ukraine.php Hank Rearden, un commentaire ?
Kosher Posté 25 août 2013 Signaler Posté 25 août 2013 J'aimerais juste signalé une toute petite étourderie sur cette page : http://www.wikiberal.org/wiki/D%C3%A9mocratie Dilbert l'a modifié récemment et a juste oublié d'enlever un "l" dans la phrase "Lle véritable "représentant" d'un individu doit toujours respecter les ordres de celui-ci, ne peut agir contre ses intérêts ou ses vœux, et peut être écarté à tout moment.", au début de la section "Position libertarienne".
Chitah Posté 25 août 2013 Signaler Posté 25 août 2013 J'aimerais juste signalé une toute petite étourderie sur cette page : http://www.wikiberal.org/wiki/D%C3%A9mocratie Dilbert l'a modifié récemment et a juste oublié d'enlever un "l" dans la phrase "Lle véritable "représentant" d'un individu doit toujours respecter les ordres de celui-ci, ne peut agir contre ses intérêts ou ses vœux, et peut être écarté à tout moment.", au début de la section "Position libertarienne". Done.
Malky Posté 25 août 2013 Signaler Posté 25 août 2013 La quantité c'est bien mais de quelle bière s'agissait-il ? À Châteauroux, on peut boire n'importe quelle bière, tant que c'est de la 1664... Quand je vous disais que j'avais une journée de merde c'était pas une vue de l'esprit Par chance j'ai passé la fin du trajet (Vierzon-Nantes) en compagnie d'une fort jolie nantaise, ça a compensé un peu le début de journée.
Batcap Posté 25 août 2013 Signaler Posté 25 août 2013 En rentrant de soirée avec une amie, j'ai croisé un groupes de cinq mecs dont l'un d'eux s'est "amusé", sans raison aucune, à essayer de me balancer une poubelle pleine de bouteilles en verre sur la gueule. Elle a finalement atterri à mes pieds. Le jeune incivil m'a ensuite provoqué du regard en attendant une réaction. Je me suis bien évidemment effacé et je suis rentré chez moi.Une fois arrivé chez moi, j'ai balancé quelques coups de pied de frustration dans la porte et j'ai sérieusement envisagé de redescendre armé d'un couteau bien aiguisé. Heureusement, mon amie a calmé mes ardeurs vengeresses (et stupides) mais quand même, je me suis bien senti émasculé. Rien que d'y repenser, ça me met de mauvaise humeur.
POE Posté 25 août 2013 Signaler Posté 25 août 2013 En rentrant de soirée avec une amie, j'ai croisé un groupes de cinq mecs dont l'un d'eux s'est "amusé", sans raison aucune, à essayer de me balancer une poubelle pleine de bouteilles en verre sur la gueule. Elle a finalement atterri à mes pieds. Le jeune incivil m'a ensuite provoqué du regard en attendant une réaction. Je me suis bien évidemment effacé et je suis rentré chez moi. Une fois arrivé chez moi, j'ai balancé quelques coups de pied de frustration dans la porte et j'ai sérieusement envisagé de redescendre armé d'un couteau bien aiguisé. Heureusement, mon amie a calmé mes ardeurs vengeresses (et stupides) mais quand même, je me suis bien senti émasculé. Rien que d'y repenser, ça me met de mauvaise humeur. Risquer sa vie pour défendre son honneur face à une bande de 5 types bas du front ? J'aurais fait comme toi.
Ventura Posté 25 août 2013 Signaler Posté 25 août 2013 En rentrant de soirée avec une amie, j'ai croisé un groupes de cinq mecs dont l'un d'eux s'est "amusé", sans raison aucune, à essayer de me balancer une poubelle pleine de bouteilles en verre sur la gueule. Elle a finalement atterri à mes pieds. Le jeune incivil m'a ensuite provoqué du regard en attendant une réaction. Je me suis bien évidemment effacé et je suis rentré chez moi. Une fois arrivé chez moi, j'ai balancé quelques coups de pied de frustration dans la porte et j'ai sérieusement envisagé de redescendre armé d'un couteau bien aiguisé. Heureusement, mon amie a calmé mes ardeurs vengeresses (et stupides) mais quand même, je me suis bien senti émasculé. Rien que d'y repenser, ça me met de mauvaise humeur. Si ils sont cinq et arrogants, ils sont sûrs de leur coup. Faut s'écraser. C'est dur sur le moment, c'est sûr.
Nirvana Posté 25 août 2013 Signaler Posté 25 août 2013 En rentrant de soirée avec une amie, j'ai croisé un groupes de cinq mecs dont l'un d'eux s'est "amusé", sans raison aucune, à essayer de me balancer une poubelle pleine de bouteilles en verre sur la gueule. Elle a finalement atterri à mes pieds. Le jeune incivil m'a ensuite provoqué du regard en attendant une réaction. Je me suis bien évidemment effacé et je suis rentré chez moi. Une fois arrivé chez moi, j'ai balancé quelques coups de pied de frustration dans la porte et j'ai sérieusement envisagé de redescendre armé d'un couteau bien aiguisé. Heureusement, mon amie a calmé mes ardeurs vengeresses (et stupides) mais quand même, je me suis bien senti émasculé. Rien que d'y repenser, ça me met de mauvaise humeur. Mieux vaut avoir l'air peureux (mais néanmoins adulte et responsable) que mort.
Rincevent Posté 25 août 2013 Signaler Posté 25 août 2013 On va pas commencer à se battre pour une espèce de chaine facebook débile à la thèse bien connue "toutes les religions = exactement la même merde= le mal".D'ailleurs, comme le disait Berlioz, "Cette religion charmante, depuis qu'elle ne brûle plus personne". Il parlait du catholicisme. Quoi, tu nous parles de culture franchouille et tu n'écoute même pas Jacques Brel ?Qu'est-ce que la culture française a à voir avec un nationaliste flamoutche ? des hommes en robeJ'ai récemment appris que vers le XVIIème et le XVIIIème siècles, il était de coûtume que les femmes de la noblesse fassent don de leur robe de mariage à un ecclésiastique pour qu'il s'y fasse retailler une chasuble. En gardant la dentelle et les froufrous. Tu m'étonnes que l'Ancien Régime se soit mal terminé... Face aux bretons, t'as pas l'impression d'avoir a faire a une page blanche décadente sur laquelle tu peux imposer ta burqa venue de nulle part.J'imagine que c'est donc pour ça qu'ils votent à gauche.
adrct Posté 25 août 2013 Signaler Posté 25 août 2013 Ils votent a gauche parce que comme la plupart des francais ils s'en foutent et n'y comprennent rien. Ce sont des modérés et donc malheureusement sensibles pour certain au bourrage du crane gauche = camp du bien. Ils ont un vote mou héritier du vote chrétien démocrate et sont un poil + rebuté par le coté bling bling d'un sarko et les discours sécuritaires et anti immigrés de la droite (faut dire qu'ils sont pas concernés par ces problèmes) que par la social-démocratie flambyesque. Dans l'ensemble tu leur fous bayrou ils sont heureux. Enfin bref.
Rincevent Posté 25 août 2013 Signaler Posté 25 août 2013 Ils votent a gauche parce que comme la plupart des francais ils s'en foutent et n'y comprennent rien. Ce sont des modérés. Ils ont un vote mou héritier du vote chrétien démocrateTu iras dire ça aux électeurs du Trégor rouge.
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