paulau Posté 14 août 2013 Signaler Posté 14 août 2013 Re-durcissement de la carte scolaire : comment la mixité peut favoriser l'exclusion de certains élèvesVincent Peillon prétend favoriser la mixité sociale et ethnique en revenant sur l'assouplissement de la carte scolaire, mais le mélange des genres n'a pas que des avantages pour les victimes de discrimination, telles que les enfants juifs, qui fuient en masse l'école publique.Read more at http://www.atlantico.fr/decryptage/re-d ... IsvbgL8.99
Malky Posté 14 août 2013 Signaler Posté 14 août 2013 Re-durcissement de la carte scolaire Ça c'est un coup du ministre du dressement reproductif.
lokir Posté 14 août 2013 Signaler Posté 14 août 2013 Non, pas surpris en effet. Il fallait, bien sûr, que cette aberration cesse ! Et que l’Éducation nationale retrouve son rôle premier, celui d’un mixeur, seul appareil susceptible de mélanger les couleurs, les bons et les mauvais, les violents et les calmes, les voyous et les bien élevés. Il est à craindre pour M. Peillon que les résultats attendus de sa contre-réforme ne soient pas ceux qu’il souhaite.Read more at http://www.atlantico.fr/decryptage/re-durcissement-carte-scolaire-comment-mixite-peut-favoriser-exclusion-certains-eleves-benoit-rayski-813370.html#lYXzxOK46I0E4y4R.99 On croit rêver... Il faudra un jour que ces mecs comprennent qu'il n'y a pas qu'à l'école qu'on peut rencontrer d'autres types de personnes. Pas la peine d'établir cette fraternité forcée.
Rincevent Posté 14 août 2013 Signaler Posté 14 août 2013 "Et que l’Éducation nationale retrouve son rôle premier, celui d’un mixeur"En effet, c'est un appareil destiné à broyer les têtes les plus dures, briser les liens les plus solides et donner de la bouillie à tous. J'approuve totalement la métaphore.
Lancelot Posté 14 août 2013 Signaler Posté 14 août 2013 La carte scolaire détruit chaque année l'avenir de milliers d'enfants qui n'ont pas la chance d'avoir des parents assez riches et/ou intelligents. Quel désastre et quelle ironie.
NoName Posté 14 août 2013 Signaler Posté 14 août 2013 De tous les monopoles, le pire, c'est celui de l'Education n'est-ce pas ? Je pense que l'état de l'Université et de l'EdNat est pour beaucoup dans mon rapprochement avec les idées libérales.
lokir Posté 14 août 2013 Signaler Posté 14 août 2013 Vu que l'EdNat forge les esprits de demain, c'est sûr qu'à long terme c'est le pire des monopoles.Le pire serait qu'en plus de re-durcir la carte scolaire, ils réduisent/suppriment la possibilité de payer en fonction du quotient familial dans les écoles privés sous contrats. Là, le privé sera vraiment réservé uniquement aux plus aisés.
Bastiat Posté 15 août 2013 Signaler Posté 15 août 2013 De tous les monopoles, le pire, c'est celui de l'Education n'est-ce pas ? Je pense que l'état de l'Université et de l'EdNat est pour beaucoup dans mon rapprochement avec les idées libérales. Pareil Vu que l'EdNat forge les esprits de demain, c'est sûr qu'à long terme c'est le pire des monopoles. Le pire serait qu'en plus de re-durcir la carte scolaire, ils réduisent/suppriment la possibilité de payer en fonction du quotient familial dans les écoles privés sous contrats. Là, le privé sera vraiment réservé uniquement aux plus aisés. Assez d'accord, à long terme, c'est le pire, idéologie, uniformisation de l'apprentissage et donc de la pensée, généralisation des erreurs pédagogiques, comme pour l’apprentissage de la lecture. C'est une des grande calamité qui se soit abattu sur la France, d'ailleurs il me semble que la France produit depuis lors assez peu de grands penseurs, comme ceux du 19e et du début 20e que l'on célèbre encore aujourd'hui. A court en moyen terme, c'est incontestablement le monopole monétaire qui est le pire.
Tremendo Posté 15 août 2013 Signaler Posté 15 août 2013 Je pense que l'état de l'Université et de l'EdNat est pour beaucoup dans mon rapprochement avec les idées libérales. Oui, c'est mon cas, je ne dis pas que l'ambiance familiale n'a pas facilité les choses, mais l'ednat m'a vraiment révélé mon libéralisme, et ma vie quotidiennne désormais n'arrange pas les choses parce que des fois je me sens vraiment anarchiste.
Neuron Posté 20 septembre 2013 Signaler Posté 20 septembre 2013 Intéressant : http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/09/20/97001-20130920FILWWW00319-un-college-peut-refuser-une-reinscription.php
Elphyr Posté 20 septembre 2013 Signaler Posté 20 septembre 2013 des fois je me sens vraiment anarchiste.D'ailleurs le concept d'anarcap passe très mal pour le français moyen. "Quoi ? T'es anarchiste ? Donc t'es communiste ?" "Quoi ? Anarcap ? Mais alors t'es un suppôt apatride du Grand Kapital lol" Merci les cours d' """Histoire""" à l'école... (Le pire c'est que, personnellement, j'ai eu de la chance d'avoir des profs éclairés, quand on voit ce qui apprennent maintenant en fac d'histoire...)
Voy Posté 20 septembre 2013 Signaler Posté 20 septembre 2013 D'ailleurs le concept d'anarcap passe très mal pour le français moyen. "Quoi ? T'es anarchiste ? Donc t'es communiste ?" "Quoi ? Anarcap ? Mais alors t'es un suppôt apatride du Grand Kapital lol" Merci les cours d' """Histoire""" à l'école... (Le pire c'est que, personnellement, j'ai eu de la chance d'avoir des profs éclairés, quand on voit ce qui apprennent maintenant en fac d'histoire...) Oh. Pas besoin d'être à la fac, on rabâche aux lycéens que les États-Unis sont un pays au "capitalisme sauvage ultra-libéral". À ne pas manquer aussi (j'en ai été triste témoin) : - La Banque de France a le monopole de l'émission de la monnaie; - Le New Deal a sauvé les États-Unis; - L'économie est beaucoup plus libérale qu'elle ne l'était pendant l'avant-guerre, elle est même aujourd'hui "ultralibérale". Prendre les dix premières pages du premier chapitre d'"économie" d'un livre de 1ère de SES (Magnard) et lister les économistes auteurs des extraits : Lionel Robbins, Karl Marx, Paul Samuelson, Paul Krugman, Ben Bernanke, re-Paul Krugman, et, parce-qu'il-faut-quand-même-être-ouvert-à-tout, Adam Smith. Les plus récurrents sont Paul Krugman (keynésien) et on trouve quelques extraits de Bernanke éparpillés dans le bouquin. En histoire et en SES, deux matières liées, toutes les études de cas sont présentées de manière à faire valoir le rôle de l'État dans l'économie. Tous les cours d'histoire et de sciences humaines se résument en trois mots : bourrage - de - crâne. La quasi-totalité des professeurs n'ont jamais travaillé dans le privé, n'ont jamais eu à subvenir leur besoin en étant productifs et en ayant des obligations de résultat, et en conséquence ne réactualisent jamais leurs cours et ressortent chaque année les mêmes diaporama (ce qui fait que oui, en 2013, la BDF a le monopole d'émission de la monnaie en France...). La carte scolaire a le mérite de rassembler les bons avec les bons, les moyens avec les moyens et les mauvais avec les mauvais. EDIT, trompé : La suppression de la carte scolaire a le mérite de rassembler les bons avec les bons, les moyens avec les moyens et les mauvais avec les mauvais. Les bons ne font jamais "avancer les classes" comme le prétendent les professeurs bien-pensants - ils tendent à se renfermer pour se protéger. Les moyens stagnent ou se débattent, mais n'ont pas les capacités des bons pour se démarquer. Les mauvais empirent et sont réorientés quand on peut les réorienter. Si on ne peut pas, Kévin et Hakim, 15 ans, illettrés feront un CAP fleuriste. Et vlan. Des bons avec des bons, ça crée des experts - des moyens avec des moyens, ça se concilie et ça tend à aller vers le haut et les mauvais avec les mauvais peuvent espérer améliorer un minimum leurs connaissances ou au moins ne pas mal influencer les moyens et les bons élèves. Au fond, dans le système de la carte scolaire, les plus grosses victimes sont les élèves "moyens". Les bons élèves tendent à avoir des capacités de mémorisation et d'assimilation des connaissances qui leur permettent de constituer des "réserves", de rattraper le retard de la classe ou de compenser avec des connaissances extérieures à l'école. Les moyens, eux, oscillent autour de la moyenne et tentent de faire de leur mieux alors qu'ils sont ceux qui ont le plus besoin d'être accompagnés. Comme toujours, c'est le nivellement par le bas.
NicolasB Posté 20 septembre 2013 Signaler Posté 20 septembre 2013 Je ne savais même pas pour le durcissement, mais je m'en fous, ce sera le privé pour mes enfants.
NoName Posté 20 septembre 2013 Signaler Posté 20 septembre 2013 La carte scolaire a le mérite de rassembler les bons avec les bons, les moyens avec les moyens et les mauvais avec les mauvais. Les bons ne font jamais "avancer les classes" comme le prétendent les professeurs bien-pensants - ils tendent à se renfermer pour se protéger. Les moyens stagnent ou se débattent, mais n'ont pas les capacités des bons pour se démarquer. Les mauvais empirent et sont réorientés quand on peut les réorienter. Si on ne peut pas, Kévin et Hakim, 15 ans, illettrés feront un CAP fleuriste. Et vlan. Des bons avec des bons, ça crée des experts - des moyens avec des moyens, ça se concilie et ça tend à aller vers le haut et les mauvais avec les mauvais peuvent espérer améliorer un minimum leurs connaissances ou au moins ne pas mal influencer les moyens et les bons élèves. Au fond, dans le système de la carte scolaire, les plus grosses victimes sont les élèves "moyens". Les bons élèves tendent à avoir des capacités de mémorisation et d'assimilation des connaissances qui leur permettent de constituer des "réserves", de rattraper le retard de la classe ou de compenser avec des connaissances extérieures à l'école. Les moyens, eux, oscillent autour de la moyenne et tentent de faire de leur mieux alors qu'ils sont ceux qui ont le plus besoin d'être accompagnés. Comme toujours, c'est le nivellement par le bas. Euh, on doit pas parler de la même chose là. La carte scolaire c'est juste une affectation purement géographique des élèves, sans distinction de niveau (me semble t'il). Ça fait juste que si tu es un très bon élève dans un quartier pourri ou une ZEP, bah tu va être obligé d'y rester avec des classes de merde au lieu de pouvoir changer et passer dans un établissement un peu moins délabré. Ça fait aussi que si tu déménages juste à la fin de ton collège pour un autre secteur et que tu veux rejoindre tes potes qui vont tous dans le lycée de ton ancien secteur, bah t'es marron. Franchement je vois mal l'intérêt.
Chitah Posté 20 septembre 2013 Signaler Posté 20 septembre 2013 Euh, on doit pas parler de la même chose là. La carte scolaire c'est juste une affectation purement géographique des élèves, sans distinction de niveau (me semble t'il). Ça fait juste que si tu es un très bon élève dans un quartier pourri ou une ZEP, bah tu va être obligé d'y rester avec des classes de merde au lieu de pouvoir changer et passer dans un établissement un peu moins délabré. Ça fait aussi que si tu déménages juste à la fin de ton collège pour un autre secteur et que tu veux rejoindre tes potes qui vont tous dans le lycée de ton ancien secteur, bah t'es marron. Franchement je vois mal l'intérêt. http://web.archive.org/web/20100710185247/http://www.contrepoints.org/Carte-scolaire-comment-une-etude.html
Lancelot Posté 20 septembre 2013 Signaler Posté 20 septembre 2013 La carte scolaire a le mérite de rassembler les bons avec les bons, les moyens avec les moyens et les mauvais avec les mauvais. D'accord avec le reste mais là non. La carte scolaire est précisément faite pour empêcher les regroupements par niveau. Bien sûr on peut la contourner par des astuces immobilières ou administratives si on a la chance d'avoir des parents qui ont les moyens et la motivation pour agir (d'où un gros avantage aux enfants de riches ou de profs). Malheureusement des milliers d'élèves moyens/bons (les très bons arriveront toujours à s'en sortir) ne sont pas dans ce cas et se retrouvent donc piégés. Sacrifiés. Bref encore une fois, comme dirait Bastiat, l'interventionnisme rajoute des obstacles sur la route en prétendant en enlever. 1
Hayek's plosive Posté 20 septembre 2013 Signaler Posté 20 septembre 2013 Ca marche comme ca aussi en Angleterre, visiblement: http://www.telegraph.co.uk/education/7995024/Catchment-areas-moving-to-be-near-a-good-school.html
Elphyr Posté 20 septembre 2013 Signaler Posté 20 septembre 2013 C'est encore un endroit où je trouve la liberté de choisir son école tellement logique que je ne comprends pas l'existence d'une carte scolaire et encore moins les arguments pour la défendre. C'est juste... waow. Mixité "sociale" (pour éviter d'utiliser "raciale") ? Elle se fera très bien tout au long de la vie sans que quelqu'un ne vous dise où aller. Et puis si chacun à le choix du lieu de son école, cette mixité sociale peut très bien s'opérée toute seule.
Voy Posté 20 septembre 2013 Signaler Posté 20 septembre 2013 D'accord avec le reste mais là non. La carte scolaire est précisément faite pour empêcher les regroupements par niveau. Bien sûr on peut la contourner par des astuces immobilières ou administratives si on a la chance d'avoir des parents qui ont les moyens et la motivation pour agir (d'où un gros avantage aux enfants de riches ou de profs). Malheureusement des milliers d'élèves moyens/bons (les très bons arriveront toujours à s'en sortir) ne sont pas dans ce cas et se retrouvent donc piégés. Sacrifiés. Bref encore une fois, comme dirait Bastiat, l'interventionnisme rajoute des obstacles sur la route en prétendant en enlever. Ouep. Je me suis mal exprimé. Je voulais dire que la suppression de la carte scolaire a le mérite de séparer de manière positive les élèves par niveaux. Navré.
Lancelot Posté 20 septembre 2013 Signaler Posté 20 septembre 2013 Ok, je me disais aussi que c'était étrange au milieu du reste Ça m'aura donné l'occasion de développer mon premier message un peu lapidaire sur le thread.
Cthulhu Posté 20 septembre 2013 Signaler Posté 20 septembre 2013 Prendre les dix premières pages du premier chapitre d'"économie" d'un livre de 1ère de SES (Magnard) et lister les économistes auteurs des extraits :Lionel Robbins, Karl Marx, Paul Samuelson, Paul Krugman, Ben Bernanke, re-Paul Krugman, et, parce-qu'il-faut-quand-même-être-ouvert-à-tout, Adam Smith. Tiens dans le même registre, j'ai ouvert un cours d'économie de L1 par curiosité dans une librairie. Je tombe sur un des premiers chapitres : "Les dysfonctionnements du marché et régulations de l'Etat". Exemple utilisé: la téléphonie mobile
glandon Posté 4 mars 2014 Signaler Posté 4 mars 2014 L'Etat s'apprête à deverser des tombereaux d'argent vers des établissements scolaires dont voici la liste http://www.lemonde.fr/societe/article/2014/03/04/education-la-carte-des-102-super-zep-a-la-rentree-2014_4377172_3224.html Cette décision aura au moins l'avantage d'informer et d'alerter les parents, soucieux de la réussite de leurs enfants, pour qu'ils fassent le maximum afin qu'ils ne soient pas scolarisés là..
Vengeusemasquée Posté 5 mars 2014 Signaler Posté 5 mars 2014 Ca me fait mourir de rire ça. Lorsque je vois la liste des collèges de l'académie de Créteil, quasiment tous en Seine-Saint-Denis et que je pense aux principaux qui sont à la tête des établissements, je glousse mais je glousse... on verserait 4 millions par établissement que ça ne changerait rien, ça je peux vous l'assurer, en tout cas pour la plupart d'entre eux.
NicolasB Posté 5 mars 2014 Signaler Posté 5 mars 2014 Ca me fait mourir de rire ça. Lorsque je vois la liste des collèges de l'académie de Créteil, quasiment tous en Seine-Saint-Denis et que je pense aux principaux qui sont à la tête des établissements, je glousse mais je glousse... on verserait 4 millions par établissement que ça ne changerait rien, ça je peux vous l'assurer, en tout cas pour la plupart d'entre eux. Tu bosses à l'Ed Nat????
Chitah Posté 5 mars 2014 Signaler Posté 5 mars 2014 Ca me fait mourir de rire ça. Lorsque je vois la liste des collèges de l'académie de Créteil, quasiment tous en Seine-Saint-Denis et que je pense aux principaux qui sont à la tête des établissements, je glousse mais je glousse... on verserait 4 millions par établissement que ça ne changerait rien, ça je peux vous l'assurer, en tout cas pour la plupart d'entre eux. Je ne crois pas qu'il s'agisse de verser de l'argent à des établissements scolaires, que je sache le proviseur n'est pas à la tête d'un budget (ou alors rikiki). Ici il s'agit j'imagine d'embaucher du personnel qualifié pour aider les gamins, monter des études après les cours (1 ou 2h de devoirs supervisés par un prof), etc. L'article ne précise absolument pas ce que ce projet contient, je ne vois pas comment on peut le juger a priori.
glandon Posté 5 mars 2014 Signaler Posté 5 mars 2014 je pense aux principaux qui sont à la tête des établissements, je glousse mais je glousse... Sans donner des noms, je présume que ce sont pour la plupart de bons vieux glandeurs gauchistes qui lisent leur "libé" en salle des profs ou de bon gros appartchiks staliniens encartés au PCF et acoquinés avec les élus communistes du coin.
h16 Posté 5 mars 2014 Signaler Posté 5 mars 2014 L'article ne précise absolument pas ce que ce projet contient, je ne vois pas comment on peut le juger a priori. Sur 40 années de merdoiement magistral, c'est vrai que 2014 est vraiment LA bonne année pour revenir dans le droit chemin.
Brock Posté 5 mars 2014 Signaler Posté 5 mars 2014 ils sont devenus competents d'un coup, paf ! meme toi tu t'y attendais pas
Chitah Posté 5 mars 2014 Signaler Posté 5 mars 2014 http://web.archive.org/web/20100710185247/http://www.contrepoints.org/Carte-scolaire-comment-une-etude.html Je me re-cite car l'article est intéressant On constate que les familles ont tendance depuis 2010 à retirer leurs enfants des zones d'éducation prioritaire.
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