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Images pas cool, justice sociale & steaks saignants


Lancelot

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Posté

Donc ils réinventent la science prolétarienne et la psychiatrisation des opposants. Bientôt Guépéou et Goulag !

Posté

Debate of the century :

 

 

Les commentaires donnent dans le magique. Le ma-gique.

 

___

 

Sinon, pour les franchouilles, faut aller regarder les réactions des anti-racistes racistes à la dernière campagne de SOS Racisme :D. Campagne qui est très stupide d'ailleurs, mais bon...

Posté

Interessant article sur la (auto-)censure SJW dans l'édition américaine.

 

"Le fait que son livre ait blessé les membres de la communauté qu’elle avait justement espéré toucher affligea Becky Albertalli. Lorsqu’elle commença à travailler à son deuxième roman, The Upside of Unrequited, sur des sœurs jumelles sur le point de plonger dans le grand bain des histoires de cœur lycéennes, elle était bien déterminée à ne pas commettre la même erreur. Donc, avant d’envoyer son manuscrit à l’impression, elle contacta un groupe de «sensitivity readers», ou détecteurs de faux pas littéraires. Ces anges dispensateurs de conseils—moitié contrôleurs d’informations, moitié ambassadeurs culturels—sont de tout nouveaux venus dans l’écosystème de l’édition américaine. Engagés soit par des auteurs, soit par des maisons d’édition, ils appartiennent à une minorité et sont chargés d’examiner des manuscrits dans le but de débusquer d’éventuelles descriptions blessantes, inexactes ou inappropriées de ladite minorité.

Sur le site de Writing in the Margins, lancé en 2012, l’auteure Justina Ireland formule les objectifs de ce nouveau parc d’experts: signaler les «préjugés intériorisés et le discours chargé négativement» susceptibles d'émerger lorsque les auteurs créent «hors de leur champ d’expérience.» En avril de l’année dernière, Justina Ireland a mis en place une base de données publique où les détecteurs de faux pas indépendants peuvent entrer leurs noms, leurs coordonnées et leur «domaine d’expertise». Ces connaissances particulières sont en général ancrées dans l’identité («femme queer», «métis bisexuel», «est-asiatique», «musulman») ainsi que dans des histoires personnelles de maladie mentale, de mauvais traitements et de négligence, de pauvreté, de handicap ou de maladies chroniques."

 

http://www.slate.fr/story/143567/pardon-pour-mon-roman

Posté

Notez l'ecrasant majorite de femmes dans cet univers douillet, exacte extension du gouvernemaman.Cela se retrouve aussi dans les dernieres aventures Suedoises.

Posté
  Le 12/04/2017 à 19:17, Bézoukhov a dit :

Sinon, pour les franchouilles, faut aller regarder les réactions des anti-racistes racistes à la dernière campagne de SOS Racisme :D. Campagne qui est très stupide d'ailleurs, mais bon...

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Comme d'hab, du polylogisme écoeurant

Posté
  Le 14/04/2017 à 11:43, Fagotto a dit :

Interessant article sur la (auto-)censure SJW dans l'édition américaine.

 

"Le fait que son livre ait blessé les membres de la communauté qu’elle avait justement espéré toucher affligea Becky Albertalli. Lorsqu’elle commença à travailler à son deuxième roman, The Upside of Unrequited, sur des sœurs jumelles sur le point de plonger dans le grand bain des histoires de cœur lycéennes, elle était bien déterminée à ne pas commettre la même erreur. Donc, avant d’envoyer son manuscrit à l’impression, elle contacta un groupe de «sensitivity readers», ou détecteurs de faux pas littéraires. Ces anges dispensateurs de conseils—moitié contrôleurs d’informations, moitié ambassadeurs culturels—sont de tout nouveaux venus dans l’écosystème de l’édition américaine. Engagés soit par des auteurs, soit par des maisons d’édition, ils appartiennent à une minorité et sont chargés d’examiner des manuscrits dans le but de débusquer d’éventuelles descriptions blessantes, inexactes ou inappropriées de ladite minorité.

Sur le site de Writing in the Margins, lancé en 2012, l’auteure Justina Ireland formule les objectifs de ce nouveau parc d’experts: signaler les «préjugés intériorisés et le discours chargé négativement» susceptibles d'émerger lorsque les auteurs créent «hors de leur champ d’expérience.» En avril de l’année dernière, Justina Ireland a mis en place une base de données publique où les détecteurs de faux pas indépendants peuvent entrer leurs noms, leurs coordonnées et leur «domaine d’expertise». Ces connaissances particulières sont en général ancrées dans l’identité («femme queer», «métis bisexuel», «est-asiatique», «musulman») ainsi que dans des histoires personnelles de maladie mentale, de mauvais traitements et de négligence, de pauvreté, de handicap ou de maladies chroniques."

 

http://www.slate.fr/story/143567/pardon-pour-mon-roman

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"Sensitivity readers", je ne comprends pas qu'un auteur puisse se soumettre à une telle horreur. :(

C'est juste de la censure et du pur politiquement correct, avec le bingo habituel qui va avec.

Posté
  Le 14/04/2017 à 19:14, Azref a dit :

 

"Sensitivity readers", je ne comprends pas qu'un auteur puisse se soumettre à une telle horreur. :(

C'est juste de la censure et du pur politiquement correct, avec le bingo habituel qui va avec.

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Les Bonnes Intentions.

  • Yea 1
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Mais qu'est-ce qu'elle projette...

 

"Les blancs se voient eux-même comme race à part" euh nan, c'est juste toi qui les classe par leur couleur de peau. C'est ton racisme qui s'exprime.

 

"Le rapport à la race dans lequel se projettent les Européens les place hors-humanité" ménon c'est ton rapport aux considérations raciales que tu projettes sur les Européens pour pouvoir tranquillou les traiter de sous-êtres.

 

Waciss'.

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J'adore l'argument de la mixité. "Les blancs ne sont même pas capables de transmettre la race à laquelle ils prétendent appartenir". Pendant ce temps là, les SJW sont les premiers à aller emmerder des métisses pas assez bronzés à leur gout pour représenter la cause.

 

J'adore aussi comme le fait de répéter que les institutions sont racistes semble être suffisant pour le prouver, sans donner le moindre début de commencement de preuve.

Posté
  Le 15/04/2017 à 11:43, Jesrad a dit :

Mais qu'est-ce qu'elle projette...

 

"Les blancs se voient eux-même comme race à part" euh nan, c'est juste toi qui les classe par leur couleur de peau. C'est ton racisme qui s'exprime.

 

"Le rapport à la race dans lequel se projettent les Européens les place hors-humanité" ménon c'est ton rapport aux considérations raciales que tu projettes sur les Européens pour pouvoir tranquillou les traiter de sous-êtres.

 

Waciss'.

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Classique, vu aussi dans le feminisme: on decide des motivations et affects de l'autre pour pouvoir les critiquer.Les mtivations reelles n'ont pas d'importance.

Posté

"Les européens sont les seuls à avoir envahi le monde entier et prédater" (sic)

C'est sûr que jamais les mongols de la horde d'or n'ont roulés militairement sur tout le monde d'un bout à l'autre du continent asiatique. Que jamais les ottomans n'ont établi un empire. Que la chine n'a envahi les royaumes voisins après s'être auto-envahie unifiée. Que Shaka Zulu n'a fédéré par la force les royaumes zoulous et les royaumes voisins. Que les aztèques ne pratiquait pas la guerre fleurie, que les perses...

Rah putain mais que quelqu'un lui offre un exemplaire de age of empires avant que je ne lui offre une paire de claque.

Posté

" Les blancs se voient eux-mêmes comme une race à part"

 

Tiens tiens, où ai-je déjà entendu ça ? Ah oui, chez des discours anticommunautariste des Le Pen and co.

 

Et avec l'autre folle ( comment c'est possible qu'elle fasse des études), encore une fois on a un raisonnement collectiviste qui a une vision de la Justice où les actes et responsabilités sont partagés par " race " et où deux maux font un bien. 

 

Les sjw sont des malades mentaux.

Posté

Tous les backpackers ne sont pas non plus des gros connards moralisateurs. Et le fait de voyager léger n'as rien de mauvais de mon point de vue. C'est surtout le "white privilege" qu'on sent arriver à des km dans l'article et qui débarque effectivement au 2èm ou 3èm paragraphe. Ça et la "journaliste" anglaise d'origine indienne qui vient nous faire un gros cas de racisme sjwesque...

(Bon faut avouer que l'ironie que certains bobo-écolos se prennent le retour du white privilege dans la face arrache un rictus).

Posté
  Le 15/04/2017 à 17:30, Atika a dit :

comment c'est possible qu'elle fasse des études

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Non seulement ces gens font des études mais ils deviennent chercheurs, pondent des papiers dont on peut imaginer la qualité, se citent et réseautent exclusivement entre eux (en terrorisant dans la mesure du possible l'opposition). C'est comme ça qu'on arrive à certains "consensus scientifiques" hallucinants.

Posté

D'ailleurs j'aime taper sur Kuhn mais pour le coup cette idéologisation de la science fait qu'elle tombe pile dans sa description d'un paradigme dominant et prédateur.

Posté
  Le 15/04/2017 à 11:46, FabriceM a dit :

J'adore aussi comme le fait de répéter que les institutions sont racistes semble être suffisant pour le prouver, sans donner le moindre début de commencement de preuve.

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C'est tellement ça. Comme dirait l'autre: "calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose".

Posté
  Le 16/04/2017 à 16:22, Lancelot a dit :

D'ailleurs j'aime taper sur Kuhn mais pour le coup cette idéologisation de la science fait qu'elle tombe pile dans sa description d'un paradigme dominant et prédateur.

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