Tramp Posté 18 janvier Signaler Posté 18 janvier Si chacun doit prendre sa part, pourquoi ces xxxxxxxx n’augmentent pas simplement la TVA? 2
Lameador Posté 24 février Signaler Posté 24 février Avant que notre gouvernement chéri ne réhausse les taxes, on trouvait souvent des vols à 20€
Largo Winch Posté 18 mars Signaler Posté 18 mars Conséquence logique des nouvelles taxes : Ryanair fuit la France : https://x.com/le20hfrancetele/status/1901721197165133832 Encore un beau succès de l'idéologie anti-avion : impact écologique nulle, baisse des recettes fiscales (courbe de Laffer), destruction de l'emploi, enclavement économique et double effet inflationniste sur les billets d'avion (la taxe+moins d'offre). Et en prime, on a droit au discours des neuneus de la télévision publique qui qualifient de "représailles" des choix de gestion de bon sens. 5 2
Tramp Posté 18 mars Signaler Posté 18 mars Et en meme temps, Bayrou fait pression sur Air France pour ouvrir une deuxième ligne Pau-Paris. Hontectomie totale. Finalement c’est la compagnie Amélia qui reprend cette ligne avec 300 000 euros de subventions.
Adrian Posté 30 juillet Signaler Posté 30 juillet Ryanair diminue ses activités en France après l’annonce de la hausse de la fiscalité sur les billets d’avion Citation Ryanair met ses menaces à exécution. En guerre depuis des mois contre la hausse de la taxe sur les billets d’avion (TSBA), la compagnie irlandaise à bas coûts a annoncé, mercredi 30 juillet, réduire ses activités dans l’Hexagone. A l’occasion de son prochain programme d’hiver, qui court de novembre à mars, Ryanair va réduire « de 13 % sa capacité en France », ce qui entraînera la suppression de 750 000 sièges. La compagnie a aussi fait savoir qu’elle va annuler 25 destinations et fermera ses « opérations aux aéroports de Bergerac [Dordogne], Brive [Corrèze] et Strasbourg ». Ce retrait massif fait suite à la hausse du barème de la taxe sur les billets d’avion (TSBA) en mars, dénonce la compagnie. Une augmentation incompatible, selon Ryanair, avec les marges très faibles dégagées par les compagnies aériennes. Elles n’auraient progressé que de « 2 % à 3 % par rapport à 2019, dernière année avant le Covid », rapporte au Monde Jason McGuinness, directeur commercial de la compagnie low cost. En moyenne, signale Thomas Juin, président de l’Union des aéroports français (UAF), « les compagnies dégagent une marge de 6 euros par passager alors que la TSBA est désormais de 7 euros par billet d’avion. Cela se joue à quelques euros près de fiscalité ». [...] Dans la foulée, elle annonce aussi retenir les investissements qu’elle envisageait dans le pays. Ryanair prévoyait de dépenser 2,5 milliards de dollars (environ 2,16 milliards d’euros) pour acheter 25 nouveaux avions afin de desservir des destinations locales. La compagnie visait, dit-elle, un doublement de son trafic dans l’Hexagone pour dépasser les 30 millions de passagers transportés par an. Ce qui aurait aussi, selon elle, permis la création de 750 emplois supplémentaires dans ses rangs en région. En revanche, elle n’envisage pas de suppressions de postes. Le pas en arrière de Ryanair inquiète du côté des aéroports. En effet, si la compagnie irlandaise diminue ses activités en France, c’est pour mieux les réorienter « vers des marchés européens plus compétitifs comme la Suède, la Hongrie ou certaines régions d’Italie, où les gouvernements suppriment activement les taxes aériennes pour stimuler le trafic, le tourisme, l’emploi et la reprise économique », plaide Jason McGuinness. Pays d’origine du « flygskam » (la honte de prendre l’avion), la Suède a ainsi changé de pied et vient d’abolir, le 1er juillet, les taxes sur le transport aérien, souligne le directeur commercial. 1
Largo Winch Posté Lundi at 12:10 Signaler Posté Lundi at 12:10 Oh bah zut alors, on ne s'attendait pas à de telles conséquences !... Quote Le budget 2025 a instauré depuis mars une taxation renforcée sur l'aérien, via un triplement de la "taxe de solidarité sur les billets d'avion" (TSBA). (...) Selon une étude publiée cette semaine par la Direction générale de l'Aviation civile (DGAC), qui dépend du ministère des Transports, les compagnies aériennes n'ont pas taillé dans leurs marges. (...) Elles ont répercuté cette hausse sur les prix du transport aérien (...) ou les prestations facturées. (...) Conséquence, "la position concurrentielle des aéroports français s'est dégradée aussi bien sur le faisceau moyen-courrier (...) que sur le long-courrier, en concurrence avec les hubs, notamment extra-européens, pour attirer le trafic de correspondance". (...) "Ce ne sont pas seulement les compagnies aériennes qui en pâtissent", a argumenté le directeur général d'Air France-KLM, Benjamin Smith, "c'est tout le secteur du voyage, le tourisme, l'hôtellerie." (...) La DGAC a révélé mercredi que l'offre de sièges d'avions au départ de la France avait augmenté de seulement 1,4% depuis le début du deuxième trimestre, contre 4,7% dans le reste de l'Europe, laminant l'espoir de voir le pays bénéficier d'un "rebond" d'activité post-olympique comme d'autres pays hôtes. "La fiscalité française renchérit le prix des billets d'avion, détourne des capacités vers d'autres marchés européens et fragilise l'attractivité du pavillon national", a assuré jeudi le Syndicat des compagnies aériennes autonomes (Scara), pour qui "la perte d'attractivité de la France a des effets sur l'emploi et la connectivité". La naïveté de l'article qui titre "L'Etat s'est tiré "une balle dans le pied"", comme s'il s'agissait d'un effet pervers de la mesure, alors que le projet était bien de nuire au secteur aérien. C'est au contraire une mesure idéologique courronée de succès.
Liber Pater Posté Lundi at 12:45 Signaler Posté Lundi at 12:45 La solution c'est de subventionner le tourisme
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