Jump to content

Franklinson

Utilisateur
  • Posts

    318
  • Joined

  • Last visited

Everything posted by Franklinson

  1. Il y en a trop, des bus normaux, ça coûterait un pognon de dingue. Et il faudrait arriver à recruter. L'avenir est décidément sombre.
  2. Il y a des tas de gens qui l'ont démontré. J'ai cité une référence plus haut. Burry était connu pour ça avec le Big Short. Son journal se trouve facilement en ligne et est très clair ; beaucoup des entreprises qu'il a trouvées étaient des trouvailles formidables, qui certes demandaient du boulot : chercher où peu vont, lire des rapports pour comprendre avec une profondeur que peu de gens auront. Weschler est un autre cas remarquable et connu. Et si on s'écarte des day traders, des chasseurs de dividende, et autres chercheurs de raccourcis, il y a tout un tas de communautés en ligne où des tas de gens surperforment le marché. Et oui, la plupart des gens ne surperforment pas le marché, parce que beaucoup jouent au loto, d'autres achètent des part de grosses entreprises en pensant minimiser les risques, d'autres ont des actions de l'entreprise où ils travaillent parce que incentive, bref, plein de gens font un travail bâclé. Ou tout simplement la performance n'est pas leur but. Il vaut sans doute mieux prendre un ETF large type S&P500 ou world qu'autre chose si on ne veut pas faire un minimum d'effort. Mais laisser penser que ce serait presque impossible de battre le marché, c'est faux et dangereux. On a besoin de gens qui participent à la découverte des prix, et il serait dommage de décourager ceux qui sont volontaires à rendre ce service et qui seraient bons au jeu de l'allocation du capital. C'est du temps, des efforts, du travail, il faut aimer ça, mais c'est tout à fait réalisable et commun.
  3. On parle de battre le marché. Peu importe la méthode. C'est juste un exemple particulièrement parlant. J'ai aussi bêtement acheté des actions vraiment pas chères de sociétés avec peu de volume échangé, qui n'intéressaient donc pas grand monde (et surtout peu de professionnels, même si dans le cas qui me vient en premier, c'était une erreur, à mon avis, particulièrement vu qu'elle donne des dividendes). Cela-dit, quand on est un petit porteur et qu'on a du temps, les situations spéciales devraient constituer une partie importante de la plus-value, je pense. Après, chacun est à l'aise avec ce qu'il comprend. Il y en a plein. Il suffit de sortir des US. Ça m'est arrivé d'échanger avec des gérants de fonds pour leur expliquer les particularités d'une loi locale. Je ne mets pas le quantitatif à la poubelle, au contraire, je connais très bien les sociétés dans lesquelles j'ai de grosses positions. Je connais leurs bilans et histoires financières, je comprends ce qu'ils vendent, leurs particularités, etc. C'est comme quand tu achètes une maison : tu observes le terrain, le quartier, la ville, la structure, l'installation électrique, la plomberie, etc. Sinon, ben c'est risqué. Et en général, les gens ont la plus grosse partie de leur patrimoine dans leur maison. Un vice bien caché ou un HLM plein de jeunes qui s'ennuient qui s'installe à côté, et bienvenue en enfer (et jolie moins-value à la vente). La base, c'est de ne pas perdre d'argent (2 règles de Buffet, ça vaut le coup d'y réfléchir pour vraiment comprendre ce que ça veut dire), donc j'aime les boites qui gagnent de l'argent ou qui vont (d'après moi) en gagner vite. Je n'aime pas trop les boites très endettées, même si l'effet de levier que ça procure peut être intéressant, je passe souvent. Et quand on a un petit capital (et du temps), on peut faire le difficile et attendre quelque chose qui soit vraiment pas cher, qui offre une bonne marge de sécurité. Par exemple, en ce moment, j'ai peu de temps (boulot), et j'ai fermé des positions qui sont arrivées à maturité, disons. Et bien j'ai du cash, et ce n'est pas très grave. Je préfèrerais être pleinement investi, mais je manque d'idée, parce que je manque de temps. Et je viens d'arriver en Europe (et je préfèrerais que la majorité de mon capital soit en EUR, ou USD à la limite, ou réparti entre plusieurs devises), donc je ne connais pas encore beaucoup d'entreprises, ni les particularités locales. Donc voilà. En général, j'essaie de comprendre pourquoi le prix affiché ne reflète pas la valeur réelle (d'après moi) de l'entreprise. Déjà, je préfère des entreprises qui ne sont suivies par aucun analyste. Ou alors, le mieux, c'est quand elle n'est suivie que par un seul analyste, que j'ai accès à l'analyse, et que je vois où il se trompe. Je ne joue pas au loto ; j'évite les entreprises type Biotech en phase clinique II avec un truc que je ne comprends pas. Je n'investis pas si je ne comprends pas. Il y aura d'autres opportunités. J'ai "raté" des x4 ou plus sur 2 ans qu'on m'a conseillé parce que je n'y pipais rien ou ça me paraissait trop risqué, Je n'ai aucune regret. Ça m'est arrivé de prendre des "paris" risqués, type je pense que ça a 90% de chance de passer et je fais x 4 et 10% de passer et je fais x 0, mais c'est rare, et je mets de petits %ages; l'idée est de faire jouer les stats à long terme. Quoique certains investissements values (type net-net) sont un peu ça. x 0 c'est peu probable, mais le coup d'opportunité (risque d'être sur un value-trap, une boite qui mets des plombes à se relever et vivote pendant un moment) peut être grand. Ce qui m'a coûté plus cher, pour l'instant, plus que les moins-values, c'est le coup d'opportunité à attendre qu'une boite se remette sur les rails. Avoir raison tard, c'est avoir tord. D'où l'importance de bien ajuster la taille de ses positions, et de passer sur des opportunités à l'évolution incertaine (et connaitre le management, etc.). Dans ce type de cas, j'aime les boites qui donnent des dividendes et/ou rachètent des actions. Au bout d'un moment, le rendement devient tellement bon que ça agit comme un catalyseur. Et sinon, et bien le rendement n'est pas génial, mais si ça te donne au moins le marché entre dividende, rachat d'actions, et croissance, c'est très acceptable. Et ça protège des pertes. Là où je ne fais pas comme Buffett du début, c'est la concentration. J'ai déjà été très concentré (40% de mon PF sur une action, de mémoire 70% sur le top 3) quand la plupart de mon patrimoine était dans mon appart (les deux-tiers à peu près), mais maintenant que la plupart est en actions, je ne le suis pas autant. On ne sait jamais, un météorite peut tomber sur le QG ou autre joyeuseté, donc je préfère risquer que ma 10e position ne soit pas aussi bonne que la 1ere (c'est l'argument de Munger) et baisser mon rendement (et effectivement, mes premières positions ont des rendements beaucoup plus élevés que les suivantes) comme une forme d'assurance contre les événements imprévus, ou tout bêtement, que je me trompe. Et quand je pense que je me suis trompé, je n'ai aucune problème à prendre une PV, je ne souffre pas du syndrome de "loss aversion" ou "anchoring bias" ou quoique ce soit. Si je ne rachèterais pas des actions à un certain prix, je n'ai aucune problème à les vendre, c'est l'ensemble qui est important. Et quand j'ai le temps (ou qu'un contact me les passe), les situations spéciales, ça fait toujours très plaisir. Bref, je pourrais continuer longtemps. L'essentiel c'est de bien savoir dans quoi on investit - surtout - et de se diversifier - pour éviter les imprévus type black swan - mais pas trop, enfin ça dépend de la capacité à trouver des perles, Peter Lynch était remarquable sur ça.
  4. Autant que je sache, les études parlent de moyenne, et ne concluent pas sur l'impossibilité pour des investisseurs de battre le marché, même si évidemment il doit y avoir des gens qui croient vraiment à l'efficacité du marché et qui pensent que les Superinvestors de Graham-and-Doddsville sont juste des gens chanceux qui par chance se trouvaient au bon endroit. Les études que j'ai vues se sont concentrées surtout sur les pros jusqu'aux années ~2000, et celles sur les "amateurs" (grâce aux données plus facilement accessibles) incluent les gens qui font du Day trading, qui "jouent au casino", etc. et je t'ai expliqué pourquoi ca ne sert à rien, et tu confirmes ça d'ailleurs à ta prochaine phrase. Tout ce que ça amènerait, ce serait encore plus de tournage en rond. De un, il ne sous-performe pas, de deux, j'ai déjà commenté sur ça. Il faudrait vraiment que tu lises les messages auxquels tu réponds, ça éviterait de tourner en rond. Buffet est dans une position infiniment plus difficile pour battre le marché que la nôtre. Il a dit lui-même qu'il ferait facilement 50% par an s'il revenait à un million. Après tu peux penser qu'il est complètement idiot, arrogant, ou qu'il ne sait pas de quoi il parle... Je parle du volume échangé sur une action. Ça m'est arrivé de faire des arbitrages et gagner 15% en 15 jours sur x000 euros qui représentaient plus d'une journée d'échange. Aucun fond ne va ne serait-ce que regarder ça (et c'est pour ça que l'opportunité existait, parce que parmi les gens qui pourraient le regarder, beaucoup jouent au loto et ne comprennent pas ceux qui se passe – ceux qui m'ont vendu ces actions). Quand ton AUM est de 50 ou 100M, tu ne regardes souvent même pas les entreprises où le volume d'échange est inférieur à 10K par jour. Tu penses vraiment que Buffet est un casse-cou qui ignore le risque ? Parce qu'il s'en fout aussi. Le bêta, c'est une mesure de la volatilité passée. On l'assimile au risque, ce qui a du sens d'une certaine manière, dans certains cas, notamment quand tu utilises du levier ou quand tu ne peux pas attendre. Ça a ses limites. J'ai la même opinion que Buffett : c'est à la portée de beaucoup de gens de battre le marché, mais ça implique du travail et de ne pas chercher de raccourcis. Et c'est ça qui fait que peu de gens y arrivent. Parce qu'ils ne font pas ça sérieusement, qu'ils cherchent des raccourcis, qu'ils ont la bougeotte, et qu'ils se laissent aller à plein de biais dont ils n'ont pas tenu compte. Tout comme ce qui m'empêche de courir un marathon, ce n'est pas le fait que c'est presque impossible pour un coureur moyen (d'ailleurs, la plupart des coureurs ne courent jamais de marathon), c'est parce que je n'ai pas envie d'y consacrer les efforts et le temps nécessaires. L'avantage du marathon, c'est que quand on se rend compte que prendre des suppléments et manger des chips puis courir un peu une fois par semaine, ça ne suffit pas, on s'arrête juste de courir après quelques km parce qu'on ne peut plus courir, et c'est moins grave d'être très essoufflé que de vider son portefeuille (quoiqu'apparemment, certains se blessent en courant des marathons sans être suffisamment préparés). Ça dépend évidemment de la position de chacun. Par exemple, je suis surexposé à un risque de change/pays par rapport à un autre français parce que mes intérêts sont dans deux pays. Je ne sais pas où je serai dans 20 ans (ma femme est étrangère et nous avons vécu dans son pays quelques années). J'ai aussi un capital élevé par rapport au salaire auquel je peux prétendre, ce qui justifie de prendre du temps pour prendre soin de mon capital. 1% de mon capital représente vite beaucoup d'heures de mon travail (édit: à vrai dire, de semaines), quand 1% de ton capital représenterait sans doute beaucoup moins.
  5. Sur mon excel de suivi, je me compare aux indices des deux pays dans lequel je suis le plus investi, dans leurs monnaies respectives, et au S&P500, et le NASDAQ (TR, en euros, parce que je suis quand même basé en France). Je ne calcule pas mon alpha, parce que j'ai la même position que Buffet sur le bêta, et je n'ai pas de levier ni d'investisseurs qui râlent, donc la volatilité, je m'en fiche un peu. Je note mes plus haut drawdowns par curiosité plus que par mesure de performance. Tu noteras que je n'ai pas parlé de *ma* performance, et si tu comprends un tant soit peu quelque chose au sujet, tu es bien au courant qu'une performance sur un semestre ne veut pas dire grand chose. Si je la mets ici et qu'elle est bonne, ce sera la première chose que tu diras (et tu auras raison), ou tu diras que je mens ; si elle est mauvaise, tu prendras ça pour une preuve. Donc je ne vois pas l'utilité pour le débat. J'investis depuis seulement ~5 ans, je suis le premier à dire que la performance est un mélange de (mal)chance et de travail/talent ; le temps se chargera de minimiser le premier. Ils ont des contraintes que les investisseurs individuels n'ont pas. En général, la quantité de capital. Souvent, des contraintes géographiques (par exemple, bizarrement, mes PEAs, que j'ai ouvert il y a un an et sur lequel j'ai mis pas mal de capital vu les avantages, ont des performances moindre que mes CTOs, parce que mon champ est plus limité – surtout le PEA-PME - et que je n'ai pas eu autant de temps à y consacrer). Et ils ont des investisseurs, avec les conséquences que Peter Lynch explique très bien. Avec le capital qu'il a, son terrain de jeu est limité à quelques dizaines d'entreprises tout au plus. Si tu chasses sur le même terrain que Buffett, je te conseille de changer de terrain ou, effectivement, de prendre des ETFs indiciels ; tu n'as pas bien compris tes avantages et où tu peux être utile. Si tu as moins de 1 ou 2 millions d'euros, tu as accès à des opportunités que les gérants de fonds ne vont même pas regarder, vu la liquidité ou la taille. Alors que quand son capital était faible, il a fait tout l'inverse. Et en face d'étudiants, il leur a dit qu'ils pouvaient tous être de bons investisseurs, mais qu'il fallait de la discipline et beaucoup de lecture, et que la plupart d'entre eux ne ferait pas le travail nécessaire. Je trouve ça dommage de décourager des gens en leur suggérant que c'est quasi impossible d'être productif en tant qu'investisseur (= battre le marché). Du coup, les seuls qui les encouragent, ce sont des vendeurs de rêves, et ça finit souvent en catastrophe. C'est comme si on laissait les vendeurs de drogue faire la plupart des vidéos sur les entrainements au marathon. Le quidam moyen est capable de courir un marathon, mais il faut d'abord qu'il passe du temps à s'entrainer en faisant gaffe de ne pas se blesser en allant trop vite, comme l'investisseurs peut apprendre en faisant gaffe de ne pas perdre trop d'argent (première règle de Buffet) ; il faut du temps, du travail, de la discipline, mais c'est à la portée de beaucoup de gens. Je n'ai jamais couru de marathon, parce que je n'ai jamais eu la volonté de le faire, ça ne veut pas dire que ce n'est pas à ma portée. Si vraiment je voulais, je pourrais. Ce serait difficile, long et fatiguant, mais il n'en tient qu'à moi ; je n'ai pas un corps très musclé, mais je n'ai aucun handicap physique. Donc si ça vous intéresse et que votre QI n'est pas trop bas (on a tous nos forces et nos faiblesses), n'hésitez pas. Mais ça prend du temps. Commencez par des cours de comptabilité, c'est la base. Comprenez même ce qu'est l'argent, le capital, ce qu'investir veut dire, concrètement. Ça évitera de se croire au casino. Et lisez des rapports d'entreprises, regardez ce qu'ont fait les investisseurs célèbres quand ils étaient dans la même situation que vous, ce qui est applicable et ce qui ne l'est plus. Comprenez qui est la contrepartie, pourquoi ce que vous pensez être une erreur existe, etc. Effectivement, le plupart d'entre vous ne prendront pas le temps de le faire, ou ne sont pas suffisamment intéressés par la chose. Dans ce cas, investissez dans un ETF world ou S&P500 ou/et autre véhicule, et surtout dans votre carrière.
  6. C'est là où je ne suis pas d'accord. C'est rien de terriblement compliqué. Il faut juste faire le boulot. La formulation pouvait laisser entendre que c'est très difficile et qu'en moyenne on perd par rapport au marché (mais c'est peut-être mon interprétation après avoir lu ça tant de fois). Les adeptes de la théorie des marchés efficients pensent que les investisseurs ne peuvent pas battre le marché en faisant le boulot, mais que toute performance est simplement le résultat d'un tirage du loto. Je ne suis pas d'accord avec ça. Surtout quand on a un capital petit (moins de 1 million, voire un peu pls), il y a des sommes très sympathiques à ramasser presque comme des feuilles mortes en automne.
  7. Ton ami joue au loto. Prend Nvidia. Modélise combien ils doivent gagner sur les 20 prochaines années pour justifier leur valorisation. Globalement, en tant qu'investisseur, tu es récompensé quand tu "corriges" des erreurs du marché. Il faut déjà une certaine arrogance. Pour une entreprise comme Nvidia, que des tas et des tas d'analystes scrutent en permanence, il en faut beaucoup. Parfois, à raison. Mais il faut avoir une certaine confiance en soi...
  8. Je conteste. (1) Autant que je sache, ce lieu commun est basé sur des études qui compare des fonds à des indices. Les fonds ont des objectifs autres que juste le rendement, et des contraintes particulières qu'un investisseur individuel n'a pas. (2) Des tas d'investisseurs investissent en bourse comme d'autres jouent à la loterie. Plus j'échange avec des investisseurs, plus je suis rassuré quant à savoir si mes bons rendements sont dus à une chance insolente ou à du travail bien fait : beaucoup jouent à la loterie, et parmi ceux qui font le boulot et qui ne sont pas trop bêtes, une grande proportion surperforme les indices. Par contre, oui, il faut bosser. Je recommande d'ailleurs de comprendre vraiment pourquoi on est récompensé quand on investit bien, qui est la contrepartie, etc.
  9. Oui, TikTok est une poubelle bien pire que X, mais vu le public et l’orientation générale, ils n’ont pas de problème à trouver des annonceurs (que je sache).
  10. .,,, Je réponds à un message qui soutient que la majorité des musulmans vote LFI parce que le parti soutient des comportements clairement intégristes. C’est ce post-là qui sous-entend que les musulmans votent majoritairement pour LFI parce que LFI soutient l’intégrisme.
  11. On pourrait rêver et penser que les musulmans ne sont pas tous des intégristes aussi. Ma grand-mère catholique n'était pas particulièrement attirée par les bigoteries de Boutin et ses amis.
  12. Tout le monde parle aux musulmans. Parce que les musulmans français sont des gens comme les autres, et quand on parle de politique, d'économie, d'internationale, etc. on leur parle aussi. Je suis athée et personne ne parle spécifiquement aux athées, et pourtant tous les partis me parlent en permanence.
  13. bon je crois que le mieux c'est de t'ignorer et de discuter seulement entre adultes.
  14. Ça parle de rapatrier des gens qui n'ont pas été jugés. La France demande qu'ils soient jugés dans le pays où ils ont commis leurs crimes. Reviens avec un exemple où la France refuse de reprendre des ressortissants expulsés d'un pays étranger. Je suis quand même fasciné par la mauvaise foi dont tu fais preuve systématiquement sur certains sujets. Non, ça c'est encore un de tes outils rhétoriques pour faire passer les gens en désaccord avec toi pour des cons, et c'est franchement désagréable. Tout le monde comprend très bien que le pays en face (ici le Cap Vert, mais typiquement l'Algérie) peut grogner. C'est un bras de fer. Nous sommes beaucoup à penser qu'il est temps de le lancer, ce bras de fer. Que. l'Algérie cesse de nous envoyer son gas, son pétrole, et ses ressortissants, jusqu'à ce qu'elle accepte de reprendre ses délinquants. Et oui, ça fera du mal à l'économie. Il faudra faire comme après la guerre contre la Russie, et peut être se réveiller un peu et creuser de nouveau chez nous, et relancer un peu plus sérieusement le nucléaire. Et que le Cap Vert arrête de nous envoyer ses poissons, ses mollusques et ses ressortissants s'il ne veut pas reprendre ses délinquants.
  15. Si le Cap Vert est un modèle de démocratie, pourquoi refuserait-il de reprendre ses ressortissants ? La France ou la Norvège refusent-ils de reprendre leurs ressortissants criminels ? On dirait vraiment que tu as décidé que le problème est insoluble et que tu inventes toutes les excuses pour qu’une alternative à la situation actuelle ne soit possible. Et avec une petite pointe d’agressivité en accusant l’autre d’être hors-sol.
  16. Ah. On ne dirait pas. Oui, et s’il refuse, on a aussi des outils. On peut notamment ne plus accepter de voyages de ressortissants de cet état. Sauf des éventuelles personnes pour qui on a une sympathie particulière, comme des opposants au régime qu’on pourrait soutenir.
  17. On parle de renvoyer des délinquants et criminels étrangers dans leur pays.
  18. Aucun que je sache, c’est la certitude d’une punition plus que la sévérité de la peine qui réduit le taux de criminalité. Il doit certes y avoir une peine minimum ; grâce aux recherches appliquées de nombreux pays dont la France, on sait maintenant qu’une petite réprimande du type « je comprends que c’est dû au fait que la société vous a mal traité, mais enfin, ce n’est pas bien » assorti d’un « ne vous inquiétez pas vous n’irez pas un prison » n’est pas suffisante.
  19. Mon dieu, que va-t-on faire si le Cap vert est énervé contre nous…
  20. On se tiers-mondise. C’est catastrophique.
  21. C'est une discussion sur Elon Musk. Pourquoi toujours cette agressivité ?
  22. Un aspect méconnu de l'Amérique latine et du Venezuela en particulier : la présence du Hezbollah. https://oilprice.com/Energy/Energy-General/How-Hezbollah-Is-Exploiting-Cocaine-Corruption-and-Chaos-in-Venezuela.html
×
×
  • Create New...