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neuneu2k

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Messages postés par neuneu2k

  1. Vous savez, l'intérêt du libéralisme historiquement c'est q'il est sensé être orthogonal à la scission droite /gauche. Si il faut, pour porter l'étiquette, accepter les délires marxistes culturels de tucker, je veux bien que ça soit bon pour la cause.

     

    Mais si dans le même mouvement il faut dénoncer Hoppe et faire son autocritique devant les camarades pour manque de progressisme, l'étiquette libérale perds un peu de sa spécificité et passe de "grande tente inclusive mais avec un petit socle commun" a "branche libertaire de la nouvelle gauche".

     

    Si c'est dans ces conditions q'il faut choisir son camp, faudra pas vous pleindre des conséquences sur le mouvement.

    • Yea 5
  2. 18 minutes ago, Lancelot said:

    C'est bien péremptoire tout ça. Pour être honnête j'ai l'impression qu'il y a blocage sur des questions terminologiques et ça m'ennuierait de partir dans un gio-débat alors que jusqu'à preuve du contraire ce que je disais était limpide pour quelqu'un de bonne foi.

     

    Pour ma part j'ai bien compris que "réseau social" à un sens pré-gueuledebouc, mais il reste que si l'on peut se constituer une tribu dans la société post-moderne, ça n’enlève pas le stress inhérent au fait de vivre au quotidien entouré de membres de l’outgroup et de dépendre de Léviathan pour avoir une approximation faible d’une société de forte confiance.

     

    A moins bien sur de constituer une communauté semi-fermée avec sa tribu, ce qui est non seulement difficile, mais illégal si on ne fait pas partie d'un sous-ensemble "protegé" :icon_twisted:

     

    PS: étonnant, tu a cité un des trois auteurs de ma "référence" :icon_wink:

  3. De toute évidence, la civilisation ne peut vivre sainement que si les individus sont liés par des liens sociaux avec un groupe inférieur en taille au nombre de Dunbar, mais pas trop inférieur.

     

    Le monde moderne et post-moderne "occidental" (ou plutôt post-occidental), apporte par sa multiplication exponentielle de la productivité un niveau de vie matériel incroyable au vu de l'histoire de l'humanité, mais l'a pour l'instant apporté « au prix » (corrélation, mais non nécessairement causation) de la stabilité civilisationnelle et par la même du bien-être social de ses membres.

     

    Je suis pour ma part convaincu que cumuler les deux avantages n'est pas impossible, et que le retour à un certain tribalisme est une condition nécessaire pour rétablir les bénéfices civilisationnels d'une société de forte confiance.

     

    Malheureusement les penseurs libéraux ne se sont en général pas penché sur le problème ou pire, ont considéré que la société de la forte confiance pouvait être crée ex-nihilo par « l’état de droit », faisant ainsi de l’institution judiciaire et par la même de l’état le garent de la confiance et laissant la critique de l'atomisation sociale aux anti-libéraux qui se sont empressés de voir une causation la ou il n'y a probablement q'une correlation (du moins avec les fondamentaux, pas forcément avec la mise en application qui, elle, est en partie en cause)

     

    On a trop longtemps négligé le capital humain et civilisationnel/social au mieux au bénéfice du capital économique et par la meme au niveau de vie matériel pour les sociétés capitalistes et dans les cas les moins ratés au bénéfice du capital humain pour les sociétés communistes (l’URSS et dans une moindre mesure la chine communiste, pas les copies ratées d’Amérique du sud et centrale).

     

    Or il n’y a pas de raison majeure de penser que ce capital humain et civilisationnel ne puisse pas être renforcé par les mêmes principes que le capital économique, liberté d’association et de propriété, favorisant les comportements de type « K » et non « R ».

  4. Dans les petites phrases qui vous hérissent le poil "les écologistes sont des nazis" 

     

    Les écologistes (au sens politique "verts", pas les gens qui étudient les écosystèmes) sont des internationalistes anti-autorité personnelle, un hybride de technocrates et de théocrates vénérant une Gaia bien pratique.

     

    Leur socialisme est bien éloigné du marxisme originel et du socialisme du NSDAP et leur préférence pour la règle par rapport à l'autorité humaine les met à l'opposé du fascisme.

     

    Ca n'en fait pas moins des pourritures mortifères, je dirais même que ça ne les rends que plus dangereux, mais il est peut-être temps de dépasser l'usage de fasciste ou nazi comme insulte détachée de toute hérédité idéologique (et ne venez pas me dire que hitler aimais les zanimaux et était végétarien, ça n'en fait pas  plus le père fondateur de l'écologie politique que sa dépendance aux amphétamines n'en fait l'auteur de Breaking bad).

  5. 1 hour ago, Johnathan R. Razorback said:

    J'étais certain que la conversation aller dériver vers l'existence de lois liberticides et le problème de la tyrannie de la majorité. Bon.

     

    Non, ce n'est pas vraiment mon sujet, parce que ce n'est pas le point commun entre les populations potentiellement visées, le point commun c'est de ne pas mettre le résultat du processus politique a l'instant T en haut de la hiérarchie des normes, de juger la politique sur des principes étrangers à celle-ci et d'en tirer des conséquences morales.

     

    A partir de la, on peut dériver sur les conditions pratiques dans lesquelles se mettre hors la loi est pertinent ou non, ou le rapport bénéfice/risque est bon, sur l’intérêt supérieur de la stabilité politique par rapport à la justice, mais c'est à coté du sujet, un type qui annonce publiquement qu'il soutiens le jihad armé, que le jihad armé est moralement bon, que la république peut se torcher le fion avec sa loi parce que Allah est supérieur et qui a le malheur de causer avec des gens comme lui, tu peux considérer avec des gens très bien qui font classe à citer que c'est contre-productif, le fait est qu'il sera fiché S (ce qui n'est pas anormal vu le but originel de cette fiche) et que l'air du temps est de le traiter comme un criminel pour son opinion.

     

    Et ce qui est spécifiquement reproché et que l'immense majorité des élus souhaite criminaliser, c'est de ne pas considérer la république française comme autorité normative suprême, c'est précisément ça qui est en cours de criminalisation (parce que je te signale, au cas ou tu l'aurai raté, que commettre un vrai crime, c'est déjà illégal !).

     

    Il n'y a pas le moindre débat dans la doctrine catholique sur l'autorité normative suprême, tu botte en touche avec Luc XX 25 et ses paraphrases diverses et variées au travers des siecles, mais tu oublie que c'était justement une façon d'exprimer l'autorité normative supérieure de Dieu sans se faire chopper par la popo, pas une reconnaissance de l'autorité normative supérieure de l'empire, duh.

     

     

  6. Evidemment que ne pas mettre la république en haut de la hiérarchie des normes implique de violer la loi quand celle-ci est en opposition directe avec ce qu'on à placé au dessus, ça va sans dire.

     

    Ca ne signifie pas que toute personne qui ne met pas la loi républicaine en haut de la hiérarchie des normes viole la loi (sauf dans le cas ou le simple fait de le penser et de le dire est illégal, ce dont on s'approche franchement), mais qu'il  considère comme moral de le faire.

     

    Si considérer que violer une mauvaise loi est une bonne chose est antirépublicain, alors je suis antirépublicain, et j'ai un peu du mal à voir comment on peut concilier républicanisme comme norme suprême et libéralisme, ou islam, ou catholicisme, ou tout ce qui à un avis sur le bien et le mal indépendant du vote des représentant légaux de la république...

     

    Que les républicains en se sens se dénoncent, j'ai une liste à faire :icon_twisted:

     

  7. 4 minutes ago, Johnathan R. Razorback said:

    Exactement, tu as donc eu tort de dire que le catholicisme est antirépublicain (ce qui ne veut pas dire qu'il ne peut pas l'être, mais c'est un parti pris politique).

     

    On était dans le contexte spécifique de la république française actuelle de ses "valeurs universelles et éternelles" (qui changent régulièrement), dans un cadre ou des lois criminalisant le fait de simplement lire de la "propagande antirépublicaine" existent et ou de nouvelles sont proposées, un contexte très pratique et légal.

     

    Dans ce contexte, le terme "antirépublicain" est spécifiquement lié à l'entité légale "république française", pas au concept de république (un site royaliste anglais n'est aucunement visé, un site royaliste français l'est), j'ai peut-être présumé trop fort que c'était évident...

     

     

  8. Pour essayer de revenir au cœur du sujet, c'est un problème de hiérarchie des normes.

     

    Ce qui est reproché aux radicaux musulmans (et je parle ici de ceux qui n’ont pas commis d’acte terroriste bien entendu, pas de ceux engagés dans un crime), c’est de placer les principes de leur foi au-dessus de la république.

     

    Il n’est pas nécessaire d’être opposé à la forme républicaine de gouvernement pour être considéré comme antirépublicain, mais uniquement de ne pas placer la république en haut de la hiérarchie des normes.

     

    Ca -devrait- être le cas des catholiques, ça -devrait- également être le cas des libéraux, bizarrement des membres de ce forum sont plus choqué par le premier que par le deuxième.

  9. 7 minutes ago, Johnathan R. Razorback said:

     

    Tu peux aussi avouer être incapable de donner un seul exemple de "lois de la république [qui] violent les "principes non négociables" à appliquer dans les choix politiques dictées par l'autorité religieuse légitime des catholiques", et avoir dit une bêtise ; ça arrive même aux meilleurs.

     

    En court, si l’existence de la loi permettant l'avortement n'est pas en soit un critère suffisant pour affirmer que le catholicisme est opposé a la république sur une valeur fondamentale, le fait de référer de plus en plus à cette loi comme une conséquence directe et inévitable du républicanisme (ce qui, si vous observez bien, est la position de la majorité des représentent du peuple dans la république française, les mieux placés pour la définir non ?) rends de facto la définition "courante" de la république incompatible avec le catholicisme.

     

    Il ne s'agit pas d'une opposition entre le concept de république en général et le catholicisme, mais bien avec la république française actuelle telle qu'elle est perçue par ses représentants légitimes.

     

    On en peut pas être républicain "abstrait" en présence d'une république de fait, a moins de nier le caractère républicain d'icelle, donc si on est républicain, soit on considère la république française comme une république légitime, soit on est "antirépublicain" du point de vue de la république française. Il n'y a pas de troisième option.

     

  10. Quoi qu'il en soit, le point général était que n'importe quel mouvement idéologique que le pouvoir n'aime pas peut trivialement être désigné comme anti-républicain indépendamment du contenu de celle-ci, et par la meme transformer ses membres en population opprimable à merci.

     

    C'est assez piquant que les réactions soient sur l'incompatibilité putative du catholicisme avec les valeurs républicaines, et non sur celle du libéralisme avec elles.

     

  11. 1 minute ago, Johnathan R. Razorback said:

     

    +1, l'Église de Rome a reconnu la République française depuis plus d'un siècle (et vu qu'un peu avant elle a instauré le nouveau dogme de l'infaillibilité pontificale, le doute n'est plus permis hein...).

     

    Exemple ?

     

    J'ai édité mon post, et la reconnaissance diplomatique ne signifie pas l'absence d'opposition, meme sur des principes fondamentaux, l’Arabie saoudite aussi reconnais la république française.

     

  12. 7 minutes ago, Cugieran said:

    D'accord avec l'ensemble mais ça, c'est gratuit et faux. Et pourtant Dieu sait que ça ne me touche pas.

     

    Premièrement, vrai ou faux, ça n’empêche pas de le déclarer et de l'appliquer si c'est opportun pour le pouvoir.

     

    Deuxièmement les lois de la république violent les "principes non négociables" (je pense en principal à l'avortement) à appliquer dans les choix politiques dictées par l'autorité religieuse légitime des catholiques, or l'immense majorité de politiciens se prononce clairement dans le sens ou ces lois sont basées sur les valeurs de la république et non des simples lois conjoncturelles sans lien avec les principes républicains, par conséquent la république telle que percue par ceux qui la défendent et la représente est opposée sur des principes fondamentaux au catholicisme, donc le catholicisme est anti-républicain, CQFD

     

    Il s'agit de faits, pas d'une défense de l'un ou de l'autre, c'est vrai indépendemment du bord que l'on choisis :D

     

  13. 21 minutes ago, Tramp said:

    Pas très fan de cet article :

     

    https://www.contrepoints.org/2017/06/21/292628-fiche-s-sera-premier-vrai-test-de-credibilite-de-macron-securite?utm_source=dlvr.it&utm_medium=SOCIAL&utm_campaign=Facebook-automation

     

    Si on ne peut plus se réunir chez soi avec les volets fermés sans que ce soit suspect...

     

    +1, entre ça et la criminalisation des idées "non républicaines"

     

    • C'est injuste envers les radicaux musulmans qui n'ont pas la moindre intention de commettre des crimes de sang sur le territoire français (qui sont de fait majoritaires, que ça soit par manque de couille ou par vertu, ça n'a pas d'importance)
    • Ca va retomber sur la gueule de tout le monde, après tout, il suffit ensuite de dire que le fait de vouloir détenir une arme est en soit anti-républicain (et ça passerai très bien dans l'opinion publique), ou qu’être anarcap est en soit anti-républicain (ce qui est vrai), voir qu’être catholique est anti-républicain (ce qui -devrait- être vrai) et le périmètre du contrôle étatique augmente sans la moindre résistance.

    C'est assez comique de voir que ce sont ceux les plus ouvertement attachés aux "valeurs de la France et de la république éternelle" qui sont les premiers à hurler à "à état d'exception, mesures exceptionnelles" qui est fondamentalement le cœur du fascisme (qui est mal, parce que anti-républicain, donc c'est différent, c'est pas pareil).

     

     

  14. Pour revenir au sujet, je tiens à rappeler l'avertissement obligatoire, il ne faut pas confondre libéralisme et gouts personnels plus ou moins individualistes (voir atomistes), c'est la marque indélébile du modal que de prétendre que l'autonomie décisionnelle totale est "plus libérale" que les communautées choisies, le libéralisme permet l'autonomie décisionnelle, de la mème manière qu'il permet de passer son temps à s'injecter de l'heroine, l'absence d'interdit pénal d'une chose n'implique en rien que cette chose soit bonne.

     

    Donc évidemment qu'il est permi de détester les co-proprietés (pour ma part, je préfère nettement les "charters" que les co-proprietés simples, la présence d'une constitution supérieure au simple vote des occupants étant plus saine), mais ça devrait etre totalement orthogonal au libéralisme.

     

    Il est utile et pertinant de rappeler que le libéralisme permet l'instauration d'un communisme volontaire, c'est justement sa grande qualité que de permettre la diversité des modèles sociaux, lier libéralisme et lifestyle, libéralisme et modèle social spécifique ne fait que le réduire à un n-ième constructivisme, et un qui franchement fait bander mou.

     

    C'est la coexistance pacifique des casinos de Las Vegas et des monastères bénédictains qui fait la valeur intrinsèque du libéralisme, pas le fonctionnement interne du casino ou du monastère.

     

  15. Vois le bon côté, si la soumission au féminisme est due à des prédispositions génétiques dans quelques générations de sélection naturelle on en entendra plus parler à part pour se moquer des superstitions farfelues du début du millénaire.

     

    Le problème des cycles de rétroaction, c'est que la réaction à l'horreur est assez rarement vertueuse, je fèterai la destruction du féminisme post-moderne, mais je doute d'etre un grand fan de ce qui le rendra obsolète et ridicule...

     

    Il faut garder espoir, mais je dois avouer que l'observation des hommes n'est pas propice à l'espoir...

  16. C'est ce qu'on fait toujours quand un animal attaque un humain comme ça, que ça soit un ours ou un chien. Il ne faudrait pas qu'ils se mettent en tête qu'on peut bitchslapper l'apex prédateur sans conséquences.

     

    Oui, un animal qui à tué un homme, on l'euthanasie, si c'est une femelle grosse, on peut par contre attendre qu'elle ai mis bas et que les petits soient sevrés, voir la garder en captivité "isolée", mais pas en liberté, c'est trop dangereux, une fois que l'animal sais que l'homme n'est pas immortel, il est très dangereux.

  17. vous avez deja ete visiter un appart a vendre, et des que vous passez la porte vous avez la face fouettee par une intense odeur de clope? je pense que les proprietaires veulent eviter ca.C'est comme les chiens, il me semble qu'on peut refuser les animaux de compagnie aussi.

     

    Voila, ensuite d'un point de vue pratique bien entendu, il n'est pas pertinant d'interdire des actes inconnaissables, donc à moins de signer une convention autorisant la surveillance totale (et il faudrait vraiement que la valeur en contrepartie soit considérable pour que ça fasse sens, ou des contractants qui aiment vraiement facebook...), tout un tas d'interdictions sont nulles, pas parce que juridiquement déconnantes, mais tout simplement parce qu'on ne peut pas interdire ce qui est invisible.

     

    De fait, n'en déplaise aux partisans de la procédure pénale, c'est également le cas pour les crimes, pas uniquement pour les violations de contrat, si a l'insu de tous un type bute un anonyme dans la totale intimité, pénal ou civil, rien n'y fait, c'est un crime "parfait", on peut le dénoncer autant qu'on le souhaite, ça ne changera strictement rien à la réalité qui est que ce que personne ne connait ne peut etre jugé.

  18. :icon_neutral: c'est possible ?

     

    J'en ai toujours douté personnelement, si l'imprimante à un buffer dedié, ou un spooler propriétaire haut de gamme elle peut annuler une impression, mais si c'est le spooler de windows, franchement, je n'ai jamais vu une annulation réussir (dans le sens ou si l'impression ne se fera bien pas, le spooler reste dans la quatrième dimention), et ce que ça soit sur des imprimantes d'hypermarché ou des HP séries N ou meme des Xerox hors de prix (bien entendu, à condition de laisser l'OS gèrer le spool, ce qui est d'une imbécilité assez fantastique sur un HP série N ou une Xerox)...

     

    C'est un mystère profond de windows le fonctionnement exact de l'annulation d'une tàche d'impression, m'est avis que ça avait un sens quand les impressions étaient envoyées par page, mais que sur des imprimantes avec un minimum de RAM, l'impression est dans la majorité des cas atomique du point de vue du PC, donc que le fonctionnement historique est à la ramasse.

     

    C'était vraiement très interessant, j'ai envie de m'abonner à ma newsletter...

  19. Tu peux. Mais si je suis propriétaire de l'appartement, m'expulser de ma propriété est clairement disproportionné pour avoir fumé des cigarettes sans que ça incommode qui que ce soit.

     

    A partir du moment ou la proprieté est associée à un règlement, elle n'est pas entière et parfaite, son abusus est grèvé par les clauses communautaires, par conséquent l'argument propriétariste pur n'est pas applicable.

     

    Ce qui est certain, c'est que le règlement ne peut etre appliqué pénalement, le droit de proprieté est aliénable donc peut faire l'objet de clauses conventionnelles, la liberté personnelle n'est pas considerée comme aliénable, la mème regle qui rends le contrat d'esclavage non applicable rends la pénalisation de la violation d'un règlement non applicable, dans le pire des cas la peine maximale possible est l'exil en slip sur la banquise tm, pas la zonzon.

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