Aller au contenu

WALDGANGER

Utilisateur
  • Compteur de contenus

    2 515
  • Inscription

  • Dernière visite

Messages postés par WALDGANGER

  1. Exactement. Il est clairement explicité que ces années "équipe de jeune" sont une période de transition due au poids de l'investissement dans le stade. Des transitions comme ça.

    Je ne suis pas sûr. Tout d'abord cela correspond à la pratique habituelle de Wenger qui avait fait à peu près la même chose à Monaco (avec ses possibilités) en attirant les meilleurs jeunes de l'époque (Henry, Trézéguet) et qui a commencé sa carrière comme formateur. Ensuite il parait qu'Arsenal a au contraire de très grosses marges financières.

  2. Si l'objectif est de communiquer dessus, il me semble que le nom devrait être suffisamment sérieux (au moins pour pouvoir être repris par l'intéressé) et inclure le nom du site. Je suis donc d'accord avec Marchange pour quelque chose du genre: "prix liberaux.org 2008". Bien que ce soit assez laid.

  3. south park (almost) already did it

    Mrs. Garrison: Hello doctor, looks like I need an abortion. [sits on the chair and puts his feet on the stirrups]

    Doctor: …an abortion?

    Mrs. Garrison: Yeah, I've got one growing inside me. Now, are you gonna scramble its brains or just vacuum it out? [a nurse arrives and her jaw drops] …If you want you can just scramble it and I'll queef it out myself.

    Doctor: Mmister Garrison-

    Mrs. Garrison: [correcting him] Mrs. Garrison.

    Doctor: Mmrs. Garrison, you can't have an abortion.

    Mrs. Garrison: Don't you tell me what I can and can't do with my body! [gets up, goes to the nurse, and hugs her] A woman has a right to choose!

    Doctor: No, I mean you're physically unable to have an abortion, because you can't get pergnant.

    Mrs. Garrison: But I missed my period.

    Doctor: You can't have periods either. [Mrs. Garrison looks surprised] You had a sex change, Mr. Garrison, but you don't have ovaries or a womb. You don't produce eggs.

    Mrs. Garrison: [sits down] You mean, I'll never know what it feels like to have a baby growing inside me and then scramble its brains and vacuum it out?

    Doctor: N-that's right.

    Mrs. Garrison: But I paid five thousand dollars to be a woman. This would mean I I'm not really a woman. Ih, I'm just a… a I'm just a guy with a mutilated penis!

    Doctor: Basically, yes.

    Mrs. Garrison: …Oh boy, do I feel like a jackass.

  4. Ah tiens tu as lu le dernier Houellebecq ? Moi je l'ai fort apprécié. Mais je n'arrêtais pas de ma demander si ce type est un "…" ou un conservateur, faut que j'arrête un peu de lire ce forum… :icon_up:

    Sur ce sujet j'avais lu une analyse pertinente:

    (…) refuse de se faire le militant de ses tares, de légaliser ses aberrations. Qui ne change pas de valeurs au fur et à mesure qu'il change de boîtes à partouze. Qui pourrait dire « je suis allé dans les partouzes car je suis un connard, j’ai quitté ma femme car je suis un minable, j’ai fait avorter ma maîtresse car je suis un salaud. » Houellebecq (se) constate et déprime. Il est ce pécheur modèle qui ne peut sortir de sa fange mais qui au moins reconnaît qu'elle en est une. En ne créditant pas ce que son corps fait, au moins prouve-t-il qu'il a une âme. Pour la modernité qui confond les désirs et la volonté et qui croit qu'il suffit de se contenter d'être soi pour être beau, bon et vrai, l'homme sans qualités mais non sans morale à la Houellebecq peut paraître hypocrite alors qu'il est d'une rare probité spirituelle. Quand on boite, l'important est de marcher droit en esprit – car, comme dit Pascal, un corps boiteux nous irrite moins qu'un esprit boiteux etc. Houellebecq est ce qu'il est mais pense et écrit contre ce qu'il est. S'il est malade, son point de vue sur la maladie est sain.
  5. Atteint-elle les niveaux d'assistanat de l'Etat Français avec les grands patrons ?

    - Dassault (Figaro ,L'express) a vendu ses avions Rafale 30 % plus chers que le budget voté par la représentation nationale alors qu'il n'arrive pas à les vendre à l'étranger (lu dans le Monde et Documents)

    - Bolloré a racheté la SFP pour 4,5 millions et demi d'euros. L'Etat a assumé le plan social dont le coût est 10 fois plus important…

    - En 1978, Nacilor, propriété du groupe Wendel (cf. Ernest-Antoine Seillière) a été nationalisé sous le gouvernement Barre, avec épongement des 22 MILLIARS DE FRANCS DE DETTE par l'Etat Français. C'est ce même Ernest-Antoine Seillière qui fustige le comportement des chômeurs !!!

    Si j'ai bien compris c'est toi qui défends l'intervention de l'Etat dans l'économie, pas nous, c'est donc à toi de justifier ces choses que nous condamnons.

  6. Oui, en ce qui me concerne je fais parti du club de la page 20 : un club ouvert à tous ceux n'ayant pu passer les 20 premières pages.

    Ca vaut vraiment la peine de s'accrocher, toute la fin est magnifique. Sinon, pour ceux qui veulent vraiment souffrir, Mann trouvait "l'homme sans qualités" de Musil difficile à lire…

  7. ps : ce fil s'adresse au départ à Waldganger, et Phantom qui - sinon - déborde joyeusement ailleurs. Leepose, si tu me lis, tu peux participer aussi. Les autres sont les bienvenus.

    non c'est exagéré ça :icon_up: En 2000 messages j'ai parlé de moi deux fois. Et c'est pas très gentil de nous comparer à lachose.

  8. J'aime bien ta réponse. Comme je l'ai dis, ce n'est pas le topic pour lancer le débat. Mais pour répondre, oui j'y suis opposé, tout comme je suis opposé à l'esclavagisme consentit, car ma liberté est plus grande si celle des autres est également plus grande.

    "La liberté d'autrui est d'être la mienne à l'infini" Bakounine.

    sins?

    je propose de poursuivre la discussion ici:

    http://www.liberaux.org/index.php?showtopic=32296

  9. Mais si sa réponse est non, alors il peut rester et discuter liberté. En fait, on verra bien d'ici quelques posts, pas la peine de l'effrayer. :icon_up:

    Evidemment, mais je suis obligé d'avoir des propos durs pour contrebalancer mon avatar :doigt: . Et en me basant sur les discussions que j'ai eu avec les libertaires, j'ai compris quil fallait éclaircir cette question dès le départ, même si on a souvent du mal à obtenir une réponse.

  10. Bonjour, je suis libertaire, je ne viens pas ici pour troller mais pour éventuellement discuter avec certaines personnes qui ne crieront pas au loup dès que j'ouvrirais la bouche.

    Je suis anti-capitaliste, anarchiste individualiste estimant que seul le synthésisme et les tendances cohabitant en son sein correspondent à l'anarchisme.

    Je ne m'expliquerais pas sur mes opinions ici, mais sur les différents topics où j'interviendrais (ou par MP, du moment que je ne suis pas bombardé).

    Je préfère prendre les devants, mais si vous souhaitez me dégager, prévenez-moi auparavant, et expliquez-moi au moins les raisons de mon éviction, voire laissez-moi un espace de réponse.

    je pense que la question de savoir si tu dois dégager ou non peut être réglée simplement, Tu es libertaire, donc contre (entre autre choses) le salariat, la religion, le mariage. Est ce que si je souhaite devenir salarié tu vas me l'empêcher en utilisant la violence contre moi? pareil pour le reste. Si la réponse est oui tu défends le totalitarisme et n'as donc rien à faire ici.

  11. Je lui ai volé ma nouvelle signature (si il n'y voit pas d'inconvénient, mais puisqu'il l'a conçue spécialement pour nous, il n'y pas de raison), j'en profite pour remettre mon premier avatar.

    Au passage la magnifique citation de Samuel Adams avait, elle, été volée sur le blog de Copeau.

  12. Bioshock, le jeu vidéo objectiviste!!

    6ww6.jpg

    "Even as we live in a country divided, I feel that most of us are sort of in the middle. And I think there are some really interesting themes to play on there." The most prominent character in BioShock -- Andrew Ryan, Rapture's founder -- is an embodiment of a self-centered, free-will political ideology called Objectivism. Objectivism is the brainchild of 1960s author Ayn (rhymes with mine) Rand. She defined it thus: "Man as a Heroic being, with his own happiness as the moral purpose of his life, with productive achievement as his noblest activity and reason his only absolute." Put more simply, an Objectivist says "the world is what it is, my place in it is important, the only way to know anything is to use your own head, and the best political system is one that leaves me the hell alone. "Andrew Ryan is Ayn Rand meets Howard Hughes," explains Levine.

    The initial plot of BioShock -- the founding of this utopia -- mirrors the plot (albeit through a glass darkly) of Rand's 1960's epic book "Atlas Shrugged." In "Atlas Shrugged" the worlds elite -- the "atlases" -- stage a minor rebellion and remove themselves to a better place: a valley where they can be free of the eye and hand of the world's governments and those who would leech off their talents. While the rhetoric of Rapture's founder, Andrew Ryan (an anagram of Ayn Rand with an extra "rew" thrown in for obfuscation) sounds like a Randian polemic, his nemesis is ambiguously named "Atlas." To figure out which one is really the good guy or the bad guy, we'll all have to play the game.

    BioShock's story -- for those who wish to stop blowing things up to delve into it -- is about translating this Objectivist ideology into the real world. "One of the things that's very appealing about Rand to me, and about Rapture, is at least in the beginning they're driven by reason." Indeed, this is what attracts most people to Objectivism: it's based on rationality above all else. By both highlighting and skewering Objectivism, Levine's on the warpath against zealots. "I'm trying to write about what happens when real people try to do things," he explains. "The characters in Ayn Rand's books are paragons." But paragons aren't real people, and Levine has written his characters to be as real as possible. They may be drawn in broad strokes, but they're human. "Real people aren't perfect. That's the problem with ideologies. Real people carry out ideologies. So even the best of intentions gets screwed up."

    shoot.jpg

    http://www.gamerswithjobs.com/node/32465?f…nts_per_page=30

  13. C'était en gros les raisons de mon scepticisme au Café liberté où David Poryngier (et Aurélien si je me souviens bien) avaient annoncé la création d'AL. On m'avait cependant rétorqué un argument que je juge tout à fait pertinent, à savoir que dans l'état actuel des choses, le simple fait d'être un parti ramène immédiatement plus de tribunes dans les médias, ce qui n'est pas négligeable. Alors on pouvait envisager comme un pis-aller un parti comme un think-tank qui ne dit pas son nom, de façon à atteindre le public avec des idées qu'il n'entendraient pas autrement, malgré les problèmes évoqués plus haut. Mais un parti tendra à attirer des gens à la recherche de postes, ce qui étant donné l'état de l'opinion au départ, rendra extrêmement délicat de lui faire garder son rôle éducatif et de ne pas se compromettre dans le jeu électoral et de saper le travail éducatif en créant la confusion dans le public sur la nature du libéralisme. Bref, il faudrait compter sur ce qu'on peut considérer comme une anomalie dans le monde de la politique. Très très délicat.

    Je suis totalement d'accord avec tout ce que tu dis. En France, les réformes ne seronts pas votées par un parti-libéral qui ne dépassera jamais 5%. Elles seront votées par l'UMP ou même à plus long terme par le PS si l'opinion publique s'incline vers le libéralisme. Et le parti libéral est l'un des outils de cette évolution. La question de l'équilibre entre ce role très spécial et les tentations politiciennes est efffectivement délicate. C'est peut être sur ce point précis que la question des statuts devient importante. Puisque la position de recul par rapport au jeu politique est instable il faut la bloquer au maximum dans les statuts.

    quelques idées:

    Le parti ne soutient jamais de candidat (les membres peuvent bien sur apporter un soutien en leur nom)

    le parti ne se désiste jamais

    au maximum, les décisions doivent impliquer tous les membres, (c'est certes un risque de paralysie mais c'est justement ce qui est recherché)

    comme on part donc dans une optique de rassemblement des libéraux il faut éviter les conflits, certains sujets comme la politique étrangère en génèrent forcément chez les libéraux, une solution si on souhaite que le parti ne soit pas muet sur ces questions serait qu'il n'y ait pas de position officielle du parti mais qu'il soit laissé une grande lattitude aux membres dans l'expression de leurs propres idées. Il faut donc (comme cela avait été proposé plus haut) rendre difficile les exclusions. Ca pose également la question de la décentralisation de la communication (il faut une communication centrale et des possibilités de communication décentralisées).

    d'autres idées?

×
×
  • Créer...