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Tout En Douceur, Le Mammouth Se Réforme


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Alors que le constat d'échec du système scolaire français (public notamment) se fait de plus en plus criant chaque année, certains pisses-copies ont le toupet de prétendre que le mammouth se réforme.

C'est bien d'y croire. Et il est intéressant de noter qu'à mesure que les moyens pour l'éducaâation nationale auront augmenté, ceux de la justice auront diminué.

Entre l'autisme des journalistes, la connivence des syndicats et le couillemolisme de l'establishment politique, on se demande exactement combien de temps tout ceci va pouvoir encore tenir…

Surtout, comme au collège, les résultats ne suivent pas : le taux d'accès au bac stagne à 70 % depuis dix ans. Nos voisins les plus performants aux tests internationaux ont adopté des systèmes de gestion du temps plus légers et plus souples.

Le ministère de l'Éducation va-t-il tenir compte de ces audits ? Il a su en tout cas tirer les leçons des précédents audits de modernisation, notamment sur l'organisation des examens ou les décharges des enseignants, qui permettront d'économiser 3 700 postes. Tout en douceur, le « mammouth » se réforme.

Mouah ah ah. Pathétique.

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Je viens de lire le document dans capital sur les université, j'avais vu à l'époque nu reportage sur canal plus sur les universités françaises.

On voit que c'est la catastrophe, il faudra bien faire quelque chose.

Ils vont même à dire que c'est pire qu'en union soviétique (ou je rappelle on ne pouvait choisir ses études quand même!).

Les moyens alloués aux facs sont très faible, pour un étudiant de la sorbonne la france dépense moins que la fac de mexico! C'est incroyable, les jeunes qui réussissent (visiblement par miracle) partent là ou les salaires sont plus élevé et comme par hasard les taxes a l'exact contraire de chez nous.

Les lycées et collèges, on y met des moyens faramineux, pour un résultat de plus en plus calamiteux. Les syndicats sont rois, décident de tout, les programmes sont fixés en haut lieu par des fonctionnaires à la tendance que l'on connait bien.

La machine a perdre crée par les syndicats se révèle réussir très bien.

J'ai souvent une impression, les rebels de l'école public, réussissent souvent mieux. Je veux dire par là que sur la plupart de ceux qui ont réussi autour de moi étaient loin d'être des étudiants zélés au lycée ou bien travailleurs mais contre l'organisation même du lycée. Conscients que les notes font la différence ils travaillaient mais n'hésitaient pas à critiquer.

ceux qui travaillaient dur et collaient au moule que les profs aimaient, n'ont jamais rien fait (j'ai je ne sais combien d'exemples)

Etre "rebel", comprendre que le système ne fonctionne pas, ne constitue t'il pas un bon départ? ces élèves conscients de ce fait s'orientent vers des formations "100% non moule public", en tout cas j'ai eu cette impression en école de commerce, par contre en Fac (3 ans) c'était, avec du recul, des purs produits.

Mon analyse se tient? LOL

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Je viens de lire le document dans capital sur les université, j'avais vu à l'époque nu reportage sur canal plus sur les universités françaises.

On voit que c'est la catastrophe, il faudra bien faire quelque chose.

Ils vont même à dire que c'est pire qu'en union soviétique (ou je rappelle on ne pouvait choisir ses études quand même!).

Les moyens alloués aux facs sont très faible, pour un étudiant de la sorbonne la france dépense moins que la fac de mexico! C'est incroyable, les jeunes qui réussissent (visiblement par miracle) partent là ou les salaires sont plus élevé et comme par hasard les taxes a l'exact contraire de chez nous.

Les lycées et collèges, on y met des moyens faramineux, pour un résultat de plus en plus calamiteux. Les syndicats sont rois, décident de tout, les programmes sont fixés en haut lieu par des fonctionnaires à la tendance que l'on connait bien.

La machine a perdre crée par les syndicats se révèle réussir très bien.

J'ai souvent une impression, les rebels de l'école public, réussissent souvent mieux. Je veux dire par là que sur la plupart de ceux qui ont réussi autour de moi étaient loin d'être des étudiants zélés au lycée ou bien travailleurs mais contre l'organisation même du lycée. Conscients que les notes font la différence ils travaillaient mais n'hésitaient pas à critiquer.

ceux qui travaillaient dur et collaient au moule que les profs aimaient, n'ont jamais rien fait (j'ai je ne sais combien d'exemples)

Etre "rebel", comprendre que le système ne fonctionne pas, ne constitue t'il pas un bon départ? ces élèves conscients de ce fait s'orientent vers des formations "100% non moule public", en tout cas j'ai eu cette impression en école de commerce, par contre en Fac (3 ans) c'était, avec du recul, des purs produits.

Mon analyse se tient? LOL

Y'a rebelle et ribolz. Ceux qui s'occupent en grillant de snackies sur la tôle chaude d'une voiture récemment brûlée ne sont pas du même acabit…

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Y'a rebelle et ribolz. Ceux qui s'occupent en grillant de snackies sur la tôle chaude d'une voiture récemment brûlée ne sont pas du même acabit…

On est d'accord, mais ceux-là ne peuvent pas être des rebels, la rebellion c'est se battre contre l'ordre établit, or nos faiseurs de merguez et de pancartes veulent le status quo, tout la différence est là.

Les rebels que je connais ne supportaient pas l'autorité (comme moi :icon_up: )travaillaient bien sans plus, mais surtout étaient pas con et ca marchait bien dans leur cerveau, ils avaient compris que les profs sont loin d'avoir la science infuse, que de toute façon sa vie on se la forge par la volonté de réussir, non pas parce qu'on a appris toute sa leçon par coeur. Apprendre tout le monde peut le fair, comprendre…

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