Aller au contenu

La Fraude Du Réchauffement Global


Messages recommandés

Voici une vidéo documentaire à voir et à mon avis à faire connaître largement:

THE GREAT GLOBAL WARMING SWINDLE

C'est une emission TV qui est passée sur une chaine britanique (Channel 4) debut mars.

Les scientifiques interviewés dans le documentaire expliquent comment en réalité les données sur lesquelles s'apuient les partisants du réchauffement global démontrent que ce sont les températures qui déterminent les taux de CO2 dans l'atmosphère et non le contraire.

Ce documentaire est en quelque sorte une réponse au film propagande de Al Gore.

Al Gore prétend dans son film qu'il y a un consensus dans la communauté scientifique pour reconnaître que le climat se réchaufffe, que l'homme en est responsable, et que plus persone n'oserai remettre en question cette "vérité".

Voici donc une pétition de 17000 scientifiques américains qui osent remettre en question cette "vérité" :

http://www.oism.org/pproject/index.htm

Sur la page d'acceuil on peut lire ceci :

"Research data on climate change do not show that human use of hydrocarbons is harmful. To the contrary, there is good evidence that increased atmospheric carbon dioxide is environmentally helpful."

La question que l'on peut donc se poser à propos du réchauffement global est : pourquoi un tel mensonge ? A qui profite le crime ?

Il y a quelque chose qui n'est pas cité dans le documentaire mais que l'on peut trouver ailleur : Al Gore possède avec son associé Blood, un hedge fund. Et il se trouve qu'une des spécialités du hedge fund des associés "Blood and Gore" est de jouer sur les marchés de droits d'émission de carbone. Le film propagande d'Al Gore va donc étrangement dans le sens de ses intérêts personnels. Voir ici :

LE RÉCHAUFFEMENT GLOBAL D’AL GORE : INSTRUMENT D’UN NOUVEL IMPÉRIALISME ENVIRONNEMENTAL

Mais Al Gore ne fait que surfer sur cette idéologie malthusienne, qui dure au moins depuis quelques décenies et dont le rapport "Halte à la croissance?" du Club de Rome fut une étape décisive. Quelle donc la motivation première ?

On peut trouver des elements de réponse qui complètent le lien précédent, ici :

CO2 : The greatest scientific scandal of our time

dont voici un extrait très instructif :

- Maurice Strong, who dropped out of school at age 14, established an esoteric global headquarters for the New Age movement in San Luis Valley, Colorado, and helped produce the 1987 Brundtland report, which ignited today's Green movement. He later become senior advisor to Kofi Annan, UN Secretary-General, and chaired the gigantic (40,000 participants) "UN Conference on Environment and Development" in Rio de Janeiro in 1992. Strong, who was responsible for putting together the Kyoto Protocol with thousands of bureaucrats, diplomats, and politicians, stated : "We may get to the point where the only way of saving the world will be for industrial civilization to collapse."

Strong elaborated on the idea of sustainable developpement, which, he said, can be implemented by deliberate "quest of poverty … reduced ressource consumption … and sets levels of mortality control."

- Timothy Wirth, US Undersecretary Of state for Global Issues, seconded Strong's statement: "We have got to ride the global warming issue. Even if the theory of global warming is wrong, we will be doing the right thing in terms of economic policy and environemental policy."

- Richard Benedick, a deputy assistant secretary of state who headed policy divisions of the U.S. State Departement, stated : "A Global warming treaty must be implemented even if there is no scientific evidence to back the [enhanced] greenhouse effect."

L'idéologie de ces gens est clairement fasciste, et lorsque Al Gore prétend qu'il y a un problème de surpopulation sur Terre de plusieurs milliards d'habitants, il y a de quoi s'inquiéter. Si les marchés de droits d'émission de carbone étaient généralisés partout dans le monde, ce serait indirectement un outil de "contrôle de la mortalité" comme le souhaite Maurice Strong. Mais le véritable objectif derrière cette idéologie de décroissance criminelle, transparaît dans le discours de Strong : la destruction de la civilisation industrielle. Autrement dit, Strong vous propose l'une de ces 2 alternatives : la mort ou l'esclavage et la soumission à un nouvel ordre féodal.

Je signale que l'article ci-dessus (ainsi que celui sur Al Gore plus haut) provient d'une publication de Lyndon LaRouche, connu pour son opposition au libéralisme. Il n'est pas moins connu que son mouvement philosophique et politique est très en pointe contre les idéologies malthusiennes et en particulier environementaliste, aussi bien d'un point de vue scientifique que politique.

Lien vers le commentaire

La chronique de Le Boucher dans Le Monde, L'axe du chaud

Voilà donc que des pays méprisables - les Etats-Unis, la Chine, la Russie, l'Arabie saoudite - ont contesté les incontestables, lumineuses et alarmantes conclusions du gourou écologique mondial, le GIEC. Les rapports de ce valeureux Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat, véritable sauveteur de l'humanité étouffante et suante, sont faits en deux temps : des analyses scientifiques puis des conclusions synthétiques tirées par des "politiques" à destination des gouvernants et du bon peuple mondial. C'est ce deuxième texte que les énergivores pays ont contesté, bloquant sa publication vendredi 6 avril au matin.

Les vilains Chinois ont refusé que le texte affirme comme "très élevée" la menace que fait peser le réchauffement sur de nombreuses espèces d'animaux. Pas étonnant de la part de ces massacreurs de pandas ! Les Etats-Unis ont biffé les sorties du GIEC sur les "graves dommages économiques" que le réchauffement provoquera. Pas étonnant de la part d'un pays dont la vigueur de la croissance fait l'admiration de tous les économistes. Il y avait l'axe du Mal. Voilà l'axe du chaud ! Haro, Hulot !

On se moque. On se moque parce que nous sommes dans un monde médiatique qui tue les nuances alors que ces affaires de climat sont sérieuses mais hyper-complexes. Pour sensibiliser les opinions, les politiques du GIEC et les écologistes de métier veulent faire peur, et pour faire peur ils simplifient, voire ils en rajoutent. Qu'ont-ils besoin en effet de se prétendre économistes et de prédire des récessions aux Etats-Unis ? Pourquoi affirmer avec aplomb que 2 degrés de plus sont mauvais pour le commerce, alors qu'on observe sur le territoire de ces Etats-Unis un déplacement de l'activité vers le Sud et vers le soleil ? Dire que "ce seront les pauvres qui souffriront le plus du réchauffement" émeut nos coeurs sensibles. Mais c'est un truisme : les pauvres souffriraient aussi le plus d'un refroidissement de cette même planète tout simplement parce que - le monde est ainsi fait - ce sont les pauvres qui souffrent toujours le plus, quoi qu'il arrive !

On l'a dit ici, et on le redit : cette stratégie des écolos est désastreuse pour la cause écologiste elle-même. Les savants du climat feraient mieux d'affiner leurs études et de ne pas se faire militants. La politique n'a jamais fait bon ménage avec la vérité.

L'ancien ministre Claude Allègre doute encore de la cause humaine du réchauffement (Ma vérité sur la planète, Plon-Fayard). On ne sait. Mais il a raison de dénoncer l'écologie "de la peur et de l'anti-progrès". Les gouvernants feraient mieux de définir des politiques énergétiques efficaces, réalistes et économes plutôt que de signer les "pactes écologiques" des Hulot de la terre qu'ils savent pertinemment inapplicables.

Prenez la France. Cette France de Jacques Chirac (mais les suivants feront pareil) qui se prétend si exemplaire en matière de climat. Coïncidence instructive, la publication du rapport du GIEC a été précédée la veille par la remise d'un "avis" du Haut Conseil de la science et de la technologie sur la politique énergétique française au vert président Chirac.

La loi du 13 juillet 2005 a fixé les "orientations de la politique énergétique" de la France. Elles doivent "garantir sa sécurité énergétique" mais aussi "lutter contre l'aggravation de l'effet de serre". L'objectif concret est de diviser par quatre les émissions de CO2 d'ici à 2050. Les vingt professeurs et directeurs du Haut Conseil préviennent : "On n'y arrivera pas." Ils ne remettent pas en question l'objectif, contrairement à d'autres qui le jugent trop contraignant, mais ils dénoncent "opportunisme", " opacité", "incompétences" et, surtout, "incohérence" dans la mise en oeuvre. Les écologistes ne sont pas responsables de l'inefficacité devenue criante de l'Etat sur beaucoup de sujets, mais on ne peut s'empêcher de penser que leur pression politique et médiatique biaise la recherche d'une bonne politique énergétique économe et finalement écologique.

C'est évident en matière nucléaire, où les Verts sont en contradiction avec eux-mêmes : l'atome est la seule technologie disponible pour produire massivement de l'électricité sans émettre du CO2. Mais le Haut Conseil donne d'autres exemples : les subventions aux éoliennes font "propre", mais elles sont inutiles puisque ces appareils font, en France, double emploi avec l'immense parc nucléaire. Les OGM sont dénoncés par les écologistes français, mais, pour produire rapidement des plantes destinées à être transformées en carburants, la seule manière est de foncer sur les recherches génétiques.

"L'Etat doit veiller à ce que les économies de gaz à effet de serre soient évaluées de façon cohérente selon les principes économiques classiques", conclut le rapport. Autrement dit, la politique énergétique française doit cesser de vouloir répondre aux impératifs du coup par coup, de plaire aux uns et aux autres, sans cohérence d'ensemble. L'énergie devrait être "un grand projet national". Le gouvernement devrait mettre de l'ordre dans l'empilement des organismes de recherche laissés sans directives et il devrait créer une instance publique-privée "de réflexion et de prospective" qui, placée auprès du premier ministre, serait chargée de définir un pilotage global "éclairé". Ce serait sans doute plus utile que de promettre faussement de tout peindre en vert et de désorganiser l'économie.

Eric Le Boucher

Sinon on a déjà parlé de cette vidéo.

Lien vers le commentaire
[…] Je signale que l'article ci-dessus (ainsi que celui sur Al Gore plus haut) provient d'une publication de Lyndon LaRouche, connu pour son opposition au libéralisme. Il n'est pas moins connu que son mouvement philosophique et politique est très en pointe contre les idéologies malthusiennes et en particulier environementaliste, aussi bien d'un point de vue scientifique que politique.

C'est surtout un ancien trotskyste (ça fera plaisir à RH) mal défroqué, connu pour ses dérives pour le moins douteuses, et proche de Thierry Meyssan.

Lien vers le commentaire
C'est surtout un ancien trotskyste (ça fera plaisir à RH) mal défroqué, connu pour ses dérives pour le moins douteuses, et proche de Thierry Meyssan.

Tout comme plusieurs membres du gouvernement de Bush Junior. Mais à la différence de ceux-ci, il n'a pas adhéré véritablement à la doctrine trotskiste. S'il y a une pensée qui peut définir la pensée de LaRouche, c'est la philosophie Leibnizienne, et son mouvement politique se définit comme un mouvement Leibnizien.

Pour ce qui est de Meyssan : rien à voir. Meyssan se réclame des lumières françaises, que LaRouche appelle (à juste titre) lumières obscures.

Lien vers le commentaire

Traduire l 'anglais "global" par le français global donne une traduction fausse. Ce sont ce qu'on appelle de faux amis. C'est un anglicisme et un contre sens.

Je suggère planétaire.

Même chose pour les crétins de journalistes qui ne connaissent pas leure propre langue et qui nous donnent à longueur de journée de la globalisation à la place de la mondialisation.

Global a vraiment un touut autre sens en français (presque synonyme de "général").

Lien vers le commentaire
[…] Pour ce qui est de Meyssan : rien à voir. […]

Pourtant, les deux sont copains comme cochon. A la conférence Axis for Peace, organisée par leedit Meyssan, Helga Zepp-LaRouche, la présidente du Schiller Institute (le think-tank larouchien) et acessoirement épouse de Lyndon LaRouche était présente, de même que Christine Bierre (rédactrice en chef de "Nouvelle Solidarité", l'organe de presse larouchien en France) et Jacques Cheminade (président de la branche française du mouvement larouchien). Je le répète, ils marchent ensemble.

Lien vers le commentaire
Pourtant, les deux sont copains comme cochon. A la conférence Axis for Peace, organisée par leedit Meyssan, Helga Zepp-LaRouche, la présidente du Schiller Institute (le think-tank larouchien) et acessoirement épouse de Lyndon LaRouche était présente, de même que Christine Bierre (rédactrice en chef de "Nouvelle Solidarité", l'organe de presse larouchien en France) et Jacques Cheminade (président de la branche française du mouvement larouchien). Je le répète, ils marchent ensemble.

Ils étaient effectivement à la même conférence, mais pas pour autant copains. Comme je l'ai dit leur philosophie est différente et leur orientation politique aussi.

Lien vers le commentaire

Archivé

Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.

×
×
  • Créer...