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Hors la loi, de Rachid Bouchareb


Chitah

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c'était très mauvais V pour vendetta, la scène finale est complètement ridicule presque autant que la fin d'equilibrium

Moi elle m'a fait jouir la dernière scène, la mise à mort d'institutions corrompues et liberticides!! Grandiose! :icon_up:

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Tu n'as pas compris le sujet de ce fil : un film, financé en très grande partie par l'Etat Algérien, propagande ou pas.

Un film financé par de l'argent public est forcément une merde étatiste.

Ta bienveillance "de principe" vis-à-vis de tout ce qui touche au Maghreb ou aux musulmans en général tient de l'obsession, et tes prises de position sont carrément pavloviennes.

Tu es l'idiot utile de gens qui ne te veulent pas du bien.

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Un film financé par de l'argent public est forcément une merde étatiste.

Ta bienveillance "de principe" vis-à-vis de tout ce qui touche au Maghreb ou aux musulmans en général tient de l'obsession, et tes prises de position sont carrément pavloviennes.

Tu es l'idiot utile de gens qui ne te veulent pas du bien.

Quel morceau de bravoure !

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Un film financé par de l'argent public est forcément une merde étatiste.

Le jour où comme moi tu connaîtrais sur le bout des doigts ce que signifie "financé par l'argent public" tu auras peut-être le doigt d'ouvrir ta gueule.

Le jour où par exemple, tu auras été la seule personne en France a avoir pu mettre en évidence quelques bizarreries dans l'attribution de subventions à telle ou telle organisation bizarre, là tu pourras ouvrir ta gueule.

Et surtout, le jour où tu sauras ce que signifie "prouver ce que l'on dit", là tu pourras ouvrir ta gueule.

:doigt:

Ta bienveillance "de principe" vis-à-vis de tout ce qui touche au Maghreb ou aux musulmans en général tient de l'obsession, et tes prises de position sont carrément pavloviennes.

Tu es l'idiot utile de gens qui ne te veulent pas du bien.

Je connais ce genre de commentaires : tu souffres de ce que j'ai (contrairement à toi) un esprit neutre puisque documenté. Justement, j'ai amené tous les éléments sur ce fil pour juger de ce que je cherchais à découvrir, à savoir à quel point ce film pouvait être un morceau politicien. Ta contribution, à l'inverse, à été nulle.

Toi, au contraire, n'ayant accès qu'à la télévision, tu fais par exemple comme mon ami free jazz (qui se trompe, lui, de bonne foi), tu dis "ah, ce film est sûrement un truc de propagande du pouvoir en place". Or, c'est plus subtil, c'est le contraire qu'on voit dans ce film. :icon_up:

Enfin, je comprends maintenant pourquoi l'immense majorité des français n'aiment pas le football : des gens comme toi, parce qu'ils se sont pris le bec avec un type comme moi cherche ensuite tous les moyens de nuire. Pauvre petit va.

Quel morceau de bravoure !
Toujours à l'affût, toi, pfff. Si seulement c'était la même chose IRL.
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Toujours à l'affût, toi, pfff. Si seulement c'était la même chose IRL.

Je signale, puisque ce n'est pas clair, que ceci devait se comprendre comme réprouvant l'excès du commentaire cité. Malheureusement j'ai l'impression que tu prends négativement tout ce que j'écris à ton égard, ce depuis que tu as pris personnellement la réfutation - ou pire : la mise en évidence de la banalité - de plusieurs de tes théories irl. C'est dommage, d'autant plus que tu me dois un verre si ma mémoire est bonne.

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Le jour où comme moi tu connaîtrais sur le bout des doigts ce que signifie "financé par l'argent public" tu auras peut-être le doigt d'ouvrir ta gueule.

Le jour où par exemple, tu auras été la seule personne en France a avoir pu mettre en évidence quelques bizarreries dans l'attribution de subventions à telle ou telle organisation bizarre, là tu pourras ouvrir ta gueule.

Et surtout, le jour où tu sauras ce que signifie "prouver ce que l'on dit", là tu pourras ouvrir ta gueule.

:doigt:

C'est sûr que quand on s'estime le seul en droit d'ouvrir sa gueule on a du mal à accepter les remarques. Je connais des tas de gens comme ça.

Je connais ce genre de commentaires : tu souffres de ce que j'ai (contrairement à toi) un esprit neutre puisque documenté. Justement, j'ai amené tous les éléments sur ce fil pour juger de ce que je cherchais à découvrir, à savoir à quel point ce film pouvait être un morceau politicien. Ta contribution, à l'inverse, à été nulle.

Puis-je te demander pourquoi c'est important pour toi de découvrir à quel point ce film est un morceau politicien ? Souvent on croit chercher une réponse alors qu'on cherche juste des certitudes.

Je peux te dire, par exemple, que "les Chevaliers Du Ciel" est une bouse financé par le ministère de la défense, il y a le même genre de truc dans le cinéma américain "Independance Day" je crois, une bouse pareil. Quand la bouse vient d'Algérie ca reste une bouse, en fait je crois que c'est ça la "neutralité".

Toi, au contraire, n'ayant accès qu'à la télévision, tu fais par exemple comme mon ami free jazz (qui se trompe, lui, de bonne foi), tu dis "ah, ce film est sûrement un truc de propagande du pouvoir en place". Or, c'est plus subtil, c'est le contraire qu'on voit dans ce film. :icon_up:

En quoi est-ce pertinent ? Qu'est-ce qu'on en a à faire de ce film sincèrement ? Si tu as besoin de voir ce film pour t'informer sur l'indépendance de l'Algérie, c'est que tu as un problème pour te documenter. Sans déconner, un truc financé par le "ministère des Moudjahidine", ça devrait te mettre la puce à l'oreille quand même.

Enfin, je comprends maintenant pourquoi l'immense majorité des français n'aiment pas le football : des gens comme toi, parce qu'ils se sont pris le bec avec un type comme moi cherche ensuite tous les moyens de nuire. Pauvre petit va.

Choucroute !!!

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Tiens, le magazine conservateur "Les 4 Vérités" vient de publier, et c'est dommage, l'exemple type du texte à côté de la plaque. A côté de la plaque parce que son auteur n'a manifestement pas vu le film, et surtout qu'il le critique à tort sur des points faux alors que celui-ci est éminemment critiquable.

Quant à la polémique, les chroniqueurs du Figaro-Magazine ou de Valeurs Actuelles, entre autres, ont dit ce qu’il fallait penser de la manière qu’a Bouchareb de réécrire l’histoire : « apologie caricaturale du FLN algérien », elle se réduit à une « fiction manichéenne de facture médiocre, dévaluée par de nombreuses erreurs historiques », écrivait déjà Frédéric Pons dans Valeurs Actuelles en mai 2010.

C'est absolument faux, ce n'est pas une apologie du FLN, loin s'en faut.

Reste une question à poser : pourquoi la France a-t-elle largement contribué à financer ce film mensonger qui la traîne dans la boue ? Pourquoi Frédéric Mitterrand, qu’on croyait davantage porté sur la Thaïlande, a-t-il prêté la main, avec l’assentiment de FrançoisFillon, dont on attend encore les regrets, à cette calomnie envers notre pays, qui est en outre susceptible de jeter de l’huile sur le feu des banlieues françaises ?

Ca, c'est sans commentaire.

Une autre question me vient à l’esprit : voilà près de cinquante ans que l’Algérie est indépendante – a été « libérée », comme dirait Bouchareb. Que font le réalisateur de Hors-la-loi et ses trois comédiens dans ce pays criminel, coupable d’avoir odieusement colonisé et exploité leurs frères de race ? Pourquoi ne font-ils pas valoir leurs immenses talents en Algérie ? Ce choix paraît pour le moins contradictoire.

Le réflexe "si t'es pas content casse-toi", adressé aux français d'ethnies différentes dès lors qu'ils proposent, à tort ou à raison, en ayant tort ou en ayant raison, une vision de ceci ou de cela, est toujours aussi présent dans la droite et l'extrême-droite.

Ecoute petit. Relis tranquillement ce fil, oublie que c'est moi qui l'ai écrit, et va boire frais. Comme je te l'ai dit, tu ne sais pas ce que "analyser le financement public de X ou Y", donc je te propose de t’asseoir sagement et de laisser les grands discuter, en attendant d'avoir quelquechose d'intéressant à dire, en dehors d'une attaque personnelle.

Je fais ce que je te conseille pour 80 ou 90% des fils, tu verras c'est moins gratifiant niveau castagne, mais beaucoup plus niveau remplissage de tête.

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Ecoute petit. Relis tranquillement ce fil, oublie que c'est moi qui l'ai écrit, et va boire frais. Comme je te l'ai dit, tu ne sais pas ce que "analyser le financement public de X ou Y", donc je te propose de t’asseoir sagement et de laisser les grands discuter, en attendant d'avoir quelquechose d'intéressant à dire, en dehors d'une attaque personnelle.

Je fais ce que je te conseille pour 80 ou 90% des fils, tu verras c'est moins gratifiant niveau castagne, mais beaucoup plus niveau remplissage de tête.

Ecoute mon grand.

Tu crée un fil ici sous couvert d'avoir l'avis des autres alors même que ton avis est déjà tranché.

Si on te dit que le film prend des libertés avec l'histoire : "Ce n'est pas une fresque historique, le film dépeint juste la vie d'une famille algérienne de 1925 à 1962"

Si on te dit que c'est un film de propagande : "Le FLN n'est pas montré sous un jour favorable."

Si on te parle de financement public suspect : "Tais-toi, tu ne connais rien au financement public."

Si on te dit qu'on s'en tape le coquillard et que ta question est étrange (et que ton comportement est obsessionnel) : "Je veux savoir si c'est un film de propagande ou pas !"

En fait tu veux juste qu'on te conforte dans ton idée.

Alors voila : non c'est pas un film de propagande. Le niveau de propagande de Bouchareb est bien de 10/100 tu avais vu juste, tout pile, bravo !!

Finalement t'as raison j'aurai du me taire, la réponse de Punu traduisant parfaitement le fond de ma pensée.

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Tu crée un fil ici sous couvert d'avoir l'avis des autres alors même que ton avis est déjà tranché.

:icon_up:

Si on te dit que le film prend des libertés avec l'histoire : "Ce n'est pas une fresque historique, le film dépeint juste la vie d'une famille algérienne de 1925 à 1962"

C'est pourtant bien le cas : il suffit de compter le nombre de plans consacrés aux acteurs en question. Sais-tu compter?

Si on te dit que c'est un film de propagande : "Le FLN n'est pas montré sous un jour favorable."

C'est le cas, à moins que tu trouves que montrer des gens du FLN se félicitant de voir buter leurs propres compatriotes est quelquechose de positif. Pour moi, c'est plutôt négatif.

Si on te parle de financement public suspect : "Tais-toi, tu ne connais rien au financement public."
Si on te dit qu'on s'en tape le coquillard et que ta question est étrange (et que ton comportement est obsessionnel) : "Je veux savoir si c'est un film de propagande ou pas !"
En fait tu veux juste qu'on te conforte dans ton idée.

Pourquoi "on"? Pourquoi pas "je"?

Alors voila : non c'est pas un film de propagande. Le niveau de propagande de Bouchareb est bien de 10/100 tu avais vu juste, tout pile, bravo !!

Si tu avais lu plus attentivement ce que j'ai écrit, tu aurais vu que le point important concernant cette évaluation de 10/100, est que le niveau 100/100 est (selon moi) attribuable à V for Vendetta. Je tenais ainsi à faire un retour à ceux, nombreux, qui connaissent ce dernier film, afin qu'ils se fassent une idée, sans avoir besoin de voir Hors la loi, de (mon avis sur) son niveau de "propagande". C'est une évaluation absolument relative, et c'est le point clé de ce que j'écrivais en fait.

Finalement t'as raison j'aurai du me taire

Je sais, tu aurais dû m'écouter, plutôt que d'essayer de me mordiller les chevilles, ça sert à rien, les vieux singes, la grimace, toussa.

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Pourquoi "on"? Pourquoi pas "je"?

J'ai simplement abordé la question du financement public, les autres points sont extraits du fil et ont été abordés par d'autres personnes. "On" était donc à prendre dans son sens indéfini.

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Merci pour la vidéo, il manquait l'autre côté du spectre après le commentaire de type extrême-droite des 4 Vérités. Vraiment, les Indigènes de la République et l'extrême-droite se méritent l'un l'autre.

"Ce qui est incroyable avec ce film, c'est que personne l'a vu mais tout le monde a son mot à dire", déclare le journaliste de BFM. J'espère que les contributeurs de ce fil qui se sont un peu trop avancés sur le fond du film n'ont pas eu les oreilles qui sifflent trop fort.

Sinon Bouteldja est fidèle à elle-même. A se demander pourquoi elle a été invitée, autant n'importe nawak que les 4 Vérités. Cependant, les journalistes de BFM sont plutôt excellents, ils montrent à quel point elle raconte des sottises, en lui demandant son âge, en lui expliquant que même ses parents ont grandi dans une Algérie indépendante.

Très bonne chaîne d'info.

PS : dommage que la source soit ce site French Carcan, mais bon.

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  • 4 months later...

Un article intéressant de The Economist qui fait un parallèle entre le film de Bouchareb et "Des hommes et des dieux".

Two very different films explore Algeria’s turbulent past

Films about Algeria Feb 17th 2011 | from the print edition

So help me God

OF THE many troubled chapters in modern history, few have left so deep a legacy of distrust, grievance and hurt as the 1954-62 Franco-Algerian war. Unlike France’s other territories in the Maghreb, Algeria was a French administrative département, run and settled not as a colony but as an extension of France itself. This stirred quite particular passions. Albert Camus, the Nobel prize-winning novelist who was born and educated in French Algeria, wrote in 1955 that he was “hurting about Algeria the way others hurt in their lungs”. Some 1.5m French soldiers fought to keep it French. The war brought down the Fourth Republic, returned Charles de Gaulle to power, and left rage in its wake.

“The loss of Algeria was experienced in France as a sort of amputation,” says Benjamin Stora, a French historian, “The subject is still burning, and the war of memories is fierce.” To this day, there is no historical consensus across the Mediterranean, only rival versions of the events that led to Algerian independence, after 132 years of French rule. They divide not only French and Algerians, but the French and the pieds-noirs, white settlers who fled after independence with their belongings in a suitcase. For years France covered up the use of torture and summary executions; Algerians also denied atrocities against the French.

Even now, neither side seems able to let the wound heal. As recently as 2005 the French parliament passed a law referring to the “positive role of the French presence overseas, notably in north Africa”, a clause later removed after an outcry. Furious Algerian deputies then tried to criminalise French colonialism. Within France a big population of Algerian descent wrestles with the conflicted identity. In Algiers there is still no road nor public building named in memory of Camus.

Amid these competing narratives, film-makers have also had their say, starting with Gillo Pontecorvo’s 1966 masterpiece, “The Battle of Algiers”. This year Algeria and France each nominated a film about Algeria for an Oscar in the best foreign-film category. Algeria sent “Hors-la-Loi” (“Outside the Law”), directed by Rachid Bouchareb, and France selected “Des Hommes et Des Dieux” (“Of Gods and Men”), by Xavier Beauvois. The first, partly backed by French money, was a commercial flop in France; the second, which opens in America on February 25th, an unlikely hit. Only the Algerian entry made it into the final Oscar line-up, which is a pity because the French one stays in the mind longer.

“Outside the Law” is a fast-paced glossy gangster movie out to make a political point. Mr Bouchareb’s previous film, “Indigènes” (“Days of Glory”), brought home to French audiences the contribution of north African soldiers to liberating Europe from Nazi occupation. Embarrassed, the French government promptly raised the pensions of such veterans to match their French counterparts’. This time Mr Bouchareb’s starting point is the 1945 Sétif massacres, which began when unarmed Algerians, marching to celebrate victory in Europe and to press nationalist demands, were gunned down by French forces; many thousands died in the subsequent repression. Told through the eyes of three Algerian brothers, who lose their father in the massacres, it follows their reunion years later in France, and the different choices each makes as an underground Algerian resistance movement takes hold among automobile workers and the shantytowns of 1950s Nanterre, in the outskirts of Paris.

“Outside the Law” is a respectable action film, which turns the spotlight on a disturbing episode of history. Mr Bouchareb says he wanted to show that revolution “chews people up and spits them out”. He unflinchingly depicts the barbarism on both sides.

“Of Gods and Men”, by contrast, is not about politics. It is a remarkable study of spirituality and sacrifice, and how men of faith cope when their ideals are challenged by violent reality. Based on a true story, it follows a group of Cistercian monks, living modestly among poor villagers in the little Tibhirine monastery in the Algerian Atlas Mountains. As the Algerian civil war and Islamist terrorist attacks intensified around them in the mid-1990s, they were warned that their lives were at risk, but chose, after much collective agonising, to stay. In 1996 seven of them were kidnapped; only their decapitated heads were ever found. An Islamist terror group claimed responsibility.

The film has spellbound French audiences, moved by the simplicity and faith of the Tibhirine monks, in an age of materialistic excess, celebrity froth and empty churches. Its cramped cinematography mirrors their daily lives. The monks are human, and they rage and doubt, torn between a survival instinct to leave and a spiritual calling to stay. They run a health clinic for villagers and fear abandoning them to terror. “It is mad to stay, like it is mad to become a monk,” says Brother Christian wryly, the group’s leader, played by Lambert Wilson.

“Of Gods and Men” is not without flaws. Its “Last Supper” scene at the end, at which the monks share red wine, tears and smiles in silent contemplation of their fate, to the swelling chords of Tchaikovsky’s “Swan Lake”, is not quite controlled enough to sustain the heavy emotion. Nor does the film ever confront the post- colonial questions that hover over the Algerian villagers’ dependence on the French monks. But such shortcomings are readily forgiven. It is a deeply affecting film, with a forceful message. In a posthumous letter, delivered as a voice-over as the monks are led away to their deaths, Brother Christian urges those who outlive him not to caricature Islam, nor to blame all Algerians for his murder—a message more pertinent today than ever.

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