Norvège

[Johnnieboy]

il y a 15 minutes, Tramp a dit :

Je ne suis pas sûr que la fonctionnarisation entraîne créativité et émulation. 

Ce sont plus des prix que des salaires (tu ne vis pas en Norvège avec 700 euros par mois). Et Michel-Ange était payé principalement avec de l'argent public.

[Jean_Karim]

Il y a 1 heure, Johnnieboy a dit :

Un coût de probablement 2 millions d'euros par an pour les livres (pas compté les salaires), ce n'est pas grand-chose pour un pays avec autant de ressources. Et même si la qualité ne doit pas être incroyable, il y a toujours une chance de trouver des perles.

 

En comptant toutes les administrations qui gèrent l'attribution des subventions ?

[Rincevent]

il y a 16 minutes, Johnnieboy a dit :

Et Michel-Ange était payé principalement avec de l'argent public.

Allons, allons. On parle d'une époque où la distinction entre caisses publiques et caisses privées n'était pas si évidente, et où l'État pourrait être considéré comme semi-privatisé.

[Johnnieboy]

il y a 39 minutes, Jean_Karim a dit :

En comptant toutes les administrations qui gèrent l'attribution des subventions ?

Bien vu.
 

il y a 35 minutes, Rincevent a dit :

Allons, allons. On parle d'une époque où la distinction entre caisses publiques et caisses privées n'était pas si évidente, et où l'État pourrait être considéré comme semi-privatisé.

 

Oui, évidemment. Mais je pense qu'il faut aussi admettre que les individus qui gèrent les ressources publiques peuvent aussi avoir un rôle à jouer dans la qualité des œuvres qui finissent par être subventionnées. 

Les Norvégiens disposent d'un fonds souverain qui possède 1 500 milliards de dollars d'actifs. Ils peuvent bien se permettre cette petite expérience pour tenter de continuer à faire vivre leur langue. Ce n'est pas comme s'ils prenaient des mesures débiles contre l'anglais comme les Québécois.

[Rincevent]

il y a 10 minutes, Johnnieboy a dit :

Oui, évidemment. Mais je pense qu'il faut aussi admettre que les individus qui gèrent les ressources publiques peuvent aussi avoir un rôle à jouer dans la qualité des œuvres qui finissent par être subventionnés. 

Naturellement : people is policy. Les hauts fonctionnaires de la Culture nommés par Malraux ne peuvent pas donner les mêmes résultats que leurs successeurs nommés par Lang (et, au fond, les HF ont davantage d'influence réelle que le ministre lui-même)