Azref

Je n'ai jamais vraiment compris comment il est passé de RSF à ça...

Je répondais juste au message que je quotais : des ventes en dessous du prix moyen du cours, c'est des gens qui se débarrassent de leur bitcoins. Après que cela ne change rien à la hausse je suis d'accord

OK. Des gens qui se débarrassent de leurs bitcoins quoi.

C'est à dire? Le fait que de plus en plus d'acteurs l'adoptent comme monnaie acceptée?

Courriel et bogue, j'ai déjà entendu, le reste...

Si ça sert à enlever les œillères de quelques personnes, ce n'est jamais perdu...

C'est la conclusion à laquelle je suis arrivé avec mes collègues, amis ou famille: une remarque éventuellement pour souligner de manière détournée certaines aberrations, mais pas plus.

C'est ce qui est bien avec les ennemis imaginaires (neo, ultra libéraux etc), on peut les définir comme on veut, et s'y attaquer sans craindre de défense, puisque personne ne s'en revendique.

Les commentaires sur twitter sont plutôt rassurants, en tout cas. Exact, mais n'oublie pas que c'est un débat religieux: si tu t'écartes de dogme (l'apocalypse climatique), même un peu, en soulignant que l'Homme et la nature s'adapteront au changements climatiques, c'est déjà une hérésie.

Merci pour les infos

OK, et aucun moyen de se retourner si virement annulé du coup ...?

Merci pour l'info. En gros je place les bitcoins chez l'escrow en avance, mais par contre l'acheteur n'a rien à faire? Tu as eu des soucis? Faux billets?

Comment fonctionnent les services comme local bitcoin? Quelqu'un a déjà utilisé ça?

C'était vraiment le traitement réservé à un hérétique, alors même qu'il ne nie pas le réchauffement climatique, et ne fait que souligner le catastrophisme exagéré ambiant.

L'esprit "écolo" (ie néo-luddite, l'écologie n'en est que le paravent) est passé par là. Aujourd'hui, il est de bon ton de cracher sur la science et le progrès technique. Exactement: je ne sais pas si c'est moi qui ai changé, ou juste l'air du temps, mais j'ai l'impression qu'ils ne s’embarrassent même plus de subtilité, c'est passé d'une époque où les arguments pouvaient se défendre tout en étant faux, à une mauvaise soupe de niveau lycée. Toute l'argumentation consiste à trouver un lien entre le sujet et libéralisme/capitalisme/mondialisation, et une fois cela fait, en dire autant de mal que possible.

Bah, le neo-luddisme est à la mode.

Parfois, on a de bonnes surprises: c'est fou le nombre d'idées authentiquement libérales que peuvent sortir mes collègues, sans jamais relier ça au terme libéralisme.

Je ne sais pas pour les fessées, mais pour les baffes, je confirme, je me souviens que ce qui me faisait le plus mal quand j'étais gamin, ce n'était pas tellement la baffe, en général absolument pas douloureuse, (et qui pouvait arriver très très exceptionnellement), mais plutôt de sentir la déception de mes parents. Évidemment, la baffe/fessée régulière, comme les hurlements d'ailleurs, c'est totalement contreproductif.

Paris la nuit, j'ai de mauvais souvenirs, surtout liés aux Noctiliens et à l'absence de vie commerçante. Je ne sais pas comment ça se passe dans les autres capitales "mondiales", mais honnêtement si c'est aussi glauque Paris ça ne donne pas envie. Pas que ça: c'est aussi beaucoup plus visible qu'un bus. Électoralement ça compte.

Et avant encore, le Japon. Le "c'était mieux avant", c'est puissant.

Et m****, une des taxes que j'avais la joie de ne pas payer... Je ne regarderai pas plus les chaines publiques, mais je vais quand même les payer, youpi.

Je te rassure, je rencontre ça dans toutes les générations, après peut-être que c'est plus le cas avec la génération Y, mais je n'ai pas de stats.

Un sénateur manque d'encre en imprimant une place de théâtre? Pas de problème, il demande une loi pour règlementer toute cette anarchie Un sénateur agacé par les pubs sur les billets à imprimer Heureusement qu'il est là pour savoir ce qui est bon pour nous

Je ne connaissais pas ce test, réducteur je suppose, mais intéressant INTJ pour moi. Je vois qu'on est nombreux dans le coin

Vu les extraits, on dirait le KKK à l'envers.