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Encore une fois, cette distinction crée une différence morale mais pas une différence de préjudice. La loi existant pour réparer/interdire les préjudices, et pas pour imposer un ordre moral, il n'y a pas à différencier juridiquement avant et après.
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Pas du tout, ou alors reconnaître le transfert du droit de propriété sur les drogues revient à légiférer pour le commerce de drogue.
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L'amour n'est absolument pas la question.
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Il juge en équité.
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Là n'est pas la question, ce n'est pas un préjudice qui justifie l'usage de la force. Précisément pas. La Loi ne peut interdire que ce qui viole un droit, sinon on sort du libéralisme. A présent, quel est le droit de l'enfant qui est violé lors d'une délégation marchandée qui ne l'est pas lors d'une délégation gratuite ? La réponse est : aucun. Ce n'est pas jouer sur les mots. Parler d'acheter ou vendre un enfant revient à le considérer comme une propriété, ce qu'il n'est pas.
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Une petite synthèse rapide pour faire gagner du temps ?
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Ils sont comparables car les résultats sont identiques.
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Tu ne comprend pas. Marchander, c'est délégué. La Loi est là pour sanctionner les injustices, rien de plus. Tu peux considérer qu'il est plus immoral de marchander une délégation que de déléguer gratuitement, mais le résultat est le même. Autrement dis, ceux qui disent vouloir interdire la délégation marchandée au nom des intérêts de l'enfants devront interdire toute délégation pour les mêmes raisons.
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C'est d'ailleurs le communisme qui met le travailleur chinois en esclavage. Ah non, j'oubliais que la Chine était ultralibérale
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Ce principe est moral et n'a pas de sens libéralement parlant. Il implique d'ailleurs d'interdire des choses qui sont pourtant issues de la tradition, comme la vente de cheveux aux perruquiers ou encore les mères de lait. Marchandage du corps de la femme si tu veux, mais pas de l'enfant. A la rigueur, marchandage de la parenté, mais toujours pas de l'enfant.
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Non, une femme ayant l'utérus bousillé mais les ovules fonctionnelles n'a pas d'autre alternatives pour avoir un enfant biologique.
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Dans le cas où la mère porteuse fournis ses ovules, c'est la mère biologique. Elle a le droit de déléguer ses devoirs envers le gamin comme n'importe quelle adolescente qui se fait engrosser, à ses parents, à un couvant, ou à un petit couple gay au choix.
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"Ne pas être marchandé" n'est pas un droit, et de toute façon la GPA ne consiste pas à marchander l'enfant, mais à louer le corps de la femme.
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C'est précisément le contraire de ce que j'ai dis. La mère biologique est la mère, c'est celle qui transmet son ADN. La mère porteuse qui n'a pas transmis son ADN n'est pas la mère, tu saisis bien ça ?
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Pour ce qui est du climat, il a certainement une influence générale sur les populations, mais pour cette guerre en particulier ça n'a clairement rien à voire. L'article lui-même dit que le changement climatique a provoqué quelques déplacement vers la Libye, ça n'explique en rien le soulèvement des Touaregs ni la prise de pouvoir des islamistes.
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Si, une nourrice est à la base la femme qui éduque et allaite l'enfant d'une autre, contre rémunération. elle n'en est pas considérée comme mère pour autant. La mère porteuse est similaire, elle rempli un rôle qui est normalement celui d'une mère biologique, la mère porteuse n'est pas pour autant la mère. Elle ne renonce pas à ses droits sur l'enfant, car le simple fait de porter un enfant ne fait pas de cet enfant le sien, tout comme une femme qui allaite un enfant ne fait pas de cet enfant le sien.
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C'est simplement analogue, dans les deux cas on a une femme qui n'est pas la mère biologique qui prend le rôle de la mère pour un cas particulier. Mais que l'on parle de mère porteuse ou de mère de lait, il est impropre de considérer l'enfant comme étant le sien.
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Le fait qu'elle porte l'enfant n'en fait pas la mère, tant qu'elle ne partage pas l'ADN. Ce n'est donc pas son enfant. Il faut bien distinguer le cas ou la porteuse est mère biologique ou pas.
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Je ne vois pas le problème. Si ça c'est de l'eugénisme, alors la totalité de l'humanité est eugéniste.
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Si, c'est pas une question d'objet, c'est une question de sujet. Et le sujet c'est moi, dés lors que j'émet une opinion que je ne prend pas la peine de justifier par des éléments objectifs, j'assume qu'il s'agit de subjectivité. La question n'est pas de savoir ce qui est "mieux" pour l'enfant. Je vois que j'ai d'un côté une mère qui a porté son enfant, et une autre qui ne la pas porté, la parenté de la seconde est clairement inférieure.
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C'est de la subjectivité, mais oui, le mode de procréation artificiel est inférieur au mode de procréation naturel. Ce qui ne veux pas dire qu'il faille interdire le premier bien entendu.
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Rarement lu autant de bêtises dans un seul article.
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Dans mes souvenir, un certain nombre d'hormones interviennent dans la grossesse, je ne crois pas qu'il suffise d'un utérus.
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C'est pour moi une évidence, cependant il n'y a libéralement aucune raison d'interdire ce que tu appelle une "parenté au rabais". Pour mieux dire, la question n'est pas de déterminer si ce mode de conception est sain ou moral, mais de déterminer si quelqu'un est lésé sans son consentement à un tel point que le recours à la force est légitime pour empêcher ce préjudice.
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Le gosse est mort-né, non ? Ou bien a-t-il avorté naturellement ? Qu'il soit viable me semble assez impossible, biologiquement je veux dire.
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