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Voy

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Tout ce qui a été posté par Voy

  1. T'appelles ça un numerus clausus ? Tu sais qu'il y a une différence entre examen et concours ? Source ?
  2. D'ailleurs j'ai jamais compris cette phobie du boxer blanc, bon au fond de moi j'ai intériorisé et je ne mets que des noirs, mais c'est quoi le souci ? Voir les traces de pneus ? Les ornières des Peugeot ?
  3. Tramp disait que les métiers de médecins et avocats étaient moins accessibles que plombier ou ouvrier du BTP car il y a un numerus clausus dans ces professions. C'est l'une des causes mais considérer ça comme l'unique raison (comme il a semblé le faire) est absurde. Il y a évidemment une différence de niveau intellectuel et technique qui entraîne nécessairement qu'une plus petite partie de la population pourra être médecin qu'être ouvrier qualifié. Vous démarrez au quart de tour hein. Et non, pas de numerus clausus pour les avocats, mais bon on est pas à une affirmation à l'emporte-pièces près.
  4. Ouais trop easy d'être médecin dommage que l'Etat soit la tout le monde pourrait soigner des neuroblastomes.
  5. Si on en fait un objet purement de transgression et qu'on interdit ses comportements vertueux dans le lot il faut pas s'étonner à ce qu'il soit dans la pratique quotidienne un objet uniquement de transgression.
  6. Là où il y a de l'argent à se faire et des chiens errants à frapper sans raison. (à Lyon)
  7. Il y a une différence entre assoc reconnues d'utilité publique et simple assoc. http://vosdroits.service-public.fr/associations/F1131.xhtml
  8. Oui ça c'est le grand problème de l'État, à rendre les choses """"""gratuites"""""" on en fait de la merde. cf. Friedman et l'argent des autres.
  9. Je doute du libéralisme de quelqu'un ici.
  10. Mais j'ai jamais dit ça. J'ai dit que les critères des métiers manuels et techniques seraient naturellement plus bas (sur le simple plan des performances scolaires) que les filières traditionnellement convoitées (facultés, grandes écoles, etc). Après oui évidemment qu'on va pas accepter des types lourds et perturbateurs dans ces filières, il ne faut pas en faire des poubelles. Mais là dessus tout le monde est d'accord non ?* (*ici, pas à l'EdNat)
  11. Tu me fais dire ce que je n'ai pas dit, mais je suis d'accord avec toi.
  12. Oui bon c'est du politiquement correct que tu me fais là. L'un des traits des métiers manuels c'est d'être plus accessibles que médecin, avocat ou chercheur en sciences cognitives.
  13. Mais je suis pas vraiment Randien. Mon avatar est surtout très joli. Au palmarès des recrutements les plus difficiles figurent les traditionnels emplois à domicile... les aides ménagères... mais il manque aussi des ingénieurs, des cadres en recherche et développement. http://www.franceinfo.fr/emission/tout-info-tout-eco/2014-2015/chomage-le-paradoxe-des-offres-d-emplois-non-pourvues-26-02-2015-06-53
  14. Ca c'est le problème de ton diplôme et de nombreux autres. Un étudiant en médecine, en physique, en chimie (même si peu de débouchés dans ce domaine), dans une autre mesure un étudiant en droit ne te dira pas ça. Si ça ne tenait qu'à moi j'éradiquerais 80% des filières en sciences sociales, lettres, histoire et en langues. Just saying. Qu'elles soient sélectives ok mais leurs critères seront nécessairement beaucoup plus bas que les filières générales.
  15. Si quelqu'un n'est pas bon à une langue, qu'il n'espère pas l'apprendre à la fac. Parce que (normalement, dans un pays censé), on n'apprend pas une langue à la faculté dont on a fait son cursus : on l'approfondit, on la travaille, on l'analyse. Aller en espagnol car on a un niveau lycée en espagnol est une grave erreur, la faute aux conseillers d'orientation, aux profs et à la faible sélectivité des universités. La faculté forme des intellectuels, des experts, des cadres supérieurs, des ingénieurs, des professeurs. En ce sens, elle ne devrait pas avoir vocation à fournir à tout le monde une éducation égale et équitable (tout le monde n'a pas le niveau...), mais à fabriquer une forme d'élite intellectuelle, ce qui n'est plus vraiment le cas aujourd'hui. Quant à l'âge, dans quasiment tous les pays du monde, les élèves commencent leurs études à 17 ou 18 ans dans les mêmes circonstances.
  16. 1) Dans une France rongée par un État qui ravage l'économie, avoir un emploi devient presque un Graal. Alors les gauchos veulent absolument "défendre" ceux qui ont donc des emplois en interdisant le licenciement. Plot twist : si l'État n'était pas aussi balèze, après la perte d'un emploi on pourrait en retrouver un relativement facilement (fluidité du marché). En somme pour un libéral le drame n'est pas de perdre son emploi, c'est de ne pas en retrouver un autre. 2) La notion d'entreprise qui serait en difficulté et qui aurait besoin de réduire ses coûts n'existe pas chez les anti-licenciements. Pour eux, tout patron est un bourgeois affilié au grand capital apatride, et quand il renvoie des gens c'est pour faire plus d'argent ou garantir son rapport de domination par le travail. Dès lors, on interdit de licencier pour que le travail devienne un acquis social. Cela permet de renverser la "soumission du travailleur au capital" : le capitaliste devient soumis au travailleur car le capitaliste ne peut plus renvoyer le travailleur en raison d'une législation qui empêche le licenciement. Plot twist : si ce genre de législation voit le jour plus personne ne créera d'entreprises, celles déjà existantes feront faillite, et donc personne n'aura d'emploi. Ce qui me fait penser à une émission sur je ne sais quelle radio à laquelle avait participé Baptiste Creteur de Contrepoints, face à Nathalie Arthaud. Baptiste lui répondait "oui mais les entreprises qui licencient ne sont pas tout le temps des grosses multinationales qui font des bénéfices vous savez..." Et Arthaud ne répondait pas : elle ne pouvait pas concevoir (elle qui est pourtant prof d'économie gestion à l'EdNat) qu'une entreprise peut aussi être une petite PME en difficulté et que pour sauver quarante employés il faut parfois renvoyer un ou deux employés. De manière générale il ne faut pas vraiment chercher d'argumentation chez ces gens-là, leurs propositions politiques se basent sur un ressenti et des automatismes marxistes. Et ils oublient notre bon vieux Bastiat "ce qu'on voit et ce qu'on ne voit pas". Ce qu'on voit c'est que tous les emplois existants seront conservés, ce qu'on ne voit pas c'est que plus aucune entreprise ne recrutera et que toutes celles déjà existantes courront inéluctablement à la faillite faute de flexibilité.
  17. +1 Rétablir une sélection au lycée, puis à l'université. Si bourses il doit y avoir, quitte à jouer l'État-stratège (on est en France hein on s'adapte...) les conditionner aux filières qui ne coûtent pas deux fois (financement des études + financement de l'étudiant diplômé devenu poids pour le contribuable à cause de son diplôme bidon) i.e. médecine, physique, sciences, etc, et ce après la sélection des élèves pour éviter l'engorgement.
  18. Sinon, l'école a toujours été plus ou moins un lieu fortement sexué : découvertes homosexuelles (dans les cas extrêmes pédérastiques), import de photos découpées dans des revues sexuelles, aujourd'hui visionnage de pornographie dans les cours, bullying avec dérives sexuelles, etc. C'est juste le support qui change, les smartphones ne sont pas la cause de la pornographie.
  19. Vous êtes des réacs. C'est pas parce que l'EdNat se cache sous un faux progressisme dévastateur que vous devez réagir avec ce genre d'idées. On peut ne pas être progressiste mais on peut être conscient qu'on vit à une époque où les individus passent une bonne partie de leur journée devant leur smartphone, et que celui-ci est devenu un outil pour tout et n'importe quoi, y compris pour l'éducation. http://www.csmonitor.com/USA/Education/2012/1129/Not-just-4-texting-1-in-3-middle-schoolers-uses-smart-phones-for-homework Revoir rapidement une date sur son smartphone en cours sans déranger la classe. Être très bon en cours et jeter des coups d'oeil à Wikipedia pour approfondir en même temps que le professeur raconte des notions que l'on maîtrise déjà. Vérifier l'orthographe d'un mot, la traduction d'un mot, la définition d'un mot. Les aspects éducatifs du smartphone sont nombreux, que ce soit en cours ou à la maison. Cette idée de mettre des brouilleurs dans les lycées me fait doucement rire, c'est bien représentatif de gens qui ne veulent pas vivre avec leur temps. Et c'est pas parce que des glandus utilisent "mal" leurs smartphones en cours (encore qu'envoyer un SMS pendant un cours je vois pas ce qu'il y a de mal... mais bon soit considérons) qu'il faut l'interdire pour la totalité, je croyais que c'était une idée de justice assez étendue chez les libéraux mais visiblement... Je suis favorable à ce que ce genre de problèmes soient réglés par les règlements intérieurs. Si tu sélectionnes correctement les élèves avant tu auras beaucoup moins d'élèves qui feront ces conneries. Les trouducs qui font ça en cours n'ont pas leur place dans la filière où ils sont. On ne peut pas faire peser aux bons élèves une double peine : celle de devoir supporter des connards qui n'ont rien à foutre en filière générale et en plus restreindre leur "liberté éducative" (ça sent le gauchisme ce terme ) sous prétexte que lesdits connards foutent le bordel. Faut être cohérent à un moment.
  20. Arrivera un jour (deja arrivé d'ailleurs) où l'on verra que ces interdictions sont inapplicables et obsolètes.
  21. http://fr.wikipedia.org/wiki/Franc_CFA Françafrique >9000
  22. J'ai un ami qui fait un doctorat en civilisation hispanique actuellement, ancien normalien, personne passionnée et extrêmement pointue sur son sujet ; bref, une bête de la chose. Il se trouve qu'il est aussi professeur (enfin, je sais pas comment on appelle ça quand on est doctorant, il fait des TD etc je pense, il est pas "prof d'université"). Sur sa classe (des élèves en LEA espagnol), une bonne flopée d'élèves n'ont selon lui rien à faire là, parlent mal espagnol, ne savent pas qui est le Roi d'Espagne, n'ont aucune culture du pays, faible maîtrise de la langue, etc, niveau médiocre. bien qu'à l'université, 5 à 10% de la classe est uniquement inscrite pour les bourses (càd absents tout le temps sauf TD/partiels où ils font rien).
  23. La position idéale pour un lycéen français, le top du top, c'est d'être cadre dans une grande entreprise. Exit l'entrepreneuriat, qui est (ou qui devrait...) être à la portée de tous, du plombier à l'avocat, du web-entrepreneur à l'ingénieur. L'entrepreneuriat est tellement dévoyé en France que certaines écoles de commerce prestigieuses offrent des formations à Bac+5 et à 15000€ par an pour être entrepreneur, c'est notamment le cas d'EMLyon (slogan ? school for entrepreneurs) Ca donne à réfléchir... Ce qui était avant l'apanage (au moins symbolique) du self-made-man qui créait sa boîte et s'y mettait à fond suit aujourd'hui les mêmes codes (au moins universitaires) que le haut-salariat. C'est en même temps une stratégie individuelle viable : qui serait assez fou en France pour se lancer dans la création d'une entreprise ? Le salariat est bien plus "confortable"... Le système français en effet n'est pas du tout vocationnel. On cherche à imposer aux élèves un tronc commun, et ils ne jouent pas un rôle majeur dans leur orientation avant l'âge de 17 ans (en gros, le baccalauréat). La division préalable entre filières est encore bien trop vaste (on peut intégrer l'université avec un baccalauréat pro ou technologique, etc).
  24. Si l'injonction de la police n'est pas légale tu n'as pas légalement à la respecter.
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