Voy

Changer le sens des mots, ça permet de construire un système de pensée implacable aux yeux des autres. Les mots que tu utilises étant posés comme des vérités axiomatiques, tu n'as plus qu'à dérouler ton idéologie, et ça marche. Tout repose en fait sur une pétition de principe, la finalité de tes arguments se retrouve dans le sens remodelé des mots que tu utilises pour forger tes prémisses. Ils sont fortiches.

Les Juifs en tant que communauté et proportionnellement à leur population sont loin d'être en position d'infériorité sociale, donc être antisémite est impossible vu que tu t'attaques à des gens qui font partie de l'establishment racial. Selon leur définition, le racisme ne marche que le sens "dominants>dominés", pas l'inverse.

Qu'ils disent clairement ça alors parce que l'argument "on perd sa liberté quand on se drogue" c'est l'un des arguments socles de toutes les politiques anti-libérales Et puis, quand on signe un contrat de travail on perd sa liberté, et puis, et puis... government incoming...

lol

J'aimais bien ce fil, moi. C'était une véritable poudrière, on s'y amusait bien. Bien évidemment la modération a cependant bien agi car on sait que la modération ne fait jamais de mauvais choix.

La Corée du Nord est un laboratoire du CNRS.

https://www.google.fr/?gws_rd=ssl#q=Marie+Charrel+iep+grenoble Diplômée de Sciences Pipo Grenoble. Les chiens ne font pas des chats.

Quand j'étais enfant, mon père s'occupait de la boîte chargée de laver les maillots des équipes de rugby lors de je ne sais plus quelle coupe du monde. J'ai eu les maillots des All Blacks chez moi pendant une soirée, trempés de transpiration. C'était la classe.

Still a better story than France...

Non pas pendant l'affaire. http://fr.wikipedia.org/wiki/Comit%C3%A9_des_droits_de_l%27Homme

J'imagine que le Comité des Droits de l'Homme s'est saisi uniquement de l'affaire de l'étudiant sikh et n'a pas cherché à s'étendre, mais c'est un raisonnement largement applicable au voile islamique.

C'est donc ce qu'on appelle dans le jargon nord-coréen une exkimmunication.

L'autre jour je parlais avec de la famille, disant que Juppé avait quand même été condamné pour l'affaire des emplois fictifs de Paris. "Oui mais il tentait de couvrait Chirac c'est pas lui..." Socialisme. Où couvrir un criminel n'est plus un crime.

Un pas en avant, twois pas en awiewe, c'est la politique, du gouvewnement...

(Wikipedia) J'aime bien les instances supranationales quand il s'agit de libertés civiques ou de droits judiciaires. ONU, CEDH, etc. Généralement ça permet de faire entendre une voix raisonnable sur les conneries des États.

Le réseau des mutuelles étudiantes régionales (dont MEP, SMERRA...) sont moins condamnées par les institutions pour leur gestion catastrophique. La LMDE c'est le pire du pire, mise sous tutelle de l'Etat recemment car incapable de se financer et de se réformer. Quitte à choisir pour un étudiant mieux vaut prendre ces mutuelles régionales, on y a généralement moins de problèmes. Mais évidemment pour le lycéen qui s'inscrit dans le supérieur et qui n'y connaît rien, il coche au hasard et bien malheureux celui qui a coché LMDE. Mais globalement en effet c'est pas glorieux, on parle là de petites nuances. Le cas de la LMDE est encore plus odieux, c'est un vaisseau de l'UNEF, ultra-politisé et qui sent bon la connivence politique.

http://www.ouest-france.fr/mutuelle-etudiante-un-rapport-denonce-la-mauvaise-gestion-de-la-lmde-3395834 http://www.pourquoidocteur.fr/Articles/Vu-dans-la-presse/10690-Sante-des-etudiants-un-rapport-eplingle-a-nouveau-la-LMDE http://www.lemonde.fr/societe/article/2013/02/18/comment-l-unef-a-pris-le-controle-de-la-lmde_1833664_3224.html#SloKYvKvfVLC2vd2.99 ]http://www.lemonde.fr/politique/article/2012/12/28/les-derives-en-serie-des-mutuelles-etudiantes_1810867_823448.html#XA6mvd2wl33SlFMF.99 En complément : (dès la 32ème minute) Spoiler : On a, dans ce reportage : - une étudiante affiliée à une mutuelle étudiante qui doit avancer systématiquement ses frais de pilule parce que la mutuelle met des mois à envoyer la carte vitale ; - de complètes usines à gaz entre Sécu et mutuelles étudiantes pour la gestion des dossiers des étudiants affiliés ; - une étudiante atteinte de la Maladie de Crohn qui ne parvient pas à être remboursée et doit avancer systématiquement ses frais médicaux (avec une dette de plusieurs milliers d'euros chez le pharmacien local) ; - des plateformes téléphoniques complètement incapables (55% des appels reçus non traités, avec un test réel où la LMDE met 30 minutes à répondre au téléphone) - des dossiers égarés où s'amassent des centaines/milliers de dossiers depuis des années, juste parce qu'il y a un accent qui pose problème dans un nom de famille par exemple ; - une organisation bureaucratique chaotique ; - à la LMDE, l'intégralité des membres de l'assemblée générale sont de l'UNEF (syndicats étudiants socialistes), postes rémunérés entre 1000 et 1400€, avec des votes en AG systématiquement à l'unanimité (à 55:20 vous avez un merveilleux moment de démocratie socialiste) ; - des partenariats entre UNEF et LMDE, où le syndicat étudiant reçoit environ 100,000€ par an de la part de la LMDE (la mutuelle étudiante est le deuxième financeur du syndicat étudiant).

Quelques ouvrages de référence : "Le féminimse, who cares?" (PUF Liborg 2008) "Justice sociale et steaks saignants" (Gallimard, Lancelot, 2015) Plus sérieusement, oui, c'est stupide. Pas grand chose à dire d'autre... De l'hystérie quoi. Elles doivent avoir leurs règles.

Dans les sciences humaines, les élèves sont un peu formés à ça je crois. Du moins, je connais des gens en cursus philo pour qui c'est familier. À l'ENS le sujet cette année était, je crois : Expliquer.

Je ne pense pas que les écoles scandinaves infligent à leurs lycéens des rythmes de prépas.

Oui, cela dépend certainement du recrutement des élèves. Pour avoir fréquenté lors de ma scolarité des classes sensibles (en gros beaucoup de nouarabes), je peux affirmer que même le meilleur professeur au monde serait bien incapable de faire quoi que ce soit face à trente élèves qui n'ont de toute façon rien à foutre là et auraient mieux fait de n'avoir jamais posé le pied en lycée général. Après y a pas de secret, les lycées privés ont davantage d'heures d'enseignements (journées bien remplies, samedi matin ou mercredi après-midi travaillés pour des devoirs surveillés hebdomadaires), alors que les lycées publics souffrent à la fois d'un certain absentéisme (profs en "formation", malades, absents, tout le tintouin) et d'une faible dotation en heures de travail. Ah oui, en effet. Disons alors qu'il fait un tri symbolique, comme tu le dis, entre ceux qui le réussissent et ceux qui le passent, puis second tri symbolique avec ceux qui ont une mention très bien, et les autres.

Ok, pas au courant, j'ai toujours entendu que le meilleur lycée était le Parc, suivi de près par les Lazaristes, Saint-Marc, etc. Cela se chevauche en tout cas et montre bien qu'il y a certainement une dotation différente au moins de facto entre, par exemple, le Lycée du Parc et le Lycée La Martinière Duchère.

Ca n'empêche pas que les examens (baccalauréat, brevet) seront les mêmes pour tous les élèves de France, issus du secteur privé ou public de l'éducation. Ce faisant, les examens sont devenus des moteurs à inégalités. Le baccalauréat fait superbement le tri entre élèves de grands lycées publics ou de lycées privés et le reste, c'est-à-dire les élèves de classe moyenne ou de classe populaire qui se contentent de lycées moyens ou de lycées de ZEP.

Ah bah c'est simple, les meilleurs lycées de France sont publics (Louis Le Grand, Henri IV). Dans plusieurs villes, les meilleurs lycées sont publics, souvent situés au centre-ville (Lycée du Parc à Lyon où est formée l'élite lyonnaise, et Lycée Ampère). Il y a très certainement une inégalité de répartition du "bon" personnel mais personne ne le dit.