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Tout ce qui a été posté par Johnathan R. Razorback
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Le fil des séries (dont beaucoup trop se bousémotivent)
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Brock dans Sports et loisirs
On fait tous des erreurs ; maintenant grouille-toi de regarder avant que la dernière saison ne sorte et que le Net ne devienne un ouragan de spoil. -
Macron : ministre, candidat, président... puis oMicron
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Nigel dans Politique, droit et questions de société
Corrigé. -
Macron : ministre, candidat, président... puis oMicron
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Nigel dans Politique, droit et questions de société
Preuve qui a été invalidée depuis longtemps par les travaux d'histoire économique de Milton Friedman. Jacques Rueff expliquait déjà en 1934 a quel point les économies contemporaines étaient déjà des économies mixtes et non des économies de libre-marché: http://ami.du.laissez-faire.eu/_rueff1.php5 -
Macron : ministre, candidat, président... puis oMicron
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Nigel dans Politique, droit et questions de société
La clé de l'explication est que les antilibéraux les plus acharnés se focalisent sur ce que le gouvernement dit (et, effectivement, de temps à autre Le Maire ou Darmanin parle de la nécessité de "maîtriser la dette" et de "faire des économies", pour rassurer les milieux économiques -ce que faisait un Manuel Valls avant eux), et jamais sur ce qu'il fait effectivement (statistiques à l'appui). En même temps une bonne partie de la gauche est contaminé par la "philosophie" post-moderne, pour laquelle la réalité n'est qu'une création discursive. "Il n'y a pas de faits, uniquement des interprétations". On ne peut pas faire grand-chose contre la folie. Rappelons aussi que tous les grand média touchent des subventions ; toute velléité d'économies budgétaires est en puissance une menace pour leurs privilèges. Il faut donc les diaboliser. -
[Sérieux] Immigration : questions et débats libéraux
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Salatomatonion dans Politique, droit et questions de société
Les USA ne posait guère de restrictions à l'immigration au XIXème siècle. Résultat, un pays passé de petite périphérie agricole de l'Europe à une situation de grande puissance économique et industrielle d'envergure mondiale. -
[Sérieux] Immigration : questions et débats libéraux
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Salatomatonion dans Politique, droit et questions de société
Oui. La libre-circulation est un droit naturel et imprescriptible de l'homme, toujours bien utile quand ton pays devient une tyrannie (fiscale ou non) et que tu veux fuir. -
[Sérieux] Immigration : questions et débats libéraux
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Salatomatonion dans Politique, droit et questions de société
Le père de l'idée semble être le théoricien d'extrême-droite Renaud Camus, dont le discours me semble si proche de celui du G.R.E.C.E. qu'une filiation entre les deux semble tout à fait vraisemblables: /!\ http://www.mauvaisenouvelle.fr/?article=france-camus-la-remigration-what-else---938 /!\ Bien sûr les gugus esquivent la douloureuse question de savoir comment virer des centaines de milliers, voire des millions d'étrangers, du pays. Camus se dit en tout cas prêt à "payer pour ça"... Éric Zemmour est moins hypocrite lorsqu'il prédit "une guerre civile entre eux et nous"... Le fait que DPA laisse ses seconds couteaux reprendre ce genre d'éléments de langage (qui ne parle qu'à des groupuscules droitiers) est exécrable, pour ne rien dire du déshonneur que s'attire ces soi-disant "libéraux". -
1): Libre à toi de relire le fil pour vérifier. En l'absence de preuves, c'est un procès d'intention. 2): Personnellement je pense que ce mouvement a donné tout ce qu'il pouvait donner de positif lorsque le gouvernement a annoncé l'annulation de hausses des taxes sur le carburant. Ensuite, il a à mon sens changé de nature, puisqu'il ne vise pas tant à atteindre un objectif défini, mais plutôt à signaler une forme de désespérance sociale ("on est là, on existe !"), etc. Le gouvernement a tenté de répondre à cette colère sociale par un bidouillage de paramètres de l'Etat-providence (cf les annonces de Macron mi-décembre), entraînant des dépenses supplémentaires. Ce qui ne nous change guère de ce qu'il fait le reste de l'année. A partir de là, je pense que le mouvement devait s'arrêter. Il ne semble pas vraiment savoir ce qu'il veut, et les propositions qui surnagent sont manifestement liberticides. Cela étant, la peur du déclassement social, la problématique du pouvoir d'achat pour les couches sociales qui portent les GJ, est un vrai sujet et ne va pas disparaître, quand bien même ces couches n’arrivent pas à se structurer politiquement pour faire aboutir des revendications claires.
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Vu que personne ici n'a écrit qu'il est légitime d'entraver la liberté de circulation, et qu'au contraire plusieurs intervenants (dont moi) ont dit qu'ils seraient souhaitables que les GJ abandonnent ce monde d'action (par exemple au profit du blocage des centres des impôts, qui a eu lieu de manière malheureusement trop sporadique), la cohérence est sauve. On peut avoir de la sympathie pour un mouvement tout en critiquant une partie de ses moyens / objectifs, ainsi que son évolution.
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Ah, effectivement, ceux-là ne viennent pas du "rural profond", c'est une belle ekphrasis du mouvement Nuit-Debout
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Macron : ministre, candidat, président... puis oMicron
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Nigel dans Politique, droit et questions de société
C'est plus ou moins sa ligne de défense communicationnelle depuis la mi-décembre, en effet. "Moi ou le chaos", un scénario qui lui a déjà trop bien réussi au 2ème tour de la présidentielle pour ne pas être réutilisé (mais qui risque de commencer à montrer des signes de fatigue au moment des européennes). L'avantage de cette stratégie est qu'il maintient la tête sous l'eau de Wauquiez, qui est obligé de prôner des mesures sécuritaires toujours plus bêtes, sans parvenir à se poser en recours ou en champion de l'ordre public. -
D'après le ministre de l'Intérieur, les pillages sont essentiellement le fait d'une petite minorité de "200 ou 300 casseurs professionnels". On a aussi tous vu des images de voleurs qui ne portaient pas de gilets jaunes et venaient de servir en meute en profitant de l'indisponibilité des forces de l'ordre. Il faut bien se dire qu'il y a des violents et pourrisseurs dans tous les mouvements sociaux et politiques du monde. Anecdote personnelle: il y a quelques années j'ai participé à un bref mouvement étudiant pour empêcher la modification du règlement intérieur de ma fac ; nous avions occupé très tranquillement les locaux de la direction, hé bien, en repartant, il y avait deux trouduc masqués que personne ne connaissait qui essayaient de péter les micros ou le matériel, et qu'on a dû dégager pendant qu'ils ricanaient. Est-ce que la présence dans un mouvement de 2 ou 3% de gros nazes implique qu'on se sentent solidaires d'eux, qu'on ait "honte" et qu'on se démobilise ? Bien sûr que non. Chacun n'est responsable que de ses faits et gestes. Sinon je suis d'accord avec une partie de ton message, mais il faut maintenir des nuances. Et il ne faut pas essayer de déduire de l'état actuel du mouvement ce qu'il était au départ. Tu écris que dès le début, " le "plus de pognons pour nous" semblait l'emporter sur "moins de dépenses publiques".", c'est possible, mais ça n'empêche que la contestation fiscale était présente. C'est bien ce qui nous as agréablement surpris ici. Inversement, Le Monde et autre relais du socialisme mou ont trouvés utiles de monter au créneau pour faire la "pédagogie de l'impôt" aux Français... C'est bien que quelque chose de potentiellement libéral les a un moment inquiétés avec ce mouvement.
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Définir le principe de non-agression
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Johnathan R. Razorback dans Philosophie, éthique et histoire
1): Si on étant la légitimation de la propriété par le travail (ce que fait déjà Locke quand on regarde comment il qualifie la prise de biens naturels non possédés) à la notion de création ; mes organes sont manifestement ma création, sans mon existence et mon action, ils n'existeraient pas. Il serait donc injuste que quelqu'un prétende avoir un droit dessus. 2): Si on utilise avance l'idée que je suis propriétaire de mon corps (et que c'est ce qui justifie que je puisse en vendre une partie ou me prostituer), la conséquence logique doit être que je peux me vendre comme une chose. Une loi interdisant de m'acheter et de (tenter) de me traiter comme une chose serait donc une atteinte et une entrave à mon droit naturel individuel (et à celui d'autrui d'acheter librement). -
Mes lectures du moment
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Bastiat dans Lectures et culture
Autant libertarien sonne assez bien, autant "libertarianisme" est un peu rude et à rallonge. Et puis l'extension du terme est gênante. Cela dit, libéral était déjà utilisé pour désigner de simples parties du libéralisme (partisan de la liberté religieuse, du constitutionnalisme, etc.), et on ne reviendra sans doute jamais en deçà de l'OPA des liberals sur le terme. -
L’Irlande face au Brexit
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Jesrad dans Europe et international
ça pourrait valoir le coup vu que le fil sur le sujet évoque déjà les emmerd... que l'UE cause à l'Irlande: -
Macron : ministre, candidat, président... puis oMicron
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Nigel dans Politique, droit et questions de société
" renoncer à cette loi liberticide et de redonner à la justice la place éminente qui doit être la sienne dans un Etat de droit respectueux des libertés individuelles et soucieux de la séparation de pouvoirs." Très bon billet. On retrouve certains de tes arguments dans celui qu'Aristide Renou a consacré au sujet: http://aristidebis.blogspot.com/2019/02/une-mauvaise-loi-au-plus-mauvais-moment.html -
L’Irlande face au Brexit
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Jesrad dans Europe et international
Y a pas déjà un fil sur l'Irlande ? -
Définir le principe de non-agression
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Johnathan R. Razorback dans Philosophie, éthique et histoire
1): @Extremo m'avait fait la même remarque il y a quelques temps ; ce à quoi j'avais fait remarquer qu'on peut aboutir à la même conclusion (je vends mon rein si je veux), sans faire référence à cette prémisse (je me possède moi-même). Tout simplement parce qu'à partir du moment où il n'y a pas de motif valable de m'interdire de vendre mes organes, je peux le faire. Comme dit la DDCH, article 5 : "Tout ce qui n'est pas défendu par la Loi ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à faire ce qu'elle n'ordonne pas." Le fait que l'homme n'est pas appropriable est un fondement suffisant pour en tirer les droits individuels du libéralisme: je ne me possède pas, et la société pas davantage. Elle peut au plus m'esclavagiser ou m'interdire telle action par la force de la loi, mais c'est la limitation de ma liberté qui en jeu, non un conflit pour savoir qui de la société ou de moi est propriétaire de moi. 2): Si ça pouvait avoir un sens de dire que j'exerce une relation de propriété sur moi-même, je vois mal au nom de quoi on m'interdirait de me vendre comme esclave si je le veux (par exemple pour faire bénéficier le revenu à ma famille). Dire que "c'est interdit" est hors sujet dès lors qu'on raisonne sur la légitimité et non sur le droit positif. -
Mes lectures du moment
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Bastiat dans Lectures et culture
Rothbard remonte dans mon estime: -
C'est plus ou moins le reproche que leur font depuis longtemps certains guignols d'extrême-droite, Soral par exemple. La vraie ironie est que l'extrême-gauche (Monde diplo par ex.), attaque l'extrême-droite et le RN en les accusant d'être la dernière ligne de défense du capitalisme acculé (résurrection de l'interprétation stalinienne du phénomène fasciste). Bref, les deux bords s'accusent mutuellement de servir le "système" qu'ils vomissent le reste de la journée...
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Mes lectures du moment
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Bastiat dans Lectures et culture
Il parle aussi de "libertarisme" (p.546) pour désigner à la fois les anarcaps et les minarchistes / libéraux classiques... -
Les articles que vous voulez faire buzzer
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Action !
Un article de Steven Pinker: https://www.contrepoints.org/2019/02/03/335914-quelques-reflexions-sur-le-triomphe-des-lumieres -
L'homme donneur, sa fille et le prohibitionniste
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de frigo dans Politique, droit et questions de société
Et pourtant Macron exemplifie le contraire. Il est vrai que je lui prédis pas une grande longévité politique, de même qu'à son mouvement. D'un autre côté, toutes les périodes où la France a été gouvernée à peu près libéralement ont été courtes (Turgot est au ministère 2 ans). Ma thèse me paraît donc cohérente. -
Mes lectures du moment
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de Bastiat dans Lectures et culture
L'ouvrage d'Audier reste instructif jusqu'au bout: -
L'homme donneur, sa fille et le prohibitionniste
Johnathan R. Razorback a répondu à un sujet de frigo dans Politique, droit et questions de société
Pour que la liberté progresse de façon significative il faut une révolution une réforme profonde de l'Etat. Pour réformer en profondeur l'Etat il faut qu'un parti libéral gouverne durablement. Pour qu'un parti libéral gouverne il faut qu'il réunisse beaucoup de monde et vu que le clivage droite/gauche continue d'avoir du sens / une portée affective, il faut que les gens de gauche n'ait pas (trop) l'impression de voter pour un parti de droite et réciproquement. Or en France, tout le monde juge le libéralisme de droite (à l'exception d'Eric Zemmour). Donc, casser l'image du libéralisme comme étant de droite (et de la droite comme étant libérale) est utile. Dans un certaine mesure je suis optimiste parce que la guerre éclair menée par Macron a crée beaucoup d'espace au centre. Plus on tend au bipartisme plus les partis centraux cherchent à s'appuyer sur les ailes extrêmes, or les extrêmes sont toujours les plus antilibéraux.
